Mercredi, juste avant de partir pour Bordeaux, j'ai reçu un colis.
Un livre.
Pas n'importe lequel, non. Le premier ouvrage littéraire auquel je participe, rien de moins.
Je veux dire, bien sûr, il y a eu les Courges et mes petites plasanteries sur ce qu'on peut faire "en cachette" et de 90 façons différentes. Et loin d'en avoir honte, j'en suis au contraire très fière parce que bien que légers et sans prétention, ces bouquins sont le fruit de longues heures à pianoter sur mon canapé. Ils m'ont amusée, ils m'ont payé une jolie robe de mariée, ils m'ont fait rigoler et je trouve que c'est déjà pas si mal.
Mais là, "Paroles de femmes", je dois dire que c'est autre chose.
Déjà, parce que l'objet en tant que tel est magnifique. Un bel ouvrage, comme on dit. La couverture notamment, est une photographie signée Boubat, un artiste que je vénère depuis que j'ai vu une exposition sur lui à la merveilleuse Maison européenne de la photographie.
Et puis, et surtout, parce que dans ces paroles de femmes, il y en a une qui vient du fond de moi. Ce fameux texte qui m'a valu un article dans "Femme actuelle" cet été et une séance photo avec Mike Tyson, rappelez vous…
Ce texte est l'un des premiers que j'ai écrits pour ce blog. Lorsque bloguer n'avait pour moi comme seule finalité de coucher sur un papier virtuel les états d'âme d'une ronde en souffrance. Lorsqu'il n'était question ni de régie pub, ni de concurrence acharnée, ni de wondermachin, loréaltruc ou autres "cadeaux" empoisonnés.
Dire que je regrette cette période serait faux et surtout la preuve d'une sacrée mauvaise foi puisqu'après tout il ne tiendrait qu'à moi de refaire le chemin à l'envers. Je ne nie pas l'excitation de faire partie d'une aventure collective, la naissance d'un média génétiquement modifié. Je ne crache pas dans la soupe aux euros des pavés publicitaires.
Mais ce livre, lourd et débordant de témoignages de femmes de tous âges et de toutes conditions m'a rappelé l'essentiel: ce que j'aime, c'est écrire. Et lorsque cette écriture, avec toutes les insuffisances stylistiques et les maladresses qui la caractérisent, touche quelques âmes égarées sur ces pages, je SAIS que les heures passées à trouver le bon mot n'ont pas été vaines.
Oui, ce livre m'a remis en quelque sorte sur la bonne voie, celle du plaisir d'écrire, tout simplement. Et puis il m'a rendue fière. Fière d'être l'une de ces femmes qui parlent, fière que cette "sortie de l'eau" cotoie d'autres textes, poignants, émouvants, amusants.
Voilà. J'avais envie de partager ça avec vous, vous dire merci pour ce chemin que nous faisons ensemble. Merci d'avoir fait vivre mes mots, tout simplement.
Edit: Je ne suis pas sûre que ce soit nécessaire de le préciser mais comme je ne veux pas qu'il y ait un quelconque malentendu, la participation à ce livre ne m'a pas rapporté un centime et ne m'en rapportera aucun quel que soit le nombre d'exemplaires vendus. Et vous savez quoi ? ça n'en a que plus de valeur. Ce qui ne veut pas dire que gagner des sous soit pour moi sale ou dévalorisant, on est bien d'accord.
Il me tarde de rentrer en France et de lire ce bouquin. La couverture est déjà pleine d’élégance, subtile, un regard tourné vers l’autre ou vers quelque chose de lumineux et de captivant, donc forcément une ouverture au monde.
J’imagine combien cette aventure a pu être gratifiante et sa concrétisation (un livre) émouvante et encore plus concrète qu’un post éléctronique. Un livre, ça se touche, ça se respire, ça se regarde. Bravo!
je suis très fière de toi ! et je te comprends, le plaisir d’écrire est quelque chose qu’on a parfois tendance à perdre et je l’ai moi aussi, mais avec moins de talent, retrouvé en bloguant !
la couverture est sublime et donne envie de s’acheter le livre !
bon, tu passes quand à la télé, sur canal ou chez durand ??
