Une saison à la petite boulangerie, de Jenny Colgan

Billet écrit en partenariat avec les éditions Pocket

Après avoir vu son entreprise de design couler, la jeune Polly se sépare de son fiancé et quitte la ville de Plymouth dans laquelle elle a toutes ses attaches, pour s’installer à Mount Polbearne, petite île accessible par la route uniquement à marée basse. Après quelques jours à noyer son chagrin dans une masure délabrée, seul logement qu’elle peut se permettre de louer, Polly fait peu à peu connaissance avec les habitants de ce coin perdu et battu par les vents. Et pour tuer le temps, s’attelle à sa véritable passion : le pain, qu’elle cuisine sous toutes ses formes. De fil en aiguille, Polly reprend la boulangerie du village à l’abandon et trouve l’amour en la personne de Huckle, jeune américain devenu apiculteur après avoir tout plaqué, job en or et amours déçues, de l’autre côté de l’Atlantique.

Pour les amateurs de « feel good book », « La Petite boulangerie du bout du monde » est un modèle du genre. Je n’ai jamais caché mon appétence pour ces comédies romantiques que l’on déguste l’été sur une chaise longue. Mes préférées sont celles écrites par des auteurs britanniques, parce que j’aime les paysages qu’ils décrivent, l’humour british distillé dans des histoires délicieusement parfumées à l’eau de rose. Et puis c’est un livre qui donne faim, qui donne envie de partir, nous aussi, dans un endroit préservé de tout, pour se réinventer. Après le succès international de ce premier opus, Jenny Colgan en a écrit la suite, « Une saison à la petite boulangerie ».

Dans ce second tome, on retrouve Polly et ses ciabatta, ses pains de campagne à la croute dorée, ses croissants au fromage et ses scones brûlants sur lesquels fond le beurre frais de Cornouailles. On y retrouve aussi tous les personnages hauts en couleur de Mount Polbearne, Huckle, l’apiculteur sexy et à l’humeur parfois sombre, Neil, le macareux adopté, Jayden, l’ancien pêcheur devenu apprenti pâtissier ou encore Kerensa, l’indispensable « best friend » au caractère diamétralement opposé à celui de Polly, ne jurant que par sa carrière au top et ses tenues griffées. Forcément, de nouveaux obstacles se dressent sur le chemin de la boulangère. Devenue prisée des touristes, Mount Polbearne attire les investisseurs et le nouveau propriétaire de la petite boulangerie risque de réduire en miettes le rêve de Polly.

Je ne vais pas vous spoiler davantage, mais si vous cherchez une lecture estivale aussi réconfortante qu’une saison du meilleur pâtissier, si vous avez envie de vous téléporter dans les paysages spectaculaires et dramatiques des Cornouailles et de tout simplement vous accorder une pause sucrée, alors n’hésitez plus, « Une saison à la petite boulangerie » est faite pour vous.

Je vous laisse, je vais m’acheter une machine à pain, première étape de ma nouvelle ambition : monter mon petit commerce dans une île, de préférence du côté des Keys Islands. On y mangera des sandwiches au homard en buvant des daiquiris. Tu viens ?

68 comments sur “Une saison à la petite boulangerie, de Jenny Colgan”

  1. frederique-etc a dit…

    Ah chouette ! le premier était était sympa en effet ! et là, quel clin d’oeil : mon fils de presque 23 ans vient de trouver un patron pour son apprentissage en boulangerie (chose pas saisie car plus vieux = plus cher pour le patron)
    Donc youpie pour tout !!!

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  2. Gaëlle a dit…

    Je cherchais justement un de ces romans d’été pour changer de mes bouquins de boulot ! Ce billet tombe à pic ! Merci Caroline :-).
    Par contre pour la machine à pain, c’est moyennement comédie romantique – friendly ;-)… Mais va pour le homard et les daïquiris !

