But where is the computer ?

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Donc on en était qu'en glissant ma main par l'ouverture de ma valise-cabine, j'ai pu constater que mon ordi n'y était pas. Mais alors pas du tout. Tout ça alors que les stewards étaient en train de nous faire leur démo inutile qu'en cas de crash ça te fait une belle jambe de savoir où se trouve la sortie de secours où comment utiliser un gilet de sauvetage.

Allez, repartons donc dans le déroulé de ce départ en fanfare…

7h56: Sorry miss, can I just check my bag, just two
seconds, thank's.  Voilààààà, j'ouvre le zip de la valise, je passe ma
main à l'intérieur et je constate que…

7h57: que
je veux ma maman.

7h58: Et aussi mon papa.

7h59:
Et surtout je veux mon ordinateur. Qui est certainement quelque part
mais pas dans ma valise. Ni dans ma poche. Ni dans celle de mon sac à
main. Ni dans mon soutien gorge. Et l'avion part dans 3 minutes.

8h01: C'est un cauchemar, je vais me réveiller, il n'y a pas de raison, je SAIS que j'ai repris ce foutu ordinateur après son passage au scanner. Après avoir remis mes chaussures. Et récupéré mon sac à main. Ainsi que mon portable. Et ma trousse de toilette transparente. Et… Putain, et rien du tout, l'ordi je l'ai zappé, maintenant ça me revient.

8h02: Je m'en fous, je vais raconter à mon boss qu'on me l'a arraché dans la rue et puis c'est tout. Pas de témoins, un pays étranger, la barrière de la langue, il comprendra.

Ou pas.

Sans compter que c'est la deuxième fois en trois ans que je déplore la perte d'un ordinateur du travail. Le premier on me l'avait VRAIMENT volé mais on sait comment une réputation ça vient vite.

8h03: En plus mon mari est bientôt au chômage.

8h04: Et toutes les notes prises pendant le colloque sont dans cette vermine d'ordinateur. Ou comment revenir sans son matériel et sans aucune matière pour un éventuel article.

Soit je trouve une solution pour aller le récupérer, soit c'est toute une famille qui va tomber dans la précarité.

8h05: Je prends mon plus beau sourire (= à l'instant présent une grimace atroce) et j'explique dans un charabia indigeste (le stress n'a pas vraiment un effet très positif sur ce qui est de toute façon à la base très très loin du "anglais lu écrit parlé" de mon CV) que c'est une question de vie ou de mort et qu'il FAUT que je retourne au check point où j'ai oublié, triple conne que je suis, mon laptop.

8h06: Le steward m'avertit que le check point est very very very éloigné de la gate E72 (je le SAVAIS que c'était un mauvais signe cette absence de 3) et qu'il ne peut nullement me garantir que l'avion sera encore là à mon retour.

8h07: Je prends ça comme un challenge. Je vais récupérer ce fucking bastard of computer ET réussir à prendre mon avion, what a fucker motheeeeeer.

Tain, quoi.

8h08: Comme dans un film, je bondis hors de l'avion et je me mets à courir comme une damnée. Ok de l'extérieur, c'est probablement un film au ralenti. Il n'empêche que je cours. Ce qui ne m'est pas arrivé depuis 1987 environ.

8h09: Je réalise pendant ma course effrénée que a) l'aéroport de madrid a une superficie équivalente à celle de l'Oregon, b) que je ne suis pas convaincue de savoir où est le check point, c) que je suis partie de l'avion sans papiers, sans carte bleue, sans téléphone. MAIS avec ma carte vitale. Au mieux, je dis bien, au mieux, si je retrouve mon ordinateur, j'aurai douze minutes d'autonomie (le cordon est dans ma valise, ce qui me fait une belle jambe, pourquoi je n'ai pas oublié le cordon, plutôt que l'ordi, ça c'est un des mystères du cerveau humain) pour envoyer un SOS international. Ensuite je pourrai toujours essayer de trouver un psychiatre qui accepte la carte vitale.

8h10: Je vais peut-être finir mes jours dans la zone de transit de l'aéroport de Madrid. Si ça se trouve je vais devenir une sorte de bête sauvage, on fera des reportages sur cette étrange femme qui s'accroche à un vieux PC sans cordon et qui vit dans un caddie.

8h11: Je suis à mi-chemin entre l'avion et ma destination et je n'ai à priori plus que le dixième d'un poumon qui fonctionne. Mon collant est au niveau de mes genoux et un de mes seins semble vouloir arriver avant moi au check point.

8h12: Est-ce qu'on sait quand c'est la fin ? Parce que là tout de même j'ai comme une sorte d'intuition que ma vie ne va pas tarder à défiler devant moi.

8h13: Contre toute attente, j'arrive au check point. Dans un dernier râle je marmonne que je viens récupérer mon computer forgotten a few minutes ago. Un mec de la douane me confirme qu'ils en ont un mais qu'il faut qu'il aille chercher la clé de l'armoire dans laquelle ils l'ont rangé. Il y va en sifflotant, peinard.

Tranquille.

"I AM IN A HURRRRRRRY !!!!!!" hurle-je comme une possédée, jouant mon va tout, consciente que ça va soit le réveiller, soit le convaincre que je suis dangereusement folle et par conséquent bonne pour le gniouf.

