Mois : novembre 2009

Swinging London et pis c’est tout

Metro-londres

Bon ben voilà, Manou et Padom sont venus garder les trois machins infestés de miasmes et nous on se barre dans un pub. Bon, on va bien faire semblant de faire un peu de culture à la Tate Modern mais ça ne devrait pas pisser bien loin.

Je veux manger des chips au vinaigre, avoir les doigts qui puent le poisson, roter de la bière, m'acheter des fringues à Camden Town que je ne mettrai jamais et surtout, surtout, surtout, dormir.

Et aussi… ne pas dormir.

A très vite, promis je prends des photos bien loupées comme je sais faire.

Edit: Zaz a eu un succès fou avec les coussins, c'est trop cool. En plus le billet a été repris sur le site web du Elle, une consécration, quoi. Si ça vous plait, régulièrement elle viendra vous montrer ses créations poétiques.

Zaz a la tête dans les étoiles

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Je vous ai déjà parlé de ma copine Zaz. Je vous ai déjà dit qu'elle était fleuriste, qu'elle avait fait mon bouquet de mariée et qu'elle a globalement de l'or dans les doigts.

Ce que je ne vous ai pas dit, c'est qu'elle fabrique de tas belles choses, notamment pour sa petite Lilas, mais aussi pour ma Rose.

Quand elle lui a offert ce coussin étoile, mon helmut l'a immédiatement adopté au titre de doudou le 15ème (cette enfant n'a apparemment aucun sens de la fidélité, elle multiplie ses affections, remarque, c'est pas si mal, je ne tremble jamais à l'idée de perdre l'unique, the one, comme ce fut le cas pour les deux premiers, avec coup de fil à l'usine de Thaïlande quand même pour une tentative de la dernière chance après la perte de Lapin rouge. En vain)

Du coup, je lui ai dit que tout de même, c'était dommage que plein d'enfants soient privés de cette étoile toute douce qui peut servir d'oreiller dans la voiture et de doudou dans le lit. Voire même tout simplement de coussin de canapé pour les mamans rêveuses.

Alors voilà, spécialement pour mes lectrices, elle en a confectionné quelques uns, qu'elle vend 15 euros. A l'approche de Noyel, moi je dis, ça peut être une idée de cadeau. Alors si vous êtes intéressé(e)s, vous pouvez lui écrire à ce mail: zazlilasfrede(at)free.fr. Juste, il y en a peu, donc si vous en voulez, faut se dépêcher !

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Edit: Elle fabrique aussi de magnifiques guirlandes lumineuses comme celle de la photo, sur demande et aux couleurs que vous souhaitez. Celle qu'elle m'a offerte il y a dix ans vient tout juste de mourir, c'est dire.

Castaluna, des beaux habits pour nos jolis bootys

Castaluna

 

Elles sont jeunes et malignes et elles ont décidé de tirer les conclusions des études récentes sur la morphologie des françaises.

A savoir : environ 60% des femmes françaises portent une taille de confection supérieure ou égale à la taille 4. 55% d’entre elles font du 42 au 48. Et les tailles 34 et 36 ne représentent que 5% du marché…. 

Du coup, enfin, je vous la fais courte, hein, elles ont décidé d'ouvrir CASTALUNA, un site de vente en ligne spécialisé dans les tailles 42 et plus.

Mais attention, pas des espèces de sacs à patates tout juste bons à faire ressembler les rondes à des versions miniatures de la tour montparnasse. Non, des marques plutôt à la pointe, qui reprennent les standards actuels de la mode en les déclinant au delà du 42, quoi. Le résultat, je trouve, est plutôt alléchant, les prix sont assez conséquents mais s'alignent sur le marché de la mode tout court et on peut trouver, qui sa veste à sequins, qui son tregging glitter, qui sa veste preppy, qui son jean slim.

