Catégorie : Mes articles dans Psychologies magazine

« Skin, c’est te montrer que ta peau vit et vibre toujours »

cecile et karine

(Karine rêvant de Cécile, Photo de Karine Zibaut)

Dans la foulée de mon billet de mardi – merci mille fois pour vos commentaires, non seulement ils me font chaud au coeur parce que l’écriture des « minute par minute » me prend beaucoup plus de temps qu’un post lambda, alors votre enthousiasme compte, mais surtout, j’avais très peur de heurter en riant autour d’un sujet qui est tout sauf drôle. Le fait que certaines d’entre vous, touchées par ce fucking crabe, aient fait preuve dans leurs mots d’un humour encore plus osé que le mien ou tout simplement de leur soulagement qu’on puisse en parler m’a vraiment rassurée. Bref, dans la foulée de mardi, donc – je suis la reine des ellipses et des apartés qui prennent deux plombes – je voulais vous parler de ce papier que j’ai écrit cet été pour Psychologies Magazine et qui est sorti dans le numéro d’octobre, dans les kiosques depuis hier. En lire plus »

Couple: appel à témoins pour un papier dans Psycho

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Bon.

Parlons peu parlons bien. J'ai besoin de vous.

Je travaille sur un papier pour Psychologie Magazine qui a pour titre provisoire: "couple: lorsque l'un bouge et l'autre pas".

L'idée, c'est d'essayer de comprendre pourquoi parfois, sans crier gare, l'un ou l'autre prend une direction opposée à celle de son ou sa conjointe.

Des exemples ?

– Elle veut partir de Paris pour créer un gite dans le Larzac et lui veut rester bosser à la Société géniale (ou l'inverse)

– Elle veut un enfant alors que lui non et que jusque là, ils étaient d'accord (ou l'inverse)

– Il entame une analyse et du coup, avance sur plein de choses qui étaient jusque là un peu bloquées. Mais elle, comme elle n'a pas fait cette démarche, elle se sent laissée sur le carreau (ou l'inverse).

– Elle prend de grosses responsabilités au travail et lui végète dans son boulot (ou l'inverse).

Bref, j'imagine que vous voyez à peu près. Pour ce papier, j'ai besoin de vous. Je cherche en effet trois couples qui accepteraient de raconter ce type d'expérience et la façon dont ils sont parvenus – ou non – à résoudre leur problème. Très important: il faut être ok pour être pris en photo. Sachant que psycho est un des rares magazines à accorder encore une importance réelle aux visuels et travaille donc avec d'excellents photographes (je peux témoigner, j'avais été immortalisée dans ce mag avant d'y travailler et c'est très certainement la plus belle photo que j'ai vue de moi) (ok, on ne distinque pas vraiment mon visage) (ceci expliquant peut-être cela).

Je comprendrai évidemment très bien que certains ou certaines d'entre vous ne soient pas d'accord pour être mis dans la boîte. Mais je vous avoue que je vous serais très très très reconnaissante si vous pouviez faire tourner cet appel à témoin, j'ai en effet besoin de trouver les perles rares assez rapidement.

Je précise une dernière fois qu'il n'est pas question de vous soutirer des témoignages impudiques etc. L'idée c'est de se pencher sur la façon dont on peut vivre une telle période dans le couple et dont on peut, éventuellement, en ressortir encore plus fort.

Personnellement, j'aurais pu témoigner avec le churros sur le thème de l'analyse. Je suis de celles qui supportent trèèèèès difficilement l'idée que leur conjoint aille parler à un thérapeute et refuse de leur livrer un compte-rendu détaillé de ce qui s'y est dit (tu as parlé de moi ? pourquoi ? je la déteste de toute façon ta psy. Je suis sûre qu'elle te dit des trucs sur moi. La truie).

Voilà, merci.

 Edit: j'ai écrit "il" et "elle". ça peut aussi être "il et il" ou "elle et elle". Evidemment.

