Comme des frères

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C'est encore une histoire de rencontre(s). Par le prisme de ce blog, j'ai fait la connaissance il y a un peu plus de deux ans maintenant d'une fille extra dont je ne sais pas trop si elle voudrait que je mette son nom ici, alors je l'appellerai L. Il a suffi d'un coca zéro à la terrasse du Zimmer pour réaliser que des choses en commun, nous en avions plein. 

Dans la vie, L est productrice. Elle s'occupe actuellement du premier film d'un garçon vachement chouette lui aussi, qui s'appelle Hugo Gélin. Oui, Gélin comme Gélin.

"Comme des frères", que ça s'appelle. Avec une brochette d'acteurs qu'on aime bien: Nicolas Duvauchelle, François Xavier Demaison, Pierre Niney, Mélanie Thierry, mais aussi Cécile Cassel. Le pitch ? Allez, je vous le donne, même que j'ai potassé dessus et que depuis je me prends pour Téchiné :

"Boris, Elie et Maxime. Trois hommes, trois générations, zéro affinités.


Boris a 40 ans et il a réussi dans la vie. Sauf en amour. Il ne se remet pas de sa rupture avec Charlie. Depuis, il entretient une relation fusionnelle avec son smartphone et son 4×4. Elie a 30 ans. Officiellement scénariste pour la télé, il passe l'essentiel de son temps dans les soirées branchées et à la Fnac. Il a aimé Charlie, lui aussi, mais quand ils étaient au lycée. Maxime a 20 ans mais à peu près 65 dans sa tête. Véritable encyclopédie vivante, il vient d'adopter un chat avec Cassandre, la femme de sa vie, qu'il épousera dans cinq ans très exactement. Charlie a été sa baby-sitter et il l'aime – lui aussi – mais comme une sœur.


C'est pour Charlie que Boris, Elie et Maxime se retrouvent coincés ensemble pendant 900 kilomètres, direction la Corse. Un voyage qui les transformera pour toujours, mais ça, ils ne le savent pas encore…"

Quand j'ai su que ça y'était, que le film allait être tourné, après avoir suivi de loin le boulot sur le scénario et tout ce qui l'entoure, j'avoue avoir pensé en mon fort intérieur que j'en crèverais de venir sur le tournage.

Je veux dire, je suis du genre à m'arrêter systématiquement quand dans les rues de Paris j'aperçois ces gros camions noirs qui semblent hurler au loin "silence on tourne". A mon avis, si on cherche bien d'ailleurs, je dois figurer gratos sur tout un tas de films français. Ouais, le boulet en h&m qui apparait sur les rushs, des films en costume les gars, y'a des chances que ce soit moi. C'est comme si j'étais hypnotisée, je ne peux pas m'en empêcher. Et si en plus je vois un people, yeah, ma journée est gagnée.

Donc disais-je, j'avais super envie de pouvoir faire la souris. Imaginez, donc, quand L m'a appelée pour me proposer non seulement de squatter le plateau mais en plus d'interviewer l'un des acteurs principaux. "Si tu as envie, hein, c'est vraiment si ça te fait plaisir".

– ouais, d'accord, parce que c'est toi (raccrochage de téléphone… puis discrète et modérée manifestation d'enthousiasme gniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaahhhhhhhh!!!).

C'est ainsi qu'un beau jour de ce mois d'octobre, je me suis retrouvée dans cet appartement au dessus du jardin du Luxembourg, entourée de tout un tas de gens très affairés mais pourtant très gentils avec la dinde ébahie que j'étais. On m'avait dit, "je te préviens, on se fait chier, en général". 

C'était sans compter ma capacité d'ébahissement dindesque. A savoir que oui, durant les deux heures passées entre le combo (oui, pardon mais maintenant comment vous dire ? Je parle cinéma, je respire cinéma, je b…) et un projecteur, j'ai vu se répéter peut-être trente fois la même scène, durant laquelle Nicolas (soupir) Duvauchelle et Cécile (re-soupir) Cassel sonnaient à la porte. 