Bravo, c’est un bel aboutissement. Quant au mélange entre légèreté et profondeur (légèreté profonde ?), c’est ce qui fait que j’aime te lire.
PS : ça va pas la tête d’être debout si tôt un samedi matin ?
bravo Caro. Ce bouquin va peut-etre effectivement te mettre le pied a l’etrier, comme on dit. De toute facon, il ne faut pas se leurrer, si tu as tant de lectrices (oups ! + qq lecteurs, I know !) ici c’est bien parce que ta facon d’ecrire pour raconter tes etats ames ou tes petites aventures, nous a complement seduits. Tu as un reel talent… alors fonce !!! Alors, c’est quoi le sujet de ton prochain bouquin ?
Aujourd’hui, je suis si contente pour toi que je vais t’embrasser !
Ya 80 rhumatologues qui m’attendent au Palais des Papes d’Avignon dans le cadre d’un congrès, non, je vais pas leur faire une conférence, je suis juste sur la logistique! Si mon homme de ma vie savait que je suis en train de te lire….
Merci de partager ainsi, j’adore la couverture et si le ramage se rapporte au plumage, j’en ferai volontiers l’hôte de ma bibliothèque!
Bisous
Oh Anne du Sud, aurais-tu des talents cachés toi aussi dans l’art de l’écriture, un brun poète, c’est joliement bien dit en tout cas.
Et cet ouvrage j’espère pouvoir le trouver aisément, rapidement, près de chez moi ce qui n’est pas toujours le cas.
Bonne journée à tous ; j ai tendance à marquer à toutes mais c’est vrai que tu as des fidèles lecteurs caro et c’est super d’ailleurs.
quand j’ai découvert ton blog il y’a bientôt un an , j’ai été totalement séduite par ta façon d’écrire et de raconter ces souffrances quotidiennes que je pensais être seule à subir.
c’est la première fois que je me reconnaissais dans des textes que j’aurai pu écrire moi-même si j’avais du talent ou plutôt du génie.
A quand le passage à la télé comme dirait Emmanuelle h ?
Il est important de retrouver l’essentiel et si pour toi c’est l’écriture alors ta participation à ce livre est vraiment un beau cadeau… continue comme ca, caro! Bon week end!
Je suis ravie Caro, car je crois profondément à ton écriture, je vois le travail qu’il y a derrière -particulièrement dans les dialogues, travail sur le choix des mots comme tu dis, mais aussi la structure, les enchaînemens etc,- et je suis persuadée qu tu as beaucoup de choses à écrire et chic, tu as la vie devant toi !
( ça m’ennuie car ça fait un peu préremptoire mes jugements -d’où quelle parle celle-là pour lui dire ça?- mais je voudrais vraiment te le dire en public: ne te disperse pas dans des choses dont tu sais à l’avance plus ou moins qu’elles n’en valent pas la peine ! Les enfants mangent beaucoup de temps, l’amour aussi, et sont indispensables. Alors quand on écrit comme toi, amour, enfants + écriture, ça remplt une vie, et je te jre que ça passe vite, alors écris, bellissima, écris, écris !)
Je comprends ton émotion, et tu sais quoi … ? Bravo d’accomplir tes rêves.
🙂
Bonjour Caroline, bonjour à toutes!
C’est un peu sur le tard que j’ai découvert ton blog, il y a environ 4 ou 5 mois.
Tes textes tour à tour m’émeuvent, me ravissent et me font rire.
C’est amusant de voir à quel point, tes textes ont évolué depuis le début (oui, j’ai rattrappé tout mon retard), toujours excellents mais plus gais, plus confiant. C’est dire je pense à quel point ce blog a du te faire du bien et surtout à quel point, tu as raison de ne rien renier.
Merci pour tout ce que tu nous donnes. Je t’admire énormément.
Félicitations Caro, j’ai lu la nouvelle hier soir chez Corinne, vous pouvez être fières les filles, car les textes qui ont été choisis sont vraiment beaux et touchants. J’ai très envie de le lire en entier, ce bouquin (la couverture est sublime).
