La semaine dernière, le ciel s’est éclairci. Après des semaines d’angoisse, le pire semble être évité. Je voudrais vous dire que nous avons tous sauté de joie et que la vie a repris son cours comme avant, mais c’est un peu plus compliqué que cela. Il faut digérer tout ça, retrouver la légèreté qui s’était un peu fait la malle, apprivoiser l’idée que ça ne sera jamais totalement terminé, recommencer à se projeter dans un avenir moins gris.
Malgré tout, cette bonne nouvelle nous a donné la sensation de respirer à nouveau sans entrave.
Mis à part ça, et vous aurez compris que ce « ça » prenait pas mal de place, ce début d’année se déroule sous le signe des projets, nombreux, à venir. Une période à la fois enthousiasmante – je mesure ma chance d’avoir comme plus gros problème actuellement de devoir refuser certaines propositions – mais aussi, évidemment, angoissante, parce que pavée d’incertitudes. A quel moment commencera l’écriture de tel ou tel scénario ? Sera-t-il accepté par la chaine ? Vais-je être à la hauteur ? Est-ce qu’un jour, je serai sereine ? Est-ce qu’il m’arrivera de ne pas douter de mes idées, de ma légitimité à me revendiquer désormais scénariste à part entière ? Sans doute que non, j’imagine que c’est un peu tard pour me transformer en cette personne à la confiance chevillée au corps.
Alors quand je ne me supporte plus, quand je me consterne d’être aussi peu assurée, j’écoute cette merveilleuse chanson d’Anne Sylvestre et je me dis que si ça se trouve, ça n’est pas si mal, de faire partie de ces gens qui doutent.
une bien belle chanson……….. doutons …….. mais vivons …. aimons
une belle bouffée de douceur ce lundi matin. On a tous besoin. MERCI. La musique, décidémment, y’a rien de mieux pour adoucir les moeurs. Y’a des gens qui doutent pas?
J’ai écouté cette chanson en boucle pendant plus d’un an lorsque j’écrivais mon premier roman et j’aime l’idée de faire partie de ces gens-là… mais je crois qu’on en fait tous partie, à un moment ou à un autre. Il parait qu’Anne Sylvestre ne l’aime plus trop cette chanson parce que trop de gens ne la connaissent qu’à travers elle. En vrai je connais aussi « j’ai une maison » « pour dessiner un bonhomme » « un mur pour pleurer » et « si la pluie te mouille » (oui, mon père adorait Anne Sylvestre)
. En tout cas je suis ravie que vous soyez sortis de cette interminable attente le coeur léger et certainement plus forts et plus soudés encore. Belle semaine!
Moi aussi, Nathalie, j’ai été biberonnée à Anne Sylvestre, les fabulettes et aussi les chansons « de grande » (« Si la pluie te mouille » est sublime, je la chante à mes enfants ; 36 15 Oedipe). Quelle femme extraordinaire. Et du coup, je viens de découvrir là tout de suite, en lisant ton commentaire, ton site (qui a l’air top) et tes romans, que je vais commander de ce pas. Encore de la Carolination heureuse!
Moi c’est « balançoire « « mon œil droit ouvre toi « , et la chanson des champignons, je ne connais aucun des titres , je connais juste les chansons par cœur ❣ tant nous les avons chantées enfants.
Quel joli terme que « la Carolination heureuse ». Merci, au plaisir de te découvrir là-bas aussi.
balan balan balancoire, belle hi belle hi histoire…tu m’emmenes tout la haut parmi les oiseaux! et je vole et je m’envole.
pardon c’est pavlovien chez moi les fabulettes…
et les yaourth à tout, et les nouilles, et rouge abricot cerise … et la petite Josette ! ici aussi Anne Sylvestre fait partie des héritages familiaux.
Ouf ! Une belle nouvelle qui fait du bien, une ombre obsédante écartée ! Maintenant, tu n’as plus qu’à essayer de virer les ombres que tu te fabriques toute seule comme une grande. Là, on ne peut rien pour toi.
Si ce n’est lever les yeux au ciel en faisant « pffff ».
J’ai toujours aimé Anne Sylvestre pour sa voix, les paroles de ses chansons, sa musique. Tout, quoi. En plus, cette chansons a très bien été reprise par Delerm et Cie.
