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10 ans de Pensées by Caro – concours n°3 – La Redoute

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Hello hello, à nouveau un jour de fête ici. Il s’agit donc du troisième concours en hommage à ces dix ans passés ensemble. Vous ne pouvez l’ignorer, parmi les marques qui me font confiance il y a La Redoute.

Avec La Redoute ça a commencé toute petite pour moi. Ma mère recevait le catalogue, qu’on feuilletait religieusement, puis cornait pour se rappeler de ce qu’on voulait acheter. Ensuite, il fallait fastidieusement remplir le bon de commande (j’ai beau être née dans les années 90, je suis d’une famille vintage). Et neuf fois sur dix… on ne postait jamais l’enveloppe. Par étourderie parfois, par économie, souvent. Mais on avait rêvé et c’était déjà chouette.

Aujourd’hui c’est plus simple mais finalement rien n’a vraiment changé, je ne compte pas le nombre de paniers virtuels que je ne valide pas. Mais la bonne nouvelle c’est que deux d’entre vous pourront se lâcher grâce à ces deux bons d’achat de 150 euros que La Redoute vous offre pour mon anniversaire (j’ai la vague sensation de me faire un peu avoir depuis deux semaines mais je n’arrive pas à trouver pourquoi). En lire plus »

Miss Columbo

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Ok, c’est une tenue qui n’est pas tout à fait de saison au vu des derniers jours assez torrides à Paris, mais que tout le monde se rassure, le temps va à priori se dégrader très prochainement. Je vous ai déjà parlé de cette marque, Trench and Coat, dont je possédais déjà un pardessus en denim, en voici un autre, un « vrai » trench pour le coup, qui va m’accompagner tout l’automne prochain j’en suis certaine et peut-être donc avant. Bon, le churros m’a demandé si j’avais décidé de tourner le remake d’inspecteur gadget, AH AH AH, mais après, il a suggéré que je vienne le retrouver un soir à son bureau, avec, mais sans rien en dessous. On sous-estime totalement le pouvoir érotique du trench, en somme. En lire plus »

Ruminer le bonheur

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Hier, à la faveur d’un cours annulé, j’ai profité de ma grande à l’heure du déjeuner. C’est finalement assez rare de nous retrouver à deux, que ce soit avec elle ou son frère et sa soeur. C’est un sujet de frustration lorsqu’on a plusieurs enfants, une cause récurrente aussi de culpabilité: « est-ce que je donne assez à l’un ou à l’autre, est-ce que j’ai su être là au moment ou il ou elle en avait besoin ? » La réponse est souvent non, hélas, prise que je suis dans mes propres affres, mes deadlines à respecter, l’intendance du quotidien qui bouffe tout. Et puis parfois, une parenthèse qui s’offre alors qu’on ne l’attendait pas et à un moment où on est à même de la saisir (parce que soyons honnête jusqu’au bout, souvent, quand ils me demandent de les externaliser pour cause de prof absent, je refuse, trop de boulot, flemme de préparer un vrai repas, égoïsme, etc). Et donc hier, j’ai cédé, il faut dire que la veille, son rendez-vous chez l’orthopédiste n’avait pas été des plus réjouissants, vous reprendrez bien pour 6 mois de corset, mademoiselle, bref, vous voyez le genre. En lire plus »