8h14: A priori il a décidé d'opter pour la première solution. Il me sort l'ordi qui est donc bien le mien. En même temps il n'y en a pas d'autres dans l'armoire des objets trouvés. Ce qui me confirme que je suis de ce genre de boulet qui ne pullule pas non plus partout. Ce qui est rassurant pour le reste de l'humanité. Pas pour moi.

8h15: je m'apprête à partir à nouveau en courant – même si là j'aimerais vraiment être dans un film et qu'on passe direct à la séquence suivante où je suis en sueur dans l'avion que j'aurais réussi à prendre, à côté de Georges Clooney qui serait en transit entre l'Espagne et la France et qui tomberait raide de moi et des gouttes de sueur qui perleraient entre mes seins à cause de la course poursuite dans l'aéroport. Au lieu de quoi, speedy douanier me barre le chemin en me disant que je dois avant tout ouvrir le computer, l'allumer et faire mon code secret pour vérifier que c'est bien le mien.

8h16: On prend combien en Espagne pour meurtre ? Non parce que est-ce que j'ai l'air assez intelligente pour avoir manigancé tout ça, genre je vais faire la fille qui court comme une dingue à travers tout l'aéroport, faire le pari qu'une oie sans cerveau a oublié son ordi  et prétendre que c'est le mien ? Non je veux dire, QUI POURRAIT AVOIR UNE IDEE PAREILLE ?

Manifestement ça a déjà dû arriver, étant donné que le gars est intraitable. "You have to write your password".

8h17: Au point où j'en suis je m'exécute le plus calmement possible ( = en gémissant comme une enfant de trois ans et en tremblant tellement que je me plante deux fois dans le code secret). L'ordinateur met trois jours à s'allumer, je chie sur la gueule à Bill Gates et je lui fais un doigt, au point où j'en suis.

8h18: L'ordi s'allume, c'est le happy end, j'ai envie de rouler un patin au douanier, mais ce dernier qui a lui aussi très envie de moi c'est évident, me hurle "Ok GO ! RUN RUN RUN, your plane is leaving !"

8h19: Je repars donc lestée de trois kilos supplémentaires, vive le parc informatique de 1998.

8h20: En même temps que je tente de me mouvoir dans ce qui ressemble plus à un rampement qu'à une course alerte, il me vient une de ces pensées dont j'ai le secret. Si ça se trouve tout ça c'était un signe. Et je suis en train de me ruer vers mon cercueil. Alors que là haut, mon ange gardien fait des moulinets avec ses petits bras pour m'expliquer que je ne dois pas monter dans l'avion qui est encore plus mité que mon cerveau. Ce qui, si c'est le cas, est la preuve cette fois-ci irréfutable que j'ai hérité du plus crétin des anges gardiens. Parce qu'à mon avis il y avait d'autres options que manquer me faire claquer sur un tapis roulant à l'aube.

8h21: Si je retourne dans le boeing, je perds peut-être ma seule chance d'être à la une des journaux pour avoir échappé au crash le plus meurtrier d'air Europa. Je vois d'ici les titres: "Elle manque l'avion à cause d'un ordinateur oublié au chek point (la conne) et évite ainsi une mort atroce". Et juste en dessous: "parfois l'intelligence ne paie pas, la preuve".

8h22: M'en fous, entre finir mes jours dans un chariot à bagages en étant la risée du monde entier ou exploser au dessus du pays basque, mon choix est fait. ETA me voilà.

8h23: Je me propulse dans l'avion, essoufflée comme un octogénaire tuberculeux et syphillique et pleurant d'émotion.

8h24: A peine j'ai fait deux pas et alors que dans un film avec Georges, je croulerais sous les applaudissements, voire que les passagers me feraient passer de bras en bras avec en fond les hurlement de Gloria Gaynor, à la place de ça, 300 paires d'yeux m'assassinent du regard. Je sais désormais ce que c'est d'être l'objet d'une haine collective.

Je ressens une solidarité incroyable avec Raymond Domenech.

8h26: Je m'assieds et boucle ma ceinture sans la ramener. L'avion s'apprête à s'élancer sur la piste. Et fait incroyable: je n'ai pas peur. Mais alors pas du tout. Je n'en ai tout simplement pas la force.

Edit: Je vous signale l'excellentissime dessin de Pénélope sur un sujet pas si éloigné, qui aurait pu, si j'avais été du genre sans gêne qui ne s'embarrasse pas des droits d'auteur, pu illustrer à merveille ce billet. Rah, quel talent tout de même, cette miss !

121 comments sur “But where is the computer ?”

  1. Bounty a dit…

    … C’est jouississime ! Quoi ça existe pas ? Caro t’es la best, je pars à Paris avec 100 gosses … et je crache mon café sur l’écran tant je suis éclatée de rire ! Tu es la best ! Hi hi …

    Heu y’aurait pas un syndrome de Gilles de la Tourette quand tu t’énerves ? T’ain le nombre de big words que tu dis ! (Heu je fais pareil parfois mais tout à l’intérieur de moi … sauf en voiture !)

    J’adore ! Bravo … je ne sais que dire … tout est excellent !
    Je te bise !
    Bounty … (qui ne sait toujours pas comment s’habiller pour aller goûter de la bullette dans le Champenois !)

