Comme je l’ai déjà expliqué ici – je fais un story telling assez peu subtil de tout ça – en ce moment je passe pas mal de temps à écrire des versions longues du programme Parents mode d’emploi. Des 26 minutes plus exactement. Pour vous donner une idée, c’est le format de Friends ou de Modern Family. C’est un exercice totalement nouveau pour moi, même s’il découle assez naturellement du travail effectué pour les sketchs de la quotidienne. Mêmes personnages, même ton, même nécessité de trouver la réplique qui va faire mouche. Mais cette fois-ci, je n’écris donc pas toute seule dans mon coin ou avec le churros qui n’est pas mauvais du tout pour justement terminer un dialogue ou ajouter le petit mot qui va tout changer.
Un exercice nouveau parce qu’à plusieurs mais aussi parce qu’il faut imaginer des intrigues plus longues, garder le rythme, ne pas se perdre dans trop de dénouements, rester crédibles même dans l’invraisemblable. C’est à la fois jouissif quand soudain, après un ping-pong effréné, l’idée, la bonne, prend forme. La photo avec les jolis post-it que j’avais montré il y a quelques jours est l’illustration de ce cheminement. On note nos idées, nos séquences, intrigue par intrigue et donc couleur par couleur – ça c’est clairement l’influence de B., qui rattrape notre totale désorganisation à A et moi – et ensuite, comme on le ferait avec un puzzle, on essaie de les mettre dans le bon ordre. Je ne saurais vous décrire notre béatitude quand la lumière se fait et que tout est en place.
Après, on écrit le tout et on l’envoie à tout un tas de gens, qui nous disent évidemment que c’est génial et que l’oscar est à ça (un post-it tout au plus). Ou alors – mais c’est beaucoup plus rare – ils nous expliquent avec le maximum de diplomatie qu’on n’y est pas encore (voire qu’on est super loin) (mais loin loin) (sur la lune, genre). Alors on recommence, on essaie de voir où faire un pas de côté, comment défendre un passage auquel on tient, comment lâcher prise sur un autre qu’on aurait tout de même bien vu figurer dans l’épisode. A chaque nouvelle version, ce sont des petits bouts de vie de nos personnages qui s’envolent, des baisers qui ne sont pas donnés, des claques qui se perdent dans la corbeille de nos ordinateurs, des engueulades qui tournent court. Mais petit à petit, parfois dans la douleur, se dessine la bonne histoire.
Je ne pensais pas que j’aimerais autant ça, je ne pensais pas que j’avais ça à l’intérieur de moi. Je sais que je ne suis que l’embryon d’une scénariste, je ne fais pas de plan sur la comète (à part mon discours pour la Palme), je prends ce qu’il y a à prendre, je me colle des brûlures d’estomac quand les retours ne sont pas aussi enthousiastes qu’espérés (c’est pourri, recommencez), je me prends pour Judd Apatow quand au contraire on a rempli notre objectif, à savoir faire rire. Et je me dis que quelque part c’est ce dont j’ai toujours rêvé.
Ce qui est assez troublant, c’est que tout ça s’opère parallèlement à mes visites hebdomadaires chez mon quelqu’un, où je tente de résoudre un autre puzzle, mais finalement un peu de la même façon, en accrochant des bribes de souvenirs les unes aux autres. Et qu’un jour, alors que je geignais de ne pas trop voir la cohérence d’une séance à une autre, mon quelqu’un a justement utilisé la même métaphore: « quand vous faites un puzzle et que vous trouvez enfin la pièce qui manquait, est-ce vraiment important de savoir comment vous l’avez trouvée ? ». Au départ, je n’ai pas trop compris, j’avoue. Parce que la vérité c’est que j’ai toujours accordé beaucoup d’importance au « comment ». Et je découvre depuis quelques mois que parfois, il peut être bon de se laisser un peu porter, d’accepter ce qui vient, comme soudain ces post-it qui semblent trouver leur place presque tous seuls. Et que ce qui compte à l’arrivée, c’est l’histoire qui s’est écrite, pas ce qu’on a du laisser sur le bord du chemin. Même s’il était nécessaire probablement d’en passer par là, par des couches successives, des erreurs, des fausses bonnes idées, pour enfin arriver à bon port.
