Il reste des portes à ouvrir

DSC_0526.jpg_effected
Ces derniers temps, j'apprends. J'apprends une autre forme d'écriture, pour un projet dont je ne sais pas vraiment s'il se concrétisera un jour mais qui m'accompagne depuis un bon bout de temps déjà et qui me tient pas mal à coeur.

Je ne suis pas seule sur ce coup là, il y a une belle personne, "tombée" – du ciel – sur ce blog par hasard, qui m'accompagne, me porte même parfois et qui, je crois, y croit.

La preuve en est qu'elle m'a permis de travailler à cette écriture différente avec une personne dont c'est le métier. Et cette dernière m'apprend, donc. On ne se voit pas beaucoup, mais nos deux trois séances ont été plus profitables que n'importe quel cours magistral.

Quand je suis ressortie la dernière fois d'une de ces sessions studieuses, je me suis sentie comme nourrie. J'avais, il me semblait, compris des choses, ouvert des portes de mon esprit, structuré des idées.

Au delà de mon espoir infini que ce projet puisse voir le jour, je suis surtout ravie de cette opportunité qui m'est offerte d'explorer ces terres inconnues.

Heureuse aussi d'avoir l'occasion de bosser ces derniers temps – qu'il s'agisse de ce dossier classé top secret ou de mes collaborations journalistiques – pour des personnes inspirantes que j'ai envie… d'épater.

J'ai bien conscience de ce que cela peut révéler de mon côté "petite fille qui veut plaire à la maitresse", mais j'ai toujours eu besoin de me trouver des mentors. A l'école et à l'université comme au boulot. Quitte à les idéaliser d'ailleurs. Ou pas. Ceux qui ont joué ce rôle depuis 15 ans que je bosse ont en effet rarement dégringolé de mon panthéon personnel, alors que ceux avec lesquels j'ai dans l'instant su que ça ne collerait pas, n'ont jamais gagné ma considération.

L'idée du billet, au cas où ça n'était pas clair, c'était de me réjouir qu'à 40 ans on puisse encore éprouver cette vertigineuse sensation de bénéficier d'une certaine marge de progression. Je découvre probablement le fil à couper l'eau tiède mais il se trouve que je n'en étais pas certaine jusque récemment.

62 comments sur “Il reste des portes à ouvrir”

  1. Tite_bulle a dit…

    Mon père disait « mes meilleurs souvenirs sont pour demain ». J’ai l’impression que cela s’accole à ce que tu dis ici.

    Si je peux encore abuser de vos bonnes ondes j’ai la défense de mon mémoire ce matin. Je stresse à mort ! Savoir qu’il y a qq ondes positives pour moi vers 9 ans m’aidera sûrement.

    Bisous !

    Répondre
  2. Cetroinzust a dit…

    Les mentors qui font avancer, qui donnent envie de se depasser, ca me parle bien. J’en ai eu a la fac (pas en these en revanche) et je crois bien que j’en ai retrouve. C’est bon de se sentir ainsi poussee, portee a donner le meilleur de soi-meme.
    Cette marge de progression, je crois que c’est aussi ca qui m’a poussee vers le metier de chercheur : il y a toujours une autre question a se poser, d’autres connaissances a acquerir, des techniques a developper, une (quasi) infinite de choix. C’est passionnant, grisant meme parfois.
    Bonne journee !
    Et des ondes (debarrassees des cendres de volcan chilien) a Tite_Bulle.

    Répondre
  3. nathalie a dit…

    Oui bonnes ondes ! je suis également au maximum du stress ayant repris à 47 ans le chemin de l’école et devant passer des partiels le 24 juin ! au secours ! que suis-je allée faire dans cette galère ! je suis plus âgée que la mère de certaines de mes « copines » !!!

    Mais j’avoue c’est bon de savoir que les neurones fonctionnent encore, le plus dur c’est la gestion du temps avec à la maison des enfants en exam eux aussi et un mari qui se lance dans un nouveau projet, et je dois bien l’avouer la peur de l’échec …

    Longue vie à tous les apprentissages, à tout âge ! on se reposera quand on sera mort !

