Je vous en avais déjà parlé, je suis fan des tees et sweats French Disorder. Seulement jusque là je n’en avais jamais essayé moi même, je m’étais contenté de les admirer sur mes copines. Et puis je suis tombée sur celui-ci et je ne pouvais pas ignorer ce message qui me correspond tant. Ok, mes amis ne se priveraient pas de préciser que pipelette en ce qui me concerne est un euphémisme absolu, que je suis la plus grande bavarde de l’univers, que me confier un secret est le meilleur moyen que la terre entière soit au courant dans l’instant. Sur mes relevés de note à l’école, il y avait toujours une allusion à ma propension toute particulière à bavasser. A la messe – j’ai été élevée chez les bonnes soeurs – je finissais toujours par me prendre un regard noir du curé (en même temps parler pendant le sermon c’était moins grave que peloter les enfants de choeur, ce qu’il faisait sans aucune vergogne le vieux cochon). Même au boulot, je me souviens, pendant les réunions avec les big boss, il fallait toujours que j’essaie de chuchoter quelque chose à ma voisine. C’est plus fort que moi, j’ai TOUJOURS un truc à dire, ce qui ne signifie pas que je ne devrais pas pourtant tourner systématiquement sept fois ma langue, bla bla bla.
Pipelette un jour, pipelette toujours, donc. Et ce sweat, sinon ? Et bien je dirais que c’est le doudou par excellence. Il est bien échancré comme il faut pour laisser glisser négligemment sur une épaule, il est molletonné à souhait et tombe pile poil. On est évidemment d’accord que qui dit sweat boyfriend ne dit pas vraiment silhouette élancée, en même temps ça n’est pas l’objet, je vous le rappelle, c’est même tout le contraire, quelque part le sweat c’est politique puisqu’on a toutes l’air d’être fichues pareil avec. Non ? En lire plus »