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  3. Fred b a dit…

    Allez! Je viens…j’ai besoin de tout ça en ce moment: un livre tout doux, de la « comfort food » et un peu de picole! Mais surtout, j’ai besoin d’un peu de chaleur humaine. Denrée rare à Shanghai…

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      • Fred b a dit…

        Ça va! Shanghai est plutôt facile à vivre. Il faut s’adapter aux petites particularités locales, pas toujours ragoûtantes, mais franchement je m’attendais à pire;-) C’est surtout le manque de sourires qui est difficile ici. Mais on profite des vacances scolaires pour découvrir d’autres cultures. Nous rentrons du Japon. Un gros gros choc positif en matière d’art de vivre! Nous rentrons en France pour l’été. J’ai hâte!

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        • Daphné a dit…

          Le Japon, quelle chance ! Et le visiter depuis la Chine doit aussi changer votre façon de vivre cette découverte. J’imagine ton impatience à retrouver les tiens cet été – mais alors, allez-vous profiter de ce rapprochement géographique pour voyager en NZ aussi ?

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          • Fred b a dit…

            Oui, Tokyo est seulement à 2h de vol de Shanghai! Un saut de puce;-) Quant à la NZ, ça reste une destination éloignée, mais seulement une dizaine d’heures de vol et beaucoup moins de décalage horaire! (+4, peanut si on compare à +12 depuis la France). Je tenterais bien le coup pour passer Noël avec ma sœur 🙂 si le prix des vols est raisonnable à cette saison!

    • SoL a dit…

      J ai tout de suite pensé aussi à Rosamunde Pilcher. Mon comfort book ever à moi c’est Coming home. Ça se passe en Cornouailles pendant la 2e GM.

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        • verveine a dit…

          pour celles qui manquent de temps, deux compilations de trois petits romans : Retour en Ecosse et Retour sur la lande
          et sinon il y a Retour au pays.
          c’est un recueil de nouvelles que l’auteur a écrites quand elle manquait de temps (quatre enfants à élever dont l’n est devenu romancier à son tour.)
          elle raconte même qu’elle le laissait sur la table de nuit de la chambre d’amis avec comme prescription « en cas de coup de blues, prendre une ou deux doses »!

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      • Caro Bleue Violette a dit…

        Oh mon dieu, Retour en Cornouailles (Coming Home) ! Je l’ai lu plusieurs fois quand j’étais ado. Il a été adapté en une minisérie (La Dynastie des Carey-Lewis) que j’ai vue plusieurs fois aussi. Merci pour l’éclair de nostalgie, SoL 🙂

        Sinon de Jenny Colgan, j’avais lu son premier roman il y a pas mal d’années : Le mariage d’Amanda. C’est de la chick-lit et c’est vraiment marrant.

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        • Floconnette a dit…

          Ah merci Caro Bleue Violette ! J’étais en train de me demander pourquoi ce nom d’auteur me disait quelque chose ! En effet le mariage d’Amanda, je l’avais trouvé assez cynique (pour de la chick litt) et désopilant, faudra que je le relise tiens !

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  4. Daphné a dit…

    Ben non Caro, désolée, je serais volontiers venue prendre un sandwich au homard chez toi mais ça va quand même être un peu loin pour moi. Parce que mon rêve, c’est d’ouvrir un salon de thé à Golden Bay, en Nouvelle-Zélande. Ou, plus simple, un van gourmand dans le Devon. Du coup, je ne serais pas si loin de Plymouth, il y aurait des blueberries et de la clotted cream à gogo.

    N’empêche, c’est beau le Devon. J’y étais il y a deux semaines et suis toujours sous le charme. Reste plus qu’à trouver un combi VW à aménager, béret so frenchie et travailler ma recette de carrot cake pour lancer mon business. Ça peut le faire !

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    • mammouth a dit…

      Ah mais c’est ça l’idée, une camionnette gourmande, comme ça je pourrai vous suivre partout dans le monde et partager nos repas. Et Huckle, il est aussi offert avec les sandwichs?

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      • Daphné a dit…

        Ah ouais Mammouth, voilà l’idée parfaite : on ferait le tour du monde en camionnette gourmande.

