Mois : mars 2017

Journée internationale des droits de la femme: qu’est-ce qu’on peut faire ?

Je dois vous avouer que ce 8 mars me laisse toujours très perplexe. Pendant de nombreuses années, cette journée internationale des droits de la femme a été confondue avec la fête des meufs, à qui on achetait une rose pour qu’elle ferme bien sa gueule les autres jours de l’année. « Allez, tiens, prends ta fleur et fais plus chier ». J’ai l’impression que depuis un an ou deux, les mecs ont compris (à force sans doute de se prendre la rose dans la face) et que cette année les marques ont été un peu plus malignes et nous arrosent un peu moins de pubs à grands renforts de – 30% pour ce magnifique soutien-gorge qui fera succomber votre homme (parce que c’est bien connu que l’objectif numéro 1 de la femme le jour de sa « fête » c’est de faire bander son mari).

Bref, on est un peu plus au clair sur l’objectif originel de cette journée, conçue pour dénoncer les inégalités hommes femmes et proclamer nos droits. Mais après ?

Et bien après, je ne sais pas trop. Voici quelques pistes de ce que nous pourrions faire aujourd’hui pour marquer le coup… En lire plus »

When we rise

J’ai grandi avec le sida, comme toutes les personnes de ma génération. Je me souviens encore, lorsque j’étais en 5ème, de mon prof de français qui détonnait un peu dans l’école catholique où je me trouvais et qui avait évoqué une nouvelle maladie qui sévissait dans les milieux homosexuels. J’avais été intriguée, autant par la menace que par le terme même d’homosexualité, complètement absent jusque là de mon vocable. Et puis il y eut Les nuits fauves, véritable choc cinématographique, film d’une génération qui découvrait que l’on pouvait aimer différemment et en mourir. Et puis il y eut le baiser de Clémentine Célarié, Philadelphia, autre choc cinématographique et lacrimal. Il y eut les marches d’Act-Up, les amis qui firent leurs coming-out, dont je ne mesurais pas, je pense, à l’époque, le courage qu’il leur avait fallu, dans le contexte conservateur lyonnais des années 90. En lire plus »

Trouville is always a good idea…

Ce week-end nous sommes partis à Trouville avec Rose. Tous les trois. C’est étrange, les équations familiales deviennent différentes, si nous avons encore pas mal de moments à cinq, ils se raréfient néanmoins. Nous le savions quand Rose est née, que ces huit ans d’écart feraient d’elle un jour une enfant unique à temps partiel. Je le redoutais un peu, surtout pour elle, j’avais peur qu’elle souffre de voir ses frère et soeur commencer à s’émanciper. Et finalement, c’est tout le contraire. Il me semble qu’elle savoure ces instants privilégiés, qu’elle ne boude pas trop ce plaisir d’avoir ses parents pour elle toute seule. D’autant plus que ses aînés occupent pas mal l’espace et qu’elle peut éprouver parfois des difficultés à monopoliser l’attention durant les repas par exemple. Quant à nous, nous apprenons sur le tard cette relation triangulaire très exotique pour des parents de jumeaux. En n’en perdant pas une miette, conscients que le temps passe à toute allure et que cette petite fille encore viscéralement attachée à son papa et sa maman nous suppliera bientôt de partir en week-end histoire que son mec puisse dormir à la maison… En lire plus »

Prescription Lab, Time to shine…

Partenariat

Je vous avais déjà parlé de Prescription Lab, cette box qui a pour ambition de se distinguer des autres offres en la matière. Moi qui n’avais jusque là jamais été très convaincue par ce modèle, je dois avouer avoir changé de parfum après la réception de la première boite. Je portais depuis dix ans « Chance » de Chanel, qui reste l’un de mes chouchous mais l’Eau d’Issey qui figurait dans ma box m’a conquise comme rarement un autre élixir. Sans parler du masque au charbon, qui est devenu aussi un de mes soins récurrents. Bref, on m’a proposé de tester à nouveau Prescription Lab et j’ai reçu celle de mars. Une boite centrée cette fois ci davantage sur le soin, également très convaincante. Avec comme à chaque fois, un produit « full size », un autre de la marque « Prescription lab » et un soin en taille voyage. En lire plus »

Five little things #21

On ne peut pas dire que j’ai énormément de temps pour bouquiner ni même découvrir beaucoup de séries en ce moment, mais j’ai quand même quelques petites choses dont j’avais envie de vous parler…

1 – Le livre. Cet été là de Lee Martin. Je l’ai acheté en pensant lire un énième polar reposant sur la disparition d’un enfant (les auteurs manquent cruellement d’originalité honnêtement, 99% des policiers qui sortent aujourd’hui sont centrés autour de cette intrigue). Mais finalement, c’est un très beau livre polyphonique, avec, 30 ans après la disparition de la petite Katie, les témoignages de tous ceux qui furent témoins de ce drame. Peu à peu, la vérité ou LES vérités s’esquissent.

En lire plus »

La nouvelle collection signée Laetitia Ivanez pour les Galeries Lafayette : de la bombe bébé

Au cas où vous n’en ayez pas encore entendu parler, c’est un peu l’actu fashion du mois de février. La créatrice Laetitia Ivanez a imaginé toute une collection de printemps pour les Galeries Lafayette et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a frappé dans le mille, en ce qui me concerne du moins. Entre les tees et sweats floqués du nom d’un de mes endroits préférés au monde, aka Calvi, les chemises aux coupes hyper flateuses, les petits pulls graphiques, les pantalons chinos et les jeans 7/8è, comment vous dire… c’est tout ce que j’aime. Sans parler des cardigans dans lesquels on s’enroule quand on ne veut plus mettre de manteaux, des petits blousons en cuir et des jupes, mini ou midi. Bref, c’est super joli et les prix sont plutôt doux. Reste plus qu’à tomber les collants et à se lancer en somme…

 

#1 – Sweat Calvi, 49,99 euros – #2 – Pantalon chino, 49,99 euros – #3 – Chemisier Taylor, 49,99 euros – #4 – Jupe plissée Athena verte, 49,99 euros – #5 – Tee-shirt Calvi, 19,99 euros – #6 Jean Fit, 59,99 euros

 

#7 Chemisier Taylor, 49,99 euros – #8 Pantalon chino, 49,99 euros – #9 Tee shirt Myleen, 19,99 euros – #10 – Jupe TNT, 49,99 euros – #11 – Pull Many, 69,99 euros – #12 Jupe Athena blanche, 49,99 euros

Billet écrit en partenariat avec Les Galeries Lafayette