Mois : mai 2008

Partir, c’est vomir un peu

 La dernière fois que j'étais partie en goguette, il me semble me souvenir que tu avais adoré suivre mon périple pas à pas. Je te comprends, ma vie est en effet fascinante. Pas au point de celle de Pénélope bien sûr, mais quand même.

 

Du coup, je ne résiste pas à l'envie de t'offrir à nouveau une tranche de mon quotidien et de te donner oui, te donner, parce que chez moi c'est comme ça qu'on est, un peu de ce soleil du nord qui pour une fois n'était pas que dans le coeur des habitants de cette région désormais célèbre…

 

 

Oui, ce furent deux jours merveilleux. Pourtant, je peux te l'avouer, ça avait plutôt mal commencé. Enfin, mal. On va dire qu'il faut toujours un commencement et qu'en général en ce qui concerne ma sympathique petite famille, ce commencement est rarement guilleret.

 

D'abord parce qu'on déclare toujours la veille à qui veut l'entendre qu'à 8h du mat on sera partis et que forcément du coup, lorsqu'on regarde notre montre au moment de démarrer et qu'il est 10h45, heure présumée de notre arrivée, il y en a toujours un pour chercher le coupable de ce retard. Forcément celui ou celle qui est désigné(e) est rarement d'accord pour endosser toute la responsabilité de ce léger décalage dans le planning.

 

Ensuite, l'engueulade commence porte d'Italie. Lorsque l'homme, seul maitre à bord puisqu'ayant réussi au terme d'un travail de sape de douze longues années, la main posée sur le frein à main, à dégouter définitivement son épouse de la conduite, demande paniqué à ladite épouse – qui a mal au coeur dès qu'elle regarde une carte en roulant: "putain, merde, c'est le périf extérieur ou intérieur qu'on doit prendre pour Le Touquet ?".

 

Question à laquelle, invariablement – quand je dis "invariablement" c'est quelle que soit la destination parce qu'on ne part pas tout le temps au Touquet voire même c'était la première fois – je réponds, passablement irritée: "heu, Thierry Sabine, quand on part, on regarde son itinéraire AVANT de s'engager sur le périph, ce n'est pas faute de te le dire à chaque fois il me semble. Que veux-tu que j'en sache moi ? C'est marqué nulle part le Touquet, là, hein.".

 

D'habitude, l'homme grogne dans sa barbe que je pourrais être plus aimable tout en étant bien obligé de reconnaitre que de se renseigner sur le chemin à prendre eut été malin voire astucieux. Mais cette fois ci, il a innové. Après que je lui ai donc fort gentiment rappelé qu'un bon conducteur étudie toujours le plan quelques heures avant le départ, il a dégainé fier comme un coq douze pages de ViaMichelin: "Ah ! Et bien figures-toi que justement je m'améliore. Regarde, cette fois-ci j'ai regardé le chemin. Alors lis et dis-moi". Oui parce que tu vois, l'homme, il s'améliore mais de là à imaginer qu'il ait l'idée de LIRE ce qu'il a imprimé, faut pas non plus jeter mémé dans l'eau du bain.

 

Alors oui, bonne idée, le coup de la recherche internet. Sauf que va déchiffrer Via Michelin alors que tu as deux secondes pour décider du sens dans lequel tu dois prendre le périph et que Jean-Claude derrière toi klaxonne à qui mieux mieux comme si sa vie en dépendait. Sachant qu'en plus, ViaMichelin serait capable de te faire perdre ton chemin alors même que tu te rendrais à pied chez ton boulanger, rapport qu'il te dit de prendre la N146 et que JAMAIS c'est écrit nulle part le numéro des routes, putain. Moi en tous cas ça fait depuis 1985 que je n'ai plus vu une borne kilométrique. En plus je te le rappelle, en voiture j'ai mal au coeur. Et je suis enceinte. Ce qui n'a peut-être aucun rapport mais quand même.

 

Donc forcément, arrivés en plein milieu de Sarcelles – à proximité du Touquet c'est bien connu – et  alors que nous ne trouvions nulle part la D578 à prendre sur 12m50 avant de récupérer la N115 sur 200m, on a quelque peu échangé des propos peu affables quand à l'avenir peu prometteur de notre mariage.

