Tag : sezane

J’aime #139

J’ai lu quelque part que nous avions donc vécu notre 14ème week-end de pluie à Paris. Je ne suis pas une obsédée de la météo (enfin, si, quand je pars en vacances, j’avoue), je peux râler de ci de là quand le soleil vient cruellement à manquer, mais je parviens généralement à prendre mon parti d’un ciel bas et lourd. Mais là je confesse un léger ras-le-bol, je sens que ma peau est littéralement assoiffée de vitamine D. Après ce petit préambule digne du café du commerce, voici néanmoins un billet J’aime, parce qu’il faut bien se raccrocher à ce qu’on peut, hein. En lire plus »

10 ans de Pensées by Caro – concours n°2 – Sezane

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La première fois que j’ai vue Morgane, je m’en souviens très bien, je venais de me casser le coccyx et je n’étais pas dans une forme éblouissante. Mais elle avait été si charmante et si gentille que l’espace d’un instant, j’en avais presque oublié l’état de mon fondement. C’est dire. Et puis quelque temps plus tard, lorsque l’une d’entre vous en a eu besoin, elle a répondu présent, sans chercher un instant à se mettre en avant, juste parce que, m’avait elle dit, chez elle c’est ainsi que l’on est, quand on peut, on aide. J’étais déjà intriguée alors par cette fille qui, partie de rien, était en train de monter sa marque. Mais de savoir que cette femme d’affaires en devenir avait en plus un coeur gros comme ça m’a définitivement conquise.

Bon j’avoue, aussi, ses sacs et ses chaussures (ce que je préfère personnellement chez Sezane mais j’ai aussi un pull et un manteau que je ne quitte pas) me font chavirer à chaque nouvelle collection. Depuis un an je ne porte que mon Calvin, qui a remplacé… mon Nola. Certes acheter du Sezane a un prix. Mais c’est aussi accéder à un univers singulier, où la perfection se niche dans les détails, où tout, jusqu’à l’étiquette a été pensé pour être joli. Bref, vous l’aurez compris, j’ai une admiration et une affection sans bornes pour Morgane Sezalory. J’aime la dimension très innovante de son entreprise, sa faculté à « sentir » ce qui va plaire, sa capacité à évoluer, vite. J’aime son rapport aux gens et sa fidélité. En lire plus »

Trench and walk…

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Alors. Le zona est en train de partir. Et sachez que j’ai eu recours à un barreur de feu. Oui. Je sais, MOI. La personne la plus sceptique de l’univers. Mais il se trouve que dix minutes après le coup de fil, j’avais déjà moins mal. Il me reste une trace sur le front et une fatigue poisseuse et pénible, mais plus de douleur. Je ne m’étends pas sur le sujet parce que je ne sais pas si la personne qui m’a conseillé cette méthode et le coupeur de feu souhaite que je fasse son coming-out. Mais n’empêche que désormais j’y crois. En lire plus »

Prends-moi sous le porche

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La dernière fois j’avais donc rendez-vous avec Violette au Fumoir, pour un dèj en compagnie d’une amie commune. On s’est retrouvées toutes les deux un bon quart d’heure avant pour que je lui fasse un shooting mode. C’est le genre de service qu’on se rend entre blogueuses. On n’a peut-être pas de syndicats ou de comités d’entreprises mais on est cul et chemises (hu hu hu) quand il s’agit de s’entraider. Il faut dire qu’on se connait par coeur, qu’on sait exactement comment faire ça vite fait bien fait, le tout en se moquant des regards amusés des passants. (c’est moi ou il fait un peu chaud ?). Je dois avouer que je suis le plus souvent derrière l’appareil plutôt que devant, je suis la godiche absolue de la pose et surtout je rends Violette totalement dingue à force de bouger pile poil quand elle appuie sur le bouton (non, vous ne trouvez pas, je veux dire, pour la température ?). Là encore l’idée c’était que je joue les Peter Lindbergh pendant que la belle prenait son air mystérieux et insondable (elle est championne du monde de l’insondable, je m’entraine à mort pour l’égaler mais je n’y arrive pas encore vraiment). Et puis quand je suis arrivée, elle m’a dit « non mais attends, t’es hyper stylée, viens je te prends » (bon, OK, j’éteins le radiateur et je reviens). En lire plus »