J’ai pensé à toi ce week-end Dominique, je voulais juste t’envoyer un petit <3 avec les doigts. Parce qu'on ne se connait pas, et pourtant.
Merci, Daphné.
Oufffff je danse la danse de la joie avec toi
Pour le reste il faudra faire avec … pas trop le choix que de vivre avec ses doutes , et je pense que c’est ce qui fait notre humanité. Les gens plein de certitudes sont généralement imbuvables.
Dit la fille avec certitude ! Hahaha
Heureuse que le ciel se soit éclairci! Merci pour cette belle découverte musicale, comme toute , j’attends ton retour sur le blog
doutons en coeur !
Contente pour vous tous que l’ombre qui planait se soit éloignée…
Pour tes doutes, moi j’ai un truc qui vaut ce qu’il vaut mais si ça peut t’aider, alors je te le livre volontiers : pour tout ce qui est de mon ressort, qui dépend de moi, j’ai adopté l’adage du chartier embourbé : « aide toi, le ciel t’aidera », donc je fais de mon mieux et je vois ce qui se passe. Si l’angoisse est là, je l’accepte en lui demandant de ne pas prendre trop de place ; en revanche, pour tout ce qui ne relève pas de mon action propre, de ma décision, alors je laisse venir. Ça ne m’empêche pas de m’y intéresser mais l’angoisse n’a rien à faire chez moi et je le lui fais savoir (tu vois la dingue qui parle à ses émotions, c’est moi).
Et finalement, ça marche assez bien. D’abord parce que tu commences par faire le tri de ce qui est de ta compétence ensuite tu peux établir ta « to do list ». L’apprentissage le plus dur a été pour moi d’accepter de ne pas avoir de prise… Mais au fond, c’est ce qui est le plus simple puisque tu n’y peux rien… Mais ça m’a pris du temps… Bonne semaine !
Smouik c’est intéressant de parler à ses émotions. Je me rends compte que plus je tente de les faire taire, de les oublier, de ne pas en tenir compte et plus je me déconnecte du présent ou pire ça devient anxiogène au point que j’ai parfois eu la sensation de devenir bipolaire.
Je suis bipolaire. C’est exactement le contraire. Je suis une boule d’émotions. Elles fusent et je ne les contrôle pas du tout. Soyez en sûre, c’est une souffrance.
Smouik, c’est super intéressant ce que tu dis. As-tu lu « comme par magie » d’Elizabeth Gilbert (l’autrice de Mange Prie Aime entre autres) ?
C’est un essai sur la créativité, sur comment les idées vont et viennent… C’est fascinant d’avoir son point de vue sur la question. Et elle aussi, elle parle à ses émotions, notamment à sa peur.
C’est un livre que je conseille à tout le monde tellement il a changé mon rapport à ma propre créativité.
D’ailleurs, Caro, il te plairait aussi je pense, pour t’accompagner dans tes phases de doute. Il se lit vite en plus.
J’ai beaucoup aimé moi aussi cette idée que les idées voyagent jusqu’à trouver quelqu’un qui les porte.
Merci Marie Bambelle pour cette référence de livre. Je l’ajoute à ma liste 🙂
Un souffle de renouveau, contente pour vous ! Je ne connais personne qui ne doute jamais à un moment donné 🙂
Quelle bonne nouvelle ! J imagine votre soulagement et me réjouis de vous savoir plus sereins.
Jolie découverte pour moi cette chanson, merci Caroline.
Et je ne peux que compatir pour ce qui est des doutes, j essaie, comme beaucoup, de chasser les miens…
Hâte de lire ton nom sur un scénario !
Belle semaine à toutes et tous
Ouf ! Et puis quand les nuages se dissipent la vie est encore plus jolie <3 .
Bien dosé, le doute est un vrai moteur ; ça aide à remettre en question des certitudes trop bien ancrées, à ne pas se reposer trop longtemps dans sa zone de confort et à se projeter autrement. Et puis surtout ça pousse à s'ouvrir au monde, à écouter les autres, et ça c'est toujours bon 😉 .
Quand il est question de douter, je ne pense pas que tu aies pulvériser mon record … car il est imbattable !!! Et puis, les petites victoires et les petites reconnaissances font que nous avançons et que nous nous demandons si nous ne sommes pas trops dures avec nous-mêmes !!
