Catégorie : Leçons de mode

Des robes et des sandales

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J’ai cru comprendre que les petites robes ne vous laissaient pas indifférentes. Personnellement je ne me sens jamais si bien l’été qu’en robette, ça ne serre pas le ventre, c’est mis en deux minutes et ça s’accorde avec à peu près n’importe quelle paire de chaussures. J’aime particulièrement cette année la mode des sandales avec un brin de fluo, je ne sais pas, c’est mon côté fou-fou j’imagine. Ci dessus, une sélection de modèles ultra-soldés, quasi toutes à mois de 30 euros. Bon week-end, à vos vaporisateurs, prêts, partez !

#1 Robe Gina Pieces, 10 euros – #2 Robe Close By Monshowroom, 11,50 euros – #3 Sandales IKKS, 72 euros #4 Robe crochet Sala, 15,50 euros #5 Robe débardeur American Apparel, 11,50 euros – #6 Nus pieds cloutés Calina, 29 euros – #7 Robe Samia, 15 euros – #8 Robe Lola, 19,50 euros #9 Nus pieds Helen, 24,50 euros – #10 Nus Pieds Emma Go, 52 euros – #11 Robe Vero Moda, 11,50 euros – #12 Nus pieds Mellow Yellow, 29,50 euros – #13 Sandales Mellow Yellow, 44 euros

Edit: Sur Monshowroom, il y a des codes de réduction (signalés en homepage, mais au cas où):

– HOLID15: 15 euros de réduction dès 130 euros d’achat,

– HOLID20: 20 euros dès 160 euros

– HOLID5: 5 euros dès 70 euros.

Dos – presque – nu

DSC_4008Le problème avec les seins généreux, ce n’est pas tant que ce soit lourd à porter – bien que – ou qu’ils nous précèdent en toutes circonstances – bien que – mais plutôt qu’ils ne se laissent JAMAIS oublier. Je n’ai rien par exemple contre les décolletés. Mais lorsqu’on fait du 95 C – c’est mon cas – le moindre col cheminée EST UN DÉCOLLETÉ. Donc on oublie le « V-neck », tellement sexy et gentiment évocateur sur des petits nichons, rapidement indécent sur une nana sévèrement burnée de la poitrine. J’imagine qu’il y a une explication physique au phénomène, mais c’est un peu comme si de par leur poids, bob & rob entrainaient le tissu, quel qu’il soit, dans leur inexorable chute. Ou comment passer la journée à tirer sur le dos du tee-shirt pour éviter de donner cette élégante impression d’open-bar à Saint Nich’.

Vous l’aurez compris, bien que détestant être collet monté et ne supportant pas tout ce qui me serre au cou, je limite désormais mes achats de hauts échancrés, marre de ramasser les miettes de pain au fond de mon soutif après manger. En lire plus »

Rose et Joséphine, forza Corsica

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A l’heure où vous me lirez je serai sur les routes du sud, entre Lyon et Cadaquès où nous allons passer trois ou quatre jours avec le churros, profitant d’une semaine sans enfants. Vous dire que je suis sereine serait vous mentir, pour la première fois ma grande est en Angleterre et j’ai beau être de celles qui laissent facilement leur portée s’éloigner, il y a quand même une mer entre nous et aussi petite soit-elle, c’est trop en fait. Sans compter que la semaine dernière a été porteuse de nouvelles pas super glop qui ne me font pas aborder les vacances avec la légèreté que j’espérais.

Mais laissons derrière nous pour quelques jours ce qu’il sera toujours temps d’affronter dans un mois – accepter ce qu’on ne peut pas changer, ce n’est pas un mantra des AA ça ? – et filons donc boire un peu de tinto de verano accompagné de sardinas et patatas…

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Cyber-soldes

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Ces trois derniers mois mes enfants se sont visiblement donné le mot pour pousser comme des champignons (la chérie, si elle me lit, va me rétorquer que non, pas elle, mais si, quoi qu’elle en pense, la demoiselle a elle aussi des pantalons feu au plancher). Résultat, les soldes je les leur ai consacrées quasi exclusivement, n’ayant pour ma part pas le prétexte d’avoir grandi pour me lâcher sur l’internet (je ne sais pas à quand remonte ma dernière virée en boutique, si l’on exclut Monoprix (qui est opportunément (ou pas) situé sur le trajet qui me mène à l’école de Rose) et H&M (caverne d’ali baba de la chérie)). De toutes façons franchement avec ce temps, je ne suis pas super motivée. Mais si je l’étais, je me laisserais tenter par ces petites choses, d’ailleurs je pense que la robe longue grise va quand même finir par atterrir dans mon panier virtuel.

