Mois : novembre 2007

Urgent – Deux places pour Vanessa Paradis

Bon, vous allez finir par penser que c'est devenu la braderie ici mais voilà, ma copine Zaz avait pris des places pour Vanessa Paradis au Zénith de Paris le 15 novembre. Et pof, elle peut pas y aller. C'est ballot hein ? Du coup, elle m'a demandé si à mon avis, ça pourrait intéresser quelqu'un qui passerait par ici. Alors moi j'y ai dit, "ben chais pô mais on peut essayer, hein !"

 

Ce sont des places assez chères, 47 euros l'une, parce qu'assises.

 

Pour avoir  récemment vu Vanessa (ouais, depuis que je connais ses enfants et que j'ai failli avoir une nuit torride avec Jack, je l'appelle Vanessa) , je serais du style à vous dire que si vous êtes tentés, faut foncer. En même temps, je comprendrais qu'à cause de l'argent, bref.

 

Voilà, si ça vous branche, contactez moi par mail (indiqué derrière la rubrique "me contacter") et je vous mettrai en relation avec ma copine Zaz.

La mode de l’énorme

Allez, moi je dis que ça fait un bail que je n'ai pas hurlé dans le poste. Non mais c'est vrai, mon grand cri, c'est comme s'il avait disparu non ? Limite je m'interroge sur ma capacité de révolte qui se serait fait la malle.

 

Du coup, j'ai épluché le Elle cette semaine, en me disant que si je ne trouvais rien à redire à tout ce qui était écrit à l'intérieur, c'en était fait de moi, voilà, j'étais passé du côté de la force obscure.

 

Bon ben je te rassure, j'ai finalement déniché une petite perle.

 

 

Dans un article consacré aux gros qui sont fashion.

 

Je sais, ça faisait bien trois semaines qu'on nous avait pas montré le petit cul de Scarlett Johanson en nous expliquant que les grosses sont meilleures au lit. Mais t'emballe pas tout de suite, faut bien que j'avoue que cette fois-ci, les personnes enveloppées dont la journaliste nous parle sont vraiment des "big size" comme ils disent.

 

Marianne James, Chabal ou Mouloud, l'animateur de Canal, genre. Donc pour une fois, l'hypocrisie n'est pas trop au rendez-vous. Mais y'a quand même eu matière à me faire monter sur mes grands canassons.

 

Parce que pour nous expliquer que cette fois-ci, a y'est, les gros sont pile dans la tendance, on nous donne aussi l'exemple de la chanteuse anglaise obèse, Beth Ditto, qui fait un carton partout et notamment en posant à poil  à la une des magazines sans le moindre scrupule. Grand bien lui en fasse d'ailleurs parce que wouah elle décoiffe la nana.

 

Mais ce qui m'a légèrement chauffée, c'est que pour prouver à quel point c'est du délire la hipness qu'elle dégage, on nous explique que, unbelieveable, autrement dit, incroyabeule, Kate Moss "en personne" ose s'afficher avec elle dans une boîte à la mode! Dingue. Dis moi pas que c'est pas vrai.

 

Genre Kate, elle aurait même pas peur que ça déglingue son image tu vois ? Et que peut-être même elle aurait compris que ça n'est pas contagieux !

 

Bon moi je trouve ça super hein, que Kate elle fasse copain copine avec la fat-girl. M'enfin de là à m'esbaudir et à crier victoire parce que la brindille enfarinée ose adresser la parole à une fille qui a les cuisses qui se touchent, non. Parce que s'étonner que Beth ait accès aux discothèques trendy de London et que des gens bien sous tout rapport – sous entendu minces – acceptent même d'être pris en photo avec elle, c'est reconnaître implicitement le côté exceptionnel de la chose.

 

A ce stade du billet, je me dois d'admettre que peut-être, éventuellement je ne suis pas totalement objective dans ma colère. Que peut-être on peut y déceler les restes de la douleur éprouvée lorsqu'adolescente un malabar au QI de Greg le millionnaire m'a expliqué que "tes copines, elles rentrent, d'accord, mais toi, non".