Je suis contente que « çà » finalement n’est pas si grave pour toi ! En ce début d’année, grain de sable aussi de mon côté. Un grain de sable qui m’a mis à terre. Mais on se relève toujours de tout, n’est-ce pas ?
Cette chanson est magnifique (et par ailleurs, je suis heureuse que tu sois soulagée de cette grosse inquiétude qui te rongeait).
Attention, minute protestante : le doute, c’est le sel de tout. De la foi (appelons-ça comme on veut, hein, si Jésus c’est pas votre came), du courage, de la joie (encore meilleure quand on a douté, sinon c’est trop fastoche), de notre condition à nous de petits moucherons d’êtres humains. Moi ce sont les gens qui ne doutent jamais de rien, ni d’eux-mêmes, ni de leurs convictions, ni de leur idéologie, ni de leur légitimité, qui me font flipper. Et à qui je n’ai souvent rien à dire, parce qu’ils ont réponse à tout. Après, bon, c’est sûr qu’au niveau confort personnel, il y a mieux et que ça peut devenir paralysant (merci les quelqu’uns de nous aider dans ces moments-là). Mais globalement, j’ai envie de te dire, comme l’aurait fait un mauvais rappeur en 1999 : « T’es bonne quand tu doutes. »
« Attention, minute protestante : le doute, c’est le sel de tout »
J’adore…
Ouf
C’est beau ce que dis Mrs T, et me réjouis que parfois le doute sorte aussi de la vie pour laisser entrer la lumière, particulièrement quand il s’agit des gens qu’on aime ce qui a eu l’air d’avoir été le cas de ces dernières semaines.
Et merci pour la tendresse 😉
+ 1
Oh merci pour ce billet et cette chanson. Elle me met du baume au cœur en ce lundi incertain.
Je trouve cette vidéon, en sus de la chanson, très touchante.
J’aime les gens qui aiment Anne Sylvestre !
Et tellement heureuse pour le soulagement de la nouvelle
Bon lundi et disons nous plus que 40 jours et le printemps sera là (oh et ton anniv aussi)
Quelle bonne nouvelle !!!!! Et comme on relativise ensuite…. La vie semble s’alléger d’un coup. J’ai adoré la prestation de Vincent Delerme que j’adore. Très jolie chanson.
Je pense aussi à toi DOMINIQUE….
Douter, oui, c’est indispensable ! Mais pas trop quand même. J’ai tendance à douter avant, puis à décider et à faire – et je fais des conneries de temps en temps, ma foi, comme tout le monde.
Anne Sylvestre a bercé mon enfance (j’étais toute petite à l’époque de ses premières fabulettes), puis mon adolescence et la suite avec ses chansons « pour adultes » (il faut écouter « Une sorcière comme les autres », « Tu n’as pas de nom », « Les punaises », etc.- des bijoux !), et j’ai acheté toutes ses fabulettes (qui s’étaient multipliées depuis mon enfance !) pour mes enfants – les seules chansons pour enfants que je peux écouter en boucle.
En boucle oui…
cet été c’était BoudchoKo avec mon petit fils.
Et j’aime beaucoup parce que les textes sont intelligents et les mélodies élaborées. C’est plutôt « exigeant » mais quel bonheur de chanter ça !
Mazeltov !
Un Mojito virtuel et un hug virtuel pour fêter cette bonne nouvelle !
Et puis Jeanne Cherhal qui chante Anne Sylvestre, quelle merveille…
Très heureuse de cette bonne nouvelle.
Et les gens qui ne doutent pas ne sont pas très fréquentables je crois…
Ah tiens : c’est drôlement plus joli vu dans ce sens!
Il y a quelques temps, il m’est arrivé un truc qui a fait que j’ai eu l’impression de me faire chiper toutes mes certitudes. Et j’en avais déjà pas beaucoup, alors…
Depuis, j’ai du mal à supporter les gens qui étalent leur confiance, leur assurance de tout savoir de la vie à longueur de conversation, comme un Breton étale le beurre salé sur sa tartine… (et j’adore le beurre salé!)
Mais tu as raison, l’autre moitié du verre (la moitié pleine, cela va sans dire) est bien meilleure.
La bise.
Que ça doit être bon de pouvoir de nouveau respirer. Tellement soulagée pour toi, pour vous. Plein de pensées douces.
