Mois : février 2018

Et donc, le tome IV de l’Amie prodigieuse, on en pense quoi ?

Que du bien. Je sais que cette saga italienne d’Elena Ferrante ne séduit pas tout le monde, j’ai parmi mes proches des gens qui n’ont pas du tout accroché, qui ont trouvé ça chiant à mourir, facile ou prétentieux. Et puis il y a les autres, ceux dont je fais partie, qui ont attendu chaque année avec impatience le nouvel opus, qui se sont pris de passion pour Lena, Lila, Nino, Enzo, Pietro, Marisa, Carmen ou Pasquale.

Je sais aussi que le tome 3 n’avait pas fait l’unanimité même parmi les aficionados, moi je l’avais dévoré de la même façon que les précédents, en admettant quelques longueurs, mais qui ne m’avaient pas rebutée, loin de là. Et le dernier tome, donc, c’est simple, je l’ai englouti. J’ai même troqué des pauses séries contre des encas d’Elena Ferrante. Ce qui ne m’arrive jamais, lire est généralement une activité que je réserve aux transports en commun ou à ces quelques délicieuses minutes avant de dormir. En lire plus »

Ma journée type de free-lance

Dans les commentaires sous le billet d’hier, l’une d’entre vous me demande si je peux vous raconter une de mes « journées type ». C’est une question qui revient souvent, même de la part de mes proches. A savoir, comment on gère son temps quand on est son propre patron, comment on s’accorde le droit de regarder des séries au lieu de travailler, est-ce qu’on se fixe des horaires, etc. Vous me connaissez, j’adore parler de moi (ah bon ?) donc je ne vois aucun inconvénient à vous confier mes habitudes. Mais l’exercice est un peu compliqué parce que de journée type il n’y a pas réellement, tout va dépendre du travail que je dois accomplir, des délais avec lesquels je dois jongler et des rendez-vous éventuels à l’extérieur. Je peux avoir une journée en pleine semaine pendant laquelle je ne vais, pour le dire simplement, rien foutre. A part regarder des séries, donc, préparer un repas plus élaboré que d’ordinaire, faire quelques courses, etc. C’est un luxe absolu et ça n’arrive pas hyper fréquemment. Et je dois bien l’avouer, ces journées ne sont jamais totalement dénuées de culpabilité. On ne se défait pas de quinze ans de salariat comme ça.

Mais en gros, voilà ce à quoi peut ressembler une journée. En lire plus »