 

Oui mais non. Parce que figure-toi que j'ai beaucoup travaillé sur cet épisode douloureux. Aujourd'hui je lui pisse à la raie à ce salopard de videur.

 

Ok, c'est encore un peu sensible. En même temps il y a encore deux ans même pas j'osais passer devant une boiteudenuit.

 

Bref, moi je crois que si Beth Ditto est appréciée par Kate et ses cop's, c'est surtout parce qu'elle a du talent. Et en effet on peut se réjouir que ce talent lui soit reconnu malgré un physique hors-norme. Espérons juste que pour une Beth il n'y aura plus des dizaines de shirley, natasha ou caroline – prénom choisi complètement au hasard, je te rappelle que j'ai fait un gros travail sur moi même – refoulées à l'entrée des endroits branchés pour défaut de glamour ou surplus de lipides. Espérons que ces deux trois people en vogue ne soient pas l'arbre qui cachent la forêt et que la mode de l'énorme ne soit pas aussi factice et éphémère que celle du lino ou des caleçons déguisés en leggings.

 

Pour finir, moi personnellement, je ne suis pas pour la glorification subite des très gros. D'abord parce qu'il faut ne jamais avoir souffert de surpoids pour imaginer que c'est cool de peser 100 kilos. Ensuite parce que ce n'est finalement qu'une stigmatisation de plus. Ces gens avant d'être gros ils sont des être humains. Un peu comme moi avant d'être blonde je suis femme, tu vois ? Même si je te l'accorde, mon blond il tue.

 

Plus sérieusement, je rêve d'une société qui ne pousse plus les gens à se gaver d'un côté tout en les effrayant de l'autre sur les conséquences des kilos pris. Je rêve d'un magazine où il ne serait plus qestion une semaine d'acclamer les rondeurs et l'autre de prescrire des régimes intenables et dangeureux.

 

Mais bon, je ne suis pas Martin Luther King et même lui d'ailleurs son rêve, on ne peut pas vraiment prétendre qu'il soit devenu réalité.

 

Alors je vais me contenter de pousser mon cri, sans vraiment savoir contre qui ou quoi d'ailleurs. Juste tenter de ne pas me laisser endormir par deux trois fausses idoles qu'on veut m'imposer et qui demain seront ringardes comme les bottines ou le gris, le fameux noir de cet hiver qui l'année prochaine redeviendra fatalement et banalement…gris.

 

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH.

 

 

Anniversaire(s)

Pour la première fois depuis quinze ans il n'y a pas deux anniversaires à fêter aujourd'hui. Et je sais que nous sommes nombreux, ce matin, à avoir cette pensée.

 

Nombreux à rêver de pouvoir faire le chemin en arrière, récrire le film.

 

Surtout ne pas t'en vouloir. Respecter, accepter, tenter de comprendre. Prendre ceux qui restent dans nos bras.

 

Je pense à l'Igéenne, je pense à ce petit de toi. Je pense à vous tous, de Lyon à Marseille, de Paris à Copenhague.

 

 G, je suis tout près de toi aujourd'hui.

 

Edit: Je vous demande pardon pour ce message un peu codé. Ceux qui me suivent depuis longtemps comprendront que ce mois de novembre est endeuillé. Je ne cherche pas la compassion, je veux juste assurer ceux qui partagent cette douleur que je pense à eux.

Spellman et associés

Ce n'est pas parce que je fais une fixette sur mon lino ou mes chaussures que je suis une truffe, faudrait pas croire. Alors rien que pour toi, voici une petite critique de livre. Histoire de relever le niveau, quoi.

 

Et pour l'occasion, j'ai envie de te parler d'un drôle de bouquin. "Spellman et associés" de Liza Lutz.