All green

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Je n’ai jamais été une fille à baskets. Je crois que je les associe beaucoup trop au sport et surtout, soyons claire, ça me tasse. D’une manière générale, quand on atteint péniblement le mètre soixante-trois et qu’on n’a pas été particulièrement dotée pour tout ce qui est jambes fuselées, les baskets ont tendance à faire ressortir ce qu’on n’apprécie pas le plus chez soi. Et en même temps, il n’y a rien que je trouve plus séduisant qu’une femme en jean baskets, je crois. Il y a quelque chose de presque vulnérable, dans cette façon de ne pas se cacher derrière des talons, quelque chose qui rappelle l’enfant qu’on a toutes été. Il y a quelques jours, alors que je passais devant une boutique de runnings, je les ai vues. Ces fameuses Stan Smith que toute blogueuse qui se respecte se doit d’avoir dans sa penderie – quand elle n’en possède pas toutes les déclinaisons, rouges, bleues, graou et cie. Ayant la personnalité d’un bégonia pour toutes ces choses, j’étais tentée depuis des lustres, pas parce que j’en avais ado – comme c’est le cas pour Violette par exemple (ma muse Stan Smith), ou ma copine Béa (ma muse fashion de toute mon adolescence) – mais juste parce qu’au delà de leur fort pouvoir iconique, je les trouve jolies. Ou juste donc à cause de ma capacité à être influencée. Toujours est-il que ce jour là je suis entrée dans la boutique – ça nous arrive parfois à nous les blogueuses, si si – et je me les suis offertes. En lire plus »

Brèves enrhumées

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(photo @morganesezalory)

Bon, sur le front du virus, rien de bien neuf, j’ai l’impression d’avoir un auto-cuiseur à la place du cerveau, je ne serais pas étonnée de perdre une ou deux côtes au détour d’une quinte de toux et mes yeux pleurent autant que mon nez coule. Hier, quand je me suis réveillée, le churros m’a regardée et a eu la très mauvaise idée de se marrer.

Je n’oublierai pas.

Je me suis donné jusqu’à ce soir avant d’aller chez le médecin – et je n’ai pas pris ma tension une seule fois – (ma psy fait UN DE CES BOULOT) (et mon tensiomètre n’a plus de piles), mais je ne vous cache pas que j’ai jeté un oeil aux statistiques de mortalité de la grippe.

Bref, deux trois brévouilles histoire de ne pas capituler, ON NE M’AURA PAS. En lire plus »

J’aime #40

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Un peu difficile ces derniers jours de toucher à nouveau terre, je suis de celles qui après une journée à faire un peu trop bosser leur palpitant mettent du temps à retrouver calme et sérénité. Merci en tous cas pour vos mots si gentils et enthousiastes, qu’il s’agisse du billet ou de la série, je me répète à chaque fois mais rien n’arrive par hasard et vous êtes, vous qui me lisez, un peu pour quelque chose dans cette histoire.

Voilà, à part ça, entre mes papiers à terminer, d’autres à commencer et la perspective de trois jours à Lyon la semaine prochaine pour cause de colloque à couvrir, s’il est un mal dont je ne souffre pas ces derniers temps, c’est l’ennui. Ceci étant dit, mieux vaut que je ne me laisse pas aller à l’oisiveté – décidément mère de tous les vices -, hier ça m’a pris et j’ai eu la bêtise d’aller assouvir ma curiosité malsaine en regardant le replay du « documentaire » réalisé par la BFF de Carla, sur notre ancien couple royal, j’ai nommé monsieur et madame Monmari, Sarkozy pour les intimes. Bon, j’ai tenu environ un quart d’heure, le temps d’entendre ce merveilleux papa susurrer à sa fille d’alors quelques mois ce consternant compliment: « tu es belle ma fille – jusqu’ici tout va bien, valorisation, etc – crois moi un physique ça compte, c’est bien que tu sois belle ». Comme je le disais sur twitter, d’une certaine manière c’était bien. J’étais remontée comme un coucou contre Hollande et son incapacité à dire merde au premier gogo portant un bonnet rouge et là d’un coup ça m’est revenu: certes là ça n’est pas génial mais il fut un temps où Nadine Morano était ministre et Sarkozy président.

Et sinon, j’aime… En lire plus »