Une scène filmée sous douze angles différents, avec des intonations dans le "bonjour" qui pouvaient imperceptiblement varier d'une prise à l'autre, mais toujours la même. Et pourtant, j'étais comme une gamine perdue dans le musée Haribo. Ouah, c'est donc là qu'on fabrique un rêve, me disais-je. Cette minuscule scène, quand je la verrai sur grand écran, elle semblera s'intégrer complètement dans l'histoire, elle paraitra anecdotique et évidente, driing, "bonjour, on est en retard, je sais, c'est à cause d'Elie".

Personne ne saura qu'en réalité, ces quelques mots auront mobilisé une équipe entière, que Cécile à la fin en avait peut-être mal au doigt à force d'appuyer sur la sonnette, qu'à un moment la scripte a remarqué que le bouton de l'ascenseur clignotait et que du coup c'était pas raccord et que pendant ce temps, tous les petits fours – des vrais, j'ai demandé, tu penses – installés pour la scène suivante de la bar-mitzvah commençaient à avoir chaud.

Inutile de vous dire que j'ai bien évidemment fait craquer le parquet deux secondes après un "silence on tourne" ou que lorsque Nicolas Duvauchelle s'est pointé devant moi, me tendant la main et se présentant, "bonjour, moi c'est Nicolas", je n'ai pas su faire autre chose que ricaner connement, attends, je sais comment tu t'appelles, bombasse, montre moi ton tatouage qu'on en finisse. Hin hin hin.

Moi c'est Caroline, au fait.

A un moment, l'un des caméramens a enlevé son tee-shirt. Dessous, il avait une espèce d'énorme sparadrap qui lui recouvrait tout le dos et qu'une nana lui a enlevé. Il était cramoisi des lombaires, du coup. "Ouah, je me suis dit, ça doit être un truc pour éviter les radiations ou quelque chose du genre". Intriguée et parce qu'on a le journalisme chevillé au corps ou on l'a pas, j'ai pris un air entendu (genre l'industrie du cinoche, moi je gère) et je lui ai demandé: "c'est à cause des caméras ?, il faut se protéger ?"

Après m'avoir regardé comme si j'avais un bras à la place du nez, il m'a répondu que non, il s'était fait mal au dos et que le sparadrap était enduit de camphre, un remède de grand-mère.

Ok.

En même temps je suis donc en mesure de vous rassurer, non, il n'y a aucun risque de radiations sur un plateau de cinéma. Et si oui, à priori, le sparadrap, ça n'aide pas.

Bref, j'aurais voulu vous en faire un minute par minute, mais à bien y réfléchir, c'était compliqué, parce que sur un tournage, le principe, c'est de ne pas bouger, rester là, à retenir sa respiration et observer comment nait une histoire. C'est du cinéma, quoi.

J'avais peur que ça casse un peu le mythe, que ça enlève de la magie, de voir l'envers du décor. Mais je crois que ça a été le contraire, un film dans le film, regarder les acteurs sourire et déconner juste avant la prise et soudain se concentrer, entrer vraiment dans leur personnage, sans chichi sans manières, sans gimmicks actor studio, parce que ce film c'est une histoire de copains et que, m'a-t-il semblé, Hugo Gélin a su instaurer ça sur le tournage.

Dans la liste des choses à cocher avant que tout soit trop tard, je peux faire une croix sur celle-ci: "aller sur un plateau de cinéma".

J'attends désormais de pouvoir m'asseoir dans un des gros fauteuils rouges du MK2 Bibliothèque, mon petit pot de Ben et Jerry à la main, pour suivre l'épopée de Boris, Elie et Maxime. Sûre que la salle sera pleine, parce que cette histoire de potes parle à tout le monde, j'en suis convaincue.

Demain, je reviens avec la suite, à savoir l'interview de l'un des acteurs (actrice ?) du film.

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Edit: pour avoir un petit avant-gout du film, cliquez ici

50 comments sur “Comme des frères”

  1. Minimoiz a dit…

    Ooooo la grande classe! J’ai eu la chance aussi d’aller sur un tournage une fois dans ma vie et c’est clair que ça fait quelque chose, un truc qui te fait aller plus vite dans ta tête alors que tout autour de toi n’est que silence, observation, pondération, poils au menton…

    En bref je partage tes gniiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaaaaaah entèrement 🙂

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  2. La Mouty a dit…

    bonjour ,après la grande bleue tu plonges la tête la première dans le boulot,c’est le genre de plongeon que j’aurais aimé faire.
    j’attend demain pour lire le récit toujours très imagé de ton interview
    et merci pour ces billets qui nous emmenent dans des lieux tellement différents

    @ Dominique coucou !j’attend de connaître ton email pour t’écrire je ne veux pas monopoliser ce blog !