 

Il a l'allure de la chicklit, la couleur de la chicklit, mais ça n'en est pas. De la chicklit (littéralement "littérature pour poules", à savoir "livre pour fille" dans la lignée des Bridget et consort, sauf que franchement, Bridget, c'était limite du Flaubert comparé aux pales copies qui ont pullulé ensuite)

 

 

Bon, je t'arrête de suite, ce n'est pas du niveau des Frères Karamazov non plus, je ne voudrais pas t'induire en mistake.

 

Mais "Spellman et associés", c'est tout sauf un roman un peu sirupeux où tout se termine bien et pendant lequel l'héroïne finit par se rendre compte qu'elle n'est pas amoureuse de Dirk, bellatre branché et dragueur compulsif qui ne l'a jamais regardée mais bel et bien de John, son voisin depuis toujours qu'elle n'avait justement jamais regardée avant qu'il ne la récupère en larmes au Starbuck Café après une ultime humiliation de Dirk.

 

Non, ce n'est pas ça du tout. "Spellman et associés", c'est un roman policier avec comme personnage principal la déjantée Izzie, descendante d'une lignée de détectives tous aussi frappés du bulbe les uns que les autres. C'est un roman policier dans lequel finalement il n'y a pas vraiment d'intrigue. En revanche, les dialogues font mouche, les relations humaines, qu'elles se tissent entre soeurs, frères, ou père et mère sont dépeintes avec un humour ravageur et à la fin, on se surprend à être touché et émotionné comme si on venait de terminer un bon vieux roman d'amour ou un épisode de Greys Anatomy. C'est bien écrit, c'est innovant dans la forme, c'est un petit ovni et je ne l'ai pas laché du début à la fin.

 

Le petit plus ? Tout se passe à San Fransisco et on s'y croirait. Ah et aussi, Lizzie Spellman est un personnage féministe et moi, j'aime ça.

The lino

En attendant un billet plus conséquent dans les heures qui viennent, voici le tant attendu Lino. Alle-y, déchainez-vous, il est laid très laid, je le sais. N'hésitez pas non plus à vous lacher sur la Birkenstock, j'avais pris cette photo pour un autre post je pense, probablement une ode à la Birk, chaussure confort s'il en est.

 

Je sais, confort et féminité, ça fait deux. Ou trois. Ou douze. En plus, le deuxième effet kiss cool de la Birk, ainsi que j'ai pu m'en rendre compte cet été, c'est que si tu la portes régulièrement – tous les jours du 1er juin au 15 septembre par exemple comme quelqu'un que je connais intimement pour pas dire plus - et bien tu as de la corne aux pieds après. En plus de trainer la godasse et d'avoir l'air de pas grand chose. Par contre t'es à l'aise.

 

 

En vrac et pas dans l’ordre

Aujourd'hui, c'est un billet décousu parce que voilà, parfois, on est décousu. C'est un truc qui ne t'arrive jamais à toi ? Bon alors, tu vois. Allez, en vrac et pas dans l'ordre:

 

J'ai découvert dans le Elle de la semaine dernière que le lino de mon salon que je considérais jusqu'alors comme la chose la plus laide qu'il m'ait été donné de voir est en réalité le nouveau parquet des femmes du monde. Moi je dis merci la mairie de Paris – oui, mon appart est un logement de la Ville de Paris que même pas j'ai grenouillé pour l'avoir mais que j'avoue quand même sur ce coup là on a été les rois du pétrole  d'autant qu'on ne connait ni Tibéri ni Delanoë - d'avoir RECOUVERT consciencieusement le parquet d'origine de mon living de cette moquette en plastique grise avec des nuages gris aussi dessus. Oui, MERCI parce que sans toi, mairie de Paris, j'avoue je n'aurais jamais été before the tendance of the lino. Tu sais le plus drôle ? Je suis tellement perméable à ces conneries que depuis cet article du Elle je le regarde autrement, ce crétin de lino. Alors que je ne te cache pas qu'au départ j'ai tout de même été légèrement agacée que pour des raisons administratives – la mairie de Paris n'assure pas le parquet – on nous colle du lino "nuages" partout.

