Five little things #15

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Hier soir nous sommes allés au cinéma, au nouveau complexe MK2 de la BNF. Exploit, nous étions parvenus à décoller notre fils de son fauteuil de gamer, ce qui en soi représente un effort considérable. Après un burger avalé au pas de course, nous nous sommes installés confortablement dans nos fauteuils, impatients de voir l’Effet aquatique, avec la merveilleuse Florence Loiret Caille. Mais nous n’avons jamais vu le film. En cause, un bug informatique, que les deux malheureux employés du cinéma étaient bien incapables de réparer. Pas très grave, vous me direz. Non, pas très grave, mais totalement emblématique d’une politique de restriction des coûts, de la part de ces multiplexes. Deux personnes présentes pour quatre salles et pas un seul technicien. Ajoutez à cela du matériel manifestement défectueux et vous obtenez une séance foutue en l’air. Les deux jeunes hommes présents ont tout essayé, se sont excusés dix mille fois, mais voilà, à vouloir rogner de tous les côtés, on arrive à ça. Si j’en parle, c’est parce que ça n’est pas la première fois ces derniers temps que je me dis qu’il ne faut pas s’étonner que les gens téléchargent ou regardent en streaming. La valeur ajoutée du cinéma en salle est en train de se réduire comme peau de chagrin, alors que le prix des places atteint des sommets. Dommage. Rendez-nous les projectionnistes, quoi.

Voilà, à part ça, five little things…

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Le bouquin. « Les Infâmes », de Jax Miller. Il s’agit d’un premier roman, que j’ai trouvé très bien écrit. L’intrigue est hyper bien tenue et les personnages, complexes, désespérés, ultra attachants. Le pitch: Freedom Oliver, alcoolique et suicidaire, est témoin protégé du FBI depuis 18 ans, après avoir été blanchie du meurtre de son mari, un policier véreux et violent. Hantée par son passé douloureux, elle souffre d’avoir abandonné ses deux enfants pour échapper à la vengeance de son beau-frère. Lorsqu’elle apprend que sa fille, adoptée par un couple de religieux fanatiques, a disparu, elle décide de rompre avec son anonymat et de tout faire pour la retrouver. Il y a parfois quelques outrances, quelques exagérations, mais aussi une peinture de la société « white trash » américaine assez réaliste je pense. Un très bon page turner.

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La série. En parlant de la société américaine dézinguée, je viens d’entamer la saison 2 d’American crime et elle s’annonce aussi glauque que la une, mais également aussi brillante. Le principe de la série: à chaque saison, l’anatomie d’un crime différent. Un meurtre dans la 1, un viol dans la 2. Avec à chaque fois les mêmes acteurs, dont l’excellente Felicity Huffman, jouant des personnages différents. C’est âpre, c’est sans concession et haletant.

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Le dessert. Le pavlova. C’est un de mes préférés mais je n’en mange presque jamais, il y en a rarement à la carte. Et celui-ci, dégusté à deux sur la plage à Calvi, était forcément le meilleur de tous ceux que j’ai pu goûter. Le principe est simple, meringue, crème montée et fraises. Léger quoi.

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L’oeuvre d’art un peu bizarre. Les lampadaires inversés de l’avenue de France, à quelques encablures de la BNF. J’adore ce quartier sorti littéralement de terre en quelques années. Les immeubles sont tous complètement dingues – mention spéciale à cet édifice vert entouré d’un filet de sécurité – et la lumière y est folle, les rayons de soleil jouant au ping pong avec les façades des bâtiments.

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Le plaisir à la con. Étrenner une nouvelle savonnette. Je sais c’est idiot mais c’est l’une des petites choses qui me met en joie, quand j’ai terminé un savon (je suis très savon, voilà, c’est dit) et que j’en entame un autre. Celui-ci, acheté à Marseille, dans une de ces boutiques qui proposent des dizaines de parfums, sent vraiment la rose. Et puis il est drôlement joli. Voilà, c’est tout.

101 comments sur “Five little things #15”

  1. Nathalie a dit…

    Récemment j’ai lu le premier roman d’Olivier BOURDEAUT « en attendant Bojangles » et j’ai beaucoup aimé. Il se lit assez vite et trotte un petit moment dans la tête. Perso, j’aime bien ça. Belle journée!

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  2. Laluciole a dit…

    J’ai vu « l’effet aquatique » lundi soir dans mon  » petit » cinéma adoré d’Annecy, les Nemours , que sa vie soit longue . Je déteste les multiplexes, l’impression d’aller consommer du cinéma comme au supermarché, avec vigiles qui aboient, etc…
    bref, ce film était super (  » queen of Montreuil  » m’avait pourtant un peu décontenancée ) . J’ai beaucoup ri à cette commandie romantique foldingue.

