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Miss Columbo

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Ok, c’est une tenue qui n’est pas tout à fait de saison au vu des derniers jours assez torrides à Paris, mais que tout le monde se rassure, le temps va à priori se dégrader très prochainement. Je vous ai déjà parlé de cette marque, Trench and Coat, dont je possédais déjà un pardessus en denim, en voici un autre, un « vrai » trench pour le coup, qui va m’accompagner tout l’automne prochain j’en suis certaine et peut-être donc avant. Bon, le churros m’a demandé si j’avais décidé de tourner le remake d’inspecteur gadget, AH AH AH, mais après, il a suggéré que je vienne le retrouver un soir à son bureau, avec, mais sans rien en dessous. On sous-estime totalement le pouvoir érotique du trench, en somme. En lire plus »

Ruminer le bonheur

ruminer

Hier, à la faveur d’un cours annulé, j’ai profité de ma grande à l’heure du déjeuner. C’est finalement assez rare de nous retrouver à deux, que ce soit avec elle ou son frère et sa soeur. C’est un sujet de frustration lorsqu’on a plusieurs enfants, une cause récurrente aussi de culpabilité: « est-ce que je donne assez à l’un ou à l’autre, est-ce que j’ai su être là au moment ou il ou elle en avait besoin ? » La réponse est souvent non, hélas, prise que je suis dans mes propres affres, mes deadlines à respecter, l’intendance du quotidien qui bouffe tout. Et puis parfois, une parenthèse qui s’offre alors qu’on ne l’attendait pas et à un moment où on est à même de la saisir (parce que soyons honnête jusqu’au bout, souvent, quand ils me demandent de les externaliser pour cause de prof absent, je refuse, trop de boulot, flemme de préparer un vrai repas, égoïsme, etc). Et donc hier, j’ai cédé, il faut dire que la veille, son rendez-vous chez l’orthopédiste n’avait pas été des plus réjouissants, vous reprendrez bien pour 6 mois de corset, mademoiselle, bref, vous voyez le genre. En lire plus »

All green

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Je n’ai jamais été une fille à baskets. Je crois que je les associe beaucoup trop au sport et surtout, soyons claire, ça me tasse. D’une manière générale, quand on atteint péniblement le mètre soixante-trois et qu’on n’a pas été particulièrement dotée pour tout ce qui est jambes fuselées, les baskets ont tendance à faire ressortir ce qu’on n’apprécie pas le plus chez soi. Et en même temps, il n’y a rien que je trouve plus séduisant qu’une femme en jean baskets, je crois. Il y a quelque chose de presque vulnérable, dans cette façon de ne pas se cacher derrière des talons, quelque chose qui rappelle l’enfant qu’on a toutes été. Il y a quelques jours, alors que je passais devant une boutique de runnings, je les ai vues. Ces fameuses Stan Smith que toute blogueuse qui se respecte se doit d’avoir dans sa penderie – quand elle n’en possède pas toutes les déclinaisons, rouges, bleues, graou et cie. Ayant la personnalité d’un bégonia pour toutes ces choses, j’étais tentée depuis des lustres, pas parce que j’en avais ado – comme c’est le cas pour Violette par exemple (ma muse Stan Smith), ou ma copine Béa (ma muse fashion de toute mon adolescence) – mais juste parce qu’au delà de leur fort pouvoir iconique, je les trouve jolies. Ou juste donc à cause de ma capacité à être influencée. Toujours est-il que ce jour là je suis entrée dans la boutique – ça nous arrive parfois à nous les blogueuses, si si – et je me les suis offertes. En lire plus »

Graou…

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Je sens qu’avec mes confessions mycosiques, j’ai légèrement écorné ce glamour qui pourtant m’auréole depuis toutes ces années de blogging. D’où l’a nécessité de réhabiliter mon fashion statement illico presto. Du coup de matin j’ai dit au churros, vas-y, prends moi au débotté. D’enthousiaste et chaud bouillant (avec mes oreilles en chou fleur ça n’a pas été la fête tous les soirs ces derniers temps) il est devenu totalement désabusé quand je lui ai collé mon joujou extra dans les mains, à savoir mon Reflex Nikon 7000. Du matos de compétition à dix mille dollars avec lequel il est parvenu à prendre péniblement trois clichés sauvables quoi que flous.