    Répondre
  4. Axel a dit…

    Des portes qui s’ouvrent, des portes à ouvrir… à 40 ans ? Mais bien sûr !
    Et à vrai dire « le fil à couper l’eau tiède » ce serait une sacrée invention ! 😉

    Un projet top secret plus un projet que l’on devine, en belle compagnie, et accompagné d’espoir et d’un sentiment d’exaltation, bravo Caroline : ça donne aussi la pêche à celles qui lisent en prime !

    Répondre
  5. Virginie a dit…

    J’ondulerai à mort vers 9h. Promis.

    J’ai eu cette sensation très nette quand après un an à la maison, j’ai préparé le CAPES. Et puis aussi quand j’ai préparé le nouveau programme de seconde cette année. Apprendre, faire un travail proprement intellectuel après 10 ans de ronron, se décarcasser pour trouver le moyen d’enseigner des concepts complexes, c’est jouissif. Mes cours étaient très perfectibles mais ça fait du bien de s’y mettre.

    Répondre
  6. Sally a dit…

    Te voilà lancée dans une belle aventure à ce qu’on dirait. Bonne route Caroline !

    A 9h, toutes les ondes positives qu’il m’est possible d’envoyer iront vers Tite_Bulle !!

    Répondre
  7. Fofifonfec a dit…

    Pile le billet dont j’avais besoin ces jours-ci… Tellement vrai. J’en suis convaincue mais ça fait du bien à entendre, à lire, et de voir que je ne suis pas seule à croire à ça, de voir que ça arrive à d’autres.
    Un tas d’ondes à Tite_bulle.

    Répondre
  8. sarah babille a dit…

    Par mentors, tu parles bien d’admiration ? c’est ce que je comprends. J’ai toujours eu besoin d’admirer des personnes, pas besoin, mais j’admire et le fait d’admirer est quelque chose (m’en suis rendue compte ces deux dernières années) qui te nourrit aussi. Et apprendre…. Ah ! le vaste sujet… de dispute avec mon père. Il y 2 ans peu-être nous nous étions fâchés car il m’avait dit  » à 40 ans ta vie est tracée », ah ! que j’ai hurlé, moi comptable je voulais faire de mon hobby de rare pigiste, mon métier. Et il me disait arrête de rêver. J’ai reçu il y a quelque temps ma vraie carte de journaliste, j’ai mes maîtres de stage (à 40 ans, pas honte au contraire) et j’y arrive au bout de la formation de ce métier que j’ai rêvé de faire depuis mes 5 ou 12 ans… Bref, les personnes que tu admires qui te tendent la main, ça n’a aucun prix. Et apprendre, encore et encore… J’ai mangé avec Sophie/Fonelle qui me disait ce métier on peut le faire jusqu’à 85 ans, jusqu’au bout… C’est ce que j’ai dit en montrant la carte à monpère, tu vois je vais bosser encore plus longtemps que ce que j’ai fait jusq’à présent.
    Pardon, chère Caroline de m’étentdre dans tes comms… mais tu devances toujours mes pensées, fais ch…. ♥ ou pas 😉
    et ravie de découvrir quel bouquin tu vas nous sortir . (c’est pas ça ? ??)

    Répondre
  9. la chouette a dit…

    Des zondes pour toi, Tite_bulle, pour ceux qui continuent à suer sur leur bac ce matin, et pour tous ceux qui avancent, apprennent, progressent, grandissent!
    Superbe billet, Caro…hâte d’en savoir un peu plus.

    Répondre
  10. Geneviève a dit…

    Des ondes pour Tite_Bulle….
    Des ondes pour toutes ici.
    Ce projet « d’écriture autrement » m’intéresse drôlement (Je crois que c’est ta grand’mère Caro qui utilise ce mot, »drôlement »).
    Pour tenter de sortir de ma petite galère personnelle, j’écris. J’écris chaque jour et cela me fait du bien. J’ai en projet, ça y est, je le dis, un dictionnaire (plutôt un « glossaire d’une rupture ») et je rêve de trouver une belle personne qui m’aiderait et m’encouragerait concrètement…
    Vive l’écriture!