Bonjour Caro,
Je ne sais plus depuis quand je lis régulièrement ton blog, mais l’article la sortie de l’eau m’avait échappé. Et encore une fois, je m’y reconnais… Il faut que je me concentre sur ta conclusion !
La couverture du libre est très belle. Je vais allez y jeter un oeil dès que possible, et peut-être même le mettre sur ma liste au Père Noël (ben oui, mine de rien les semaines passent… eh eh…) Et peut-être même que ça me fera des idées cadeaux pour mon entourage ?
Bonne continuation à toi Caro, je te souhaite encore plein de succès et de bonheur 🙂
Ahhhh ! Le voilà donc ce fameux bouquin… la couverture est magnifique, et je suis certaine que le contenu l’est tout autant.
Dire que tu mérites d’avoir la parole au nom des femmes est d’une telle évidence… merci à toi Caro, pour le chemin si enrichissant, drôle et authentique sur lequel tu nous entraînes. Fierté incommensurable d’être ton amie !!!
Je t’embrasse ma belle.
ça n’a rien à voir avec la note mais plutôt avec ton blog it, peut être l’as tu vu, mais hier soir sur Arte il y avait un reportage sur Courbet et je suis restée scotchée à l’écran par la beauté et le réalisme de ses toiles, t’as vu comme il peint les seins ? c’était passionant.
Je dois monter à Paris dans quelques semaines je crois que je vais me précipiter.
Pour le bouquin, vraiment….félicitations ! Toi aussi tu peux mettre des heures à trouver le bon mot ? ouf, cela me rassure…c’est merveilleux l’écriture, je n’imaginai même pas à quel point. Alors encore bravo et bon week end Caro.
Quel chemin! De la ronde en souffrance à la femme épanouie… que d’aventures de joies de souffrances d’amitié de découvertes entre les 2 aussi non?
Félicitation pour le sortie de ce livre. Il rencontrera certainement le succès qui lui est du. je pense l’acheter en ce qui me concerne.
Merci pour ce blog, pour ton écriture, tes coups d egueule et ta sincérité. Mon petit plaisir en arrivant au boulot le matin, et avnat le café, c’est de te lire… et souvent: sourire.
Et rien que pour ça: merci.
Caro, que te dire sinon que je suis de plus en plus profondément impressionnée par ton écriture et super heureuse qu’elle soit reconnue par la publication dans un livre qui a l’air si beau.
Bravo à toi et poursuis ta route d’écriture qui nous apporte tant d’émotions , du rire jusqu’aux larmes.
Merci à tout le monde pour ces gentilles paroles. Je précise pour ceux et celles qui voudraient acheter l’ouvrage qu’il existe en deux versions. La première, de luxe, avec des photos de chaque auteur et la seconde, en format poche sans images. Il va sans dire que la première version est beaucoup plus chère que l’autre…
Quel beau livre! Et combien tu as raison d’être fière de ta parole mêlée à toutes les autres.
Et combien nous sommes fiers de toi et pour toi. Ce rayon de soleil arrive au bon moment, ce matin. Surtout, continue à écrire, Caro.
Félicitations pour ta participation dans ce bel ouvrage!!
Je regarderai la prochaine fois que je vais à la fnac! mais la version avec photos fait très envie, et c’est bientôt Noël!!
Bon week-end!!
C’est tr§s émotionnifiant ! Bravo, simplement.
félicitations en tous cas, et quel beau titre que paroles de femmes, ce n’est que de bonne augure pour ce qu’il va s’en suivre…. et bravo également pour le chemin parcouru…
bisous la belle
Sarah
J’aime beaucoup Boubat aussi, c’est la collection éditée par Radio France?
bravo caro… c’est magnifique de retrouver tes textes dans une si jolie collection… les précédents (paroles d’étoiles et paroles de poilus) sont des merveilles. que tu y ais ta place est une évidence, pour nous qui te lisons tous les jours… mais cette fois c’est vraiment une consécration: tout le monde le saura!