Que les choses soient claires, je n'ai AUCUN INTERET à vous parler de Castaluna, ceci n'est ni un article sponsorisé, ni une façon pour moi de toucher des dividendes sur ce que vous achèterez éventuellement chez eux. Juste, j'aime bien leur visuel de pub – I know, je suis trèèèèèès influençable -, j'aime aussi l'initiative et j'y ai trouvé quelques pièces qui me font bien envie. Dont acte.

En plus, là, tout de suite, il y a 15% de réduc sur les hits de la saison, je dis ça, je dis rien.

Allez, have fun, moi je me remets doucement de deux jours apocalyptiques à voir défiler aux toualettes mes deux grands couleur vert anis et à éponger les jeysers de vomi d'Helmut, le dernier ayant opportunément atterri… dans le lave-vaisselle.

Gastro, Marc, london et chocolat

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Hier c'était mon premier jour "chocolat". Verdict ? Savoir que je pouvais manger la tablette entière m'a singulièrement apaisée. J'ai respecté les consignes zermatiennes, à savoir déguster chaque carré, en prenant le temps de me mettre à table. Bon, comme j'étais dans un café, je n'ai pas poussé jusqu'à mettre la tablette entière dans une assiette comme c'était recommandé. Mais je me suis pris un thé et j'ai vraiment pensé à ce que j'étais en train de faire à savoir boulotter du milka – I know, ce n'est pas le meilleur pour les puristes, mais j'ai un gros faible pour la vache bleue – en toute légalité.

A la fin de la première barre, léger écoeurement, mais pas rassasiée. La seconde barre était moins bonne, mais tout de même, ce goût de reviens-y qu'on toutes les drogues sucrées. Du coup, pan, troisième barre. Plus deux carrés pour la route.

Résultat, une moitié de tablette en guise de repas.

Et une sacrée envie de boire des litres de flotte pour faire passer cette sensation sirupeuse au fond de ma gorge, cette overdose de sucre qui irrite les amygdales au point de te faire tousser.

Sur les coups de 17h, j'ai eu une légère faim, une de mes collègues maigre comme un clou et addict des pains suisses – insulte au diététiquement correct – en fin d'après-midi m'a ramené un petit pain au muesli, je n'avais en effet envie que de salé.

Le soir, une bonne part de quiche aux épinards home-made et un bout de fromage sur du pain et roule ma poule.

Qu'est-ce que je retiens de ça ?

Qu'une demi tablette est restée dans mon sac à main la moitié de la journée sans que j'ai même pensé à en grignoter un carré. Moi qui ne peux me retenir à moins d'un kilomètre normalement de tout produit composé à plus de 2% de cacao, j'ai OUBLIE que j'en avais dans mon Marc Jacobs.

Ouais, j'ai un Marc Jacobs, je sais, ça fait troooop pétasse blondasse de s'en vanter, mais j'ai tout de même tenu 10 mois avant de lâcher ma joie ici, vu que c'est mon cadal de Noël 2008. En plus il est violet.

Par contre je dis pas tout ce qu'il y a dans mon Marc Jacobs, parce que j'ai beau savoir qu'il faut toujours décaler une pièce de luxe pour être trendy sans ostentation, j'ai bien conscience en y regardant de plus près que trop de décalage… tue le décalage. Et que personne ne doit conseiller d'avoir dans son Marc Jacobs une tétine, des lingettes, du lait séché du biberon transporté sans capuchon, des pastilles vichy qui font des petits depuis six mois au fond et j'en passe.

Fin de l'apparté, aujourd'hui j'entame mon second chocolate's day. Cela dit, j'ai des doutes quant à la possibilité de pousuivre dans des conditions sereines. Non je dis ça, je dis rien, mais après Helmut qui a vomi 37 fois sur le trajet du 47 châtelet – maison blanche dimanche, c'est petite chérie qui a tapissé sa chambre toute la nuit. Selon mes calculs, le machin devrait dégobiller sur sa maitresse aux alentours de 16h. L'homme est programmé pour mercredi. Quant à moi, avec mon karma pourri, je mise pour la queue de peloton, vendredi, genre, une heure ou deux avant d'embarquer pour London.