    Merci pour tes conseils , j’ai lu ( et vu ) pas mal de choses dont tu as parlé ici , souvent avec beaucoup de plaisir

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  3. Valérie de haute Savoie a dit…

    Ah moi aussi j’aime étrenner un nouveau savon, au point d’en avoir deux ou trois entamés sur le bord de la baignoire dans des coupelles que je lave régulièrement pour que le savon soit joli dedans 🙂 mais par contre, j’aime très moyennement les meringues mise à part celles de La Gruyère avec sa fameuse double crème 🙂

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  4. DOMINIQUE a dit…

    Obstine toi pour l’Effet Aquatique, il paraît qu’il est vraiment très très bien. Mais redécoller ton fils, ça… c’est une autre histoire !
    Quant à moi, j’ai lu « le secret de la manufacture de chaussettes inusables » d’Annie Barrows, qui a été le co-auteur du « cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates ». Très très bien, sans doute moins glauque que le policier que tu évoques, mais on ne le lâche pas.
    Et je suis en train de me faire tous les Fred Vargas. Bons policiers qui font passer un excellent moment. Je ne savais pas que Vargas était archéozoologue. Pointu, comme discipline !

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    • Christine a dit…

      Merci Dominique ! Dans mon panier « le secret de la manufacture de chaussettes inusables » : j’avais beaucoup aimé le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates ».
      J’en ai profité pour ajouter «Les Infâmes», donc merci aussi, Caro.
      Pas de conseil frais à donner de mon côté : le dernier bouquin qui m’a filé le frisson, était « Le Chardonneret » de Donna Tartt. Depuis rien de transcendantal. Du coup, j’ai décidé de me refaire tout Romain Gary et tout Léautaud. Vargas, c’est fait !

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      • DOMINIQUE a dit…

        Christine, je te conseille vivement « confiteor » de Jaume Cabré. Auteur Catalan, c’est la traversée du siècle d’un jeune homme qui devient un universitaire reconnu (au moins 9 langues au compteur, dont l’araméen), avec les secrets de famille qui rôdent (et un violon). Vraiment une merveille de 1000 pages, ça vaut le coup. Traduction impeccable. La facture du récit est originale, déroutante pendant 5 minutes, et après on en redemande. Cela fait partie du charme. Tu vois « 100 ans de solitude » ? Pareil, on ne peut pas lâcher, et il est du genre à un peu hanter.

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        • Christine a dit…

          Vendu Domi ! Je viens de le commander : je te suis les yeux fermés. Le résumé lu sur Babelio a fini de me convaincre. Merci et mille bisous. <= Oui, j'aime tout le monde aujourd'hui : mon mari vient de me promettre un séjour en Corse pour ma fête (je lui ai collé le récit de Caro sous le nez). Parait qu'il suffisait de demander… Dans le cas inverse, j'aurais probablement eu une cocotte minute. Genre : call me Greta Garbure !

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          • DOMINIQUE a dit…

            Christine, je vois que ton époux est du bois dont est fait le mien ! Dis, tu me diras, pour « confiteor », quand tu l’auras lu ? J’ai tellement aimé, ou plutôt admiré, qu’un regard extérieur me serait utile.
            Première phrase du livre, pour laquelle je l’ai acheté « ce n’est qu’hier soir, alors que je marchais dans les rues trempées de Vallvarca, que j’ai compris que naître dans cette famille avait été une erreur impardonnable ».

          • mammouth a dit…

            Christine, je suis déçue de ton sens des priorités. Sans compter que la cocotte minute aurait fait le couple parfait avec l’aspi-robot.

        • Serendipity a dit…

          Comme je suis contente Dominique de voir que tu as aimé mon cher Confiteor, ce livre a été une révélation et un choc pour moi. Après 16 ans en librairie, je me demandais si je trouverais encore quelque chose susceptible de me bousculer… et Confiteor est arrivé ! Je le conseille toujours avec émotion et j’envie ceux qui ne le connaissent pas encore. Lire confiteor c’est faire une expérience qui ne se reproduira jamais tout à fait, comme un premier baiser 🙂 J’en profite pour lâcher le nom du dernier livre qui m’a bouleversée, il s’agit d’un petit texte chez Zoé de Richard Wagamese « Les étoiles s’éteignent à l’aube », c’est un chef-d’oeuvre de poésie, les retrouvailles entre un père et son fils pour un dernier voyage ensemble après des années de rendez-vous manqués. Difficile d’oublier Frank et son père une fois le livre refermé, je vous garantis une expérience de lecture unique…

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          • DOMINIQUE a dit…

            Oh, Serendipity, merci de partager ce livre, et j’ai ressenti la même chose que toi en le lisant.

  5. Marie Bambelle a dit…

    La pavlova, grosse tuerie, mais j’avoue qu’à moins de la faire moi-même, je n’en trouve jamais…
    Sinon, chaque matin en buvant mon thé, je m’émerveille sur ta capacité sans cesse renouvelée de nous faire rire, et de nous apprendre de nouvelles choses sur toi… Aujourd’hui, on savait déjà que tu aimais le cinéma, les polars et les séries, mais on a appris pour le savon! Le mien d’en ce moment, acheté à St Rémy de Provence quand j’y bossais l’an dernier, est à la griotte <3 (je sens la Forêt Noire).