 

Ce qui a instantanément fait vomir ma fille.

 

Pour la deuxième fois. La première c'était porte de Bercy, mais ça, ça ne compte pas, c'est en quelque sorte une tradition, une façon de baptiser le voyage, un gri-gri.

 

Je te mentirais à ce stade de mon récit en prétendant que j'ai bien digéré la chose  (digéré… vomi, hin hin hin) et qu'il ne m'a pas pris l'envie de sortir de la voiture et d'abandonner séance tenante homme, enfants et bassine à quiche. Je te mentirais également si je te racontais que j'ai tendrement consolé ma fille tout en lavant la bassine en question avec le reste de la bouteille d'eau prévue pour tout autre chose. Oui je te mentirais parce que la vérité c'est que je me suis contentée de décrèter sans aucun sens de la tragédie que le week-end était terminé, qu'on rentrait à la maison parce que là très franchement, entre Sarcelles, l'odeur de gerbis et la perspective du divorce alors que number three n'était même pas née, c'était trop pour une seule femme, surtout dans mon état parce que tout de même, je n'étais peut-être pas assez chiante et que du coup tout le monde avait l'air de l'oublier, voire de carrément s'en foutre, mais je suis enceinte, quand même. Après j'ai un peu pleuré mais là aussi ça ne compte pas, toujours ce truc des traditions à respecter.

 

A suivre…

Vive les ponts et les viaducs !

 Ce blog est en week-end prolongé, en pont, en viaduc. Avant de m'eclipser, direction la mer du Nord – seul endroit où il restait une pauvre et esseulée chambre d'hôtel – je vous souhaite de profiter de ces jours pré-estivaux.

 

Mais comme je vous aime et que vous le valez autant qu'Andy Mc Dowel, je vous livre mes conseils beauté pour ces quelques jours – beh oui, pourquoi que j'en donnerais pas moi des conseils beauté ?

 

 

 

Allongez-vous dans l'herbe – à Paris je vous rappelle que maintenant les pelouses sont autorisées et ça merci Tibéri, ben oui, je crois que c'est à lui qu'on le doit, comme quoi personne ne peut avoir un oeil de verre et une jambe de bois à la fois. La fin de cette phrase risque de n'être comprise que par deux personnes mais après tout parfois, on peut se livrer à quelques private jokes, non ?

 

Enfilez-vous un bouquin, même un moyen, pour le plaisir d'avoir du mal à le refermer et pour cette délicieuse impatience qui vous étreint au moment de le rouvrir. Si vous n'avez pas d'idée, je vous conseille un classique du genre, un que si vous ne l'avez pas encore lu vous avez de la chance: "Les divins secrets des petites yayas". Sinon je viens de finir la saga de Katerine Pancol, les crocodiles et les tortues. C'est à mon sens mal écrit et sans aucune valeur littéraire mais ça me fait mal aux fesses de le reconnaître, je les ai avalés tout crus. En même temps je te rappelle que je regarde les feux de l'amour assez régulièrement.

 

Etirez-vous comme un chat dès que vous le pouvez, si possible dans des draps propres que vous aurez préalablement vaporisés d'une huile essentielle si possible ultra rare et disponible uniquement dans une petite ferme bio du Lubéron, voire de l'Arkansas.

 

Buvez des litres d'eau citronnée, certes ça ne sert à rien mais vous pourrez crier à la cantonnade que vous êtes en pleine détox et ça franchement ça, ça impressionne.

 

– Concoctez-vous de délicieuses brochettes de melon/pastèque/patta-negra et prétendez très vite que vous êtes totalement rassasiée. Une femme qui n'a plus faim après deux trois morceaux de melon semble toute de suite plus mince.

 

– Tachez de caser vos enfants chez des imprudents qui, un jour, ont lancé incidemment, les malheureux, qu'ils seraient ravis de vous les prendre un week-end (si ces imprudents n'existent pas fourguez la marmaille à votre mère qui n'attend que ça même si elle ne le sait pas).

 

– Tapez-vous un bon vieux film de fille bien merdique genre "27 robes" – que j'ai vu, si si, et qu'en plus j'assume – dans une salle désertée par tous ces crétins qui s'entassent sur les plages de la mer du Nord et savourez-le plaisir d'une glace pleine de fudge au chocolat, brownies ou de dulce de lece. Une femme qui mange de la glace au cinéma et qui en jouit parait tout de suite plus sensuelle.