Ah, parce que je ne vous ai pas dit ? Le week-end prochain, on part deux jours à Londres avec cher et doux, zaz et son grand frédé.

Edit: Je dois être la seule blogueuse à partir à London sans que quiconque l'y ait invitée et en payant donc son Eurostar et son hôtel. Ce qui n'enlève rien à mon excitation à l'idée de… dormir deux nuits sans entendre Helmut réclamer un biberon à 5h. Tout compte fait, Cergy Pontoise aurait peut-être fait l'affaire.

Edit 2: Non, Helmut ne fait pas ses nuits. Enfin, elle les a fait, je pense. Trois semaines environ. Elle cherche à battre un record, j'imagine.

Edit 3: J'ai comme l'impression que c'est décousu tout ça, non ?

Edit 4: Ok j'ai un Marc Jacobs ET je pars à Londres, ce qui fait de moi une fille détestable. Mais depuis un mois, les membres de ma famille enchainent grippe et gastro, ce qui fait une moyenne, non ?

Edit 5: Quand je pense que je ne savais pas quoi écrire aujourd'hui.

Edit 6: Ok, je montre l'intérieur du sac, c'est thérapeutique. La honte à l'intérieur de moi est censée m'aider à lutter contre mon bordélisme.

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Edit 7: C'était aussi pour montrer la doublure que j'aime d'amour. Panthère verte. Chez n'importe qui d'autre que Marc, c'est pupute. Et là… non. Ou pas.

Envie de chocolat et autres zermachoses

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– Il y a des gens qui peuvent manger un gâteau en dehors des repas simplement par envie de sucré ou besoin de réconfort et qui ne grossissent pas.

– C'est trop injuste, moi je regarde la religieuse je prends une taille de soutien-gorge.

– Ah. Pourquoi à votre avis certains ne grossissent pas en grignotant et d'autres non ?

– Heu… Parce que mère nature la truie ?

– Nous y voilà. Vous êtes victime d'une conspiration génétique, voire même peut-être vous êtes une martienne, c'est ça ?

– Rigolez, rigolez, c'est facile, hein. Tout ce que je sais c'est que moi, tout ce que je mange me profite. Alors que ma copine Béa, par exemple, depuis toujours elle peut manger son poids en chocolat et rien ne bouge. Donc si ce n'est pas une preuve, ça, je veux bien manger mon sac.

Cet échange cordial et décomplexé a eu lieu lors de mon dernier rendez-vous, jeudi dernier, avec Monsieur Zermati. Qui m'a finalement donné l'explication à ce scandale dont nous sommes plusieurs à être victimes.

Pourquoi certaines peuvent se lâcher sur les viennoiseries sans dommage collatéral et pourquoi d'autres grossissent même avec du fromage blanc à 0% ?

Et bien parce que tout simplement, ces personnes qui ne grossissent pas malgré un bon goûter, sont régulées. Mister Z entend par là que ces gens bénis des cieux sont en réalité capables de sauter le repas d'après sans aucun problème, tout simplement parce qu'ils n'ont pas faim, rapport qu'ils ont baffré une tarte tatin quelques heures plus tôt. Les autres, ceux qui enflent systématiquement, sont ceux qui non seulement boulottent la tarte tatin mais ne boycottent sous aucun prétexte le souper ou déjeuner qui suit. On sait jamais, des fois qu'il y aurait la guerre le lendemain, hein.

Résultat, grosse différence sur la balance.

Pourquoi cette discussion ? Parce que j'expliquais à docteur Z qu'avec ces heures douloureuses et l'atmosphère quelque peu tendue à la maison qui s'en est suivie, j'ai eu quelques envies pressantes de sucré-chocolaté. Mais, ai-je fanfaronné, je me suis contentée de cuisiner des madeleines sans quasiment en manger.

Moi qui pensais en être félicitée, j'en ai été pour mes frais.