        Mais je ne sais pas pourquoi, je pense qu’avec moi ça finirait vite version The van de Roddy Doyle ( ne me dites pas que depuis je suis la seule à penser couche pleine quand je vois un camion de fish & chips ? ).

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    • Zéphine a dit…

      Daphné, tu sais qu’à un moment j’ai sérieusement pensé à lancer mon petit commerce de pâtisserie en NZ?
      Je n’avais finalement pas les reins assez solides (financièrement et mentalement), mais parfois je regrette…

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  5. ValdePo a dit…

    Bonjour !
    Si on peut remplacer le daÏkiri par un mojito, j’accours ! Il n’y a rien que j’aime plus que le bon pain frais (à part les mojito bien sûr ! )
    En attendant, j’ai trouvé ma lecture pour les vacances de cet été, n’ayant pas lu le premier tome non plus.
    Merci pour la découverte !
    Bonne journée
    Valérie

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  6. Reine a dit…

    Un de mes nouveaux voisins (enfin plus si nouveaux maintenant) vient d’opérer un virage à au moins 200° : il a quitté son job très sérieux et bien payé de chargé du service administratif dans une institution vénérable , et fait une formation de boulanger ….il veut se spécialiser dans le pain spécial , genre no gluten puis partir dans la campagne nantaise , acheter une camionnette et faire ses tournées …..études à l’appui, il nous a persuadé (facile, à l’apéro ,après 3 mojitos , on s’enthousiasme pour tout!) que c’était un projet très réalisable….vie plus sympa pour sa famille (4 gamins) campagne et possibilité d’une grande maison au lieu de leur 70m2 urbain. Et il nous a dit que dans sa promo , ils étaient plusieurs dans son cas….
    Bref , je trouve tout ce mouvement socio de retour vers la bouffe plutôt intrigant ….Valeur refuge , certes mais de là à changer carrément de projet vie….(dixit celle qui a changé 20 fois de jobs)
    Y-a-t-il une psy ou sociologue dans le rade?
    Je ne suis pas lecture girly (en fait, je ne saurai la définir) , mais comme je l’ai écrit dans un précédent post , j’ai bien aimé « 89 mois » de Caroline Michel . Pas à tomber ou être bouleversée, souvent stéréotypé, mais il y a une patte , quelque chose, qui fait qu’on finit le bouquin . Et puis j’aime bien ces jeunes écrivaines, ces vingtenaires qui font, qui osent, même si elles n’ont pas de message essentiel à transmettre.

    Répondre
  7. Reine a dit…

    Un de mes nouveaux voisins (enfin plus si nouveaux maintenant) vient d’opérer un virage à au moins 200° : il a quitté son job très sérieux et bien payé de chargé du service administratif dans une institution vénérable , et fait une formation de boulanger ….il veut se spécialiser dans le pain spécial , genre no gluten puis partir dans la campagne nantaise , acheter une camionnette et faire ses tournées …..études à l’appui, il nous a persuadé (facile, à l’apéro ,après 3 mojitos , on s’enthousiasme pour tout!) que c’était un projet très réalisable….vie plus sympa pour sa famille (4 gamins) campagne et possibilité d’une grande maison au lieu de leur 70m2 urbain. Et il nous a dit que dans sa promo , ils étaient plusieurs dans son cas….
    Bref , je trouve tout ce mouvement socio de retour vers la bouffe plutôt intrigant ….Valeur refuge , certes mais de là à changer carrément de projet vie….(dixit celle qui a changé 20 fois de jobs)
    Y-a-t-il une psy ou sociologue dans le rade?
    Je ne suis pas lecture girly (en fait, je ne saurais la définir) , mais comme je l’ai écrit dans un précédent post , j’ai bien aimé « 89 mois » de Caroline Michel . Pas à tomber ou être bouleversée, souvent stéréotypé, mais il y a une patte , quelque chose, qui fait qu’on finit le bouquin . Et puis j’aime bien ces jeunes écrivaines, ces vingtenaires qui font, qui osent, même si elles n’ont pas de message essentiel à transmettre.