C’est un peu confus et peut-être un peu lénifiant tout ça, mais voilà, c’est ce que j’avais aujourd’hui pour vous. Bonne journée.
* oop’s I did it again (je l’ai un peu expliqué dans les commentaires du billet précédent, mais si je comprends que certaines d’entre vous soient agacées par mes anglicismes (pas si fréquents en plus), ici je n’ai pas envie de respecter la moindre contrainte. Le reste de mon travail, notamment journalistique, est conditionné par tout un ensemble de règles, auxquelles je me soumets volontiers, c’est le jeu. Ici, c’est une zone de non droit, et j’entends qu’elle le reste. Si je devais commencer à me censurer pour x ou y raisons, j’arrêterais d’écrire là, ça perdrait de son sens.
Edit: cela fait quelques jours que j’oublie de souhaiter officiellement la bienvenue à la petite Suzanne, la number three de Bérangère, de faire un coucou à Celote75 croisée à l’Olympia, de faire un clin d’oeil à la charmante jeune fille entrevue dans ce petit restaurant à Jussieu jeudi et aussi un merci à la non moins charmante qui m’a dit merci hier, elle se reconnaitra. Il y a des semaines où la frontière entre réel et virtuel est poreuse, et même si à chacune de ces rencontres je me sens empruntée et maladroite, je les apprécie toujours.
Je sortais souvent de mes séances d’analyse en me disant que c’était cette fois-ci une heure inutile, tout comme en ce moment j’ai, en sortant d’une séance du shiatsu l’impression d’avoir tout juste passé une heure vautrée sur un futon et nada. Mais au fur et à mesure, de mon analyse et maintenant du shiatsu, mon esprit s’allège, mon énergie revient, mes kilos fondent, ma vie s’illumine. J’aurais bien aimé avoir à chaque fois la clef de l’énigme résolue, retrouver ce qui avait besoin d’être découvert, rarement cela a été le cas, mais l’essentiel sans doute est de retrouver la sérénité et le bonheur de vivre.
Et pour ce qui est de ce blogue, seigneur ne t’interdit aucun mot qu’il soit français anglais ou carolinien, c’est justement cela qui l’enchante et lui donne sa personnalité !
Et bravo pour cette vie que tu t’inventes chaque jour, et qui donne de la force pour ceux qui te lisent.
Oui ne t interdis rien….ce serait un comble !!!
Merci pour ce joli billet qui nous en dis un peu plus sur ta façon de travailler pour PMDE surtout que ces 26mn on a hâte de les voir et qui dit PMDE. …dit Arnaud Ducret. ….;-) au fait son olympia c était comment ?
1000 mercis pour ton clin d oeil à notre jolie Suzanne ! Déjà 2 semaines hier ! Et 4 ème nuit qu elle fait !ce tte petite est parfaite !!!!
Et bon courage à tes twins pour leur brevet ! Enfin l épreuve de ce matin ! Bon vendredi et long Week end
Félicitations pour cette petite Suzanne… Je me permets un petit clin d’oeil parce que Suzanne, c’est le prénom de ma princesse à moi, ma petite dernière qui a déjà 8 ans…
merci !
oh oui bienvenue à Suzanne, la mienne a 3 ans et un caractère attachiant… Et merci Caroline pour cette communauté virtuelle.
Félicitations pour ta petite Suzanne, quel joli prénom. Pour mon aînée j’ai choisi son diminutif, Suzon. Quel chouette bébé de laisser dormir ses parents à seulement deux semaines 😉
La sensation depuis quelques jours d’être in « regress »… Bad mood et tout et tout… Alors comme le dit Valérie juste au dessus merci pour tes mots qui donnent de la force à ceux qui te lisent 🙂 et merci d’ailleurs à ceux aussi de Valérie qui sont aussi porteurs de sens, de positif et de force pour celles qui sont en ce moment dans le doute… Allez en piste ! Des bises
J’adore cette façon que tu as si particulière de te dévoiler face à tes découvertes, tes interrogations ou autres.