– Etre dans le contrôle n'est pas ce qu'on cherche. Vous ne tiendrez pas à la longue. Pourquoi mangeons-nous, à votre avis ? Par besoin physiologique, bien sûr. Mais aussi pour le plaisir que ça procure. Parce que chimiquement, parfois, ça permet de rééquilibrer certaines choses dans le cerveau. Alors oui, on peut, de temps à autre, se dire: "la vie est pourrie, heureusement il reste les éclairs au chocolat".

D'où ma remarque sur le fait que je paie bien trop cher ces écarts pour me les permettre. Et d'où le dialogue déjà rapporté quelques lignes plus haut.

"Quand vous avez vraiment une envie de gâteau en dehors des repas, il faut tout d'abord vous arrêter deux minutes sur la raison de cette envie. Des fois qu'il y aurait une autre solution que le réconfort alimentaire, hein, autant y réfléchir. Ensuite, si réellement vous sentez que c'est un besoin, alors vous pouvez vous l'autoriser. En étant bien consciente de ce que vous faites. En choisissant le bon gâteau, parce que tant qu'à faire, autant que ce soit parfait. Ensuite, vous vous asseyez, vous le regardez, vous le dé-gus-tez. En général, le simple fait de se concentrer sur cet instant de plaisir, d'en prendre la mesure, permet d'être rassasié plus rapidement. Surtout, en étant consciente de ce que vous faites, c'est vous qui avez le contrôle, pas la pulsion", a-t-il rajouté ensuite.

C'est pas génial, ça, de se dire qu'on peut craquer sans se faire des cheveux ensuite ?

Comme je lui disais, par ailleurs, que la satiété restait mon plus gros problème maintenant que la faim et moi on était main dans la main, il m'a donné un nouvel exercice à faire.

Et croyez-moi, çui-ci, c'est de la balle.

Pendant quatre jours, je dois commencer mon repas de midi par…

100 g maximum de chocolat, lait ou noir.

Une tablette, quoi.  Sachant que si je n'ai plus faim à la moitié de la tablette, je laisse ce qui reste. Et que je dois attendre une heure minimum avant de manger autre chose. Si j'ai faim, évidemment. Pourquoi une collation une heure après ? Parce que si je sais que je ne peux pas manger avant le soir, je vais avoir tendance à bouffer la tablette par peur de la faim. Alors que si je sais que je pourrait me sustenter dans l'après-midi, ça changera la façon dont je goûterai le chocolat.

Le but de l'exercice, visiblement, c'est de constater qu'on peut venir à bout d'une envie de chocolat assez rapidement. Et qu'en manger tous les jours est probablement la meilleure façon de ne plus en avoir envie. D'après docteur Z., l'exercice se solde systématiquement par une perte de poids. Même que pour la première fois il m'a demandé de me peser avant et après les quatre jours pour vérifier.

"S'il n'y a pas perte de poids, voire prise, c'est que quelque chose a bloqué. Et ce sera une information importante également".

Voilà, en gros, pour cette séance, enfin, il y a eu d'autres choses dites et entendues, mais je les garde pour moi, celles-là.

Allez, bon lundi, je m'en vais acheter mon milka.

She’s a love result

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En attendant que l'inspiration revienne, deux trois photos ratées comme je les aime, j'essaie d'explorer les possibilités de mon appareil photo, je me dis que c'est peut-être idiot d'acheter une rolls numérique alors que je n'ai toujours pas compris à quoi servaient les ISO et tout ce qui est vitesse d'obturation. Si ça tombe c'est la même chose en plus.

Quoi qu'il en soit, j'aime bien les "accidents" obtenus en triturant tous les boutons. J'ai horreur des photos d'intérieur au flash, et là comment dire… je suis servie, de la lumière il y en a peu. Par contre du grain…

Bon ok, tout ça c'est du prétexte pour montrer mon Helmut dans un pyjama que si ils le faisaient pour adultes je le mettrais. Et que personne ne vienne me dire que les grenouillères à message c'est soooooo 2008.