 

Il n'y a rien de tel qu'un week-end à l'hôtel pour mettre un coup de booster à ta libido. Je le savais, j'en ai même fait un chapître de mon bouquin – meuh non ce n'est pas de la pub, puisque que je te dis que je ne touche pas un kopeck sur les ventes rapport qu'il faudrait en écouler 30 000 avant qu'on commence à parler de droits d'auteurs – et j'ai eu le plaisir de constater le week-end dernier que j'étais dans le vrai. Et outre le fait qu'un bon coup de sabre laser ça fait toujours du bien par où ça passe, je suis soulagée de ne pas avoir donné de conseils foireux.

 

Quand on passe trois jours à se goinfrer de choses que la morale réprouve – du genre cacahuètes caramélisées, appelées par les uns "chichis", les autres "chouchoux" ou encore "pralines" – à des heures même pas ouvrables mais qu'on le fait en toute bonne foi sans une once de culpabilité, on ne grossit pas. Je sais, c'est fou. Je suis à deux doigts d'appeler Zermati pour lui en toucher un mot.

 

Un café pointu en Normandie c'est un café avec un calvados à côté. Egalement appelé "Obus", en raison de la forme du verre qui rappelle en effet un petit obus. Peut-être ça a quelque chose à voir aussi avec les plages du débarquement. Je ne sais pas, je m'en fous, juste quand même deux pointus ça laisse des traces. Du genre traces de bave sur la joue après deux heures à cuver les pointus sur la plage.

 

Si tu vas à Trouville y'a UN endroit où tu dois manger tes moules du Bouchot: Les Vapeurs. En gros, les Vapeurs, c'est exactement l'inverse du mini palais, tu vois ? Et les garçons de café, ils ont l'élégance de te courtiser un peu, juste assez pour émoustiller ton amoureux. En plus ils te refilent des pointus à l'oeil pendant que l'homme il en est à son 55ème bigorneau et que toi tes moules tu les as finies depuis deux heures.

 

A Deauville si tu t'ennuies tu peux toujours compter les people. En deux jours: Dany Boon, Hélène de Fougerolles, David Abiker, Benoit Duquennes (journaliste de France 2) et le patron de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly. Beh oui, la force ouvrière, elle pète dans la soie à Deauville le dimanche, qu'est-ce que tu veux… Et je ne parle pas de Daphné qui était sûrement en train de se mettre en danger rapport à son image dans son grand pull Ballanciaga et sans maquillage…

 

Pendant qu'on était en pont, les députés ont augmenté le salaire à Nicolas. Je dis ça je dis rien mais ça arrive juste après qu'il se soit fait plaquer le garçon. Me demande si y'aurait pas une histoire de pension alimentaire derrière tout ça. En même temps je peux pas croire qu'une femme moderne comme soeur Cécilia puisse se faire entretenir par le denier public. Non parce que sans vouloir faire du mauvais esprit parce que ce n'est pas mon genre, c'est quand même nous qu'on paye…

 

Voilà, c'est tout je crois pour aujourd'hui. Pour du décousu c'est du décousu.

 

Edit: Je suis en train de faire des changements sur le menu de gauche, notamment sur ma blogroll. Pour l'instant c'est un peu le dawa, mais ça devrait s'améliorer rapidement. Merci de votre patience !

Les love bottes m’ont tuER

La scène se passe à la maison après un resto entre amis. Elle se masse les pieds en grimaçant. L'homme la regarde avec une légère pointe d'exaspération, probablement due au fait qu'il a entendu ses gémissements durant toute la soirée…

 

 Lui: Y'a un truc que je ne comprends pas. Comment ça se fait qu'elles ne t'aient pas fait mal dans le magasin ?

 

Elle: …

 

Lui: Heu… Ote-moi d'un doute. Dans le magasin, elles ne te faisaient pas mal n'est-ce pas ? Non parce que je veux dire, une grande fille intelligente comme toi, si des chaussures à DEUX CENT VINGT EUROS lui font mal alors qu'elle n'a pas encore marché avec, elle ne les achète pas, HEIN ?