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un mari photographe.

« Non mais baisse toi je ne peux pas t’avoir en entier dans le cadre », m’a-t-il engueulée sur le pallier. D’où cette pose ridicule qui donne l’impression que je vérifie que j’ai toujours des pieds.

Pas très grave, l’idée n’était pas de montrer ma trombine mais deux nouvelles venues dans mon dressing (= un portant en phase terminale).

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Le bonheur est dans le combi

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On a de drôles de peurs parfois dans la vie. Parmi la foultitude qui m’assaillent quotidiennement, il y avait la celle-ci: ressembler à un rôti dans une combi. Tout en convoitant de tout mon corps (la blogueuse est un être passionné) ladite combi. A force de lire ça et là qu’il n’y avait rien de plus pratique, de plus seyant, de plus classe en toute circonstance, je me la rêvais (non mais sans déconner, une fringue qui fait à la fois le haut et le bas et qui du coup fait disparaitre le dilemme matinal et quotidien de quoi va avec quoi ! What else ?).

J’étais donc en proie à des doutes très affreux quand vendredi, je ne sais pas, prise d’un courage étonnant, je me suis dit qu’après tout, on ne vit qu’une fois. Et j’ai donc commandé cette petite chose chez Asos. Lorsque je l’ai reçue hier, j’ai su. On était faites l’une pour l’autre.

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Cyber-soldes

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Ces trois derniers mois mes enfants se sont visiblement donné le mot pour pousser comme des champignons (la chérie, si elle me lit, va me rétorquer que non, pas elle, mais si, quoi qu’elle en pense, la demoiselle a elle aussi des pantalons feu au plancher). Résultat, les soldes je les leur ai consacrées quasi exclusivement, n’ayant pour ma part pas le prétexte d’avoir grandi pour me lâcher sur l’internet (je ne sais pas à quand remonte ma dernière virée en boutique, si l’on exclut Monoprix (qui est opportunément (ou pas) situé sur le trajet qui me mène à l’école de Rose) et H&M (caverne d’ali baba de la chérie)). De toutes façons franchement avec ce temps, je ne suis pas super motivée. Mais si je l’étais, je me laisserais tenter par ces petites choses, d’ailleurs je pense que la robe longue grise va quand même finir par atterrir dans mon panier virtuel.

Bonnes vacances à ceux et celles qui décollent dès ce we. Cette année pour ma part les vacances vont être en pointillé, avec trois ou quatre jours à la frontière espagnole en juillet pour le churros et moi et deux semaines en famille/with friends en Grèce 15 au 30 août. Grosse infidélité à la Corse cette année, je pense que ce n’est que partie remise pour 2014, l’idée de ne pas y aller me rend toute nostalgique (j’ai de gros problèmes). Bref, en somme vous allez m’avoir sur le dos quasiment tout l’été…

Ah et bon anniversaire à mon papa…

#1 : Bague étoile chez Asos, 50,37 euros – #2 : Pull ajouré fluo, 27 euros – #3: Tee Asos, 24,52 euros – #4:  Jean à pois, 34 euros – #5: Slippers à pailettes, 51 euros – #6: Montre bambi trop kitsch, 44,20 euros – #7: Robe à pois très Sofia Loren, 18 euros – #8: Mes shoes JB Martin , 110 euros (j’envisage d’en racheter une paire tellement j’y suis confort) – #9: Robe tout mou tout doux, 29,16 euros – 10 : Top American vintage, 67,50 euros – #11: Collier plastron bling bling, 29,16 – #12 : Robe de plage et de cocktails le soir, rose, of course, 19,50 euros – #13: Shoes qui brillent Georgia Rose, 77,40 euros – #14: (ben y’en a pas c’était pour voir si vous suiviez) – #15: Manchette type « hipanema » (sauf qu’elle coûte 10 fois moins cher), 11 euros