Prends-moi sous le porche

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La dernière fois j’avais donc rendez-vous avec Violette au Fumoir, pour un dèj en compagnie d’une amie commune. On s’est retrouvées toutes les deux un bon quart d’heure avant pour que je lui fasse un shooting mode. C’est le genre de service qu’on se rend entre blogueuses. On n’a peut-être pas de syndicats ou de comités d’entreprises mais on est cul et chemises (hu hu hu) quand il s’agit de s’entraider. Il faut dire qu’on se connait par coeur, qu’on sait exactement comment faire ça vite fait bien fait, le tout en se moquant des regards amusés des passants. (c’est moi ou il fait un peu chaud ?). Je dois avouer que je suis le plus souvent derrière l’appareil plutôt que devant, je suis la godiche absolue de la pose et surtout je rends Violette totalement dingue à force de bouger pile poil quand elle appuie sur le bouton (non, vous ne trouvez pas, je veux dire, pour la température ?). Là encore l’idée c’était que je joue les Peter Lindbergh pendant que la belle prenait son air mystérieux et insondable (elle est championne du monde de l’insondable, je m’entraine à mort pour l’égaler mais je n’y arrive pas encore vraiment). Et puis quand je suis arrivée, elle m’a dit « non mais attends, t’es hyper stylée, viens je te prends » (bon, OK, j’éteins le radiateur et je reviens). En lire plus »

All green

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Je n’ai jamais été une fille à baskets. Je crois que je les associe beaucoup trop au sport et surtout, soyons claire, ça me tasse. D’une manière générale, quand on atteint péniblement le mètre soixante-trois et qu’on n’a pas été particulièrement dotée pour tout ce qui est jambes fuselées, les baskets ont tendance à faire ressortir ce qu’on n’apprécie pas le plus chez soi. Et en même temps, il n’y a rien que je trouve plus séduisant qu’une femme en jean baskets, je crois. Il y a quelque chose de presque vulnérable, dans cette façon de ne pas se cacher derrière des talons, quelque chose qui rappelle l’enfant qu’on a toutes été. Il y a quelques jours, alors que je passais devant une boutique de runnings, je les ai vues. Ces fameuses Stan Smith que toute blogueuse qui se respecte se doit d’avoir dans sa penderie – quand elle n’en possède pas toutes les déclinaisons, rouges, bleues, graou et cie. Ayant la personnalité d’un bégonia pour toutes ces choses, j’étais tentée depuis des lustres, pas parce que j’en avais ado – comme c’est le cas pour Violette par exemple (ma muse Stan Smith), ou ma copine Béa (ma muse fashion de toute mon adolescence) – mais juste parce qu’au delà de leur fort pouvoir iconique, je les trouve jolies. Ou juste donc à cause de ma capacité à être influencée. Toujours est-il que ce jour là je suis entrée dans la boutique – ça nous arrive parfois à nous les blogueuses, si si – et je me les suis offertes. En lire plus »

Quand ça commence à devenir intéressant

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Hier, en rentrant de l’école, Rose me parlait de l’une de ses copines dont les parents sont séparés. « Elle n’a pas une vie facile tu sais, deux pères, tu imagines ? Un vrai et un faux qui vit avec sa maman ». Et d’embrayer sur cette dame qu’elle avait entendu parler avec sa nounou – coucou N. – qui avait surpris « son mari en train d’en appeler une autre » et que « ses enfants défendent et lui disent de le quitter parce qu’il ne faut pas gâcher sa vie ». (L’occasion de constater que la différence entre le b et le d n’est toujours pas totalement assimilée mais qu’en revanche pour ce qui est d’enregistrer les conversations qui ne la regardent pas, AUCUN PROBLÈME DE MÉMOIRE.) Bref, toutes ces histoires de séparations semblaient malgré tout la préoccuper (ou juste elle se croyait dans un épisode de Violetta, ce qui n’est pas non plus complètement impossible), donc j’y suis allée de mon petit couplet, sur la difficulté parfois de s’aimer pour toujours, sur le fait que sa copine était sans doute plus heureuse maintenant que ses parents ne se disputaient plus, qu’en tous cas quand l’amour s’en va, ce n’est jamais la faute des enfants, bla bla bla. Et j’ai terminé avec des paroles se voulant rassurantes, sur son papa et sa maman qui pour l’instant en tous cas s’aimaient toujours, « même si parfois on se chamaille, mais ça c’est normal, l’important c’est de se réconcilier ». En lire plus »

Des robes et des sandales

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J’ai cru comprendre que les petites robes ne vous laissaient pas indifférentes. Personnellement je ne me sens jamais si bien l’été qu’en robette, ça ne serre pas le ventre, c’est mis en deux minutes et ça s’accorde avec à peu près n’importe quelle paire de chaussures. J’aime particulièrement cette année la mode des sandales avec un brin de fluo, je ne sais pas, c’est mon côté fou-fou j’imagine. Ci dessus, une sélection de modèles ultra-soldés, quasi toutes à mois de 30 euros. Bon week-end, à vos vaporisateurs, prêts, partez !