 

Elle: …

 

Lui: Elles te faisaient déjà mal, c'est ça ?

 

Elle: Un tout petit peu…

 

Lui: Et tu ne t'es pas dit que ça allait s'empirer, vu que même avec des Birkenstock tu as besoin d'une période d'adaptation ?

 

Elle (reprenant du poil de la bête): Oh ça va hein. D'abord c'est mon argent. En plus, ce ne sont pas les chaussures en elles-même qui me faisaient mal. C'est la cambrure. A cause du talon trop haut. Et j'ai pensé que ma cheville s'y ferait. Et bon, ben elle s'y fait pas ça je te le concède.

 

Lui: Ah ben je te le concède aussi. Non seulement elles t'ont coûté un tiers de ta part de loyer mais je te signale qu'elles continuent de nous plumer ces saletés vu qu'il a tout de même fallu prendre un taxi pour aller de la PLACE D'ITALIE à LA PORTE D'ITALIE ce soir, rapport que tu ne pouvais pas faire un pas avec.

 

Elle: Oui, bon, ben voilà, j'ai fait une bêtise. C'était affectif, tu ne peux pas comprendre. J'ai eu un coup de foudre. Je les ai vues et instantanément je les ai aimées. Et je voulais tellement qu'elles m'aiment aussi que je me suis persuadées qu'elles pouvaient m'aller. C'est comme si elles m'avaient suppliée: "achète moi achète moi…"

 

Lui: Heu… En effet, je ne peux pas comprendre. Tu es consciente qu'une paire de chaussures ça ne parle pas hein ? Et que ça ne peut pas avoir de sentiments ? Tu le sais ça, n'est-ce pas ?

 

Elle: Dis moi, chouchou, tu veux qu'on reparle des larmes que tu as versées quand on s'est débarrassé de la voiture ? Non parce qu'aux dernières nouvelles, une bagnole, ça ne pense pas non plus…

 

(Il perd instantanément son air supérieur, se racle la gorge et…)

 

Lui: Non mais en même temps, tu as raison, elles sont très jolies. Et puis si ça se trouve, dans quelque temps…

 

Edit: Ces chaussures, ce sont les fameuses low-boot de chez Comptoirs des cotonniers. Elles ont été mises une seule fois. Payées 225 euros. Je les vends à qui veut. Elles sont très confortables mais trop hautes pour mon pied (6 cm). Taille 38. Pour le prix, me contacter. Sans rire, je ne le fais jamais, je suis réfractaire à Ebay, mais si quelqu'un ici est intéressé, je me fais un plaisir de faire plaisir.

Chabadabada..

On avait envie d'aller à Londres. Ou alors à Amsterdam. Ou pourquoi pas à Barcelone ?

 

Et puis il a fallu se rendre à l'évidence, lorsque qu'on s'y prend une semaine à l'avance pour organiser un séjour à l'étranger juste le week-end de La Toussaint, il faut: a) avoir beaucoup d'argent, b) avoir beaucoup d'argent.

 

Alors finalement, ce sera Deauville.

 

Avec sa plage, ses planches, son casino, ses rombières accompagnées de chiens qui leur ressemblent, son ambiance parfois très "La vérité", ses rues clinquantes qui n'ont rien à envier aux Champs-Elysées. Avec aussi Trouville la discrète en face et Les vapeurs où l'on mange des moules, des frites et des huitres. La mer à perte de vue et l'air iodé. Les maisons normandes et les caramels au beurre salé. Les palaces et les nuits chabadabada…

 

Voilà, on part deux jours pour aller marcher dans le sable et boulotter des fruits de mer – enfin surtout l'homme parce que moi les fruits de mer, ce n'est pas trop ça.

 

Alors mes petites madeleines, je vous embrasse et vous dis à très vite.