 

– Faites l'amour, surtout l'après-midi, les volets tirés et la fenêtre ouverte.

 

– Si pour une raison indépendante de votre volonté il vous manque un ingrédient pour suivre le précédent conseil, peignez-vos ongles, de n'importe quelle couleur pourvu que ça pète, mettez des talons, enfilez un string, chaussez vos plus belles sunshines et baladez-vous dans les rues ensoleillées en vous répétant à l'envie que vous êtes une sacrée bombe. Si en plus c'est Tom Jones qui vous le susurre dans votre oreillette, c'est encore mieux.

 

Bon week-end…

 

Edit: Je souhaite un merveilleux anniversaire à Mère-Grand qui fête aujourd'hui ses tuit ans et qui évidemment ne les fait pas du tout. Merci pour votre présence, votre enthousiasme et votre éternelle jeunesse…

 

Edit2: Certains de ces conseils ne sont en aucun cas valables, à vous de trouver lesquels…

Allo Freud ?

 La nuit dernière, j'ai rêvé de mon bébé. C'était la première fois. Elle avait un visage qui ressemblait en tous points à celui de ma fille. Mon aînée je veux dire. C'était elle, en bébé. Mais pas le bébé qu'elle a été, non. Un bébé avec ses yeux et sa bouche de maintenant, quoi. C'est clair ?

 

Rien de très extraordinaire en somme. Normal, j'imagine, que mon subconscient n'ait pas assez d'imagination pour lui donner des traits inconnus.

 

 

En revanche, ce qui m'a hantée toute la journée, c'est que dans mon rêve, je me levais, j'arrivais dans mon salon et je découvrais mon enfant. Elle avait déjà quelques jours et était dans les bras de son père. Et moi, je ne l'avais jamais vue jusque là. Je me souviens que c'était douloureux de m'apercevoir que je n'avais pas assisté à sa naissance. Ensuite, je la mettais au sein et c'était incroyablement bon.

 

La dernière chose dont je me souvienne enfin, c'est qu'après, je croisais le regard chargé de reproches de mon aînée qui semblait se sentir trahie et triste, triste…

 

A part ça, tout va bien docteur. Je travaille intensément sur cette histoire de culpabilité. Et vraiment, je vous assure, j'ai totalement digéré la naissance un poil compliquée de mes premiers enfants. Si si, je vous jure, je ne m'en veux plus, je ne suis plus malheureuse quand j'y pense et d'ailleurs je n'y pense plus.

 

Si je vous le dis, merde, alors !

Va voir à Pondichéry si j’y suis

 Tu es jeune ? Tu as passé les six dernières années de ta vie à bucher comme un taré pour devenir ingénieur ? Tu n'as pas encore trouvé le job de tes rêves ? Et bien sois rassuré, l'ANPE a pensé à toi…

 

 

Tu peux si tu le souhaites et que tu n'en veux, partir découvrir les charmes de l'Asie et avoir pour le même prix un bon empoi. A Pondichéry, en Inde. Pour la merveilleuse somme de 300 euros par mois. Maximum. Parce que si ton profil n'est pas tip top ça peut éventuellement descendre jusqu'à 160 euros. Bon, à ce tarif, il ne faut pas non plus espérer avoir la sécurité sociale. L'ANPE est sympa mais ce n'est pas mère thérésa non plus. Pour ce genre de détails de toutes façons, il faudra négocier. Et oui mon petit, il ne faut pas croire que tout va te tomber tout cru dans la bouche, hein.

 

Tu es un peu perplexe ? Tu trouves que 300 euros par mois ça risque de poser un léger problème, à cause de l'argent ? Et bien je trouve que tu exagères. Comme l'explique très bien le patron de l'ANPE, il faudrait peut-être que tu réalises que c'est déjà bien plus élevé que le salaire moyen d'un indien. Et que là bas, avec un tel salaire, tu pourras vivre comme un nabab. Sans mauvais jeu de mots.