#1 Robe Gina Pieces, 10 euros – #2 Robe Close By Monshowroom, 11,50 euros – #3 Sandales IKKS, 72 euros #4 Robe crochet Sala, 15,50 euros #5 Robe débardeur American Apparel, 11,50 euros – #6 Nus pieds cloutés Calina, 29 euros – #7 Robe Samia, 15 euros – #8 Robe Lola, 19,50 euros #9 Nus pieds Helen, 24,50 euros – #10 Nus Pieds Emma Go, 52 euros – #11 Robe Vero Moda, 11,50 euros – #12 Nus pieds Mellow Yellow, 29,50 euros – #13 Sandales Mellow Yellow, 44 euros

Edit: Sur Monshowroom, il y a des codes de réduction (signalés en homepage, mais au cas où):

– HOLID15: 15 euros de réduction dès 130 euros d’achat,

– HOLID20: 20 euros dès 160 euros

– HOLID5: 5 euros dès 70 euros.

Cyber-soldes

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Ces trois derniers mois mes enfants se sont visiblement donné le mot pour pousser comme des champignons (la chérie, si elle me lit, va me rétorquer que non, pas elle, mais si, quoi qu’elle en pense, la demoiselle a elle aussi des pantalons feu au plancher). Résultat, les soldes je les leur ai consacrées quasi exclusivement, n’ayant pour ma part pas le prétexte d’avoir grandi pour me lâcher sur l’internet (je ne sais pas à quand remonte ma dernière virée en boutique, si l’on exclut Monoprix (qui est opportunément (ou pas) situé sur le trajet qui me mène à l’école de Rose) et H&M (caverne d’ali baba de la chérie)). De toutes façons franchement avec ce temps, je ne suis pas super motivée. Mais si je l’étais, je me laisserais tenter par ces petites choses, d’ailleurs je pense que la robe longue grise va quand même finir par atterrir dans mon panier virtuel.

Bonnes vacances à ceux et celles qui décollent dès ce we. Cette année pour ma part les vacances vont être en pointillé, avec trois ou quatre jours à la frontière espagnole en juillet pour le churros et moi et deux semaines en famille/with friends en Grèce 15 au 30 août. Grosse infidélité à la Corse cette année, je pense que ce n’est que partie remise pour 2014, l’idée de ne pas y aller me rend toute nostalgique (j’ai de gros problèmes). Bref, en somme vous allez m’avoir sur le dos quasiment tout l’été…

Ah et bon anniversaire à mon papa…

#1 : Bague étoile chez Asos, 50,37 euros – #2 : Pull ajouré fluo, 27 euros – #3: Tee Asos, 24,52 euros – #4:  Jean à pois, 34 euros – #5: Slippers à pailettes, 51 euros – #6: Montre bambi trop kitsch, 44,20 euros – #7: Robe à pois très Sofia Loren, 18 euros – #8: Mes shoes JB Martin , 110 euros (j’envisage d’en racheter une paire tellement j’y suis confort) – #9: Robe tout mou tout doux, 29,16 euros – 10 : Top American vintage, 67,50 euros – #11: Collier plastron bling bling, 29,16 – #12 : Robe de plage et de cocktails le soir, rose, of course, 19,50 euros – #13: Shoes qui brillent Georgia Rose, 77,40 euros – #14: (ben y’en a pas c’était pour voir si vous suiviez) – #15: Manchette type « hipanema » (sauf qu’elle coûte 10 fois moins cher), 11 euros