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  2. Delphine a dit…

    Serais-je la première pour mon premier commentaire sur ton blog que je lis pourtant depuis un petit moment. Après une longue journée de boulot, une petite crise de rire ne fait pas de mal…
    J’aime beaucoup tes textes qui très souvent me vont sourire et surtout bien rire.
    Bonne journée!

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  3. Sophissime a dit…

    Hahahahahaha 🙂
    Ex-ce-llent!
    Bon, je vais me recoucher parce que je suis épuisée de t’avoir lu tellement j’ai eu la sensation de tout faire à tes côtés!
    (c’est un compliment :))

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  4. Litchi a dit…

    FORMIDABLE!!! quelle épopée!!! je suis à la fois morte de rire, ravie que tu ai réussi, et essoufflée d’avoir couru avec toi. bravo!
    PS: tu as vu le dernier dessin de pénélope? il est un peu sur le même thème. 🙂

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  5. Hécate a dit…

    Vive l’adrénaline qui fait passer le décollage d’un avion (chose que je trouve personnellement anti-naturelle, sachant qu’en cas de crash, je ne sais pas voler pour me sortir de là) pour une petite course au Monop’…. La prochaine fois que je prendrais l’avion je tacherai d’oublier mon portable au chek point! ^^

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  6. patricia a dit…

    serieux c’est vrai tout ça? ça t’est vraiment arrivé? ben alors là moi j’en reviens pas!!! mort de rire et Raymaond doit être content de savoir que quelqu’un comprend ce qu’il vit!!!
    informe nous de la sortie de l’article que tu vas rediger suite à ton escale à Madrid. Parceque si c’est aussi drole que le résumé de ton retout je m’y plonge dedans!!

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  7. Olympe a dit…

    Mdr!! Merci
    de toute façon l’avion ne serait pas parti sans toi car un avion ne part jamais si des bagages embarques sont sans propriétaires. Dans ce cas les dits bagages sont débarques ce qui prend un certain temps

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  8. rififi a dit…

    ce qu’il faut pas faire pour oublier sa peur de l’avion… ;o)
    joli sprint en tout cas, et même pas besoin des images pour voir le film :-))

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  9. Cécile - Une quadra a dit…

    Génial Caro, et alors désormais tu te sens prête pour courir un peu tous les jours ? Même sans avoir à récupérer ton ordinateur ? 🙂

    Et oui bon sang qu’il est grand l’aéroport de Madrid et que les gens sont peu aimables quand on les retarde ne serait ce que d’une petite minute pour leur vol qui de toute façon avait déjà pris 10 mn dans les dents…

    J »ai testé aussi cette sensation d’être le centre de tous les regards au décollage j’avais pas aimé 🙂
    Enceinte de 5 mois, ventre énorme hauteur utérine d’une femme à terme depuis 1 semaine d’après mon gynéco à l’époque, Bordeaux/Madrid – Madrid/Valencia, bien entendu le vol Bordeaux Madrid avait pris du retard au départ, ma correspondance était serrée mais c’était le dernier vol de la journée et pas moyen de partir plus tôt donc… Suite à mes demandes de plus en plus angoissées, en anglais « fluent » mais pas utilisé depuis des lustres mélangé à mon espagnol « grand débutant » le PNC a en effet constaté que nous atterririons à Madrid à l’heure où décolle mon second vol… Ils font une annonce et je suis la seule à prendre cette correspondance, je suis en larmes, les hormones, la fatigue de l’année de travail hard, le stress…je me fait une raison sur le fait de devoir passer une nuit à Madrid et perdre une journée de vacances avec le père du gremlins qui fait du trampoline sur ma vessie.
    Ils viennent me voir alors qu’on était en train de descendre (on voyait déjà l’aéroport), ficelés comme des saucissons par les ceintures trop courtes, pour me signaler de me tenir prête à les suivre dés l’atterrissage…
    Et là… le luxe, je descend en tout premier grace à mes « gardes du corps », j’arrive dans une voiture au pied de l’avion qui m’amène directement à l’autre avion en traversant les pistes, escaladage de l’échelle, et là… tu es à la fois dévisagée de toute part pour tenter de voir qui peut être cette personne qui a retardé un vol (ils m’ont attendue 15 mn, ok il y avait sans doute du retard à la base, mais bon) si jamais c’était un people ça peut faire une anecdote de vacances, et lorsqu’ils s’apperçoivent que tu n’es qu’une grosse fille ordinaire, enceinte qui plus est, l’ambiance se tend un peu et tu t’assois rouge de honte et en te faisant aussi petite que possible, t’as à peine bouclé ta ceinture que paf l’avion quitte le sol et là tu te sens encore plus mal lorsque ton voisin t’annonce qu’il était temps 15 mn d’attente ça fait beaucoup…

    C’est ainsi que lorsqu’en cours de vol tu réalises que tu ne sais pas du tout où est ta valise, que sans doute elle doit roupiller tranquillement dans un coin de l’aeroport de Madrid pendant que tu te diriges vers Valencia, ben t’ose même pas demander aux hôtesses, tu te dis que t’avisera à l’arrivée, faut pas pousser sa chance… ben si y avait la valise à destination, ça reste toujours à ce jour un mystère pour moi et Iberia reste ma compagnie fétiche 😉

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  10. Estel a dit…

    Sincèrement je compatis, surtout que tu devais être au terminal 4 et qu’il est immense (beau mais immense).