Et puis, ne change rien, c’est chez toi ce blog !
Bonne journée, Carole
Pas du tout lénifiant ! Au contraire, c’est très intéressant de savoir comment se construisent les histoires de PMDE. Au début, je regardais très rarement et maintenant je regarde les infos ET PMDE ( ensuite, la télé est éteinte la plupart du temps).
han ! t’as dit post it ! et sketch ! Ouh la vilaine.
(à 7h20 c’est le maximum que je donne, après une nuit tellement reposante) (ne me dis pas à quel âge ont dormi tes twins)
Je crois que je suis encore plus jalouse de cette partie de ton travail que de tes chaussures. Moi non plus, je ne pensais pas ça possible.
Et j’aime bien l’histoire du puzzle, et surtout, l’idée de se laisser porter est tentante mais f*cking hell, que ça doit être difficile.
Et je garde ton post sous le coude pour le lire à mon fils le soir, pour voir s’il est si lénifiant que tu le dis (j’espère que oui !) (ou pas ?) (bref)
Très émue, car ce blog que nous lisons depuis des années est, je le pense, ce qui t’a amenée à PMDE. Rien ne vaut le travail, et dieu sait si c’est du travail de pondre un article tous les jours, avec humour et sincérité. Qu’il ait été un défouloir par rapport à tes articles sérieux, bien sûr, mais aussi une première confrontation avec le public des commentaires.
En tout cas, cela me fait chaud au cœur de savoir que tu prends du plaisir en étant scénariste.
C’est une belle aventure, je dois t’avouer que j’aime beaucoup cette émission, je pense à toi quand je regarde. Tu as vraiment un talent pour l’écriture, j’aimerais bien savoir combien de temps tu passes pour l’écriture d’un de tes articles sur ton blog, en moyenne ?
J’aime ta zone de non-droit dans laquelle on se sent si bien … Ta métamorphose est un plaisir à suivre et ne peut pas laisser indifférent ! Vivement la diffusion des 26 mns où je passerai encore mon temps à rechercher « ta patte » !
A l’instant Luchini sur Inter vient de dire qu’il adore Parents Mode d’Emploi et ses deux acteurs. Encourageant, non ?
J’ai entendu ça … et j’ai pensé à Caro aussitôt ! 🙂
+1
🙂
Alors moi la reine des anglicismes et des germanismes (ca se dit ?) je ne suis pas du tout choquée. Vive le mélange (des langues, des gens, de ce qu’on veut) !
Fabrice Lucchini à l’instant sur France Inter »j’adore Parents mode d’emploi- !!! la gloire!!!
Perso, je ne vois aucun problème avec les anglicismes ! Reste telle que tu es, that’s all 😉
Vous vous êtes passé le mot avec Fabrice Lucchini ? Lui aussi parle de « Parents mode d’emploi » (en très bien) avec Pat Co dans le 7-9 de France Inter…
Tu as raison de te préparer… La Palme d’or est à un post it de tes mains !
Haaaa, l’éternelle question du comment… En fait je crois qu’on peut surtout réfléchir à la différence entre le laisser faire et le lâcher prise : laisser faire = attendre que les choses et les gens arrivent vers soi, ne rien faire en gros ; lâcher prise = agir mais ne pas vouloir à tout prix contrôler ce qui arrive, parfois malgré soi, accepter la vie avec ses hauts et ses bas.
Au fond, je crois que je ne connais pas de meilleure maxime que : « aide-toi, le Ciel t’aidera ». A chacun de se représenter le Ciel comme il l’entend…
Bravo pour tes travaux d’écriture, scenarii, billets, articles, perso, ça me bluffe. Et si en plus c’est ton kif, alors, respect en plus !
Tes réflexions font mouche à chaque fois… Tu es très philosophe… Je crois que je ne connais pas forcément les mécanismes du « mieux être » (avec « mon quelqu’un » par exemple) mais quand je constate une avancée dans ma vie, c’est très souvent lié à une sorte d’acceptation (ce qui ne veux pas dire « laisser faire »).