Edit2: ça peut également être un "il" ou une "elle" toute seule, si ce changement de direction a débouché sur une rupture…

Edit3: si vous voulez me contacter sans passer par les comms: cfrancfr(at)yahoo.fr

Amitié, faut-il tout dire ?

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Dans le numéro du mois de juin de Psychologies magazine, actuellement en kiosque, il y a un article signé de ma blanche main sur un sujet qui m'a bien secoué les neurones: "Amitié, faut-il tout dire ?".

Instinctivement, moi l'amoureuse de l'amitié, j'aurais répondu oui. En tous cas il y a 20 ans, quand je croyais encore aux toujours et aux jamais. Et puis il a fallu affronter certaines tempêtes, dont certaines si violentes que le fil a rompu.

Et à penser que je pouvais tout dire, voire qu'il le fallait, j'ai perdu non pas une amie, mais deux, puisque son compagnon était comme un frère et qu'en pensant faire ma justicière, j'ai sapé quinze ans de complicité.

Alors écrire cet article n'a pas été si compliqué au final pour moi, parce que la réponse, je la connaissais. Non, non, trois fois non, il ne faut pas tout dire. Se taire peut être d'ailleurs même la plus belle preuve d'affection qu'on puisse donner. Bien sûr, il n'était pas question dans ce papier de me servir de mon expérience pour étayer ma théorie. Mais il se trouve que les thérapeutes que j'ai interrogés m'ont apporté, une fois de plus – écrire pour psycho est en soi une analyse – un éclairage précieux, qui est venu confirmer ce que je supposais, en l'expliquant.

Où je me suis entendu dire que révéler à l'autre ce qu'il ne souhaite pas forcément entendre, c'est une façon, finalement, de se poser en libérateur. C'est aussi, dire ce qu'on voudrait peut-être qu'on nous dise à nous, si on était dans sa situation. Excepté qu'on n'y est pas.

Alors voilà, désormais, je ne dis plus tout. En tous cas, j'essaie. Parce que vous l'aurez remarqué, j'ai comme un léger souci au niveau de la parole libérée. Mais à chaque fois que je suis sur le point d'asséner une de mes vérités bien senties, je me pose cette question: "pourquoi tiens-tu tant à lâcher ce morceau ?".

Souvent, hélas, la réponse n'est pas à mon avantage. Dont acte.

Edit: Sur la photo, la fille de Zaz protège les oreilles de Rose du bruit des pétards du nouvel an chinois. Métaphore, allégorie et tout ce qui s'en suit…

Parfois, Psycho, c’est chaud

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Dans le Psychologies magazine du mois de mai, je signe un long papier sur les hommes et la sexualité. Je vous laisse le découvrir si vous en avez l'envie et je ne m'étendrai pas sur le sujet (hin hin hin), histoire de ne pas déflorer l'article (hin hin hin bis).

Juste, je ne suis pas bégueule, hein. Mais c'était une grande première pour moi de conduire des interviews – téléphoniques et c'est heureux – en utilisant à plusieurs reprises les mots masturbation, verge, vulve ou encore cunilingus.

Je ne sais pas ce qui était le plus embarrassant. Poser les questions ou accueillir stoïquement les réponses des sexologues, qui, c'est le moins qu'on puisse dire, ne prennent pas de gants.

"Ce qui est navrant, voyez-vous, c'est que les hommes ne regardent pas assez la vulve de leurs compagnes. Ils y mettent le nez, la bouche, mais les yeux, pas assez. Du coup, ils ont du mal à la décrire, bien évidemment." "Mais jeune fille, nous avons souvent peur que vous nous dévoriez ! Quel homme n'a pas craint un jour pendant une pipe que sa femme y mette les dents ?". "Mais évidemment que la branlette est un anxiolytique ! Il serait d'ailleurs bien temps qu'on reconnaisse les vertus de la masturbation !"…

J'ai beaucoup appris.

J'ai particulièrement adoré cette conclusion, quelque peu adoucie dans le papier mais que je ne résiste pas à vous livrer dans le texte, de Bernard Elie Torgemen, psychanalyste de renom: "Les hommes doivent apprendre à ouvrir leur coeur. Et pour bien ouvrir son coeur, il faut savoir bien se servir de sa bite".