    Pour tes lectures de l'été, je te conseille les livres de Frances Mayes où elle raconte sa vie en Toscane. J'en suis dingue : c'est d'une douceur pas possible, on sent presque la chaleur sur sa peau et le goût des repas qu'elle prépare (en plus elle donne des recettes dans ses bouquins!
    (par contre, ne Google pas son nom. Je l'ai fait et le personnage qui était dans ma tête a volé en éclats. Elle n'y ressemble pas du tout hahaha!)

    Bonne journée tous et toutes!

    PS : je pars en weekend ce soir, puis en vacances. Mon gros plaisir de l'été est de revenir vers mon ordinateur après plusieurs semaines et d'avoir plein de billets de toi à lire!

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    • Pétunia a dit…

      Marie Bambelle je suis comme toi, j’adore être loin de l’ordinateur quelques temps pour avoir le plaisir de lire plein de pensées de Caro.

      En revanche je savais pour le savon.

      Avant-hier j’ai entendu Sophie Fontanel parler à la radio. Je ne sais pas si je l’avais déjà entendue, peut être l’avais-je déjà vu à la télé, mais là, en l’entendant uniquement j’ai été frappée : elle s’écoute parler, c’est insupportable. Elle répète les mots parfois. Elle se raconte en faisant des tonnes. ça m’insupporte. Tout ça pour dire que ça m’a fait à un billet ou des commentaires ici, où le personnage de Fontanel n’était pas vraiment porté aux nues.

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      • Caroline a dit…

        j’ai énormément de mal à la supporter, je pense qu’en effet elle se porte un amour débordant, qui doit sans doute la combler mais qui du coup m’empêche d’apprécier son talent.

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          • Mayoun a dit…

            Quelle chance, les gens qui s’aiment! Besoin de personne, pas trop d’inquiétude pour les autres..On les envie, non? (joke)

        • sarah a dit…

          Parfois ceux qui ont l’air de s’aimer formidablement, extraordinairement sont ceux qui s’aiment le moins… c’est difficile d’en juger en tous cas 😉
          Après je trouve qu’elle a l’air d’avoir plus de fond et de substance justement que les propos qu’elle porte (souvent d’une futilité voire d’un « mépris de classe » assez violent, car tout le monde ne met pas ses économies dans un manteau Céline… et même sans parler d’argent, l’idée que le style soit si important dans la vie est quand même assez particulier comme valeur !).
          Je connais un peu plus le personnage que la personne (que je ne connais pas du tout) mais je sens bien qu’il y a quelque chose d’interessant quand même.
          Globalement le Elle que j’aimais tant de mes 15 a 30 ans, a viré, ces 10 dernières années, dans un style et un ton de vieille bourgeoise dans lequel je ne me reconnais pas du tout.

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          • Caroline a dit…

            j’aime bien ton analyse et oui il doit y avoir une faille narcissique énorme. Mais en effet comme toi c’est son propos et sa façon de placer « le style » au dessus de tout qui me fatigue. Probablement parce que personnellement, même si j’aime la mode, de loin, si j’aime l’idée de me sentir bien dans mes fringues, je me fous éperdument du style des gens, ce n’est pas ce qui va faire que je les admire, les aime ou les méprise. C’est tellement superficiel malgré tout…

      • Kaylee a dit…

        + 2 à propos de l’ex « Fonelle », Sophie Fontanel, pour laquelle Soledad faisait des petits dessins toutes les semaines dans ELLE. Elle est insupportable de suffisance.

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        • Marie Bambelle a dit…

          Je suis tellement d’accord pour Sophie Fontanelle! Déjà je trouve que Elle est un torchon plein de clichés sexistes et d’injonctions pour les femmes à complexer (sois belle, conne et tais-toi), mais en plus je n’ai jamais trouvé le personnage de Fonelle amusant. Dans le lot, j’inclus Alix Giraud de l’Ain (dr Aga pour les intimes)

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      • Christine a dit…

        J’ai foncé chercher cette fameuse Sophie Fontanel sur Google, j’ignorais qui c’était. Or j’aime les personnages trèèèèès satisfaits d’eux-mêmes : c’est bien rare qu’ils n’emportent pas tous mes suffrages. Bon, ok, ELLE, quoi. Elle qui n’a rien compris aux femmes, donc. Et qui nous prend pour des dindes mal dégrossies… Au lieu de s’adresser à nous comme le fait Caro, soit avec talent <= je ne sais pas pour vous, mais Caro, pour moi, c’est un peu « the girl next door »: la bonne copine qui te dit tout sans te toiser au prétexte qu’elle aurait une plus jolie maison ou qu’elle rentrerait d’un week-end en Corse. C’est même tout le contraire : elle partage ! Et c’est toujours cocasse, intéressant, ou magnifiquement écrit. cf : hier. Bref, je peux assez souvent m’identifier à Caro. En revanche, je n’ai pas le souvenir d’avoir été touchée par un seul article lu dans ELLE. Bref, Caro = 100 / Elle = 0. Caro, Présidente ! Caro Présidente !
        Oui Caro, je viens de te faire une déclaration d’amour en bonne et due forme. Quand tu auras largué le Churros, on se mettra ensemble, donc. Et je t’offrirai un aspirateur-robot (ça te changera des week-ends romantiques).