 

Quant au reste, franchement, si à moins de trente ans tu en es déjà à te lamenter parce que tu n'es pas assuré de voir tes frais médicaux remboursés, c'est que tu n'es décidément pas un jeune qui n'en veut. Et là, j'ai envie de te dire, la France ne peut plus rien pour toi. L'Inde non plus d'ailleurs. Quant à l'ANPE, comment te dire… Elle t'emmerde.

C’est reparti pour le top

Bon, pour tout te dire, t'es pas hyper nombreux à bosser aujourd'hui, en tous cas la semaine dernière, si j'en crois mes stats – que je ne regarde jamais bien évidemment, c'est d'un vulgaire de regarder ses stats franchement – t'étais pas mal en vacances, bande de petits salopards. Et vu que là c'est pas un pont qui s'annonce mais un viaduc, m'est avis que certains auront peut-être eu l'idée de rester sur leur lieu de villégiature. Et ils auront eu bien raison. D'autant que cette année les jours fériés sont un peu du côté du patronat. Sans rire, d'où c'est autorisé que le 1er mai ça tombe le jour de l'ascension, hein ? Il en dit quoi l'esprit saint à ton avis ?

 

Bref, pour toi et toi et toi là bas qui êtes au turbin, voilà un petit top five, parce que nous le valons bien.

 

1 – Le type qui faisait la manche dans le métro vendredi et qui après être passé à côté de moi s'est exclamé: "surtout ne maigrissez pas vous êtes parfaite". Merci. La vie est formidable. Quand je ne suis pas enceinte on me laisse une place dès que je monte dans un bus et quand je le suis, on pense que je suis juste grosse. Non, vraiment, merci, en plus ce n'est pas comme si j'étais légèrement en panique quant à mon sex appeal. Ni comme si j'étais à ce moment là accompagnée de l'homme.

 

2 – Ma fille à la piscine – reprends tes esprits les gens, oui, je suis allée à la piscine samedi, même que c'était avec l'homme et les lardons – qui s'est écriée juste devant une dame très comme il faut, le genre qui n'a jamais chopé ni chtouille ni poux: "mamaaaaan, quand je marche pieds nus sur le carrelage ça me fait trop mal à mes verrues, surtout que j'en ai CINQ, regaaaaarde, y'en a une qui est ENORME !". Après il a fallu expliquer à petite chérie que bon, normalement, quand on a des verrues, on ne va pas à la piscine. Ou alors on y va mais on ne le dit pas, qu'on a ce truc hyper contagieux sur la plante du pied. Comme pour les poux, en somme. On traite mais en silence. Ce sont des choses qu'on garde pour nous. "Oui mais maman, si on le dit pas alors les autres enfants ils risquent d'en avoir aussi et de pas le savoir, et de les redonner aux autres ?". Oui, mon coeur, c'est vrai. Mais ta maman a fait une fois la bêtise d'aller annoncer fièrement à l'institutrice que sa progéniture était infestée. Et a subi les regards courroucés de tous les autres parents pendant des semaines, comme si elle était LE cheval de troie des poux et qu'avant elle jamais au grand jamais une telle horreur ne s'était produite dans l'établissement. Alors depuis, motus. Et fuck la solidarité. Surtout quand on est seule à être solidaire, ça ne sert à rien.

 

3 – La collection de ballerines de Carla. C'est bien la peine sérieux d'avoir passé sa vie à entretenir une image de sex symbol pour se retrouver à même pas 40 ans à jouer les Bernadettes en claquettes. En plus je ne veux pas dire mais il semblerait que ses pantalons n'aient pas été prévus pour être en tatannes. Et que du coup, ben la Carla, elle se retrouve un peu avec le même problème que nous autres, à savoir que sont futal, elle marche dessus. Va falloir faire des ourlets ma chérie, si dans ton contrat de mariage les talons sont bannis…

 

4 – Le nouveau médicament miracle prescrit par mon médecin et qui a supprimé d'un coup d'un seul toutes mes brûlures d'estomac. La bonne nouvelle c'est que je peux recommencer à m'alimenter. La mauvaise nouvelle c'est que j'ai recommencé à m'alimenter.