"Et vous écrivez bite, mademoiselle, ça ne me pose aucun problème".

A moi non plus, Bernard Elie, à moi non plus.

Voilà, la vie est facétieuse. Il y a quelques mois encore, je questionnais moultes présidents d'universités sur les implications de l'autonomie dans la gestion de leur établissement, ou me passionnais pour la recomposition du paysage universitaire parisien. Sujet qui continue d'ailleurs de m'intéresser. Mais d'un peu plus loin je dois bien l'avouer.

Non parce que la façon dont les hommes perçoivent notre anatomie la plus intime, c'est sacrément important aussi, non ? Et le fait est mesdames, qu'ils en sont dingues, de notre petite fleur. Mais alors crazy de chez crazy. Même qu'ils trouvent quasi unanimement qu'en plus d'être belle, elle est délicieuse. Au goût, je veux dire. Et pour beaucoup, plus ça sent, mieux c'est. Allez, ladies, on jette les gels douche intimes et on se fait bouffer la chatte en toute sérénité.

Edit: J'était tout de même assez soulagée d'avoir terminé cet article. Non parce que le churros, je ne le tenais plus. Trois fois par jour, il arrivait avec son air lubrique et me posait la même question: "C'est quand que tu m'interviewe ?". Il était même prêt à me laisser parler dans le micro. Hin hin hin (ter).

Edit2: Un grand merci à Gaëlle Marie (Zone Zero Gêne) et à un jeune homme qui se reconnaitra, qui m'ont accordé du temps pour ce papier et qui au final n'apparaissent pas dedans pour des raisons qui ne m'appartiennent pas (manque de place). Ce fut un vrai plaisir que de parler avec vous.

Je vous laisse avec quelques animaux bien montés de la ménagerie du jardin des plantes. C'était ça ou des photos de cul et comment dire…

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PS: Tous mes articles pour Psycho mag sont mis en ligne sur le site deux semaines environ après la sortie en kiosque. Ma page "auteur" est accessible ici

Les sensations alimentaires et les grands-parents dans Psychologies Magazine

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Je passe en coup de vent vous dire que dans le numéro d'avril de Psycho mag, il y a deux articles signés de ma blanche main. Le premier concerne les grands-parents d'aujourd'hui et est titré, de manière un poil provocante, "Egoïstes les nouveaux grands-parents ?". Le second se penche sur la façon dont on peut retrouver ses sensations alimentaires.

S'agissant de ce dernier, j'ai eu l'occasion de discuter avec une psy, Michèle Le Barzic et une nutritionniste, Catherine Kureta-Vanoli, dont les propos plein de sagesse sur l'alimentation m'ont énormément appris. C'est rassurant de constater qu'en la matière, il n'y a pas que des charlatans ou des médecins véreux attachés essentiellement à nous faire maigrir à grand coup de privations insurmontables. C'est, je crois, ce que je préfère dans ce métier, la possibilité qu'il me donne et ce quel que soit le sujet, d'échanger avec des personnes de qualité. Voilà, un grand merci aussi pour hier, vos témoignages et conseils étaient fort riches, même si je ne suis pas beaucoup plus avancée aujourd'hui. Plus ça va et plus je me dis que comme à mon habitude, je vais tellement trainer qu'au final on ira là où on nous aura dit de nous parquer !

Edit: Pour les articles de psycho, vous pourrez les lire sur le site d'ici une quinzaine de jours à partir de ma page auteur, au cas où vous ne souhaiteriez pas acheter le magazine. Vous pouvez aussi ne pas les lire du tout, je vous tiens au courant mais ne fais pas de proselytisme, certains d'entre vous me demandent ce type d'info, d'où ce billet auto-promotionnel…

Psychologies magazine, le maquillage et les pourquoi pas

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Lorsqu'on m'a proposé ce sujet, "Pourquoi se maquille-t-on ?", j'ai dans un premier temps cru à une blague. Comment moi, la cancre absolue en beauté, pourrais-je répondre à cette question, qui plus est intelligemment ? Sur quatre pages.