C’est rigolo cette chanson. Comme beaucoup, bercée par cette parolière de génie, je l’ai fredonnée. J’ai eu la chance de connaitre dès le début le répertoire adulte d’Anne Sylvestre autant que ses Fabulettes. Et plus grande, je suis allée l’écouter en concert, plusieurs fois, même récemment, alors qu’elle oublie les paroles, ne chante plus très juste et a du mal à rester dresser sa grande taille.
Mais cette chanson, à chaque fois, Anne Sylvestre râle dessus. Elle râle des reprises, comme s’il n’y avait que celle-ci parmi les centaines d’autres pépites, elle râle de ses propres paroles et de sa manière de la chanter. Finalement, même elle manque de bienveillance sur le chemin parcouru de ses productions.
Quand elle mourra, je vais être immensément triste.
En attendant, et bien je suis heureuse pour toi. Car même si on se méfie toujours des épées en lévitation au-dessus de nos têtes, quand l’une d’entre elles se désagrège, il est important de se réjouir. Il faut prendre les joies où elles se trouvent et laisser le bordel se démerder pour coincer son pied dans nos vies. C’est son taf. Nous, on a juste celui de vivre le plus heureux possible. Je t’envoie de ma joie parce que celle-ci vient de la bonne nouvelle que tu as annoncée ! Love.
Oh Ciloubidouille, j’adore cette phrase : « Il faut prendre les joies où elles se trouvent et laisser le bordel se démerder pour coincer son pied dans nos vies. C’est son taf. »
Je me la note, merci !
Heureuse de te lire et surtout de voir que les choses deviennent plus légères pour toi… Beaucoup de pensées douces pour la suite.
Moi aussi, j’aime les gens qui doutent, ceux qui hésitent, qui tergiversent, qui réfléchissent (même trop !)… <3
Heureuse de savoir que cela s’arrange pour vous tous.. Tes projets!! j’imagine l’angoisse, mais je ne doute pas de ton talent et de réponses positives pour la concrétisation. Et cette chanson ma chanson de cœur, je la veux pour mes funérailles ok c’est un peu sombre ce que je dis là, mais cette chanson me touche tellement mon chouchou me dit souvent c’est normal c’est toi et je l’avoue j’aime qu’il me percoit comme cela…
Une de mes chansons préférées, écoutée et chantée en boucle pendant un moment. Et la version Jeanne Cherhal, Vincent Delerm est superbe…
Oui, doutons… !
Des pensées chaleureuses.
Je célèbre ta bonne nouvelle avec le reste du rade. Parce que ce n’est pas parce que je ne t’ai jamais rencontré « en vrai » que je n’ai pas l’impression de te connaitre.
Je ne sais pas si ce mot pourra effacer tes doutes (et je ne le souhaite pas, parce que quand tu doutes, tu écris), mais Caro, sache qu’au fil des années, tu m’as apporté beaucoup grâce à ta plume. J’ai appris énormément, sur beaucoup de sujets. J’ai noué des amitiés, j’ai partagé tes billets. Si j’écris aujourd’hui, c’est grâce à toi aussi. Tu es un modèle de femme forte et déterminée et ton parcours est admirable. Alors doute, doute, doute, puisque ça t’as menée aussi loin.
PS : les gens qui ne doutent pas me font peur.
ravie que tu aies eu de bonnes nouvelles.
il n’y a pas anne sylvestre sur ta video, je n’ai pas compris le rapport au debut. Je suppose que la chanson est d’elle, honte à moi de ne pas la connaitre. Pourtant je connais encore par coeur certaines de ses chansons pour enfants, qui sont magnifiques. J’ai l’impression que l’on ne les fait plus ecouter aux petits maintenant, quel dommage!
Si si… On fait écouter aux petits et… on chante avec eux ! Bonheur !!!
Merci pour cette chanson Caroline qui me bouleverse et fait du bien. J’adore cette version. Heureuse des meilleures nouvelles. On n’aime pas quand t’es triste. Que cette vie faite d’épreuves est éprouvante et passionnante. Douces pensées.
