Je sais, ce n’est plus un anniversaire, c’est un serpent de mer. Mais j’aime bien, ça me donne l’occasion une fois encore de vous parler d’une marque que j’affectionne pour des raisons en plus que vous ne pourriez pas deviner. Parce qu’en effet, avec Caudalie, j’ai une petite histoire qu’eux même ignorent. Il se trouve que lorsque j’ai rencontré celui qui allait devenir bien plus tard mon mari, ce dernier était pigiste pour tout un tas de journaux, dont le Elle, Paris-Match ou encore Télé 7 jours. En réalité, il bossait pour les dernières pages de ces canards, celles gérées par la régie pub. Ce qui pour les « vrais » journalistes revenait en gros à se prostituer, les gentilles nanas du Elle d’ailleurs ne ménageaient pas leur mépris quand il venait à la rédac. Mais je m’éloigne. Un jour, il me raconte qu’il a interviewé deux petits jeunes de la région de Bordeaux (qu’il affectionne pour y avoir fait ses études) et qui viennent de mettre au point un procédé cosmétique innovant à base de pépins de raisins. « Ils sont malins et sympa, je n’y connais pas grand chose mais je pense qu’ils vont cartonner », m’avait-il prédit, en finissant son papier, probablement le premier écrit sur la marque. Et de fait, depuis, ces deux petits jeunes, Mathilde Thomas et son époux, sont à la tête d’un business qui ne cesse de prospérer. Pour le remercier de cette première mise en avant, je me souviens qu’ils lui ont envoyé plusieurs années de suite une bouteille de Bordeaux. Et moi j’ai toujours eu l’impression du coup d’avoir été partie prenante de leur succès (la fille tellement pas auto-centrée, c’est moi, bonjour). En lire plus »
Tag : beauté
Concours and co
Juste, au cas où cela vous aurait échappé, il y a un concours sur mon compte Instagram pour gagner ce combipantalon Ba&sh pour La Redoute. Vous avez jusqu’à ce soir 23h pour participer ! Ah et sur ma page FB, vous avez le nom des cinq personnes sélectionnées pour le test de soins jeunesse à l’aveugle.
Voilà c’est tout pour aujourd’hui, bon week-end !
Tiny-OM: « Le processus créatif est toujours mystérieux » (concours inside)
Vous le savez, je chéris les bijoux Tiny-Om et j’ai cru comprendre que pas mal d’entre vous les aiment aussi. J’ai eu envie de demander un peu à Virginie, la créatrice et directrice de cette jeune marque, comment était née sa « petite entreprise ». Et de fil en aiguille, on s’est dit qu’en cette période de fête des mères ce serait sympa de vous faire gagner un petit quelque chose, à savoir ce pendentif en or 18 carats d’une valeur de 80 euros que l’on accroche comme un charm’s à un lien de couleur et qui peut convenir autant à une jeune fille qu’à sa maman. En lire plus »
C’est vendredi c’est Galenic (concours inside)
Demain, c’est la Journée internationale des droits des femmes. Qu’on ne se méprenne pas, il ne s’agit pas comme on peut souvent le lire ça et là d’une « fête » mais bien d’un jour censé rappeler que le chemin vers l’égalité est pavé d’embuches, sinueux et en pente raide (tribute to Raffarin). Bref, c’est sérieux.
Il n’empêche qu’on ne va pas se priver d’un petit cadeau pour autant, moi je dis on peut être féministe ET futile. Non ? En lire plus »
Vous les femmes (on te kiffe Dustin)
Un petit passage en coup de vent, pour vous montrer cette vidéo de Dustin Hoffman (merci Béa pour la découverte ! ) qui m’a fait, je l’avoue, pleurer comme une madeleine mais je ne suis pas vraiment une référence, comme chacun sait désormais (à ce propos, j’avais d’abord pensé à vous écrire un billet de flemmarde mais que j’aime bien lire chez les autres, « Cinq choses que vous ignorez sur moi ». Sauf que là, LE DRAME: je réalise qu’en réalité vous n’ignorez plus rien de moi, j’ai déjà tout raconté). En lire plus »
Peau douce
Je passe en coup de vent, je pensais naïvement que les affaires ne reprendraient que doucement en ce début d’année mais c’était sans compter les miasmes et les demandes impromptues d’articles qui me tombent dessus comme des petits pains. Je ne pouvais pas néanmoins vous laisser sans vous livrer ces informations beauty de la première importance, il y a un moment où il faut assumer ses responsabilités.
Plus sérieusement, je ne vais pas vous refaire le tableau de ma peau – « it’s complicated » – mais en gros, rien ne vaut pour moi les marques dites « de pharmacie », les seules ou presque à ne pas me coller des plaques rouges – ou pire. Si Avène reste pour moi la panacée, d’autant plus depuis qu’il existe chez eux des crèmes antirides et du maquillage, je suis assez fan également d’Aderma et de Ducray. Et aussi, grosse découverte pour moi cette année, Yon-ka propose des crèmes qui sentent drôlement bon (souvent c’est ce qui me manque dans les produits hyperallergéniques et sans parfums) et qui tiennent leurs promesses.
Yon-Ka, take a breath
Cet été j’avais été invitée par l’institut Yon Ka dont j’aime beaucoup les produits – leur crème pour les mains est une petite tuerie – pour un soin des pieds qui me promettait des petons de princesse. Sur le papier, j’étais absolument ravie et partante, mais je me suis rappelé que depuis deux ans, seul le churros et quelques très intimes ont le droit de regarder mon pied gauche. Merci la dysidrose (non, ne googlisez pas, je vous assure vous n’avez pas envie de savoir). J’ai donc appelé un peu gênée pour annuler, convaincue que j’avais passé mon tour et que pas de pied, pas d’Yon Ka.
Et puis à la rentrée, ils m’ont rappelée, me proposant un soin pour le visage. Bingo, je n’ai pas de maladie honteuse sur la figure, j’ai dit oui, je ne sais pas résister à la tentation des papouilles, et puis, je me suis dit, c’est un peu du travail (on a des vies compliquées nous les filles de l’internet).
Hier, donc, je suis allée dans ce quartier un peu chaud du Bon Marché, où se trouve l’institut Yon Ka. Laissez-moi vous dire que je ne le regrette pas, même si je suis un poil embarrassée, difficile en effet de vous raconter par le menu détail l’heure et quart pendant laquelle une adorable esthéticienne s’est employée à me donner une seconde jeunesse (il faut commencer très tôt pour lutter contre les ravages du temps, 29 ans c’est déjà un peu le début de la fin). Un peu embarrassée, donc, parce qu’il se peut que je me sois assoupie. Durant la moitié du soin. C’est à dire que j’ai été réveillée par mes propres ronflements. Hashtag HONTE.
Je ne plaisante pas, il m’est déjà arrivé de me retrouver dans un état de semi-conscience lors d’un massage du corps, voire même du visage, mais me réveiller la bouche ouverte en sursaut comme cela, jamais. A mon avis je dois être en pleine ovulation.
Ou bien, et c’est probable, la jeune femme qui se chargeait de moi est à moitié sorcière. Maintenant que j’y pense d’ailleurs, je me souviens qu’elle a commencé le soin par ces quelques mots: « je vous laisse prendre une grande inspiration ». Tiens tiens tiens… En lire plus »