Je sais, je ne suis pas claire (un de mes défauts 😉 )
Rien à ajouter à ce qu’a écrit Smouik (y compris notre admiration pour ce que tu fais, Caroline, just amazing, my quail * …. )
Smouik aka my Guru ….
quail= caille
je regarde souvent parents mode d’emploi ( en replay c’est impossible pour moi de le choper en direct toujours un truc à faire ou des gamins autour ) mais celui qui est passé dimanche dernier (je crois ) celui ou gaby pète un cable ( sa femme était grippé depuis plus de 5 jours ) et hurle à ses gamins de fermer leur gueule …… c’était juste jouissif, ça libère…. on se dit juste après avoir hurler de rire oh putain c’est bon.
merci
Lâcher prise sur le comment, c’est quelque chose que j’essaie de faire à 28 ans. J’ai passé toute ma jeune vie à être dans un contrôle total de jeune fille de bonne famille, depuis un an j’essaie de vivre tel que je le voudrais plutôt que comme ma maman voudrait que je le fasse. Ca ne se fait pas si sans heurts ni sans cris, mais bon sang que la lumière a l’air plus intense au bout du tunnel.
Au final, c’est une belle leçon de vie… Jolies métaphores
Whaou Caro, c’est si bien trouvé ce parallèle que tu fais entre l’écriture de tes scénarios et la vraie vie. Je suis tellement d’accord sur l’importance de rater des passages pour mieux réussir derrière! S’il y avait une leçon que je devais retenir de mes années de jeune adulte ce serait celle-ci.
PS: Moi j’aime bien quand tu parles anglais! Des petites phrases qui donnent un rythme différent à tes billets. J’essaye de lancer une mode sur mon blog avec des mots allemands par-ci par-là… On écrit pour soi aussi, il faut se faire plaiz 🙂
En cette période de gros stress de boulot, je me rends tous les soirs sur la page replay de PMDE pour me faire l’épisode du jour. Alors hâte de voir les versions longues !
Merci Caro pour cette bulle d’oxygéne que sont tes mots. Et merci le replay aussi 🙂
Belle journée
Et je t’ai pas dit mais je suis PMDE depuis Berlin, j’ai France2 avec Kabel-Deutschland. Du coup je montre à mon chéri parfois, il trouve ça « très français » 🙂
Kabel-Deutschland c’est payant ? Ce serait sympa sinon d’avoir une autre chaine « francaise » qu’Arte…
Oui c’est payant, un forfait TV-téléphone-internet pas exorbitant. J’ai France2 et France3 pour mes petits moments patriotiques! Sinon toutes les chaînes allemandes, et puis des chaînes du monde entier mais je ne parle pas toutes les langues… Sinon tu dois capter TV5Monde normalement non?
TV5 monde non même pas ! Mais je ne consomme quasi pas de télé ou alors sur le net mais France télé ca ne marche pas sur le net, pas pour tout en tout cas. On doit changer bientôt de fournisseur téléphone je regarderais ce qu’il est possible d’avoir en combo avec le cable. Merci
Mon number 1 n a que 3 semaines, et ton texte me parle particulierement en ce moment ou je me demande tous les jours comment d une rencontre anodine au bureau nous avons reussi a creer cette jolie famille!! 🙂
Merci Caro.
Non contente d’être mon sourire de chaque jour, tu viens de m’offrir une très belle piste pour ma prochaine rencontre avec mon quelqu’un (et mince, elles ne sont pas faciles ces rencontres !)
Parents Mode d’emploi est le deuxième rayon de soleil quasi quotidien dont je peux te remercier, alors un format XL !!!
Bonne journée à tous.
Belle aventure que tu vis là. Hâte de voir ces « 26 minutes »… bisous bisous
Pour en revenir à ces histoires d’anglicismes, ce qui me gêne le plus c’est que j’ai toujours l’impression de passer à côté du vrai sens de la phrase. Quand je lis un magazine féminine, entre les « hype » « hipster » « swag » « trendy », « skinny » « low » « glam » « dirty » « preppy » on perd en lisibilité et pourtant je suis dans la trentaine ! Au final, je trouve ça assez ridicule de tout traduire en anglais comme si ça apportait un chic supplémentaire.