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Pénélope et Elise sont dans l’Oregon

Citrouilles

Elles sont jeunes, elles sont jolies, elles sont talentueuses et n'ont absolument pas besoin de moi pour qu'on parle d'elles. Il n'empêche que je suis avec un vrai plaisir leur aventure commune depuis quelques semaines.

Qui ?

Pénélope et Elise.

La première, on ne la présente pas, si star de la blogo il y a, elle en est la queen, c'est notre Blair Waldorf à nous les blogofluentes. La seconde, il se trouve que j'ai collaboré avec elle quand je travaillais pour LadiesRomm, mais je n'ai pas vraiment pris le temps, shame on me, de sympatiser. Je le regrette, parce que son blog me semble être un des mieux écrits du moment, avec ce je ne sais quoi qui le rend addictif.

Toutes les deux, donc, Pénélope et Elise, l'ont fait.

Quoi ?

Partir. Larguer les amarres, traverser l'Atlantique, prendre un appart ou en l'occurence une maison et vivre à la ricaine. Et comme ce sont deux rockeuses de la laïfe, elles n'ont pas choisi San Fransisco ou NY, mais Portland, ville bien connue pour…

Ben justement, bien connue pour ne pas être très connue.

Le résultat, pour nous lecteurs, ce sont des billets aux couleurs de l'automne, qui sentent l'oregon et la cirouille. Pas l'origan, hein, l'Oregon.

Elise prend de belles photos et y accole des textes qui résonnent comme des nouvelles. Pénélope se livre plus que d'ordinaire et semble vivre une crise d'adulescence salutaire. Bref, c'est loin des sentiers battus de l'internenette, ça ne se prend pas au sérieux, ça me fait surtout voyager, moi qui ai souvent eu envie de "le faire", mais qui ai toujours eu peur de mon ombre et encore plus de celle des avions.

Alors voilà, même si les demoiselles n'ont vraiment pas besoin de moi, j'avais envie de leur dire que c'était drôlement bon, ce qu'elles mettaient sur la toile et de vous encourager à les suivre aussi dans leur road-blogguie.

Edit: photo piquée à Elise, donc…

Les chroniques de Spiderwick, par Petite chérie

Critiquelivre

Petite chérie est une mangeuse de livres. J'aime à penser que je n'y suis pas pour rien, disons que si mimétisme il y a chez les enfants, je préfèrerais qu'elle ait hérité de ma boulimie de livres plutôt que de celle de Pringles onion sour.

Comme elle s'intéresse par ailleurs de plus en plus à ce blog – les enfants, à ce propos, je sens que bientôt il va y avoir autocensure au niveau des histoires de turlute -, je me suis dit que ce serait peut-être une idée drôlement pédagogique que de lui proposer d'écrire des critiques de livre.

Ok, c'est limite de l'exploitation. Encore un peu et elle me pondra des billets sponsorisés.

En même temps c'est où que je trouve l'argent pour a) mon futur reflex, b) l'objectif qui va avec, c) le mac book de mes rêves et enfin, d) la maison lounge en bord de mer pour cet été ?

Bref, ma mangeuse de livres, elle a sauté sur l'occase et comme elle venait de terminer "Les Chroniques de Spiderwick", elle a écrit de sa blanche main ce petit texte. J'ai laissé les fautes et n'ai pas touché une virgule et je trouve que ce n'est pas si mal.

J'ajouterai juste que je confirme ne pas avoir vu ma fille durant les deux ou trois semaines pendant lesquelles elle a lu ce bouquin. Ce qui peut constituer un argument assez solide en faveur d'un cadeau de Noël…

Spiderwick

Dany Boon le légionnaire

Là, c’en est trop, je crois que je vais aller vomir mon gâteau au chocolat qui pourtant était mortel. Qu’on me dise que c’est un fake, pitié, qu’on me le dise. Et l’autre qui se marre, montrant à quel point il a sur-intégré les humiliations quotidiennes. Je pleure.

Edit: C’est Birenbaum sur le Post qui a montré en premier cette vidéo, son analyse est assez pertinente, même si personnellement j’aurais tendance à être beaucoup plus virulente.