    Répondre
  11. mysukalde a dit…

    Je suis curieuse d’en savoir plus sur ce projet. Très beau post… Même si j’aurais aimé trouvé davantage de mentors sur mon chemin d’autodidacte.
    Plein d’ondes pour Tite Bulle

    Répondre
  12. berengere a dit…

    des ondes pour tite bulle pour commencer !

    et pour caroline….merci pour ce jloi billet ! il n’y a pas d’age pour apprendre je crois et admirer les gens qui ont cru en toi est un juste retour !

    quant au projet, c’est….un livre ? un scenario ????…ah oui je suis curieuse !

    bonne journee !

    Répondre
  13. Madame M a dit…

    Tant que l’on vit on peut apprendre, avancer, voir d’autres choses, comprendre, plaire, explorer. Ce billet prouve que les chemins de découvertes et les rencontres marquantes sont possibles quel que soit l’étape de sa vie.
    Je souhaite que ce projet réussisse.

    Répondre
  14. Tayiam a dit…

    Moi aussi, j’ai toujours eu besoin d’un mentor pour avancer. J’ai aussi ce côté « petite fille qui veut plaire à la maîtresse ». Est-ce vraiment un défaut ? A partir du moment où on en est conscient et que ça nous fait progresser, moi, je prends ! 🙂

    Répondre
  15. Poppins a dit…

    C’est drôle, car, il y a quelques jours de ça, je me suis dit qu’il était temps de changer d’entreprise, car je n’apprenais plus rien.
    Je n’arrive pas à me dire, que je ne peux plus rien apprendre, changer ou faire des rencontres décisives, ce serait comme une petite mort, et rien que cette pensée m’etoufffe, alors oui, faisons sauter les verrous, allons dans la vie malgré de multiples peurs (de se vautrer..)et n’arrêtons jamais d’apprendre..
    Bonne continuation dans tes projets, Caro, et Sarah Babille.. et tous les autres.

    Répondre
  16. leyleydu95 a dit…

    9h : prête pour envoi d’ondes tite bulle !!!

    Caro, je pense comme toi : c’est un des bonheurs de la vie d’apprendre de nouvelles choses chaque jour !

    Répondre
  17. Miss Olfiie a dit…

    Je suis comme ça aussi. J’apprécie d’avoir des mentors qui m’aiguillent vers des chemins inconnus ou vers des parties de moi-même dont je ne connaissais pas l’existence. je me dis également depuis quelques années que je progresse toujours et ça me fait du bien.
    Tite Bulle les bonnes ondes ont été envoyées, j’espère qu’elles sont arrivées à bonne destination 🙂

    Répondre
  18. M. de Hamburg a dit…

    9h13 : Tite Bulle doit être en plein dedans
    Alors encore des ondes encore des ondes!

    J’aime beaucoup le billet du jour, comme celui d’hier.
    J’adore la photo qui l’accompagne.
    Et comme toujours, tu as les mots justes pour exprimer les choses…

    Bon, je vous laisse, j’ai un mémoire non pas à soutenir mais à ECRIRE !
    J’espère que je me sentirai le cerveau « nourri » en fin de journée (j’ai adoré l’expression!)

    Bisous!

    Répondre
  19. Mariposa a dit…

    Je pense qu’à n’importe quel âge de la vie, il y a toujours des portes à ouvrir et des chemins à découvrir. La Terre est vaste et l’humanité riche. Je suis entièrement d’accord avec le père de Tite Bulle, nos meilleurs souvenirs sont pour demain.
    Je te souhaite beaucoup d’épanouissement et de bonheur dans cette nouvelle forme d’écriture.
    Mais bon sang, tu nous crées encore là un sacré suspens. Ne peux-tu en dire plus sur cette « forme d’écriture » ?