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        • DOMINIQUE a dit…

          Ah, Fontanel et le Daily Elle. Je me souviens d’un grand moment, quand elle faisait refaire sa salle de bains. En se demandant comment les ouvriers pouvaient bouffer autant de trucs dégueus à midi, au lieu de se contenter de salade bio comme elle, que vraiment il y avait un fossé. Elle n’avait pas rajouté « de classe » mais c’était tout comme : ça clignotait bien fort.
          Caro lui était rentrée dedans, et pas mal d’autres lectrices.
          Tous ces gens qui s’occupent à 100% de mode disjonctent à un moment ou un autre. Milieu malsain.
          Quand j’ai entendu sur Inter que c’était Fontanel l’invitée, j’ai éteint mon poste.

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          • Madame H a dit…

            Et bien je ne suis pas d’accord avec vous concernant Sophie Fontanel … je comprends qu’elle puisse irriter, mais depuis qu’elle a plus ou moins quitté son personnage de Fonelle et surtout depuis qu’elle a quitté ELLE, je la trouve bien plus profonde et sensible .. Son dernier livre La vocation est assez formidable et on y comprend bien mieux sa passion pour le « style »… bien sur elle est snob et superficielle, mais pas que …

          • DOMINIQUE a dit…

            Bon, Madame H, et si on commençait par dire que « style » ne veut rien dire et qu’il y a un mot démodé, ringard, stupide, vieille bique, qui est « élégance ». Alors, si un jour une personne fait renaître ce mot, hein… plutôt que « model » et autres anglicismes bâtardisés….

  6. Nan a dit…

    J’ai découvert la boutique Fragonard dans le Marais, lieu de perdition pour les beaux savons et jolies choses et pas trop ruineux Roger Gallet pas mal même s’ils ont supprimé le Parfum Santal
    Bonne journée le rade

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    • Cathie a dit…

      Bonjour,
      Et moi aussi, je déplore que R&G ait abandonné le parfum Santal. J’ai retrouvé cette senteur dans la marque Cabtree & Evelyn, rayon homme mais il n’y a que de l’eau de cologne… Comme quoi les parfums aussi ont des modes…

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  7. marieal a dit…

    comme je t’aime quand tu nous parles de ton amour du savon, ces petites choses qui font que nous avons l’impression d’être de la même famille!
    merci pour tes conseils de lecture, j’ai lu « la Reine de la Baltique »,  » en attendant Bojangles » et suis en train de lire « je suis Pilgrim » , les trois sont en effet d’excellents pages turner. J’ai pour ma part beaucoup aimé tous les livres d’Agnes Ledig que j’ai pu lire , « les gens heureux lisent et boivent du café » , la suite du premier tome, et aussi  » Marie d’en haut », et aussi tous les Gilles Legardiner , je ne crois pas que tu en ais parlé, ce sont des histoires simples mais tellement agréables à lire car elles redonnent souvent le sourire.

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  8. laure a dit…

    Tiens, je vais ce matin vers le quartier de la BNF, je vais être attentive aux immeubles… Merci pour idée livre même si ma PAL est impressionnante, j’ai dévalisé les médiathèques. Je retiens l’auteur conseillée par Marie Bambelle. Envie de faire une pavlova (de toutes façons, c’est mort pour le maillot !) et puis moi ma savonnette adorée, c’est le Petit Marseillais à la Verveine !!

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  9. La semaine d'une gourmette a dit…

    Bien d’accord avec toi pour le cinéma, je dois dire que depuis que j’ai un projecteur et un abonnement Netflix (car je crois à la légalité en la matière, tout travail méritant salaire), je n’y vais presque plus !
    Et moi qui n’aime pas trop faire les dessert, je faire régulièrement des Pavlovas en été, c’est délicieux et ça en jette un max quand on a des invités !

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  10. Brennignews a dit…

    Il est grand temps que je goûte à un pavlova, je ne connais pas et je ne suis pas loin d’avoir l’impression d’avoir raté ma vie!

    Et le savon tout mou dessous, qui n’a pus l’air de rien après une petite semaine et qui dégouline du porte savon ou baigne dans son jus, qui est là pour en parler ?! #lesvraissujets

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    • Pat a dit…

      C’est pour ça que je les déballe tout de suite après les avoir achetés et que je les fais ‘sécher’ quelque temps entre les serviettes ou les draps, avant de les utiliser 😉
      Le savon dure plus longtemps (parfois trop pour moi qui aime vraiment commencer un nouveau savon) et on n’a plus ce truc tout mou qui en met partout et qui te reste sur les mains.

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  11. sirius a dit…

    Moi aussi j’adore les savons. Dès que je vais quelque part j’en achète et après je les mets dans les vêtements, les draps, qui se parfument. A chaque fois ils me rappellent un voyage : Dublin, Venise (la boutique Santa Maria Novella, chère, heureusement les savons étaient abordables), l’Angleterre… J’ai lu les Infâmes et j’ai aussi beaucoup aimé. Idem pour la série dont tu parles. En ce moment je suis sur la saison 2 de Unreal…

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  12. Suzanne a dit…

    Aaaaah les pavlovas (notez le pluriel qui me permet d’éviter de chercher le genre de ce dessert). Dans le même esprit, en plus bordélique, il y a l’Eton mess : les morceaux de meringue sont mélangés à la chantilly et les fraises sont en partie mixées pour donner un joli effet marbré.