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  8. Princessestrudel a dit…

    J’ai lu le deuxième tome et suis tombée en amour pour le macareux… J’attends que ma route croise celle du premier tome pour le lire. 🙂

    En « comfort books », j’aime Cathy Kelly. C’est romancé mais pas gnan-gnan, joyeux, tendre… Ses personnages féminins sont forts et pas forcément riches / fragiles / au-secours-j’ai-besoin-d’un-homme-fort-pour-vivre-à-ma-place.

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  9. Nora a dit…

    Bonjour,

    « Et puis c’est un livre qui donne faim, qui donne envie de partir, nous aussi, dans un endroit préservé de tout, pour se réinventer »…Je trouve la formule très inspirante, Merci beaucoup.

    L’art de créer ma vie et de cultiver ce qui me nourrit vraiment… Un vrai besoin personnel.

    Bonne journée à tout le monde 🙂

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  10. ClemBo a dit…

    J’avais vraiment bien aimé le 1er tome, lecture douce juste ce qu’il me fallait sur le moment, je trouve ce genre reposant 🙂 je lirai le 2e tome avec plaisir donc ! Merci Caro !

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  11. Marilune a dit…

    J’ai les deux dans ma PAL pour les vacances d’été (vivement, vivement)….J’irais bien dans un chouette petit coin manger et boire en bonne compagnie, oui (des sandwichs au homard? Là pour le coup ce serait une découverte)! Loin de toute vicissitude et charge mentale, tiens!

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  12. Ci-san a dit…

    Traduit par Eve Vila.
    On n’oublie pas les passeurs de langue. 😉
    Sinon, ça donne envie effectivement ce genre de petits bouquins. Idéal pour les vacances. Je vais peut-être le glisser dans ma valise cet été.
    Bonne journée!

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  13. Marianne a dit…

    Moi mes madeleines c’est les feel good book iralndais… je crois que je suis encore capable de m’enfile l’intégrale de Maeve Binchy…

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  14. Pétunia a dit…

    Caro je suis partagée. J’aime te lire, mais je n’aime pas lire les 4è de couverture. Du coup j’hésite. En attendant je lis les commentaires qui me donnent envie de te lire.

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  15. zoette a dit…

    J’avais emprunté le 1er à la bibli à un moment où j’avais besoin d’un bouquin qui ne fasse pas trop de noeuds au cerveau, je m’etais dit que ce serait surement un peu « cheap », au final j’avais trouvé ca très chouette, des personnages attachants et surtout les Cornouailles que j’ai depuis trop envie de decouvrir; le style est bcp moins cheap que chez bcp d’auteurs de cette veine. Je me garde donc le 2 pr cet été, hate de retouver Neil 🙂

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    • Caroline a dit…

      tout à fait d’accord concernant le style. disons que ça n’essaie pas de se faire passer pour ce que ça n’est pas et c’est assez « sincère » comme écriture.

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  16. bea a dit…

    Je suis aussi sur un livre d’un auteur anglais, mais je n’ai pas retenu le nom, ni le titre ! c’est bien ! hein ? c’est un commentaire enrichissant, vous ne trouvez pas ! 🙂 un truc du style moi, mes amis ou moi et les autres ….bref !

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    • Pomponette a dit…

      Anybref,
      Votre « truc » c’est « Notre besoin de consolation est impossible à rassasier » (Stig Dagerman) ou bien
      « souffre ce subtil parfum ».
      Mais d’après le thème, je pencherai plutôt pour « la secte des égoïstes », mais l’auteur est français ; conclusion vous vous êtes fourvoyée.
      A votre avis Béa ?

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  17. Jo Ridée Rieuse a dit…

    voilà une idée qui tombe à pic pour mes vacances, dans 3 semaines.
    J’ai déjà repéré, à la bibliothèque, Un été à Key West d’Alison Lurie.
    Sur tes conseils, j’aurai 2 jolis romans à déguster.
    Et ce n’est pas tout. Toujours en suivant tes conseils, j’ai acheté les robes en maille à 12 euros, à La Redoute.
    Elles sont parfaites et même un peu ‘magiques’. J’ai l’impression qu’elles effacent les bourrelets. Du coup, j’ai pris 3 différentes (grise, noire et un peu rouille). Impeccable dans la valise des vacances.