 

5 – La bouille de ma squatteuse à l'échographie vendredi. Je n'en avais pas parlé mais il y avait quelques inquiétudes quant à sa croissance, la demoiselle paraissant un peu/beaucoup trop petite lors du précédent examen. Alors forcément, de constater qu'en réalité tout allait très bien, que la miss avait d'ores et déjà la tête en bas et le coeur à ma gauche – brave enfant – et que faute d'être géante elle faisait son petit bonhomme de chemin, tranquille sans emmerder personne, disons que cela nous a sacrément rendus heureux. Même que juré, elle a esquissé un sourire. Ou pas. Mais après tout, on peut y croire, non ?

 

Edit: Ce soir, vu que donc nobody is in Paris, la prod (ouais c'est classe hein) a décidé de faire une fleur à ceux qui auraient envie d'aller au théâtre malgré tout et les places sont à 5 euros. Vous pouvez les reserver ici: http://www.sortiratousprix.net/liste.php?recherche=Stephane+navarro&image2.x=22&image2.y=12 ou ici: http://www.billetreduc.com/15450/evt.htm

A chier

 Bon comme promis mes lapins, voici un minute par minute de l'émission d'hier. Fait à partir de mes interventions brillantes sur LePost. Mais sans la répartie de mes trois compères, c'est moins drôle. Donc je ne saurais que vous conseiller d'aller faire un tour sur le Live, ICI.

 

Mais comme la foule en délire (= deux personnes) me réclament à corps et à cris mon billet quotidien, le voici…

 

Edit: Bon, hier, comme dit Will/Ron, c'était une spéciale José Dayan sur LePost. On a un peu dévié du concept et on a choisi une thématique légèrement lesbienne pour la soirée. En vous remerciant pour votre ouverture d'esprit.

 

20h49 Ouah, j'ai l'impression que c'est soirée Denim

 

20h50: Gagné, c'est 100% jean. Ouais, Will,  on peut le dire que j'ai 28 ans, même pas honte. Et puis 21 ans, personne n'y croyait.

 

20h51: Ah, cette fois ci Lio a un soutien gorge, elle tient d'ailleurs à nous le montrer…

 

20h53: On peut le dire que Virginie semble s'épanouir de praïme en praïme ?

 

20h54: Ouh là, Jules se met en danger, il va chanter Bagdad Café.

 

20h55: Dites, Jules, c'est pas le fils caché de dave et françoise sagan ?

 

20h57: Mouais…  Bof. Le refrain ressemble à la complainte du constipé

 

20h59:  Ils ont eu un forfait de groupe chez Maniatis, le jury, non ? Lio c'est particulièrement réussi. Sinon, Jules j'accroche pas, mais pas du tout. ça sent la copie d'une reprise, sa version de Bagdad Café.

 

21h00: Je prévois néanmoins des bleus, c'est très concept 2008.

 

21h01: Lio est en forme. En plus son lipstick est raccord avec son soutif. Classe.

 

21h07: Lucille c'est pas des vrais tatouages ses étoiles, dis-donc. Sinon, elle n'apporte rien à la chanson d'Olivia Ruiz, si je puis me permettre, en tant que futur membre du jury.

 

21h12: Lio, toujours aussi élégante vient d'envoyer un scud à Olivia Ruiz. Ma pauvre chérie, ce n'est pas parce qu'elle elle vend des disques qu'il faut être aussi mauvaise, hein. Sinon Dédé a pensé comme moi, il met un rouge à Lucille, notre amour a de beaux restes.

 

21h14: Lio elle me gonfle avec son "côté rock". C'est pas Blondie, Lio, hein.

 

21h17: Petit reportage en pasant sur Cindy, faut bien faire remonter l'audience. Cindy, je veux ton jean.

 

21h19: Dédé est chafouin, je le sens. Il n'a plus de copains.

 

21h20: "J'ai entendu dire que Benjamin était très musclé", susurre Virginie. Virginie, tu devrais le savoir à ton âge que c'est pas un muscle, ma chérie.

 

21h21: Non mais d'où faut qu'il bouge, Benji ? Il sent la fesse même immobile.

 

21h25: Ron dit que ça se voit rien qu'à sa tête qu'il a un gros bazar. Moi je dis que ça se voit rien qu'à son entrejambe. Sinon la chanson, ouais. Je sens que je la connais, mais en même temps, non. Concept 2008.

 

21h29: Dire que j'ai 28 ans… Sinon je lui ferais sa fête.