    J’ai vu Love & Friendship lundi au MK2 (première fois que je vais dans les nouvelles salles) film inspiré de Lady Susan, roman épistolaire de Jane Austen. Avis partagé, je n’ai pas vraiment réussi à entrer dans l’histoire, pourtant pour une fois le côté acerbe et ironique des bouquins de Jane Austen est présent (en général les adaptations sont tellement cucul…pauvre Jane).
    Tout ça pour dire que ça avait fonctionné cette fois-ci 🙂 (intéressant, non ?) (Ah non)

    Maintenant que j’habite à Olympiades, je fréquente beaucoup plus le quartier BNF et c’est vrai que je commence à lui trouver un certain charme. Mais il m’a fallu du temps.

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      • Christine a dit…

        Mais, mais … mais Daphné, tu sais donc TOUT sur tout. C’est dingue l’étendue de ta culture ! Ça va du chanteur un peu pourrave aux infos qui permettent de briller chez Nadine de Rothschild. Du coup, je suis drôlement fière d’être ta copine! <= Et je ne plaisante pas pour une fois.

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          • Daphné a dit…

            Aucun mérite Christine, les néo-zélandais sont si fiers de leur dessert. Tu ne peux pas tendre la main vers la pile de meringue sans que quelqu’un t’explique avec un délicieux accent l’histoire de ce dessert.

            Par contre, je crois que je viens de me faire éjecter de mon blog par un acte de piraterie en bonne et due forme. Ça va me laisser plus de temps pour m’occuper tranquille des lessives de la famille, youpi.

    • Pat a dit…

      J’y allais beaucoup quand j’habitais le quartier des Olympiades.
      J’y vais beaucoup plus rarement depuis, mais j’aime bien car j’ai l’impression d’arriver dans une autre ville. Et il y a du changement/nouveau à chaque fois que j’y vais 😉

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  13. Céline a dit…

    Cela fait bien longtemps que je n’ai pas commenté mais je te suis toujours aussi fidèle 🙂

    Je souhaitais te remercier pour tes « conseils » de lecture, j’ai en effet dévoré il y a peu « Je suis Pilgrim » et j’ai vraiment adoré.
    Du coup, je me demandais si tu allais nous faire une petite liste de « conseils lecture » pour l’été ? 😉

    Merci Caro !

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        • Reine a dit…

          Heu, pour moi ça devient ( c’est) le genre littéraire de l’année !! J’ai du mal à lire autre chose…..je viens de lire *le goût du large » un bouquin roman reportage d’un journaliste sur les conflits de ces dernières années.. Pas mal , mais j’étais impatiente, de retrouver une intrigue who dunnit? Et puis franchement le niveau d’écriture de certains polars est vraiment époustouflant.

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  14. Naïs a dit…

    Pour soutenir le vrai plaisir de la séance de cinéma, allez dans des cinémas indépendants. Il n’y a que l’embarras du choix, des programmations inédites, des classiques, des séances spéciales et souvent à prix bien moins prohibitif. Le meilleur cinéma de Paris, celui qui offre la plus belle qualité d’image et le plus beau son est le Max Linder. Si vous voulez vraiment sentir la plus-value du ciné, c’est là qu’il faut foncer !

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    • Caroline a dit…

      oui merci, je connais le Max Linder 🙂 mais comme il n’y a qu’une (ou deux ?) salles, le choix est mince. Surtout, j’aime bien aller au cinéma mais traverser tout paris pour un film, j’ai souvent la flemme. Heureusement, j’ai aussi le cinéma municipal de ma petite ville, excellente programmation et la place à 5 euros. Et pas de panne de serveur.

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      • Reine a dit…

        Même chose ici avec le Luxy , super programmation ( dont l’effet aquatique) et 4 euros la séance si on prend un carnet de 10 places!!! OK, OK ,je sais je vais être moins jouasse quand je vais connaître le montant de mes impôts locaux…

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  15. Fred b a dit…

    Aaaaaaah! La Pavlova! Dessert national de la Nouvelle Zélande créé en l’honneur de la ballerine russe du même nom. C’est mon dessert de bienvenue quand j’arrive chez ma sœur. Là-bas, on trouve des meringues délicieuses dans tous les supermarchés. Il n’y a plus qu’à garnir. Ma sœur opte souvent pour une déco crème fouettée, mangue, fraise, kiwi (of course) et coulis de fruit de la passion. Une tuerie qui a le goût de la joie de nos trop rares retrouvailles. Je garde une photo de ce dessert dans mon téléphone, et je la regarde les jours de pluie. C’est mon arc-en-ciel. J’ai essayé de ramener une meringue une fois dans une grosse boîte en plastique, mais ça me prenait un quart de valise…il aurait fallu que je laisse sur place les cadeaux de noël de ma fille. j’ai dû l’abandonner sur place ( la meringue, pas ma fille)

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    • Daphné a dit…

      Oh oui Fred B ! Cet hiver, en Nouvelle-Zélande, on a mangé de la pavlova presque tous les jours. C’est simple, les meringues de toutes tailles sont posées juste à côté des fruits. Et les néo-zélandais ne peuvent s’empêcher de raconter inlassablement l’histoire de leur dessert, un vrai monument national.