    Et j’avoue que j’ai arrêté de respirer á la minute 11.

    Grâce á toi je regarderais Barajas d’une autre manière la prochaine fois que j’embarque avec ma fille.

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  11. Caroline a dit…

    cecile, quelle histoire ! en effet, vive air iberia !

    merci rififi !

    Anne 😉

    Olympe, oui c’est ce qu’on m’a dit APRES mais sur le moment, je l’ignorais !

    Patricia, tout est veridique, HELAS !

    frédérique, de toi à moi, pas sur que je sentais la rose après ce périple !

    hécate, écoute, c’est mieux que le lexomil…

    domi de lagny, merci à toi pour ton commentaire…

    généviève, ça me flatte que tu sois accro !

    litchi, oui, merci de me le rappeler, je voulais le mettre en édit et avais oublié, voilà qui est fait !

    me myself and I, en même temps c’est le but, alors tant mieux !

    valérie, je m’étonne moi même à vrai dire…

    kkarine, heu, pas sure que ce soit un bon plan d’être moi ;-))

    sophissime, beh ouais, c’est un sacré compliment !

    delphine, welcome on board 😉

    bounty, je les garde souvent pour moi dans ma tête hein mes big word 😉 merci pour ton comm !

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  12. lulu10 a dit…

    Ah quand même, t’as pas fait les choses à moitié!
    c’est du grand art dans la stratégie d’évitement et de l’acte manqué mais c’est beau comme tu t’en sors finalement.

    Et puis tu pourras bientôt sponsoriser un billet pour un déo qui te lâche pas en plein sprint, perso je suis fan de tes billets sponso !

    Bon pour le dessin de Pénélope, je suis graaaave fan d’elle depuis longtemps, tellement en fait que j’ai mis un de ses dessins en avatar parce que je suis née le même jour qu’elle (on s’en fout) et que j’ai la tête du dessin au réveil…tous les jours.

    Alors là avec ton petit rappel sur les droits d’auteurs, ben je me pose la question (j’aurais pu me la poser avant mais ça m’a pas effleurée)…j’ai le droit de mettre ce dessin en avatar ??? Parce que suis pas une pirate moi, et ça m’embêterait d’être une pirate qui s’ignore.

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  13. Caroline a dit…

    lulu10, je n’avais même pas rmarqué que ton avatar était un dessin de pénélope ! je ne crois pas que ce soit un problème, franchement, c’est juste un avatar, c’est pas comme si tu copiais un de ses dessins sur ton blog.

    Répondre
  14. clémence a dit…

    Ma zette moi je l’ai vu la partie où tu cours au ralenti, là dans ma tête quand je lisais, et c’est un vrai blockbuster que tu nous racontes là!! Y avait trop du suspense et tout… y’a une suite, hein, hein, y’a une suite?!!

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  15. AnnedeBretagne a dit…

    Re-GENIAL!C’est vrai qu’avec une fin avec Georges Clooney et les applaudissements, c’eut été plus sympa! Mais là quand même, faut le faire…Moi qui pensais être tête en l’air,je vais dire à mon homme de venir lire tes aventures, il pourra plus rien dire quand je vérifierai pour la 100ième fois si j’ai bien mon passeport ou mon chargeur de téléphone!

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  16. Alabama a dit…

    c’est sublime , spécialement tes envies d’amour pour bill gates ,
    mon éclat de rire résonne encore dans le couloir.
    Bravo. bravo(pour le récit)

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  17. ptitecaro a dit…

    Moi c’est pas 300 paires d’yeux qui me regardent mais 8 parce que je suis juste en train de pleurer de rire (veridique!) toute seule devant mon ecran d’ordi au boulot.
    Du Grand Art! Merci Caroline

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  18. Doloqui a dit…

    Heureusement que j’ai lu ton billet avant l’arrivée de mes collègues, ça m’a permis d’éclater de rire tranquillement devant mon ordi !
    Tu es vraiment trop forte !

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  19. liz & frog a dit…

    Excellent ! J’ai vraiment bien ri en lisant tes péripéties. Je m’y voyais trop ! Tu sais quoi ? j’ai trop peur de faire pareil mercredi, lors de mon départ en voyage. C’est bien mon genre aussi. ;-p

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  20. 'tine a dit…

    Excellente 😀 !!! Quand on paire de yeux désagréables c’est marrant mon côté rebelle doit toujours prendre le dessus dans ces cas là j’ai tendance à attaquer plutôt qu’à faire la petite souris qui entre dans son trou… ça se travaille mais je vous jure c’est bon.. parce que merde finalement tout ces gens là ils ne le savent pas mais c’est quand même pas tous les jours que vous retardez un avion entier et tout peut arriver à tout le monde donc merde quoi un beau sourire à la cantonade un « je suis désolée » mais franchement appuyé et là les gromeleurs n’ont qu’à bien se tenir !!!