    Répondre
  20. jaydeedwa a dit…

    Ils m’énervent les gens avec leur « prem’s » !!!! Bon j’ai bon espoir de ne pas être décrépite à 35 ans alors, et de progresser toujours, et peut-être de voir fleurir mon roman. Bonne continuation !

    Répondre
  21. lyil* a dit…

    Un roman??
    J’ai hâte et je te souhaite bon courage.
    en tout cas, si le roman est à la hauteur du blog (même si cela serait dans un autre registre j’imagine), cela annonce beaucoup de plaisir en perspective!

    Répondre
  22. AnnedeStrasbourg a dit…

    C’est marrant, moi en ce moment ce serait plutôt le contraire, ça me stresse de voir tout ce que je ne sais pas encore, tout ce qu’il me reste à apprendre, ça m’énerve même…Fantasme de la toute-puissance et de l’omniscience, quand tu nous tiens! Du coup, je multiplie les achats de bouquins en tout genre, histoire d’apprendre (à bricoler, à faire du point de croix, à mettre au goût du jour mes connaissances sur la guerre d’Espagne…), sans réellement me plonger dans rien, écrasée par l’ampleur de la tâche!
    Merci pour ce billet, qui m’a permis de me formuler à moi-même ce qui me trottait dans la tête depuis quelques semaines, sans que j’arrive à mettre des mots dessus!

    Répondre
  23. Zézé a dit…

    D’ailleurs:
    CHERCHE MENTOR tout terrain, pour fille chaotique.

    Contacter Zézé, clic clic, URGENT.
    Bravo Caro pour toutes ces avancées; dans nos mains peut-être un jour?
    Bonne journée à tous et à la bourre pour @Tite Bulle, mais ouf, on respire sûrement mieux maintenant?

    Répondre
  24. Cath64 a dit…

    Ce fil à couper l’eau tiède, je l’ai découvert en fin d’année dernière, à 46 ans bien sonnés, quand je me suis retrouvée pour la première fois de ma vie, devant des élèves de licence dans un amphi… Je n’avais jamais enseigné de ma vie et j’ai réalisé, énorme cerise sur ce déjà joli gâteau, que j’aimais ça !
    Et ça a remis des projets professionnels en train, ça a regonflé un peu mon estime de soi qui en avait bien besoin et, surtout, ça m’a donné envie d’explorer de nouvelles opportunités.
    J’ai retrouvé un peu de ce sentiment de « tout est possible » que j’avais perdu avec mes 35 ans…
    Merci Caroline de m’avoir permis de mettre des mots là-dessus 🙂

    PS. L’auvergnate que je suis est ravie que tu ais parlé de la ferme Bellonte, hier : c’est un bel endroit, initié par de belles personnes, et leur fromage est bien l’un des meilleurs !

    Répondre
  25. isa-monblogdemaman a dit…

    Ton blog fait du bien parce qu’on y lit toujours du positif qui donne envie d’avancer. Pas du bougon qui marche à reculons. Passé la fanfaronnade, lorsque l’on se retrouve seul juste avec ce que l’on aimerait faire sortir, il est bon d’avoir des mentors !

    Répondre
  26. Véro75 a dit…

    Pardon, je ne vois pas le rapport entre le fait de vouloir épater et le fait d’en apprendre toujours plus. Mais je me fourvoie peut-être complétement sur le sens de ce billet.
    De même que, cette sensation (« de bénéficier d’une certaine marge de progression ») n’a rien de surprenant. Même à 90 ans on peut encore progresser, c’est une question d’état d’esprit et de volonté. Et ce n’est pas propre au journalisme ou à l’écriture.