Génial ! C’est vrai que la couverture du livre donne déjà l’impression que c’est un livre d’art, comme j’aime les appeler (et d’ailleurs, l’écriture est un art, donc ce n’est pas abusif ;-)). Je ne sais pas trop quoi dire, sinon que j’ai l’impression, en lisant ce billet, que tu es arrivée à un certain aboutissement, ou plutôt à un pallier intéressant (parce que cela ne signifie pas non plus que tu en as fini avec l’écriture), à une diversité plaisante, alliant légèreté néanmoins travaillée et construite (je comprends, ô combien), et plus sérieux, poignant, intime (enfin, si on veut, t’as quand même écrit des trucs intimes avec tes bouquins Hachette, mais là je parlerais plutôt d’un autre intime, ou d’une autre forme – oui bon d’accord, on en comprend rien à ce que je raconte ! :-p)
Breffff ! Tout simplement, merci pour ces bons moments, et félicitations aussi, pour réussir ces délicieuses percées. Vu qu’on est un peu dans le sujet, j’en profite aussi pour te dire que j’ai apprécie ton bouquin sur la libido (et que j’en ai même lu des extraits à mon copain :-p), que la bonne mère indigne ne va pas tarder à figurer parmi mes lectures, et que je le prêterai à ma mère, car à mon avis ça la déculpabilisera et c’est tout à fait ce qu’il lui faut (j’en suis sûre, depuis que je lui ai prêté le bébé et sa mère de Winnicott, certes légèrement plus psy, et pour cause … mais en fin de compte les effets doivent être relativement similaires ! ;-))
PS : Ah oui, dans Libido en berne …, tu parles de la tante Odile morte du tabac ! J’avoue que j’ai été surprise de trouver mon prénom associé à une telle affaire (je dis pas que c’est moi hein, j’ai crû comprendre que je n’étais pas la seule au monde à porter ce fameux ;-)) car habituellement on a plutôt droit à Tante Marie, ou Tante Gertrude / Guenièvre etc …, mais finalement pourquoi pas, et d’ailleurs ce qui m’a amusée et faussement offusquée, en pensant à moi, c’est que la tante en question soit morte par le tabac, alors que je déteste la clope, y suis farouchement opposée, et risque donc assez peu de crever ainsi … À moins qu’elle soit morte du tabagisme passif, auquel cas cela me concerne finalement énormément (non que j’espère que ça m’arrive, évidemment, mais je suis très alerte vis-à-vis de ce problème ;-)) – Bon tout ceci n’est pas un réquisitoire contre les fumeurs hein, rappelle-toi, c’était juste en référence à un extrait de ton bouquin 😉
Je n’ai plus qu’à me ruer dans une librairie le week-end prochain pour que ce trésor soit mien. Je suis allée relire ton texte sortie de l’eau, qui m’avait tellement parlé à l’époque. Je m’y suis encore une fois retrouvée à 300%.
Des bisous Caro, et un très bon week-end !
Bienvenue dans la cour des grandes 😉 J’espère que tu y restera longtemps et que tu pourra t’y faire une belle place.
Je crois que le principal et de prendre plaisir à ce que tu fais et que tu puisses te regarder dans une glace…
Tant que c’est le cas vas y fonce, fais nous rire, pleurer, réfléchir, pester etc… C’est un plaisir pour nous aussi 😉 Et si en plus ça eut t’apporter un certain confort financier ne craches pas dans la soupe, c’est toujorus bienvenu…
J’aime beaucoup Boubat aussi comme photographe… Connais tu Salgado ? Il y avait une expo parisienne il n’y a pas très longtemps, peut être as tu pu la voir… Ses photos me tirent les larmes tant elles sont belles et désespérées…
Au fait t’a acheté ton Elle aujourd’hui ? On aura un grand cri bientôt ? 😉
Je ne sais pas si je vais attendre Noël pour me l’offrir, entre l’idée, le titre et la photo de Boubat, ça fait envie! Le plus terrible quand je veux vraiment un livre, c’est que j’en arrive à oublier que mon budget est un tantinet restreint, c’est comme certaines avec les fringues ! En même temps, je peux acheter moins de chocolats pour les fêtes, et par là même préserver la santé et la ligne de mon entourage (même si ma soeur chérie est une brindille)
A part ça, tu as plus que raison d’être fière Caro, c’est un bonheur de te lire ( je viens d’aller faire un tour dans tes archives, certains de tes articles m’ont émus aux larmes, et le minute par minute concernant la piscine m’a provoqué un bon fou rire, de ceux qui valent un steack mais sans les calories…); alors merci à toi, Caro ronde et généreuse!