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  21. La Papote a dit…

    Si je te dis que je suis encore plus conne que toi ?
    Un jour, à l’aéroport de Bruxelles, j’avais le temps, la vie devant moi donc je n’ai pas fait attention que j’étais en porte 98 (oui, oui, à Bruxelles, il y a une porte 98 !) qui, comme de bien entendu, est l’une des dernières du hall (pourquoi on ne les place jamais en ordre décroissant ?).
    Donc, je m’balladais (sur l’avenue) dans les boutiques quand, tout à coup, j’entends mon nom au haut parleur…
    J’avais pas vu l’heure et tout le monde avait déjà embarqué…
    Je me suis remonté TOUT le hall façon Carl Lewis sur ses vieux jours avec mon sac cabine contre le coeur (ce qui lui a évité de bondir hors de ma poitrine tellement il battait).
    Quand je suis rentrée dans l’avion. Tout le monde m’attendait depuis 10 minutes et je n’avais aucune excuse, moi ! ;oD

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  22. Loop of Kurland a dit…

    Moi aussi j’ai fait attendre tout un avion parce parce que je suis une dinde, pas une VIP qui met son ordi au coffre.

    Quelle truie cette desperada. Elle m’a autant fait marrer que toi.

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  23. Léa a dit…

    La Papote, j’ai fait exactement la même chose à Rome! Et il fallait prendre la navette intérieure pour atteindre la porte d’embarquement…

    En montant dans l’avion, j’ai entendu l’hôtesse articuler dans le micro : « L’ultima ragazza è arrivata! » (La dernière jeune fille est arrivée). J’aurais voulu être transparente en remontant vers ma place!!

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  24. mareloune a dit…

    merci pour ce grand éclat de rire du matin ! je crois que j’ai du moi aussi me taper une course effrénée dans chaque aéroport que j’ai du emprunté… y’a toujours un truc pour te faire courir dans ces trucs là , grrrrrr !!

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  25. isabelle a dit…

    Attends il faut que je respire là. Il est haletant ce récit ! Ton boss peut être fier de toi, tu prends soin du matériel et ta famille aussi, tu les as sauvé de la famine. Bravo.

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  26. Gen a dit…

    Bonjour Caroline,
    C’est pour moi votre (ton, If I might?) MEILLEUR minute par minute! Très très très bon! Merci de m’avoir fait rire ce matin! Ca fait bcp de bien!
    Je suis une lectrice assidue mais pas très bavarde…

    Répondre
  27. Milanette a dit…

    Génial l’histoire, que c’est bon de rire ce matin. Moi aussi j’ai pensé à toi cette nuit . J’avais hâte de connaître la suite !
    merci pour ton blog, il est super. j’adore.

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  28. zaza a dit…

    ce minute par minute c’est du grand art !!!!

    du grand caro !!!

    mais quelle aventure mes aieux !!!!

    bises ensoleillées des mers du sud

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  29. nesto a dit…

    boudiou, comme hier rien qu’à lire je suis gagnée par le stress!!!!!!!!
    je savais même pas qu’on pouvait ressortir d’un avion comme ça, j’aurais jms osé!!!

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  30. Londoncam a dit…

    Ouuuuuuuuuuuf ! Tu nous as bien tenu en haleine !
    C’est toujours ma hantise d’oublier ce genre de trucs à l’aéroport, si bien que je vérifie 12 000 fois que j’ai tout, et je frôle l’arrêt cardiaque au moins 30 fois avant de monter dans l’avion. Et je ne parle pas de ceux que j’ai en imaginant que ‘ils ont perdu ma valise’ (ce qui ne m’est encore jamais arrivé… croisons les doigts et touchons du bois)

    Et hier, en allant faire des courses au Monop, je passe au rayon vetements, vais en cabine d’essayage, ressort en sifflotant… Pour m’apercevoir 5 minutes apres que « where is my sac à main ??? ». L’idiote que je suis l’avait laissé en cabine… heureusement personne n’y avait touché !

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  31. Cathrine en Norvege a dit…

    Tres tres bon post. Bon, on SAIT que tu as pris l’avion, et donc il n’y a pas vraiment suspense, mais c’est tout de meme top.

    Quand tu ecris un Bridget Jones francaise, tu nous signaleras, ok? (J’avoue, je n’ai pas lu tes livres, je prefere les histoires aux manuels).

    Allez biz et bon WE

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  32. La Petite Bête a dit…

    C’est excellent… si bien raconté, on s’y croirait ! ça a du être beaucoup moins drôle sur le coup, mais bon 🙂 merci pour cette note très joliment écrite et qui m’a donné le sourire pour toute la matinée (au moins) !

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  33. Shakti a dit…

    Tu devrais tenter l’expérience en Afrique. Parce que dans certains pays, ils n’ont pas tout à fait la même notion de « I am in a hurry » que nous…

    Et là, je crois qu’après tu peux prendre l’avion sereinement PARTOUT !

    Bonne journée

    Répondre
  34. PCR a dit…

    Caroline, j’admire ta plume, tu es vraiment la reine du suspenssssss !
    Moi aussi c’est la première chose à laquelle j’ai pensé ce matin en me levant, aller voir où était passé ton fichu ordi ! Bravo, tu es trop forte quand même !

    @Londoncam : « where’s my bag ? » ça m’arrive très souvent (trop souvent) et j’ai TOUJOURS eu de la chance jusqu’à présent ! Heureusement pour moi, je ne prends l’avion que tous les 10 ans, ça limite la casse.