Après je n’ai évidemment rien contre quand cela est parcimonieux et distillé par touche subtile comme tu le fais dans tes billets. Et de toute façon, je ne me serais jamais permis de te critiquer sur ce point. Quand je n’aime pas, je ne commente pas point.
Houlala ce billet me pose bcp de questions, je dois dire.
C’est vrai que lorsqu’on trouve la pièce du puzzle qui va bien, on ne se demande pas comment on l’a trouvée. Pour autant lorsqu’on se met à faire un puzzle on établit bien une stratégie pour y arriver non? On commence par les coins, on fait le ciel donc on cherche les pièces bleues?
Bref je suis pas sure d’être d’accord avec ça, et aussi je ne suis pas sure de ne pas être d’accord 😉
C’est bcp de questions pour moi en fait, ça me trouble… D’où ma question bête du moment : qu’est-ce qui génère le besoin de voir « un quelqu’un »? C’est quoi le déclencheur (s’il y en a un?), pourquoi vous le faites
Heu pour ceux qui auraient envie de répondre, hein y’a pas d’obligation, c’est juste que je ne connais pas bien.
Have a good day
Viele Küsse
C’est un peu comme la pièce du puzzle: je n’explique pas vraiment le comment, le pourquoi on choisit d’aller « voir quelqu’un »… Mon quelqu’un, je suis allée le voir il y a 19 ans la 1ère fois (après un deuil et une bien douloureuse dépression). Je l’ai vu pendant 7 ou 8 ans et simplement, j’étais mieux, vraiment. Quand il y a bientôt 5 ans je me suis retrouvée seule, en dehors de ma famille, de mes amis qui m’aidaient, la seule personne à qui j’avais besoin absolument de parler, c’était ce quelqu’un. Je continue d’aller le voir chaque semaine et cela me fait du bien: je peux tout dire, ça m’aide à comprendre comment nos têtes (la mienne au moins) et nos « coeurs » (le mien au moins) fonctionnent.
Maintenant, il y a des gens pour qui la solution sera complètement autre.
Je vois juste qu’il y a 5 ans, je pleurais 3 fois par semaine dans son cabinet et que maintenant J’AIME aller causer et comprendre un peu une seule fois par semaine (ÉNOOOORME progrès).
honnêtement en ce qui me concerne c’était ça ou les anxiolytiques à haute dose. Le déclencheur ça a été ça, une nécessité parce que je n’arrivais plus à gérer mes crises d’angoisses. Je ne peux pas te dire que ça ait tout réglé, mais je me sens tout de même mieux que l’année dernière à la même époque.
J’aurais attendu d’être mentionnée pour enfin poster mon premier commentaire sur ce blog que je lis religieusement depuis des années! C’était en réalité la deuxième fois qu’on se croisait mais je n’avais pas osé dire bonjour la fois précédente 🙂
Donc merci de nous faire rire, réflechir, rêver, etc… depuis tout ce temps.
La jeune fille de Jussieu (enfin je crois, c’était mercredi moi, mais ça me paraît suffisamment spécifique pour que je me reconnaisse!)
oui oui c’est toi 😉
Juste j’ajoute que j’ai trouvé la prestation d’Alix Poisson (la maman de PMDE) dans « Disparue » excellente …
Oh oui moi aussi ! Alix Poisson est vraiment une excellente actrice, dans Parents mode d’emploi que je ne regarde que (trop) rarement à cause de son horaire de diffusion je l’adore, et dans Disparue elle m’a carrément bluffée #déclarationdamour !
Fabrice Lucchini qui répète 3 fois dans la matinale de France Inter qu’il est fan de « Parents mode d’emploi » c’est mieux que la Palme d’or non??
Congrats (ouais moi aussi je parle anglais si je veux)
Je ne sais pas si c’est moi, la Bérangère number three, mais merci pour cette officielle bienvenue ! Sache en tous les cas que je te suis depuis au moins trois ans déjà, depuis mon autre contiennent. Et c’est toujours agréable de lire tes billets, même si je n’arrive pas forcément à pouvoir les lire chaque jour, connexion internet capricieuse oblige.