    P.S j’ai la chance d’habiter une ville et un quartier ou se tournent de nombreux films,c’est toujours un spectacle

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  3. mysukalde a dit…

    Merci pour cette invitation en coulisses ! J’ai assisté une fois à un bout de tournage, tout près de chez moi et tout à fait par hasard. Emilio Estevez dirigeait son père, Mr Martin Sheen himself. Il devait traverser un petit pont en bois, sac au dos bâton à la main. Il a du recommencer au moins 20 fois… Moi aussi, j’ai du retenir mes gnniii ! C’était un film sur un père qui part sur les traces de son fils, mort sur le chemin de St Jacques de Compostelle. Je ne sais pas si le film a fini par sortir, ça date un peu cette histoire…

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  4. Marie Mail Tout a dit…

    Ouahhhhhhhhh trop la classe ! Ca y est, j’en ai la bave aux lèvres de bon matin !
    Nicolaaaaaaaaaaas quoi ! Hiiiiiiiiiiiiiiii !
    Comme je te comprends, j’ai moi aussi un capital dindesque phénoménal mais je vois pô autant de stars que toi, c’est pour ça. Sinon, tu penses que je serais blasée !
    En tout cas, sûr que j’irai le voir ce film, tu m’as donné envie a muertooo !
    PS : Pas de photo du tattoo de Nico alors ??? Flutte !

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  5. Geneviève a dit…

    J’adore ! J’ai vu le tournage d’une scène (une daube absolue mais je suis allée quand même au ciné après) dans mon tout petit bled finistérien… C’était une scène en extérieur, tout le village était là derrière des barrières et on a vu je ne sais combien de prises avec la mer qui montait et qui n’était pas « raccord »…
    Je RÊVE d’une scène en INTÉRIEUR…
    Rien à voir, mais les nouvelles sont mauvaises ce matin…

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  6. AnneduSud a dit…

    Pensées pour toi Genviève.
    Pour le film, j’irai certainement, tu m’as donné envie avecton pitch et puis peut être qu’en cherchant bien, sur un coup de hasard, j’ai une chance que tu apparaisses une seconde…

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  7. Poumok a dit…

    Ah le rêve éveillé d’un plateau de cinéma !
    Pour ma part c’est lors de vacances en Bretagne que ma famille, pour rentrer du port, a dû contrainte et forcée passer devant la caméra « en regardant la mer, pas la caméra » et jouer les touristes pendant que se tournait le film Une femme de ménage de Claude Berri.
    Evidemment quand il est sorti on a couru le voir… et on avait été coupés au montage. Mais reconnaître les endroits d’un film, c’est sympa aussi !

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  8. Reine a dit…

    OH! Merci pour ce reportage!! super et toujours très drôle!!
    Ma soeur complètement par hasard a commencé une 2ème carrière de figurante il y a quelques années et participe à 3 ou 4 films par an . Non, c’est pas parce que c’est une bombasse: sur sa fiche des castings il y a écrit « passante ordinaire » !!! évidemment on va voir « ses » films, et souvent elle a été coupée au montage !!!!
    A propos de film , hier nous avons vu « Exercice d’Etat » film super intelligent et super bien fait . Le quotidien d’un homme d’état, tout ce qu’il doit encaisser , et toutes les magouilles et compromis qu’il doit avaler pour rester à sa place….et « La » question ,comment tiennent ils?? et surtout pourquoi???, quelle est la motivation qu’il leur font accepter cette vie de chien…..car les convictions, la foi en prennent un coup dans la machinerie politique!!. Olivier Gourmet et Michel Blanc , juste parfaits et tous les seconds rôles aussi, Zabou particulièrement
    Voilà , je sors , juste avant j’embrasse fort Geneviève.

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  9. La Mouty a dit…

    Je ne sais pas ,mais j’ai compris que Geneviève a besoin de tout le soutien que nous pouvons lui envoyer,alors reçois toutes les ondes positives que je t’adresse,plein,plein !