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  35. La Papote a dit…

    Alors, j’ai eu la chance que l’hôtesse soit cool et la joue discrètement…
    Enfin, si tant est qu’on puisse être discret dans un avion d’environ 30 places et que seule la moitié est occupée… ;o)

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  36. Fractale a dit…

    Si ça se trouve, quelques unes des 300 paires d’yeux qui t’ont fusillée vont-ou se sont- délectées de l’excellent article que tu auras pondu en n’imaginant pas une seconde que la Briget échevelée avec quatre seins au lieu de deux et un collant comme un sarouel en est l’auteur.
    En tous cas, à lire ce minute par minute excellent, sens-tu comme toutes on te passe de bras en bras en chantant du gloria gaynor et que les hôtesses lancent des confettis sous une pluie de champagne débouché par le commandant de bord ?

    Répondre
  37. mouette a dit…

    Ben, là, scotchée je suis ! J’ai l’impression que tu viens de raconter un cauchemar récurrent que j’ai dans mes phases de grosse fatigue-doute-déprime… Sauf qu’habituellement je suis nue aussi.
    Et qu’y a pas de George Cloney, et que j’arrive jamais à l’avion à temps.
    Je compatis grave.

    Répondre
  38. AnneduSud a dit…

    Tu es décidément la reine du minute par minute.
    J’étais écroulée de rire hier soir et un pipi urgent m’a empêchée de mettre un com.
    J’ai commencé à lire la suite en salle des profs ce matin mais je riais tellement dès le démarrage que j’ai décidé de terminer à la maison.
    J’ai rarement autant ri à un de tes billets!
    Un film, ça mérite un film!!!

    Répondre
  39. Nulle en Pseudos a dit…

    moi je t’admire, j’aurais laissé tombé l’ordi, et mythonné mon boss. en tout cas, tu es présidente honorifique de mon assoc’ virtuelle de chieuses publiques, dont le standard est la mère qui prend le bus bondé avec sa poussette landeau (moi). tu seras présidente plénipotentiaire quand tu en auras plus rien à f’ des regards qui te fusillent.

    Répondre
  40. Roxane a dit…

    A Houston. Vol de San Jose du Costa Rica arrive après l’heure de départ de ma correspondance. Course folle, injures ref green card, re course dingue, la navette, tout le toutim. J’ arrive dans l’avion, essoufflée mais hilare, yess im’ in, malgré presqu’une heure de retard…. Tellement je me sens plus je me fends d’un « what a luck ze plane waz too late! incredible how lucky i am!!! » Quoi? C’est juste moi qu’on attendait? Ah bon? Ah. Dans ce cas, je la boucle et je fais semblant de dormir tout le vol en ordonnant à ma vessie de la boucler elle aussi. 8 heures.

    Mais je raconte pas si bien que toi. 😉

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  41. Mannick a dit…

    J’ai bien tout lu ! Caro, je t’adore, tu as su par quelques mots et phrases expliquer ce que l’on ressent quand on doit se mettre à courir quand on l’a pas fait depuis 87, ce qu’on ressent quand un p….n de douanier prend un malin plaisir à te torturer quand tu n’as qu’une envie, l’assommer avec le talon de tes escarpins (pour le coup, courir avec des escarpins, surtout dans ce que tu nous a décrit, c’est se condamner à une fin certaine 🙂 bref j’avoue que je n’aurais pas voulu être à ta place, mais tu l’as fait, tu as réussi l’exploit (car pour moi cela en est un) d’attraper l’avion, et tu as raison, ça pourrait faire un bon film, avec Clooney je sais pas, plutôt un autre dans le genre cata, mais c’est un excellent scénario de comédie… ou autre !
    Ton récit sur ces deux jours m’a fait tordre de rire, même si sur le moment, toi tu ne devais pas rigoler !
    Merci Caro !

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  42. Caroline a dit…

    une confidence ? J’ai vraiment failli pleurer pendant cette course infernale. Et puis ce qui m’a sauvé ? C’est un peu vous, finalement, parce que je me suis dit que si j’en réchappais de cette connerie, j’aurais matière à vous faire rigoler…

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  43. Camette a dit…

    Alors là ! Je dois dire que jusqu’à présent je ne comprenais pas les gens qui disaient qu’ils riaient irrépressiblement devant leur écran au bureau mais ce minute par minute… Le meilleur ! Comment expliquer que l’on pleure de rire devant son écran en plein open space ?
    Qui plus est, je viens de finir Le Chameau Sauvage et on voit bien une similarité dans le style qui fait plaisir à lire (et dont la comparaison te fera également plaisir j’espère)…

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  44. Vanessa a dit…

    Franchement ce sera mon tout premier com ici et vraiment j’adore te lire…ton article est vraiment tordant !
    ça me rappelle pas mal de choses passées à l’aéroport !!!
    En tous cas chapeau bas car tu as vraiment assurée comme une bête !!!
    ça donne envie de voyager avec toi tout ça 😉