Bonnes vacances à ceux et celles qui décollent dès ce we. Cette année pour ma part les vacances vont être en pointillé, avec trois ou quatre jours à la frontière espagnole en juillet pour le churros et moi et deux semaines en famille/with friends en Grèce 15 au 30 août. Grosse infidélité à la Corse cette année, je pense que ce n’est que partie remise pour 2014, l’idée de ne pas y aller me rend toute nostalgique (j’ai de gros problèmes). Bref, en somme vous allez m’avoir sur le dos quasiment tout l’été…

Ah et bon anniversaire à mon papa…

#1 : Bague étoile chez Asos, 50,37 euros – #2 : Pull ajouré fluo, 27 euros – #3: Tee Asos, 24,52 euros – #4:  Jean à pois, 34 euros – #5: Slippers à pailettes, 51 euros – #6: Montre bambi trop kitsch, 44,20 euros – #7: Robe à pois très Sofia Loren, 18 euros – #8: Mes shoes JB Martin , 110 euros (j’envisage d’en racheter une paire tellement j’y suis confort) – #9: Robe tout mou tout doux, 29,16 euros – 10 : Top American vintage, 67,50 euros – #11: Collier plastron bling bling, 29,16 – #12 : Robe de plage et de cocktails le soir, rose, of course, 19,50 euros – #13: Shoes qui brillent Georgia Rose, 77,40 euros – #14: (ben y’en a pas c’était pour voir si vous suiviez) – #15: Manchette type « hipanema » (sauf qu’elle coûte 10 fois moins cher), 11 euros

Tiny Om ou le sixième bijou

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Il y a deux sortes de bijoux. Ceux que l’on met pour des occasions spéciales, qu’ils aient coûté deux francs six sous ou bien plus chers et les autres et ceux qui se font oublier et qui deviennent quasiment une seconde peau. Jusque là, j’en avais cinq. Mon alliance, ma bague de fiançailles, une autre offerte par le churros pour la naissance de Rose, ma Pomellato de mes 40 ans et mon collier Tiffany, également offert par mon amoureux pour un anniversaire (un tour de cou ponctué d’un tout petit diamant). Hormis la Pomellato que j’enlève désormais en cas de baignade ou de vaisselle (hum), je les garde en permanence sur moi, donc, parce que sans eux, je ne sais pas, il me manque quelque chose. S’ils ont tous une valeur conséquente, je ne pense à vrai dire pas vraiment à leur prix mais à ce qu’ils me racontent. Ma bague de fiançailles me rappelle cet instant magique sur la place Saint Marc, où après dix ans à me répéter qu’il ne m’épouserait jamais parce que le mariage c’était une vaste fumisterie, le churros m’a demandé de devenir sa femme. Celle de Rose, je sais que la chérie l’avait choisie avec lui. L’alliance, on l’a achetée à la bourre dans une boutique sans charme, parce que la vérité c’est qu’on avait oublié que c’était pas mal quand on se marie, d’avoir des alliances. En lire plus »

Pitié, Vic…

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Alors que je venais d’arriver à Paris, encore étudiante, mal dans ma peau, pas très bien dans ma vie non plus, j’ai croisé Sophie Marceau au détour d’une rue, dans le Marais. Solaire. Elle portait une salopette en jean sur un marcel blanc et probablement une vieille paire de baskets mais je ne saurais l’assurer. Je me souviens en avoir eu le souffle coupé. Ma première « star » en vrai ou presque et pas des moindres pour qui place encore aujourd’hui La Boum au panthéon de ses films préférés.

Au delà de cet aspect people et midinette, ce que je retiens de ces quelques secondes, c’est donc cette tenue qu’elle portait. S’il est une fringue que je n’aurais alors jamais associée à la séduction, c’était bien la salopette, cet hybride du pantalon et de la robe chasuble, dans laquelle mes seins n’ont jamais su comment se placer – sous les bretelles, entre les deux ou à l’extérieur ? – (ils sont dyslexiques). Mais là, la Marceau, plus gironde d’ailleurs à l’époque qu’aujourd’hui, dégageait quelque chose de tellement féminin, de tellement assuré et de si peu apprêté que j’ai eu l’envie d’aller dans la première friperie me dégotter la même.

Las, à l’époque je n’ai jamais trouvé et surtout jamais assumé, trop peur de ressembler plus à Coluche qu’à Sophie ou que l’on me demande mon terme à tous les coins de rue. Mais cette image ne m’a jamais quittée. