Ségolène et Laetitia

castaAujourd'hui c'est vendredi. Et en soi c'est une bonne nouvelle. C'est vendredi, donc, et, vous n'allez pas le croire, je n'ai pas grand chose à dire. Pas de coup de gueule, pas d'énervements. Bon, je dis pas d'énervements. Si, bien sûr, j'en ai des énervements. Mais pas de quoi en faire un fromage, encore moins un billet. Non mais je vous assure, j'aurais même des choses gentilles à dire. Sur un top model, même que. Enfin, parait que maintenant elle est actrice. En tous cas elle est à tomber, elle est en couverture du Marie-Claire de janvier et comme Monoprix en remerciement de ma grande fidélité – pour être plus explicite, disons que sans moi Monoprix se casse la gueule – m'a abonnée à Marie-Claire, j'ai lu son interview. Et bien laissez moi vous dire que Laetitia Casta, puisque c'est d'elle que je vous parle, est tout simplement divine. Et dit des choses intelligentes. Oh, pas de quoi en faire un fromage la non plus, mais voilà, elle nous épargne le coup de la beauté intérieure, voire le genre de formules type "ma beauté: ma souffrance, ma douleur", comme certaines de ses consoeurs. Elle dit même que bien sûr, être belle, ça aide drôlement. Mais on sent aussi que ça ne l'empêche pas d'avoir peur que son homme ne l'aime plus. On sent qu'elle court malgré tout après quelque chose. Et puis elle a de jolis mots pour décrire la passion qu'elle a des projecteurs. Elle dit qu'elle est comme les moustiques et qu'elle se jette dans la lumière et qu'elle sait que ça n'est pas normal.

 

Bref, au risque de brouiller mon imaaaaage – ça pète, ça, non, "brouiller mon image" ? – je suis tout à fait capable de trouver attachante une bombe comme Laetitia. D'autant que la miss, je l'ai vue un jour en vrai de vrai dans un petit restaurant de Saint Germain des prés et que croyez moi, monsieur Photoshop ne doit pas avoir grand chose à faire les jours où c'est elle dans le logiciel.

 

Voilà, donc, aujourd'hui c'est vendredi, et à part ça, rien d'autre à signaler. Ah, si, y'a quand même un tout petit truc qui m'énerve, même qu'on en parlait pas plus tard qu'hier avec ma copine Hélène du célébrissime Blog de fille. Juste une petite question, un léger agacement, quoi: pourquoi parle-t-on de Nicolas Sarkozy, de François Bayrou, de Jean-Marie Le Pen, et de… Ségolène ?

 

Désolée mais "Ségolène au Liban", ça fait "Martine à la plage". Et ça me défrise. Attention, je ne parle pas de la dame et ne comptez pas sur moi pour vous dire que je vais voter pour elle, même si bon, bien sûr, vous l'aurez compris, j'ai beau avoir un léger béguin pour Jacques, je suis de gauche.

 

Mais là ce n'est pas la question. D'où ? D'où on la traite ?

 

Les filles, va falloir qu'on bosse encore un peu, parce que croyez moi, c'est pas gagné gagné…

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