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  45. shalima a dit…

    L’aéroport de Madrid doit être propice aux courses effrénées dans les couloirs. J’ai moi aussi couru comme une dératée pour choper une correspondance parce que le premier vol avait 2h de retard. Mais je n’ai pas pu monter dans l’avion qui n’avait pourtant pas encore décollé. Désolée madame, mais la porte est fermée.
    1 minute près qui m’a coûté 8 heures de retard.
    J’y ai laissé mon souffle et une partie de mon périnée, dans l’histoire.
    (ah et ma valise, aussi, qui n’a pas suivi lors du transfert ^__^)

    Respire Caro, respiiiire…

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  46. Annick a dit…

    Bonjour Caroline,
    C’est la première fois que je poste mais je voulais vraiment vraiment te dire « merci!! ». J’en ai pleuré de rire cachée derrière mon ordi au bureau. Car tout ce que tu as décris est tellement vrai, tellement ce que je pourrai penser en vivant la même chose !!
    Bravo 🙂

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  47. lili a dit…

    Je te lis souvent avec grand plaisir et en silence, mais ces deux textes m’ont fait vraiment mourir de rire, je tenais à te le dire, c’est brillantissime!

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  48. Caroline a dit…

    Merci à tous et toutes pour vos gentils compliments, j’avoue que je ne boude pas mon plaisir, parce que j’ai passé du temps sur ces textes. ça n’a l’air de rien mais les minutes par minutes demandent du boulot pour que les situations comiques fassent leur petit effet. Bref, au risque de briser un mythe, ça ne me vient pas tout seul, donc j’apprécie d’autant plus les compliments !

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  49. naf a dit…

    lectrice inconditionnelle de tout ce que tu écris je ne commente que rarement (je passe déjà un temps non négligeable, à lire avec délectation les commentaires en + des billets… ) mais si compliments t’encouragent alors je me joins au concert de louanges!tu as l’art de l’écriture, celui de faire rire, j’adore tes minutes par minute, celui-ci était particulièrement croustillant et que oui tu as détrônée fonelle (de mémoire l’inventeur du concept selon toi)…

    Répondre
  50. Melie a dit…

    Finalement, ne serait-ce pas ton inconscient qui t’a poussée à oublier cet ordi juste pour avoir quelque chose de méga rigolo à nous raconter ici ?! 😉

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  51. pensees de ronde a dit…

    N’importe quoi, j’ai mis « pensees de ronde » en pseudo, alors que j’ai même pas peur de l’avion, je believe i can fly même, moi c’est « une ronde aussi ».
    1000 excuses

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  52. Caro.B a dit…

    Oui, alors moi aussi je suis de celles qui ne commentent pas souvent…mais puisque tu ne boudes pas ton plaisir, je me joins aux louanges, parce que là, vraiment, c’est excellentissime!!!
    A tel point que je l’ai lu en diagonale vite vite pour connaitre la fin, stressée que j’étais par le rythme du récit! Et ensuite, j’ai repris ma lecture avec délectation pour savourer l’humour du minutage 🙂

    Bravi donc!

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  53. Valérie de Rennes a dit…

    J’en ai pleuré de rire…!
    Je sais, c’est pas beau de rire du malheur des autres, mais tu racontes tellement bien !

    Merci pour ce fou-rire, ça faisait longtemps que je n’en avais pas eu !

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  54. Blanche neige a dit…

    J’attendais avec impatience la suite, j’ai même failli râler hier tellement c’est inhumain de nous laisser en plan avec un « à suivre ».
    Géniallissime ce minute par minute ! Et comme les copines j’ai été prise par ton stress rien qu’en lisant.
    Ma petite histoire à moi, c’est quand nous avons immigré pour le Québec, arrivés à l’aéroport avec 2 heures d’avance, on nous annonce qu’on doit prendre un autre avion tout de suite sinon on va rater notre correspondance. A l’enregistrement des bagages on nous dit que nos sacs sont trop lourds (forcément on déménage, ils sont nombreux, gros et lourds) et qu’il faut les vider.
    Nous voilà en train de vider nos sacs et transvaser dans des pauvres cartons au milieu de l’aéroport, avec notre gamine de 16 mois qui décide d’explorer les environs. Un vrai cauchemard.
    On avait perdu tellement de temps qu’on nous a escorté pour passer devant tout le monde dans la grande file d’attente de la douane, premier grand moment de solitude.
    Arrivés dans l’avion qui nous attendait depuis 20 minutes, deuxième grand moment de solitude devant les regards assassins, sachant que c’était un vol pour Londres et qu’on avait augmenté d’un tiers leur temps de vol !

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  55. une fan a dit…

    excellent – je suis morte de rire. Je l’ai même lu à toute la famille. On imagine tellement la scène …
    J’adore ton blog !

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  56. Miss Crumpette a dit…

    ah je me marre…quel talent de conteuse !!!!!
    t’as eu beaucoup de chance tout de même ! heureusement que t’avais pas tes chouettes sabots aux pieds
    c’est p’têt écrit plus haut dans un coment mais je ne les ai pas tous lus et c’est la première pensée qui me vient à l’esprit = tes supers godasses mises en photos il y a qqes jours !!!!

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  57. Estel a dit…

    Sincèrement Caro, heureusement que c’est du boulot que d’écrire parce que si en plus ça te venait trop facilement, on serait toutes vertes de jalousie ;-)).