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  10. lily a dit…

    Alors pour une fois je vais me la jouer : non seulement j’ai assisté à un tournage mais en plus j’ai eu la chance d’être figurante pendant 2 jours sur le tournage d’un film et de fait d’approcher de très près Marie Gillain, Audrey Tautou et Benoit Poolvoerde! Même si ce sera ma seule et unique expérience cinématographique sans doute, ça fait une chose de cochéee comme tu dis sur la « to do list avant de ne plus pouvoir to do!!! »!

    Et sinon j’ai beaucoup ri pour le coup des radiations des caméras…!!!

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  11. Tan a dit…

    Tu décris la scène, tu l’écris, j’y suis.

    Le pitch du film est de ceux qui me font bien envie (d’ailleurs c’est toi qui l’as écrit pour la page Facebook aussi, ou c’est l’inverse ? Je pose la question tout à fait naïvement), même si je me connais, je le verrai sûrement une fois qu’il sera diffusé sur le petit écran.

    En ce moment c’est Intouchables qui me fait énormément envie, ces scènes pleines d’humour et d’humanité qu’on a pu voir, j’adore.

    Pensées et courage à Geneviève aussi, la roue finit toujours par tourner.

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  12. marie a dit…

    comme je te comprends! un tournage c’est magique! comme toi, dès que je vois les trailers noirs sur un trottoir parisien, je ne me contrôle plus! pour ma part, j’ai eu la chance de pouvoir assister au tournage d’une scène de film avec mon acteur préféré -françois cluzet- j’étais en transe!

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  13. Cathy du Gard a dit…

    Quand j’étais étudiante, avait été tourné « I comme Icare » sur le campus de mon école, l’Essec, et toute la promo avait été désignée volontaire pour faire la foule qui acclame le Président ou candidat à la présidentielle, je sais plus, Yves Montant. A l’époque, on avait eu 50 F de l’heure, wouaouh pour un étudiant, ça avait fait du bien.

    Rien à vois avec le sujet, mais je crois qu’il faut tous aller acheter le Charlie Hebdo de ce jour par solidarité, même s’ils ne sont pas toujours 100 % fins dans leur dessins, mais la liberté d’expression, c’est essentiel ! Je vais me taper 50 bornes pour essayer d’en trouver un parce que dans mon bled, comment dire … Closer et cie, oui on trouve, mais pour le reste, faut aller « à la ville » !

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  14. Elosyia a dit…

    Dis donc, on est coupine de tournage. J’adore m’arrêter et regarder qui, quoi, mais que se passe t-il ? quand je vois de gros camions et des cantines de tournage. L’an dernier, ils ont tourné le film « les hommes libres » en bas de mon immeuble. Pendant une pause de tournage, j’ai voulu prendre Tahar Rahim en photo discrètement (je me disais qu’il ne fallait pas qu’il croit que je faisais ma paparazzi) et en fait un chef de plateau m’a vu et il m’a hurlé de pas trop en prendre et d’éviter le flash. Toute l’équipe s’est alors tournée vers moi et m’a regardée assez bizarrement. Comment vous dire que je me suis sentie bien honteuse à ce moment là.
    A part ça, le cinéma a vraiment quelque chose de magique, tu as vraiment été chanceuse de pouvoir assister à ce moment. Il faut dire que tu le mérites puisque c’est grâce à ton blog. On récolte ce que l’on sème et c’est parfois très positif.
    Bonne journée !

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  15. Loop of Kurland a dit…

    STARWARS! Yoda!

    Je gagne un truc?

    Sinon, rien à voir mais j’ai fait une fausse joie à un marmot dépourvu de second degré hier en lui disant « on ira aux infos ». Il a cru qu’on allait passer à la télé et s’en faisait une joie.

    C’est un peu inquiétant quand même de vouloir toujours passer à la télé.

    Ma mère m’y a obligée un jour (attends, je m’allonge, je serai mieux) et j’en ai bavé des ronds de chapeaux à chaque redif. L’enfer. Vaccinée pour la vie. Je me suis juré de lui faire la même chose, quand elle sera grabataire dans une maison de retraite. Elle bavera à la télé.