c’est la première fois que je commente sur un blog, et je ne tiens pas à réagir à cet article en particulier. ça fait quelques temps que je te lis, et que je lis d’autres blogs de filles, mais là, j’avais juste envie de te dire que c’est avec le tien que je commence ma journée, parfois à la maison, parfois au travail, et que ce sont tes articles que je préfère entre tous. au delà du fait que tu me fais pisser de rire, je te trouve touchante, sincère, et depuis que je t’ai vue sur la vidéo du vernissage Pantène, réellement charmante. surtout continue…Biz
Plaisir d’écrire, plaisir de dire, plaisir d’offrir, plaisir de grandir.
Plaisir de te lire, plaisir de sourire, plaisir de s’ouvrir, plaisir de revenir…
Merci Caro! ça fait toujours du bien de te lire! Tes textes ne m’ont jamais laissée indifférente. On ressent ton plaisir d’écrire. Tu fais partie de mon p’tit dej :-)).
qu’ajouter hein qui n’aurait déjà été dit ?
bravo
bien sur je crois que je vais tarder très vite sur le livre, et version grand format pour voir les photos bien sur
cette collection est émouvante, j’ai lu mémoires de poilus, ou mémoires de maitres aussi…
tout comme beaucoup, je crois en toi et en ton talent d’écriture, donc je ne suis pas surprise seulement heureuse pour toi qu’il soit reconnu à sa juste valeur
ahh ba y’a plus qu’a l’acheter zalors .. vive la fnac via le net lol
moi les courges m’ont bien fait rire aussi et mm déculpabiliser mm que
Mérité !
Merci merci merci… Je ne veux pas trop faire genre violons et cie, mais vous m’avez émue aux larmes quand je suis rentrée tout à l’heure d’un maraton dans les grands magasins. ça faisait des lustres que je n’y avais pas mis les pieds, je sais pourquoi en fait. Bref, tous ces petits mots, c’est du miel, vraiment.
Je suis ravie pour toi bien sûr, et encore plus que tu nous fasses partager ta fierté. Très émue aussi par le commentaire de Mouna qui passe discrètement te/nous rendre visite.
Quel chemin parcouru en quelques mois de blog, ce phénomène bizarre qui, de l’extérieur ou de l’intérieur, auteur ou simple lecteur, ne laisse rien ni personne indemne, qu’on y laisse des plumes ou au contraire que s’y créent de si belles relations…qu’une parfaite inconnue, une madame tout le monde atypique soit propulsée top modèle, reine du blog, auteure célèbre, que sais-je encore, quelles surprises nous réserves-tu ???
Tout passe mais rien ne lasse. Continue sur ta lancée Caroline (j’ai un peu l’impression de me répéter, mais je n’ai rien d’autre à te dire!) Ah si! Bisou doux d’Amika…
Et bien c’est du joli!! Tu peux être fière!!!;-))
Bravo Caro, mais avec la plume que nous te connaissons, il est évident que tout cela ne fait que commencer!! Et tu sais quoi? Ça me fait chaud au coeur pour toi!!! Et bon dimanche!
bisou doux aussi amika !
zézé, merci, tout simplement…
tu dis je cite:je veux dire, bien sûr, il y a eu les Courges et mes petites plasanteries sur ce qu’on peut faire en cachette et de 90 façons différentes. …..Ils m’ont amusée, ils m’ont payé une jolie robe de mariée, ils m’ont fait rigoler et je trouve que c’est déjà pas si mal. puis Lorsque bloguer n’avait pour moi comme seule finalité de coucher sur un papier virtuel les états d’âme d’une ronde en souffrance. Lorsqu’il n’était question ni de régie pub, ni de concurrence acharnée, ni de wondermachin, loréaltruc ou autres cadeaux empoisonnés.
il faut que tu te souviennes que si tu as pu ecrire les petits courges et autres, c’est parce que en amont il y a eu une rencontre avec quelqu’un qui t’a presenté pour cette collection Courge, si ton blog a une regie pub egalement.
et il ne faut pas que tu l’oublies!!!
cela ne met pas en cause ce livre qui a l’air tout a fait charmant et bien ecrit au contraire!
mais je pense que tu avais plus d’authenticité lors de ces premiers ecrits où comme tu le dis toi meme tu ecrivais juste pour coucher sur papier ton ressenti. il me plait a les relire de temps à autres!