Merci pour ces jolis billets, et les descriptions de tout le travail de création qu’il faut pour que l’on puisse se distraire devant la jolie série qu’est parents mode d’emploi.
Je n’ai pas vu le post précédent, qui avait j’imagine déclenché les réactions que je suppose à la lecture de ton commentaire sur les anglicismes…
Au diable les esprits chagrins!
Et bravo pour PMDE que je savoure quand j’ai l’occasion de le voir, sans dire à Chéri-Chéri que l’un des auteurs est ma blogueuse favorite, c’est mon petit secret avec moi-même 🙂
Merci de tes lumières sur le montage à plusieurs de scénario.. J avoue je suis très admirative ! <3 ..!!
La tout de suite je me demande si ton aventure avec ta box et le DVD t a inspiré !? Parce qu est ce que tu m as fait rire … 🙂 ça et je crois le Best à mes yeux … Ton minute par minute dans l avion et le loup vert du Churros … Je crois que côté humour .. Tu as vraiment un talent fou !!! ..Et je ne suis pas un public facile !!! 🙂 🙂
J’aime beaucoup cette façon que tu as d’expliquer ta méthode de travail. Pour moi c’est un peu flou, et quand je regarde un 26′, et même si tu je me rends compte qu’il y a du travail derrière, c’est toujours assez abstrait ! Merci pour cet article et bon week-end!
Amy, de http://www.foodetcaetera.com
<3 <3 <3
Super sympa de te rencontrer samedi soir dernier, ça m'a rendue toute chose (oui je sais sur Twitter, j'ai été nettement moins mijaurée, j'ai carrément écrit "j'ai joui"). Hier j'ai croisé Florence Foresti en train d'essayer des escarpins Dior rose bonbon et de faire son show au Bon Marché, bah ça m'a pas fait le même effet 🙂
Bisous (bah ouais "bisous", laisse-moi, on est potes avec Caro maintenant)
C’est hors sujet mais mon fils (16 ans) a fait une « le machinade » hier soir : il devait rentrer vers 18h à la maison, toujours pas là à 20h, j’ai fini à la gendarmerie, on l’a déniché à 21h au cinéma, avec des potes… « bin j’ai zappé, tu comprends, il faisait jour, j’ai pas réalisé qu’il était si tard »…
i’d just want to tell you i stoped the clope six week ago and it is a little bit grâce à toi, si t’y arrives pourquoi pas moi. (Et 2 kg en plus, la clope c’te p.te).
Bonjour,
J’ai entendu Fabrice Luchini hier matin chez France Inter dire qu’il aime autant Nietzche que Parents mode d’emploi qu’il trouvait formidable…j’ai pensé à toi 😉
Tu as tout a fait raison sur le comment … depuis que je vis le présent (enfin que j’essaie) je ne cherche plus le comment. Je suis là dans l’instant mais je ne regarde pas derrière ni comment je suis arrivée là. Et tu peux pas savoir le bien que ça fait ! En tout cas bravo pour Parents Mode d’emploi, j’aime beaucoup ! Et ça sent le vécu 😉
En tout cas très curieuse de découvrir les « 26 minutes » de « parents mode d’emploi » ! Je n’ai pas l’impression que cela a déjà était fait en France pour une série… pourtant c’est un format super efficace en version US !
J’habite a Sydney donc pas de PMDE pour moi… Par contre ici beaucoup de ‘francicismes’ genre: ‘cest la vie’, ‘comme ci, comme ca’, ‘a propos’, ‘deja vu’ (deille ja vou)… Comme quoi on est toujours le cool de quelqu’un d’autre (ou le con).
Ne change rien, tes anglicismes sont toujours parfaitement employes.
Merci d’être toi. C’est pour ça que nous te lisons, aussi 😉
Parents mode d’emploi, je ne le regarde pas souvent mais à chaque fois j’essaie de retrouver ta patte, ta plume dans les répliques. Bonne continuation !