 

21h44: Christov avec un K chante confidence pour confidence. Vive le second degré.

 

21h45: J'ai honte pour lui, il est grotesque.

 

21h46: C'est Sinclair qui peut être content de lui avoir conseillé de se lacher. Félicitations, bien joué.

 

21h47: Dédé en fait y'a plus rien entre nous, tu peux pas lui mettre un bleu.

 

21h48: Heu, on peut peut-être le laisser repartir non ?

 

21h49: Ah ben non, il veut qu'on continue, il se compare à Queen. Ok, allez-y, achevez le.

 

21h50: Minute Wikipedia Manoeuvre sur les Rita. Ou le réveil de Fifi.

 

21h51: Amandine et Benjamin. Miam. Les rita en plus.

 

21h52: Non mon chéri je te jure que je n'ai pas perdu les eaux.

 

21h53: Je n'assume pas le 21h52 en fait. En même temps Benjamin donne encore un coup de rein et je ne réponds plus de rien.

 

21h54: Vocalement en revanche ça casse pas des barres.

 

21h55: Parait qu'on dit qu'Amandine est lesbienne.

 

21h56: C'est normal que ça m'excite ?

 

21h57: Au tour de Mister Camif. Vl'a qu'il revient sur son histoire avec Céline la fille des auditions. Pff, vive la starac moi je dis.

 

21h58: Ok, j'éteins la lumière Cédric. Et je te montre mon côté sombre. Même si depuis que je sais que t'as voulu faire l'ile de la tentation… bof.

 

21h00: Pff, à bien réfléchir, y'en a aucun qui me fait des guilis au zizi à part Benjamin mais à cause de cette légère différence d'âge j'assume pas.

 

21h01: Rendez-nous Jérome Pitorin.

 

22h11: Le jury 2009 est sens dessus dessous avec ces histoires d'amour lesbien. Il est ok pour que ça m'excite. Aussi pour regarder.

 

22h14: Voilà Birdy. Je ne peux pas, sorry Ycare, tu me gonfles. En plus je suis moyennement d'accord avec ton balayage.

 

22h21:  Dédé et Philou se rejoignent enfin les biquets et lui flanquent un rouge. Et pan, encore un sale coup de Lio, cette fois-ci c'est pour Raphaël. Elle est mesquiiiine.

 

22h26: Lio elle a envie de tirer les cheveux de Virginie rapport que c'est pas elle que les garçons ont invité à danser. Pauvre Lio. Elle avait pourtant mis un soutien-gorge.

 

22h29: Prends de la hauteur, Wanda. Fais comme tes seins.

 

22h30:  Il est pas un peu lesbienne Thomas ?

 

22h33:  Le jury 2009 hoche la tête. c'est dans la poche pour toi Thomas.

 

22h34: Lio parait qu'elle a déjà fait un show années 80 avec… cindy sanders.

 

22h35: Thomas est coiffé comme carrie bradshaw

 

22h36: Dédé fait du reflux.

 

22h37: Il faut sauver le soldat Lio. Cotisons nous pour lui offrir un sex toy.

 

22h45: Heu, c'est PPDA qui a maquillé Amandine ou bien ?

 

22h48: Faut qu'elle arrête avec sa main on dirait qu'elle qu'elle a un Gilles de la tourette.

 

22h51: Le jury 2009 est lesbienne je crois.

 

22h52: Dédé aussi veut brouter la pelouse.

 

22h54: Mariaaaaaaaanne ! Reviens merde ! Toi quand tu pleurais je pleurais avec toi. Là, je suis juste gênée.

 

23h04: Les candidats reprennent Umbrella en verson rock. Ras-le-bol du concept 2008.

 

23h05: Oué, c'est le moment de Maitre Nadjaaaar ! Le mec qui joue sa life sur une phrase. Moi je veux qu'un jour on nous parle vraiment de Maitre Nadjar.

 

23h06: Il va nous dire que c'était très serré.

 

23h07: Allez, salut cristoph avec un Q

 

23h08: Ah, kristov termine tout en finesse. Il veut aller faire popo. Merci pour cette tentative d'humour punk, mon garçon. Tu es juste humilié jusqu'à la fin de tes jours. En même temps moi ça fait un mois que je dis que tu as besoin d'aller démouler ton cake.