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Mes dix endroits préférés à Paris

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Chose promise, chose due, voici quelques uns de mes endroits préférés à Paris. Forcément, installée depuis dix ans rive gauche, au sud du sud de Paris, pas mal de mes « spots » se trouvent non loin de mon quartier. Mais j’ai gardé une affection particulière également pour les arrondissements dans lesquels j’ai vécu, même si j’ai moins l’occasion d’y retourner. Ce qui ne m’empêche pas de systématiquement faire un petit détour par la rue du Grand Prieuré dans le 11ème lorsque je vais chez ma gynéco que je n’ai jamais réussi à quitter. C’est dans cette petite ruelle que nous avons emménagé ensemble pour la première fois avec mon churros et c’est dans cet appartement qui nous semblait alors immense – plus d’une pièce, quoi – qu’ont été conçus mes twins. C’est là que je les ai couvés, avant de partir pour plus confortable, rue de Charonne. Si je remonte encore plus loin, j’ai un pincement au coeur dès que je pense à la place des Batignolles où je créchais dans un studio, l’année où nous nous sommes rencontrés. Ou au quartier Guy Moquet, mes années cohabitation entre copains et période interlope, quand je buvais des coups avec le Président de Groland, rue Ganeron ou que je faisais des rencontres et plus si affinités Chez Camille. Vous l’aurez compris, dix lieux c’est bien trop peu pour dire tout mon amour de cette ville à nulle autre pareille. Mais je vais quand même essayer… (et tricher un peu, vous allez vite vous en rendre compte). En lire plus »

Je suis parisienne ça me gêne, ça me gêne…

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C’est semble-t-il à la mode ces derniers temps dans les magazines ou sur les blogs de dresser le portrait de la Parisienne type. Honnêtement, je ne sais pas qui se reconnait dans ces caricatures, décrivant plus précisément une sacrée connasse qu’une habitante de la capitale. Non parce que guess what, on peut vivre ici et avoir d’autres préoccupations que celles d’entrer au Baron, d’avoir « sa » table au Flore ou d’attendre un an avant de convier une nouvelle amie dans sa maison du Luberon. En fait c’est assez étrange comme à chaque fois que je lis ces papiers j’ai l’impression que ça n’est pas « LA Parisienne » qui est décrite mais une espèce d’hologramme d’Ines de la Fressange, papesse auto-déclarée du bon goût et de l’élégance pour qui sortir du triangle « Louvre – Tuileries – Montaigne » est aussi risqué que de partir en week-end à Bangui. En lire plus »