    Excusez-moi, il faut que j’aille expier mes mauvaises pensées.

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  16. Reine a dit…

    @ loop : )))))) ta pôv maman !!!
    @ Claudia : « les parapluies de Cherbourg » ? C’est ça ? ouais , j’en étais sûre!!!
    @ Cathy du Gard: tout à fait d’accord avec toi , je l’achète aussi , na! ça m’a fait tout de suite penser à l’excellent docu « Apocalypse Hitler » et les intimidations nazies.

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  17. desperada a dit…

    @ Loop: hem hem. merci beaucoup.

    @ caro: moi aussi j’irai voir le film, mais en regardant que le bord de l’écran, pour voir tout ce qui est PRESQUE hors champ. On sait jamais, qu’au montage,ils aient laissé passer

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  18. peggy a dit…

    han. J’adore ce billet. J’adore quand tu nous racontes des histoires + les acteurs qu’il y a dedans. Si tu as besoin la prochaine fois d’un caddy pour transporter ton cahier et ton stylo, je fais ça super bien hein 😀 je peux même éventer les petits fours pour pas qu’ils chauffent.

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  19. Agatha a dit…

    Mon rêve : voir l’arrière du décor , assister à un tournage !

    Je m’en inscrirais presque sur une liste pour faire de la figuration pour Fr3 Lille (dans le rôle de la passante ordinaire de 50 piges ) !

    En parlant cinéma , je suis allée , il y a 10 jours voir « the artist » : une merveille ! courez y même si ce n’est plus vraiment une nouveauté et que c’est muet et en noir et blanc .

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  20. Cécile - Une quadra a dit…

    Ah je comprend ton plaisir 😉

    Le pitch à l’air sympa en plus…

    Pour ma part y a de nombreuses années j’avais été figurante sur Les misérables de Robert Hossein j’y était restée 3 jours 2 jours de foule et 1 journée avec 3 mots, les scènes de foule sont restées, les 3 mots ont été coupés au montage 😉
    Mais j’avais eu l’immense joie de voir le tournage de l’intérieur et de croiser Lino Ventura, Jean Carmet et Michel Bouquet, en plus de Joffrey de Peyrac 😉

    Je n’ai jamais refait de figuration depuis mais à chaque tournage si j’en ai la possibilité je vais voir et faire la petite souris dans un coin 😉

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  21. La Mouty a dit…

    @ Dominique
    j’ai fais le necessaire auprès de Caro,il ne reste plus qu’a attendre qu’elle soigne son retard chronique,Caro je plaisante!!!!!y a pas le feu .

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  22. Geneviève a dit…

    Vous êtes des anges de réagir comme ça, de m’envoyer vos pensées… Les mauvaises nouvelles dont je parlais (plutôt la mauvaise nouvelle), c’est l’incendie criminel à Charlie Hebdo justement…

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  23. DOMINIQUE a dit…

    @ Geneviève : ouf. Je préfère m’être trompée pour la « mauvaise nouvelle ». Qui en est une, d’ailleurs, mais qui ne te concerne pas directement.
    T’as remarqué ? On part au quart de tour !

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  24. Marie Mail Tout a dit…

    Naaaan, t’as vu Tahar Rahim en vrai de vrai ???
    Quelle veine !
    Depuis le Prophète, je suis devenue une grande fan (aussi, j’ai boycotté L’Aigle de la 9ème légion, qui avait l’air tout pourri).
    Faut absolument que j’aille voir les Hommes Libres

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  25. Elosyia a dit…

    Oui et plusieurs fois durant le tournage ;-). En dehors du fait qu’il a un physique ma foi sympathique, j’ai trouvé qu’il avait une belle présence et un charisme important. Si je retrouve ma photo, je te l’enverrais (même si on doit pas voir grand chose).

    Répondre
  26. Agoaye a dit…

    Héhéhéhé, merci de nous faire partager tout ça… C’est vrai que ce genre de moments est bien souvent super magique et que ça laisse des souvenirs impérissables…
    J’ai croisé Cassel sur la plage, arrêté par la personne avec qui j’étais (parce que c’était une star aussi), je ne l’ai pas reconnu, du coup je l’ai embrassé sans savoir qui c’était !

    Répondre

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