
Que du bien. Je sais que cette saga italienne d’Elena Ferrante ne séduit pas tout le monde, j’ai parmi mes proches des gens qui n’ont pas du tout accroché, qui ont trouvé ça chiant à mourir, facile ou prétentieux. Et puis il y a les autres, ceux dont je fais partie, qui ont attendu chaque année avec impatience le nouvel opus, qui se sont pris de passion pour Lena, Lila, Nino, Enzo, Pietro, Marisa, Carmen ou Pasquale.
Je sais aussi que le tome 3 n’avait pas fait l’unanimité même parmi les aficionados, moi je l’avais dévoré de la même façon que les précédents, en admettant quelques longueurs, mais qui ne m’avaient pas rebutée, loin de là. Et le dernier tome, donc, c’est simple, je l’ai englouti. J’ai même troqué des pauses séries contre des encas d’Elena Ferrante. Ce qui ne m’arrive jamais, lire est généralement une activité que je réserve aux transports en commun ou à ces quelques délicieuses minutes avant de dormir. En lire plus »