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10 ans de Pensées by Caro, concours n°8: les best-sellers Caudalie

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Je sais, ce n’est plus un anniversaire, c’est un serpent de mer. Mais j’aime bien, ça me donne l’occasion une fois encore de vous parler d’une marque que j’affectionne pour des raisons en plus que vous ne pourriez pas deviner. Parce qu’en effet, avec Caudalie, j’ai une petite histoire qu’eux même ignorent. Il se trouve que lorsque j’ai rencontré celui qui allait devenir bien plus tard mon mari, ce dernier était pigiste pour tout un tas de journaux, dont le Elle, Paris-Match ou encore Télé 7 jours. En réalité, il bossait pour les dernières pages de ces canards, celles gérées par la régie pub. Ce qui pour les « vrais » journalistes revenait en gros à se prostituer, les gentilles nanas du Elle d’ailleurs ne ménageaient pas leur mépris quand il venait à la rédac. Mais je m’éloigne. Un jour, il me raconte qu’il a interviewé deux petits jeunes de la région de Bordeaux (qu’il affectionne pour y avoir fait ses études) et qui viennent de mettre au point un procédé cosmétique innovant à base de pépins de raisins. « Ils sont malins et sympa, je n’y connais pas grand chose mais je pense qu’ils vont cartonner », m’avait-il prédit, en finissant son papier, probablement le premier écrit sur la marque. Et de fait, depuis, ces deux petits jeunes, Mathilde Thomas et son époux, sont à la tête d’un business qui ne cesse de prospérer. Pour le remercier de cette première mise en avant, je me souviens qu’ils lui ont envoyé plusieurs années de suite une bouteille de Bordeaux. Et moi j’ai toujours eu l’impression du coup d’avoir été partie prenante de leur succès (la fille tellement pas auto-centrée, c’est moi, bonjour). En lire plus »

Une parenthèse enchantée aux Etangs de Corot

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EDIT de 10h27 : Pour celles et ceux qui seraient tentés par l’expérience, en appelant le 01 41 15 37 00, mentionnez l’offre « Pensées by Caro », qui offre -20% sur le tarif de la chambre. Valable dès ce soir, 24 février, jusqu’au 31 mars. (je ne touche rien là dessus, je préfère préciser, c’est juste que j’ai vu dans les commentaires que certaines étaient tentées et j’ai demandé s’il y avait moyen de moyenner).

Le week-end dernier j’ai encore vécu des moments vraiment difficiles. Parfois je me dis qu’à force je vais finir par m’épuiser. Parce que oui, une fois encore j’ai donné de ma personne, embarquant dans ma galère le churros, pour tester non seulement un hôtel mais aussi son restaurant et son spa. IL FAUT BIEN QUE QUELQU’UN S’Y COLLE.

Plus sérieusement, cela faisait des mois que j’avais reçu cette invitation à venir me ressourcer aux Etangs de Corot, l’hôtel spa de Caudalie, situé comme son nom l’indique, au bord de l’un des fameux étangs immortalisés par le peintre Corot. Mais impossible de trouver un week-end sans enfants. Et puis la semaine dernière, donc, une petite fenêtre de tir (et quand je dis de tir…) (non, rien).

Du coup, vendredi soir, après 20 mn de train de banlieue et quelques unes de plus en taxi, nous sommes entrés dans un petit paradis ayant le bon goût donc d’être à proximité de Paris (pour nous en tous cas, c’est sûr que pour les habitants des Pyrénées c’est moins pratique) (mais eux ils ont les Pyrénées). C’est simple, nous sommes restés 24h et nous avons eu la sensation d’y avoir passé une semaine, tant tout est fait pour vous aider à déconnecter. Ce que j’ai préféré (je veux dire, à part le repas étoilé) je crois ce sont les conversations des canards entendues le matin au réveil, notre chambre donnant sur l’étang. Et la ronde des mouettes au ras de l’eau à l’aube. En lire plus »

Haute-tension

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Vendredi, mon oreille droite me faisait un mal de chien. Je soupçonnais un effet collatéral d’une anesthésie dentaire quelques jours auparavant (ma vie est trépidante), mais je voulais vérifier malgré tout qu’il ne s’agissait pas d’une otite (peut-être aussi que la lecture du livre de Baptiste a réveillé ma très légère hypocondrie, ça n’est pas à exclure) (est-ce qu’on peut arrêter de parler de la journée de l’AVC s’il vous plait ?).

Diagnostic implacable, pas d’otite, probable inflammation du nerf auditif, piqué par inadvertance lors de la fameuse anesthésie (je suis le trou de la sécu). En somme pas grand chose à faire, à part croquer de l’ibuprofène. En lire plus »