Angoissage.

Et puis je me suis rappelé que le journalisme ne consistait pas à écrire uniquement sur ce qu'on connait. Voire même que parfois, être très proche de son sujet c'est un peu parasitant.

Dans ce cas précis en tous cas, autant vous avouer que je partais vierge comme Marie. Et comme souvent lorsqu'on ne s'y attend pas, je suis allée de rencontres en rencontres. Une ancienne top model de chez Chanel reconvertie en psychanalyste, une maquilleuse indépendante parlant de ses illustres clients avec une tendresse émouvante ou encore une femme de 78 ans qui tous les jours sacrifie au même rituel beauté et qui continue depuis la mort de son mari, pour elle, parce qu'elle n'est pas elle sans son rouge aux lèvres.

Surtout, j'ai parlé avec cette esthéticienne qui travaille exclusivement auprès des femmes malades de cancer pour essayer de leur redonner un peu d'amour d'elles-mêmes. Je ne l'ai pas vue, nous avons juste échangé au téléphone. Un instant dont la brièveté ne m'a pas empêchée d'être extrèmement touchée. Elle s'excusait de ne pas trouver les mots pour m'expliquer à quel point ce qu'elle accomplissait allait pour elle bien au delà de l'esthétique. Pourtant, ses hésitations et ses silences traduisaient à elles-seules son immense respect pour ses patientes et la dimension spirituelle de ce maquillage réparateur. "Le geste compte plus que le résultat", m'a-t-elle confié dans un souffle.

En raccrochant, j'ai pensé que j'avais touché du doigt ce que pouvait être la bonté.

Et aujourd'hui, lorsque j'ai ouvert mon Psychologies Magazine (février) et que j'y ai vu mon article, je me suis souvenu de cette phrase d'une chanson de Vanessa Paradis, vue lundi soir en concert:

"Parfois on regarde les choses telles qu'elles sont en se demandant pourquoi. Parfois on les regarde telles qu'elles pourraient être en se disant pourquoi pas".

Tous les matins en ce moment, je réalise que j'ai entrouvert la porte de ce pourquoi pas. Et cette pensée fugace, qui n'exclut pas quelques suées dans la journée, me remplit d'un immense bonheur.

Edit: Les taches sur le papier sont les empreintes laissées par les miettes de mon croissant ce matin. On ne se refait pas.

Edit2: Pour celles qui voudraient le lire, j'imagine que l'article sera prochainement en ligne sur le site mais je ne l'ai pas trouvé pour l'instant.

Ma fille son poids et moi dans Psychologies magazine

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Comment rebondir aujourd'hui après vos mots d'hier ? Comment vous remercier sans tomber dans la démagogie facile ou la mièvrerie ? Je retiens de cette vague de commentaires l'impression d'un énorme calin collectif, un bain d'ondes positives dont je me souviendrai quand ce sera difficile. Parce que je sais que ça le sera parfois. Pour l'instant ça l'est une heure sur deux. Le reste du temps je suis sur un nuage, à deux doigts de me déguiser en poney en criant "au revoir patron".

Comme je n'ai pas pu répondre hier à vos questions ou remarques, je précise deux trois choses en vrac. J'ai en effet la chance immense d'avoir un churros compréhensif. A moins qu'il en ait tout simplement eu ras le bonbon de m'entendre lui exposer les pour et les contre de ma décision. Par ailleurs, nous avons les moyens de voir venir un peu les choses et au pire de vivre sur son seul salaire (modestement cela dit). Parce que non, je ne toucherai pas le chômage, ce qui me troue un peu le fondement. J'ai bossé quinze ans d'affilée, je crois que les cotisations je les ai bien versées. Et simplement parce que je démissionne, c'est peau de zib. Ça m'a toujours mise en rogne, cette règle. Parce que par définition, quand tu t'en vas d'un boulot, c'est parce que tu n'en peux plus, pour une raison ou une autre. Et que nombreux sont ceux qui s'arrangent pour maquiller ça en licenciement. Pourquoi serait-on plus légitime pour toucher des indemns quand on s'est fait virer (pour faute) que lorsqu'on décide de changer de voie ?