Ah mais Caro… Caro que je lis depuis tant d’années parce que si souvent entre les lignes et même en plein dedans d’ailleurs je me reconnais… Je suis la lectrice passive parce que parfois c’est un luxe reposant que de l’être et merci Caro pour tout cela… Mais là bim bam boum tu balances Anne Sylvestre, et la coïncidence, ou pas, est trop belle ! Parce que j’ai été élevée à Anne Sylvestre (pas aux fabulettes que je ne connais que de nom mais bien aux gens qui doutent, à Xavier, à non tu n’auras pas de nom et à carcasse, cette grande dame fait partie de la petite femme que je suis et de ma fierté), parce que merde mais comment tu fais pour faire toujours mouche Caro ? Premier comm pour moi mais made with passion !
Merci <3
Marrant, hier, touchée par ton questionnement sur le doute et la légitimité (ma croix, le sentiment d’imposture), plus tard j’allume la radio et je tombe pile sur « Les gens qui doutent » chanté par Anne Sylvestre choisie par le psychanalyste Jean-Pierre Winter sur France Inter dans L’Heure Bleue de Laure Adler et qui s’exprimait sur la richesse du doute. Journée thématique partagée 🙂
Soulagé pour toi, et vous… je pensais tous les jours à cette ombre… avec le mistral qu’il y a ici, nul doute que ça l’a aidée à filer!!!!
J’aime les gens qui doutent, et j’adore cette chanson… vive la douceur du doute, parfois inconfortable, mais après la pluie …le beau temps …. belle journée et si j’ose… crois en toi, et file écrire un prochain livre stp!!!!!
Moi je ne doute pas du fait que j’aime les gens qui doutent ❤️
Portez-vous bien tous les 5 ( et Jiji !)
Déjà une bonne nouvelle…
Moi aussi j’aime infiniment cette chanson… Probablement parce que moi aussi je fais partie de ces gens qui éternellement douteront. Qui à 50 balais traînent encore ce fucking syndrome de l’imposteur. Mais finalement moi aussi j’aime les gens qui doutent. Ils m’attendrissent souvent. Alors ce serait bien si un jour j’apprenais enfin à aimer celle que je suis. Qui doute.
Tout pareil Cécile !
On travaille toutes à être notre meilleure amie et j’aime à croire qu’on y arrivera.
A 40-12 ans comme dirait Caro, ça m’arrive déjà bien plus qu’à 17 donc l’espoir est permis 🙂
Que je suis contente pour toi ! Et merci pour cette magnifique chanson 🙂
Je suis heureuse de lire ces bonnes nouvelles Caro.
Rien à voir, mais j’ai pensé à toi ce matin en entendant François Ozon sur France Inter, presenter son film « Grâce à Dieu », et je me suis dis que tu étais certainement un petit peu pour quelque chose dans la médiatisation de La Parole libérée, et de ce qui s’en est ensuivi, c’est chouette je trouve ☺️
Bises
Autant dire que j’ai beaucoup pensé à toi la semaine dernière moi aussi avec ces deux référés pour empêcher la sortie du film et aussi la réunion au Vatican.
Et puis j’ai aussi pensé au rade au sujet de la ligue du LOL… j’auraI bien aime discuter ici de la façon dont ces mecs se sont retrouvés rédacteurs en chef, directeur artistique etc de médias hyper en vue; ça en dit long sur notre société non ?
Je suis heureuse de lire que le plus sombre est derrière vous et j’adresse aussi d’affectueuse pensées à DOMINIQUE.
Je fais partie des gens qui doutent…beaucoup. C’est souvent une souffrance. Mais si j’envie si ceux qui ne doutent jamais, ils me sont rarement sympathiques.
Je me dis tout de même que sans être comme eux un juste milieu ce serait quand même pas mal.
Quant à Anne Sylvestre c’est comme beaucoup mon enfance, chaque année je dois me planquer un peu pour ne pas avoir l’air ridicule avec les larmes aux yeux quand « je pense à Noël » arrive sur ma playlist spéciale « décoration du sapin ».
J’aime beaucoup ton blog. Un plaisir de venir flâner sur tes pages. Une belle découverte et un enchantement. Très intéressant. Je reviendrai m’y poser. N’hésite pas à visiter mon univers. A bientôt.
Salut Caro.
Je voulais juste te dire que j’avais adoré ton livre. Et j’espère que tu en écriras bientôt un autre!
Je viens faire un petit coucou à Dominique ici parce que c’est le seul endroit où je peux la joindre. Abrasos. Ouais je vacationne en Espagne.