Coucou tout le monde, je n’avais pas pu passer sur ton blog hier caro alors je me rattrape ce matin et preum’s peut-être?
Dans tous les cas, ton billet et les billets qui lui sont liés m’ont tous très émue. A la fois en ce qui concerne les complexes de la ronde et le fait de tenir entre ses mains un ouvrage auquel on a participé. Les deux éveillent des émotions très fortes.
Et je pense que cet ouvrage c’est comme un petit pansement sur tous les petits moments où tu as pu être si mal à l’aise, même si comme tu le précises si bien, en général, nous sommes les seules à focaliser sur l’objet de nos complexes!!!
Héhé, je t’avais répondu et puis finalement je me suis dit que c’était te faire trop d’honneur. C’est surtout alimenter une névrose manifestement déjà bien nourrie.
Mariposa, merci beaucoup !
😉 Caro j’ai eu le temps de lire tout avant que tu efface 😉
C’est à la fois amusant et triste de voir qu’une chose qui devrait etre un moment de détente puisse devenir pour certain(e)s un moyen de laisse libre court à certains bas penchants…
Je peux comprendre que tout n’est pas rose, on n’est pas chez les bisounours, mais ces choses se sont réglées entre adultes, les autres n’ont rien à y voir 😉
Pis en plus je trouve que l’autre blog ronronne il n’y a plus trop d’humour ou d’envolées lyriques 😉 Bref il ne me corresponds plus comme au début où j’allais le lire 😉
De toute façon cette histoire est la votre, une amitié qui se termine c’est triste mais les autres n’y peuvent pas grand chose, si ce n’est envenimer les choses 😉
Comme pour les ruptures amoureuses il vaut mieux rester en dehors, on n’a jamais tous les éléments en main pour juger impatialement, on ne peut qu’être présent pour celui ou celle pour qui ça devient trop difficile.
Alors contiue ton chemin sans t’arréter à ces stupidités, par contre si ça devenais récurrent et envahissant on comprendra une mise au point claire et nette 😉
j’aurais bien aimé avoir ta reponse, je ne pense pas que mon commentaire est méchant mais si tel est le cas je m’en excuse, on peut en discuter via mail ce sera mieux, et celui ci tu peux l’effacer si tu veux!
Je pense au contraire que ce commentaire était malveillant mais je pense que mon mail t’aura éclairé(e).
Altaïr merci de ta délicatesse…
J’ai un vrai problème: j’aime ton blog, ce que tu écris, ce que tu veux bien nous dire de toi et de ta vie, ta façon d’aborder un certain nombre de question…
Alors où est le problème ? dans l’espèce de malveillance que certain(e)s entretiennent à ton égard.
Enfin quoi! Si ça ne leur plait pas, si ton écriture leur déclenche de l’urticaire, qu’ils(elles) aillent voir ailleurs si tu y es, et nous avec par la même occasion.
Ces personnes sont donc tellement inquiètes pour ton tour de tête ou tes chevilles? Je crois surtout qu’il s’agit de jalousie mal placée.
Conclusion: continue sur ta lancée, et secoue la poussière de tes sandales.
Encore un grand merci pour tous ces textes qui nous ressemblent et que nous ne savons pas écrire car nous n’avons pas ton talent.