Quoi qu'il en soit, je ne vais pas refaire le monde et de toutes façons mon ambition n'est pas de toucher des allocs. Ça tombe bien, tu me diras.

Pas de rupture conventionnelle non plus, ce qui m'aurait permis d'être adoubée par pôle emploi, parce que ma boîte les refuse systématiquement, c'est comme ça et pas autrement. Dommage, j'aurais gagné quelques piécettes en prime. Mais l'argent n'est pas ce qui me motive dans la vie. Là aussi ça tombe assez bien, rapport que je viens de signer pour une grande incertitude à ce niveau là. Adieu Monoprix de l'avenue d'Italie, je t'aimais, tu sais.

J'aurais pu, j'imagine, tenter de négocier aprement, voire jouer le tout pour le tout et faire un abandon de poste. Mais il se trouve que j'aime mon boulot et la quasi (tout est dans le quasi) totalité des gens avec qui j'ai bossé. Et que si j'ai appris une chose en quinze ans de vie professionnelle, c'est qu'il ne faut jamais insulter l'avenir. Partir en bons termes est le meilleur conseil que je pourrais donner à ceux qui veulent mettre fin à un contrat. Le monde est petit, petit, si petit, qu'on s'aime ou non d'un si grand amour…

Dernière précision, je suis touchée et portée, même, par vos souhaits de voir un jour un roman de moi dans les librairies. Je le souhaite ardemment mais je n'ai pas pris cette décision dans cet unique but. Je n'ai pas confiance en moi autant que vous en moi et cette page là de ma vie je ne sais pas si elle s'écrira. En revanche, je vais essayer. Tout en travaillant pour des journaux, à la pige, qui me font rêver.

Le premier d'entre eux, celui par qui peut-être tout a commencé parce que sa rédactrice en chef m'a accordé le bien le plus précieux en ce bas monde, à savoir sa confiance, est Psychologies magazine, dont je sais que certains d'entre vous l'apprécient et le lisent. Quand je dis que tout a commencé par Psycho, c'est parce que suite à l'article qui était paru sur moi dans ce mag, j'ai contacté la rédactrice en chef et lui ai confié mon souhait d'écrire pour eux. Après avoir fait connaissance, j'ai très vite été chargée d'un premier papier. Sur un sujet pas trop éloigné de mes préoccupations: "Ma fille, son poids et moi".

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Je ne vous dis pas l'émotion quand j'ai ouvert le numéro de janvier dans lequel figure ce papier de cinq pages, orné de magnifiques photos de cette maman et sa fille, adorables et magnifiques femmes que j'ai eu le plaisir d'interviewer. C'est en écrivant cet article, en interrogeant les mères, les psys, les nutritionnistes, que j'ai été touchée par cette évidence: c'est ÇA que je veux faire. Attention, je n'ai pas dit que j'allais écrire tous les mois dans ce journal. J'adorerais, mais pour l'instant, je me considère en période de probation et chaque article est pour moi un défi à relever. Il y a des gens qu'on n'a pas envie de décevoir. Mais je suis vraiment, vraiment heureuse de pouvoir pour la première fois vous en dire un peu plus sur ce que je fais dans ma vie de tous les jours. Je voulais mettre de la cohérence, ne plus être "planquée" au boulot, "planquée" sur mon blog. D'autres collaborations excitantes sont en voie de se concrétiser, je vous en dirai plus quand ça sera fait.

Bref, tout ça pour dire que si le coeur vous en dit, achetez le numéro de janvier de Psychologies magazine, en plus c'est Valeria Bruni Tedeschi en couv et autant je n'adore pas sa soeur, autant elle, je la kiffe.

Promis, dès lundi ce blog reparlera de choses très profondes.

On dissertera sur la frange.