Graciàs, Mammouth. Tout va pour le mieux possible. Je t’embrasse.
Anne Sylvestre est ESSENTIELLE pour moi (mes soeurs, mes enfants pour d’autres chansons et maintenant mes petits enfants)
Heureuse de savoir que « ÇA » s’estompe
DOMINIQUE je t’embrasse
Merci Geneviève. Comme dit à Mammouth, on fait aller ! Bises.
Oui, j’ai encore un de ses premiers 33 tours (j’ai pas vingt ans, je sais !). Je me souviens qu’un jour un supermarché avait passé « la lettre à Elise » d’Anne Sylvestre, qui disait sa détestation de ce morceau de piano. Les gens s’arrêtaient dans les allées et rigolaient en écoutant.
J’ai pas 20 ans non plus DOMINIQUE (je crois même que nous sommes d’âges très proches) et tu me mets le sourire aux lèvres en évoquant cette chanson…
Je ne connaissais pas cette chanson, magnifique découverte, merci… J’en ai les larmes aux yeux moi qui aujourd’hui même me suis pris une reflexion – bien machiste au passage – de la part de qqn qui de toute évidence, ne doute de rien ; lui… (Et pourtant je ne suis pas fan de Vincent Delerm :-P)
Je ne fais pas partie des gens qui doutent. Je ne suis pour autant ni prétentieuse, ni présomptueuse. Je ne sais , par quelle magie, par quel assemblement d’atomes, je fais partie des gens qui savent à l’instinct. Qui suivent l’appel du ventre. Qui décident rapidement. Parfois à regrets, rarement. Mais je voudrais, vraiment, parfois faire partie du club des gens qui doutent. C’est un club très privé et très privilégié dont tu as la chance, bien chère Caro, de faire partie ! Bien à toi et bons choix- sans regrets ni remords
Je sais que tu as de bonnes raisons (désolée du tutoiement, c’est ce qui me vient en premier après tant d’années), mais il faut que je le dise : quelle tristesse de ne pouvoir te lire chaque matin comme avant. C’était une partie du rituel des matins réussis, ceux où j’ai un peu le temps. Et sinon c’était une parenthèse agréable dans la journée.
J’espère donc que toi et les tiens vous portez bien.
Comme Estamine, tes posts me manquent et j’ouvre ton site presque chaque jour en espérant voir un nouveau billet ! J’espère surtout vraiment que tout va bien pour toi et ta famille, et que les mauvais jours sont derrière vous. A très vite !
Comme les deux commentaires précédents… un peu d’inquiétude malgré les infos rassurantes du dernier post.
Malgré la petite frustration après 12 ans de lecture fidèle et la plupart du temps silencieuse, je souhaite de tout mon coeur qu’il s’agit simplement d’une nouvelle option de vie (tout à fait légitime) ou du manque de temps dû au foisonnement de projets et aux sollicitations de la vie.
Que cela ne vous apporte que le meilleur est mon souhait le plus sincère. A bientôt j’espère (quand mème..) par ici ou au moins sur Instagram.
Je n’en sais rien, mais ce sont les vacances pour la zone parisienne. Alors, peut-être que Caroline, tout simplement, l’est aussi, ou du moins se repose !
Ou alors elle est dans un pays où il n’y a pas d’Internet (l’île de Pâques ? l’Antarctique ? le fin fond des Pyrénées ?).
Oui j’espère que tu as raison DOMINIQUE …
mais silence radio aussi sur les internet (twiter, insta …), alors j’espère que tu as raison (et aussi que tu vas aussi bien que tu peux ) (et je t’embrasse)
Je t’embrasse aussi, Madame H ! Tout va pas si mal, je gère comme je peux. Merci en tout cas de t’inquiéter, ça fait plaisir que tu penses à moi.
Oui, je pense souvent à toi et il n’y a qu’ici que l’on peut te « joindre » 😉
A l heure des réseaux sociaux, ça a son charme ceci dit , il faut juste que Caro soit d’accord pour que son rade fasse office de poste restante …
..
J’espère que tout va bien Caro… Je t’embrasse
bonjour Caro… c est un plaisir de lire … nous te suivrons ailleurs à travers tes prochains livres et autres écritures … quant à ta fille où en est elle de ses études de médecines ? ce sujet était très intéressant ayant moi même un fils étudiant en paces.
bien amicalement. K.