    Et vraiment c’est sympa d’avoir pensée á nous et je crois surtout qu’on peut être fiers (oui il y l’Homme) de te soutenir de loin. C’est d’ailleurs tout ce qu’on peut faire.

    Et le T2, est pas mal aussi !!!

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  58. Niña a dit…

    Pfiou ! Depuis hier soir que je retenais mon souffle, j’ai envie de te décerner la médaille d’or du sprint réussi 😉
    Merci pour ces merveilleuses histoires Caro !

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  59. marica a dit…

    Meeerrrccciiiii ! pour ce moment de suspense et de rire !! j’en avais bien besoin au cours d’une crise d’insomnie avec le moral dans les chaussettes, que d’ailleurs je me suis dit « allons faire un tour sur le blog de Caro » ça me fera surement du bien… pari gagné… caro tu es the best !!!!

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  60. Marha Mèo a dit…

    Juste merci pour le (double) fou rire.
    Bordel comment ça fait du bien un blog où on lit et on rit high level.
    (Oui je m’exprime comme un bucheron)

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  61. Linda a dit…

    PPPfffffffffffffff!! je suis toute essoufflée par la lecture de cette épique épopée épisode 2!
    Merçi Caro pour ce récit haletant…pour tes récits en général. Çà fait très longtemps que je lis tes écrits et je crois n’avoir jamais osé poster de petit mot. Mais celui-là en valait bien un car ta mésaventure m’est « presque » arrivée à l’aéroport de Zurich il y a quelques années, et le souvenir m’en est toujours aussi douloureux, même si, comme dans ton cas, le dénouent fut heureux.

    Petit aparté, pour te « prouver » que tes posts ont un vrai impact sur nous, tes lecteurs assidus. Pour le départ d’un de nos collègues, nous avons offert un stage dégustation chez Agnès, « la tienne ».

    Voili voilà mon ptit billet perso.
    L’

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  62. nati a dit…

    Ma Caro, je dirais, comme disait une vieille bourgeoise rochelaise il y a environ 20 ans au festival international du film, ton article est jubilatoire!!! enocre, encore, encore!
    M’en fous, je viens d’acheter le tome 6 de Caroline Desages, et en prime, celui d’une consoeur sur la belle-mère…
    à + très soon

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  63. ceciloo a dit…

    Ah Caroline je suis essouflée, j’ai eu l’impression de faire ce marathon avec toi, le récit tient en haleine, c’est rythmée, j’ai ri (oui oui toute seule devant mon pc… et de bon coeur….à quasi 3h du mat’… tout va bien merci )et surtout j’ai compatis… ooooh que oui… je passe beaucoup de temps dans des hôtels, et je suis angoissée d’oublier mes affaires dans la chambre, je verifie 3462 fois, puis je reverifie avant de checker une dernière fois mes verifs… je confirme les objets (et particulierement les billets de trains et autres) sont fourbes et se planquent, se déplacent… ou alors je suis folle? (okkkk…. j’ai rien dit)
    Bref comme chaque jour j’ai pris un plaisir fou à te lire (et pourtant c’est mon boulot à la base de lire), et te suivre dans tes délires, tes réflexions drôles ou plus touchantes, bref ces tranches de vie qu’on déguste avec bonheur et l’impression de partager quelque chose avec toi… merci !!!

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  64. Soph a dit…

    Chère Caroline,
    Lectrice habituellement silencieuse (mais néanmoins fidèle et grande fan!), je me manifeste pour te dire que j’ai été voir « le mec de la tombe d’à côté » au théatre St Martin et la pièce est encore mieux que le livre (fait assez rare habituellement!).Si tu as une soirée libre, je te le conseille vivement!
    Bises,
    Soph

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  65. Laetitia la djeuns a dit…

    Ah Caro !! J’ai encore du mal à me remettre de ton sein qui veut arriver avant toi au check point et de ton demi poumon !

    Avant hier on prenait l’avion pour Toulouse (oui va savoir ça coute moins cher en avion qu’en train!) et on a eu la bonne idée de s’arrêter prendre un sandwich avant de prendre le RER, et de passer au relay et de..
    Le RER il est arrivé 1min avant le fermeture de l’embarquement !

    Quand tu pars avec easyjet (= à l’autre bout de l’aéroport), que tu es asthmatique (=tu cours toi aussi une fois tous les 5ans), que tu sors à peine d’une belle entorse, c’est la combinaison fatale !

    Heureusement qu’ils étaient un peu en retard les gens de l’easyjet 😉

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  66. Caroline a dit…

    Nati, c’est amusant de te lire aujourd’hui, figure-toi que ça fait trois jours que je me dis que je suis en manque de we avec vous 4. Faut qu’on s’en organise un très vite !

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  67. chrisssine a dit…

    j’ai savouré tes posts et vraiment ris. tu as une fine plume Caro : BRAVO et MERCI de nous en faire profiter.

    juste une petite question de maman d’enfants encore non scolarisés : comment réagis-tu quand tes enfants oublient leurs manuels scolaires / cahiers et autres accessoires indispensables pour aller à l’école ? tu les grondes en les traitant de têtes de linotte tout en te marrant intérieurement ? ou tu te dis qu’ils ont de qui tenir ?

    en tout cas, continue comme ça !!!

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