      Un peu comme le Lemon & Paeroa, au destin plus local. Mais il faut voir la ferveur avec laquelle on se presse pour poser devant la bouteille géante de limonade, emblème de sa région.

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  16. Daphné a dit…

    Je chéris le cinéma art et essai de ma petite ville de Province, son équipe fidèle et sa cafétéria aux délicieux plats faits maison. Il y a quelques années, face à l’arrivée d’un multiplexe mastodonte, ce petit poucet a fait le pari de doubler de taille. Aujourd’hui, il est bien souvent plein et fédère les spectateurs. Mais les places de cinéma y sont moitié prix qu’au multiplexe. Ce cinéma arrive dans le top 5 des bonnes raisons de vivre dans ma garrigue.

    J’ai hâte de découvrir ce nouveau 13ème en montant à la capitale lundi.

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    • Kaleane a dit…

      Tous les commentaires qui parlent du pavlova commencent par « Aaahhh le pavlova…. ».
      J’allais commencé le mien exactement de la même manière : une réaction très logique face à une chose tellement simple et qui donne tellement de plaisir !
      Moi aussi je l’ai découvert en Nouvelle Zelande et j’en ai mangé à chaque repas… Un délice !

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  17. Pat a dit…

    Pas de chance pour le film. Les bandes qui sautaient au milieu du film avaient quand même plus de charme qu’un banal bug informatique 😉
    Mon homme emmène notre 4 ans au MK2 BNF ce matin. Grande première au cinéma (en dehors des courts-métrages vus avec l’école) pour la puce, donc j’espère qu’il n’y aura pas de bug.
    Cela fait un moment que je tourne autour du « secret de la manufacture de chaussettes inusables » sans me décider à l’acheter. J’ai lu le « cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates » et j’ai beaucoup aimé, donc je vais suivre les conseils de Dominique 🙂
    Je suis aussi une grande fan de savons. J’en ai toujours un certain nombre d’avance et je les glisse entre les serviettes de toilette après les avoir déballés (habitude de ma mère que j’ai reprise, pour les faire sécher un peu sinon les savons fondent comme neige au soleil dès qu’on les met au contact de l’eau)
    Belle journée ensoleillée !

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    • DOMINIQUE a dit…

      Pat, je ne peux pas me mettre à ta place pour les goûts littéraires, mais je me suis vraiment régalée avec « le secret de etc… ». Ecriture délicate, observatrice, drôle et souvent ironique. Sorti récemment chez 10/18.

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  18. Jessica a dit…

    Oh oui le plaisir d’entamer un nouveau savon, ça me parle énormément, d’autant que celui-ci a l’air particulièrement délicat. Miam la pavlova. Je n’ai souvent pas le courage de faire de la meringue maison, mais du coup j’achète une meringue chez le boulanger que j’émiette, je fais une crème fouettée, j’émince des fraises, je mélange le tout et zou, un Eton mess, version brouillonne de la délicate pavlova, mais qui régale son monde aussi.

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  19. Aurelie / Catmini a dit…

    A Paris, j’avais goûté une pavlova délicieuse à l’ébauchoir, une très bonne adresse à Faidherbe, j’en garde un souvenir presque ému… Ce dessert a quelque chose de magique (peut être aussi parce que c’est l’un de ceux que ma mère réussit le mieux)

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  20. Val Lao sur la Colline a dit…

    La (le ?) Pavlova, une sublime association d’ingrédients que j’adore tous. Depuis la première barquette de fraises cette année, je me dis que je dois essayer d’en faire, je devrais me dépêcher avant qu’il n’y ait plus de fraises !
    Tu as raison pour la politique de rendement absurde de ces multiplex ciné. Ici nous avons sur place un petit cinéma (une seule salle, mais bien équipée, et une programmation forcément un peu décalée dans le temps mais nous avons aussi des avant-première avec réalisateur et tout) et dans la petite ville la plus proche (28 km), un ciné de 6 salles, le tout basé davantage sur un esprit associatif que d’entreprise, d’où une ambiance très sympathique et loin d’être impersonnelle.
    Je ne suis pas savonnette pour me laver, mais j’ai tort car j’adore leurs odeurs. Les idées lues ci-dessus de les glisser entre les serviettes ou les draps dans les armoires me plaisent beaucoup, je vais essayer !