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  18. le vieux pull a dit…

    Ah si un macareux a une place centrale dans l’histoire, je veux bien 🙂
    Dans la catégorie des livres Feel Good, il y a bien trop de pépites écrites Outre-Manche qui ne sont pas traduites de ce côté-ci du tunnel. C’est vraiment dommage !

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  19. @nne a dit…

    Caroline, j’ai commencé la boulange maison , il y a qques années avec une machine à pain & maintenant , je fais mes pains cocottes au levain avec divers mélanges de farines bio ( sarrasin, lupin, maïs, seigle … ) Un régal & une vraie satisfaction pour moi qui n’aime que la cuisine toute simple. 🙂 🙂

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  20. Yokoflo a dit…

    Voilà, un livre de plus dans mon Kindle. In English, of course ! Typiquement ce qu’il me faut , comme les Amateurs d’épluchures de patates ou autres « feel good and do not bother and yes I like chick litt so what » livres…
    J’en raffole, je les dévore, comme des pâtisseries (mais ça fait moins grossir)…
    Thanks a lot !

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  21. justine a dit…

    Merci de cette information. Effectivement ce livre est réconfortant, j’ai lu le premier en période de convalescence et ça m’a permis de garder un bon moral. Ce livre fait vraiment du bien…

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  22. Amandine a dit…

    Ce livre est sur ma table de chevet depuis un bon moment. Commencé mais jamais terminé, et je ne crois pas qu’il le sera. Pourtant il partait bien, parce que moi les jolies histoires de changement de cap, virage à 180, on efface tout et on recommence, j’adore, ca me parle à mort. Et puis le pain…à un moment de ma vie j’ai voulu refaire un CAP boulangerie, et créer ma propre structure, ca serait appelé Des Hommes et des Pains, un concept autours des pains du monde, bref, j’étais allé assez loin dans la réflexion !
    Bon, tout ça pour dire que ce bouquin avait tout à priori pour m’emballer…ben il m’a gonflé en fait, j’ai trouvé ca niais et prévisible. Du coup j’ai laissé tomber. Bon je sais pas, je vais peut être réessayer du coup.

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  23. Virginie a dit…

    J’ai lu 1er opus sur une plage déserte de Thaïlande… j’ai choisi l’emplacement de ma petite boulangerie dans une ville encore inexploré par les touristes dans le sud la Thaïlande… j’ai acheté un robot pâtissier et depuis je suis tjs dans mon appartement varois mais je fais mon pain maison… un jour je partirai dans ce bout du monde mon robot sous le bras…

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  24. Cécile a dit…

    J’ai adoré les deux! Ce n’est pas de la grande littérature, c’est parfois prévisible, mais c’est aussi savoureux que les petits pains chaud que vend Polly dans sa boulangerie. Et j’ai vu sur amazon qu’il existait un tome 3 intitulé « Christmas at Little Beach Street Bakery »…un feel good book sur Noël, il n’en fallait pas plus pour faire ma journée. Sinon, dans un genre différent mais tout aussi agréable à lire, je conseille la série des Agatha Raisin à toutes les amoureuses des englisheries sur fond d’enquête policière. Agatha est une quiqua londonienne qui a décidé de prendre une retraite anticipée dans les Costwolds. Hélas, loin du calme attendu, les crimes s’accumulent et Agatha tente de les résoudre avec l’aide de son beau voisin, de la femme du pasteur et d’un jeune agent de police…entre autres. Une sorte de Barnaby drôlatique et au féminin, à savourer sans modération.

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  25. cristL a dit…

    Encore un de plus pour ma liste. Je vais soudoyer la bibliothécaire de mma médiathèque de poche pour qu’elle le commande , j’arrive presque toujours à mes fins 🙂

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