    Répondre
  27. peggy a dit…

    peut etre plus difficile à trouver à 40 qu’à 20 mais définitivement indispensable à l’épanouissement pro/ intellectuel. Sinon tu te melonnes à mort, tu crois que t’es la meilleur donc tu passes plus les portes sans avoir des bleus sur les joues, ton parquet est tout niqué et ton boulot devient très mauvais car personne pour te chalenger un peu.
    Oye oye, je déclare le mentor d’utilité publique

    Répondre
  28. francoise a dit…

    Il me parle ce texte, la photo aussi d’ailleurs. Les circonstances de vie font que parfois on hésite à ouvrir la porte, parfois même on la cale consciemment avec de lourds cailloux posés savamment à ses pieds.
    Parfois les mentors que l’on rencontre croient à nos projets encore plus que nous. Alors que l’on garde certains apprentissages dans le domaine du rêve ou d’une autre vie, ces personnes arrivent à mettre dans notre esprit le « pourquoi pas », le « pourquoi tu n’y arriverais pas? « , le « essaie », le « ouvre la porte ». Et petit à petit ils restaurent par leur façon d’être notre confiance, ils nous tirent vers le haut, ils continuent à nous accompagner lorsque nous avons passé la porte et pris le chemin …

    Répondre
  29. catali a dit…

    Bonjour Caroline,

    Premier commentaire sur ton blog que je lis depuis … oufff déjà plus d’un an, ça y est, j’ose 😉
    C’est vraiment un réel plaisir de lire tes billets tour à tour, charmants, charmeurs, râleurs ou calins, mais toujours, toujours enthousiastes !!! … et un peu « crus » aussi ;D … bref, que du bonheur!

    J’ai fait le « grand saut » moi aussi et je retourne à l’école à 45 ans (déjà 2 ans… allez, encore un effort, plus qu’un an …si tout va bien) … Et C’EST TROP BIEN !!! … pas facile du tout (organisation, mémoire, différence d’âge, …) mais TROP BIEN !!! Par contre les mentors, pour l’instant, ben sont vraiment bien cachés 😀 mais j’en ai déjà rencontré et suis bien d’accord avec toi, oui, admirer un mentor ça permet d’avancer, de tenter des prises d’initiatives, ça permet de rêver aussi :))
    Alors,pour la petite histoire (si tu me permets? … oui, … merci :*) : 3 ans auparavant en cherchant des informations sur ma future formation, je suis « tombée » sur le blog de (ton ami) Will … dont j’ai adoré suivre les aventures et puis problème et changement d’ordinateur, temps passé à préparer ma future formation, enfin bref, j’ai « perdu » Will! Il y a quelques mois, je « tombe » sur toi lors de mes nouvelles pérégrinations ouebesques …et j’adore et je lis tout et je me dis tous les jours « bon, un de ces 4, faudrait quand même que je lui dise que je me régale avec son blog »
    … et v’là-t-y pas que soudainement, il y a quelques jours, je suis les liens qui mènent à ton ami Will dans ton billet sur Mamma Mia … et là, c’est le cas de dire : MAMMA MIA !!! LE Will !!! Le Will que j’avais perdu !!! Retrouvé ;)) et c’est LUI ton ami!!! Oh my Godness!!! … ben lui aussi il a (complètement) changé de boulot ;D
    …alors le monde est (si) petit ou bien je dois finir par croire que les lumières attirent (vraiment) les petits papillons? … Bah, pour sûr qu' »il (nous) reste (encore beaucoup) des portes à ouvrir » 🙂
    Admirativement votre,

    Répondre
  30. sissie a dit…

    ton quatrième bébé en somme, attendu avec impatience par beaucoup d’entre nous….
    un petit hors sujet si je puis me permettre : je suis devant mon petit écran devant l’émission d’ M6 « X factor » et suis surprise etenchantée d’y découvrir quelques voix sublimes ces dernières semaines, merci à ces télés-crochets qui lancent de nouveaux talents.

    Répondre
  31. Mestizaje a dit…

    Je découvre le billet et les commentaires un peu tard mais bon courage Nathalie ! Ma mère a repris ses études à 40 ans et on a eu nos masters ensemble… Ca n’a pas été facile-facile pour elle de rejoindre les bancs de la fac mais aujourd’hui, qu’est ce qu’on est fiers d’elle !

    Répondre

Vote commentaire

  • (ne sera pas publié)

Vous pouvez si vous le souhaitez utiliser les balises HTML suivantes: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>