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  21. Véro Bisontine a dit…

    Je suis allée en vacances à Marseille l’an dernier, et évidemment j’ai rapporté des savons…pour moi et pour mes proches.
    Difficile de faire des choix devant autant de parfums différents!
    Moi aussi j’ai toujours un savon sur le bord du lavabo pour me laver les mains.
    En ce moment je savoure le savon « gingembre rouge » de Roger et Gallet (avec l’eau parfumée qui va avec), un vrai délice!
    Jamais gouté de Pavlova…cela ne doit pas exister dans ma contrée..;-)

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  22. Tan a dit…

    En parlant de savons et de senteurs, l’une de vous aurait-elle un truc infaillible pour faire disparaître les mauvaises odeurs de certains placards ? On a eu beau les laisser grands ouverts pendant un mois, rien n’y fait. Des huiles essentielles ? Mais présentées comment ?

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    • nadine a dit…

      dans un vapo : vinaigre blanc + huile essentielle qui vous convient (lavande ou pin par exemple) et pschitter à loisir 😉
      ça a marché pour une vieille caravane qui sentait l’humidité et le vieux.

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    • Anne–So Catherine a dit…

      @ Tan:si c’est une odeur de « vieux placard», y placer un ou deux ramequins avec un peu de lait , ça marche vraiment très bien ( valable aussi pour les frigos!). Si c’est une odeur de moisi, le conseil de Nadine est très bien.

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  23. Vero de hyeres a dit…

    Encore une idée de polar : ceux de Nicolas Lebel, il y a des morts bien sûr mais pas seulement, dans le premier « l’heure des fous » on découvre le monde des sdf, les catacombes, on découvre son équipe avec un capitaine qui jure et parle l’argot et audiart…dans « le jour des morts » on parle d’empoisonneuse et de livres rares et dans » sans pitié ni remords » on se balade dans le monde de l’art… Bref l’auteur aime les mots et l’humour… Si ca vous dit pendant l’été!

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  24. CilouOnLine a dit…

    Merci pour les idées de lecture. Pour ma part, habitant le 13e et fréquentant très régulièrement le MK2 BNF depuis qu’il a ouvert je peux dire que c’est vraiment mon cinéma préféré : grand confort, beaucoup de choix et toujours les films arts& essais que j’ai envie de voir… et je n’ai jamais eu aucun problème technique. Mon seul sujet de râlerie est la caisse billetterie mélangée à celle de la confiserie, là je suis d’accord qu’ils font des économies de personnel et c’est dommage.

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    • L'Homme a dit…

      On adore le MK2 Bibliothèque nous aussi. Mais hier, il s’agissait de l’annexe qui se situe en face de l’entrée de la BNF : 4 salles minuscules, pas de clim’, pas de personnel. L’un de deux vendeurs m’a expliqué qu’il s’agissait d’un établissement indépendant du 1er, avec un autre gérant. C’est d’ailleurs pour cela que l’on ne peut pas acheter de places du « petit » cinéma dans le « grand », et inversement. Il nous a avoué que les « bugs » informatiques étaient fréquents dans le petit établissement à cause des sous-investissements réalisés. Il avait l’air de ne plus en pouvoir et nous a même conseillé de nous plaindre. Une chose est sûre : je ne remettrai plus les pieds dans ce cinéma et je trouve qu’il fait un grand tort à l’image de marque de MK2

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  25. Valérie a dit…

    Pour les accros à la pavlova, une boutique vient d’ouvrir dans mon quartier et ne fait que ça :
    http://www.lameringaie.com/
    Elles sont à tomber, pas trop sucrées et comme ça me paraissait assez simple, je m’y suis mise.
    Hyper facile, c’est devenu le dessert qui en jette et qui régale à chaque diner entre amis !

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    • Daphné a dit…

      Dois-je te remercier Valérie ? L’écran d’accueil avec cette pavlova qui tourne sous nos yeux est un supplice. J’ai été prise d’espoir en voyant Paris, mais en fait c’est à l’exact opposé du quartier où nous séjournerons la semaine prochaine.

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  26. Reine a dit…

    A propos de polars ,j’ai démarré :the devil And the river , RJ Ellory. Très bon niveau d’écriture . et un personnage de shérif, revenu des horreurs du Vietnam et hanté par ses souvenirs, très intriguant.
    Je pense que je vais me régaler.

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  27. Carolin_e a dit…

    A Limoges, nous payons la modique somme de 10 € pour aller au ciné. Et puis comme le grand patron l’expliquait sur France Inter la semaine dernière, nous sommes tellement à la ramasse dans cette pauvre région Limousin que ça serait inutile en plus, à ce prix, de proposer des films en VOST (j’en rajoute un peu mais l’esprit y est).

    Bref, vive Netflix.