On nous reprochera de vivre ces événements par procuration? et alors, c’est notre problème 🙂
Mamine, j’adore cette expression, secouer la poussière de ses sandales. Je vais me la mettre de côté. Tu sais, peu m’importe finalement que certains soient malveillants. Je crois avoir compris qui était héhé et m’est avis qu’il s’agit surtout de quelqu’un de bien malheureux. Je ne suis pas parfaite, loin de là et je ne demande pas à ce qu’on m’encense. Je veux bien également entendre que ce que je faisais avant était mieux, que ceci, que cela, après tout, les critiques font avancer, n’est-ce pas ? Au début, quand tu blogues, tu ne retiens bêtement que les commentaires comme celui ci. Et puis tu te rends compte que tu ne peux pas prendre la décision de t’exposer tout en refusant d’être mise en cause. Alors tu te blindes. Et tu fais ton miel des douceurs distillées en même temps par de belles âmes comme la tienne. Et quand tu fermes ton ordinateur, tu ne te rappelles que ça. Alors merci d’être de ces fidèles que j’imagine derrière mon écran lorsque j’écris. Parce que oui, parfois, quand je doute d’un texte, d’un mot ou autre, je me demande qu’est-ce qu’en penserait Mamine, ou Fyfe, ou Altaïr, ou Venise, ou Véro, ou Pomme, ou Julie, ou Zézé, ou Mariposa, ou Coco, ou Anaïk, ou ClaireMM, ou Marie-Hélène, ou Denis, ou Imane, ou Londoncam, ou Zaza, ou Mamzelle Maupin, ou, ou, ou… Je ne peux pas vous citer tous et toutes, mais vous aurez compris, n’est ce pas ?
Alors laissons de côté le reste…
Bravo pour cette publication, bien meritee a mon sens!
Je suis aussi une admiratrice de Boubat, et j’ai eu la chance de bien le connaitre car c’etait un ami de mes parents – je voulais juste dire qu’en plus d’etre un photographe exceptionnel c’etait aussi un homme merveilleux et drole – ce qui se ressent aussi dans ses photos.
Quelle chance Sarah, d’avoir connu cet homme… Il avait une façon de photographier les femmes qui en disait long sur l’homme qu’il devait être, je trouve…
Cette expression qui te plait est tout simplement tirée de l’Evangile…Jésus recommande à ses disciples de secouer la poussière de leurs pieds en quittant les villes qui ne les ont pas accueillis.
D’après de savants exégètes, secouer la poussière est un geste de rupture. Il signifie que l’envoyé ne doit plus rien aux personnes visées, pas même la poussière de leur ville qui aurait pu rester attachée à ses chaussures….
Personne n’est obligé de suivre ou d’adhérer. C’est ce que l’on appelle la grande liberté des enfants de Dieu!
sans vouloir qu’on t’encense, tu as le droit de ne pas vouloir être la cible de malveillance, ou de rumeurs, ou de quoi que ce soit du même acabit.
je vais jouer ma vieille 🙂 mais effectivement ça fait longtemps que je suis sur le net, et j’en ai vécu des choses, et je sais à quel point parfois on peut être blessée.
je crois qu’en fait c’est ce qui me retient de faire mon propre blog, cette peur de trop m’exposer et de mal encaisser. Parce que je ne crois en rien que tu te sois blindée caro 🙂 différents articles nous ont montré ta sensibilité et ton absence d’armure. Oui bien sûr, au fur et à mesure, tu as du savoir te montrer de moins en moins vulnérable, mais quant à se blinder j’y crois pas une seconde 🙂
je veux juste ajouter merci pour tout, pour tes mots quotidiens…
Tout à fait d’accord avec cette expression de secouer la poussière de ses sandales. En même temps, je suis toujours mal à l’aise quand je sens une atmosphère un peu tendue.
Alors pour changer de sujet, comment t’es rentrée chez toi avec toutes ces grèves Caro ? ;-D
Et puis, tu ne nous as pas dit où on pouvait le trouver ce beau livre ?
Bravo encore et profitez bien toutes de la fin du week-end.
Mariposa, il est chez Amazone par exemple, mais je suppose qu’on peut le trouver dans toutes les bonnes librairies!
En librio, il fait 2 €, une paille!
Pour celui avec les belles photos, je suppose qu’on le trouve partout aussi!
bisou doux d’Amika
merci Amika!
Vous êtes des anges… Venise, tu sembles bien me connaitre… 😉