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    • L'Homme a dit…

      C’est exactement cela ! Normalement, pour avoir fait l’effort de venir au cinéma en courant après le travail, d’avoir fait la queue, d’avoir acheté une place 12 euros, on devrait nous dérouler le tapis rouge, limite nous embrasser. Là, on nous laisse dans une salle surchauffée attendre 30 minutes pour s’entendre dire que l’on ne sait pas quand le film commencera, voire s’il sera projeté. A vous dégouter des salles obscures que l’on chérit pourtant et qui ont tant besoin du public pour les soutenir

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    • Claire a dit…

      Ah oui Carolin_e j’ai été choquée moi aussi par ces propos !
      En gros, j’ai cru comprendre qu’habitant « en région » comme ils disent (et ayant même l’immense chance d’avoir entendu en concert ce grand chanteur qu’est Ricoune dont le nom est apparu récemment dans certains commentaires), je fais partie de ceux pour qui diffuser sur grand écran des films en VOST serait en gros « donner de la confiture à des cochons »…cool 😉

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  28. Pmgirl a dit…

    C’est tellement vrai. Les cinémas n’ont pas vraiment d’âmes…
    Et le service est souvent calamiteux.
    Je n’ai jamais compris comment l’UGC cité Bercy ne peut pas proposer des toilettes propres.
    On se croirait dans une aire d’autoroute ou ça sent le pipi à 3 km.
    Franchement, c’est la honte!

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  29. Frenchie au Canada a dit…

    Miam le pavlova! J’ai découvert ça ainsi que l’Eton mess en regardant les shows de cuisine à la TV quand j’étais en Ecosse. Moi qui adore les desserts légers et fruités, c’est tout à fait mon style. Et je comprends pourquoi celui mangé en Corse restera dans les annales 😉 (pas de mauvais jeu de mot…)
    Sinon moi les savons / savonnettes je n’aime pas ça. Mauvais souvenir de mon enfance / adolescence passées à ramasser des bouts de savon tout mou au fond de la coupelle:/ Même si celle-ci est jolie j’en conviens

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  30. sophie a dit…

    Je confirme pour « l’effet aquatique », c’est drôle et poétique à la fois, j’ai emmené ma fille de 14 ans à qui le film a beaucoup plu également. Et on retrouve pour ceux qui ont suivi la série, Le bureau des légendes, le personnage de Marie-Jeanne..

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  31. Fabrice. M a dit…

    Ton petit topo sur les projectionniste est une petite madeleine! Mon papa était projectionniste dans une petite ville de la Haute Saône quand j’étais petit, grâce à ça je pense avoir vu tous les films de ma génération. Et quand étais vraiment petit et qu’il m’emmenait avec lui je le rejoignais dans la salle de projection après le film et je le trouvais à rembobiner la dernière bobine (à l’époque les cinémas avaient deux projos par salle, un qui projettait pendant qu’on montait la suite du film sur l’autre et les deux machines alternaient…), des fois il me laissait appuyer sur le bouton du pied, moi devant lui et je m’émerveillait à voir le film se rembobiner! C’était un petit cinéma, une affaire de famille tenu par un personnage très haut en couleur, chaque fois qu’on en parle en famille ça nous émeut! Les weekends le deuxième film était parfois un porno, chose impensable aujourd’hui (ma mère venait toujours me repêcher après le premier film!)(porno ou pas, mon père devait rester pour la seconde séance)
    Merci Caro <3

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  32. Wam a dit…

    J’ai lu ton article sur le chemin du boulot ce matin. Et j’ai pensé « pavlova ? Connais pas ce truc. Je retiens l’idée ». Puis j’ai bossé comme une damnée toute la journée.
    Et tu sais quoi ? Ce midi, à la cantine, il y avait du pavlova fruits rouges.
    Forcément. J’ai pensé à toi.
    Forcément, j’en ai pris.

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  33. Pastelle a dit…

    Je vais rarement à Paris mais lors d’une escapade le mois dernier je suis tombée sur tes « lapadaires inversés », dont j’avais fait une note sur mon blog
    http://www.lumieresdelombre.com/archives/2016/06/01/33893740.html
    Du coup je m’étais renseignée sur l’oeuvre, elle s’appelle « Des rochers dans le ciel », et les rochers sont censés représenter des nuages, si, si…
    Un jour, peut être mettront ils des pavlovas au dessus de leurs poteaux ? 😉

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  34. fannybens a dit…

    Aaaah, L’effet aquatique, je compte aller le voir demain justement… Non seulement vous tirez votre fils de sa torpeur, mais en plus pas pour un blockbuster, c’est bien ça (et d’autant plus dommage, ce bug au cinéma)

    Et sinon, parlant de 1er roman, je suis trop fière d’un ami qui a trouvé un éditeur pour le sien et ça sort à la rentrée et je ne sais pas pourquoi (ou si, juste que je vois ce que tu aimes dans tes lectures, et puis je me dis qu’avec une passion commune pour les savons, les goûts littéraires pourraient coller), mais je crois que ça pourrait être dans tes cordes… note ça pour septembre : Cabossé, de Benoit Philippon, ça va être du bon. Regarde, si ça ne fait pas envie : https://twitter.com/philippon_b/status/748892335950397440

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  35. Delphine a dit…

    Moi j’ai une question de première d’importance sur les savons :
    Pourquoi ne sentent-ils plus rien au bout d’une semaine ?
    Si quelqu’un a une réponse, je suis tout ouïe.
    On dirait que le parfum est uniquement dans la première couche du savon.

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    • Kotkaa a dit…

      Les savons artisanaux saponifiés à froid comme ceux dont je parle dans mon com précédent sentent jusqu’à la dernière miette promis !

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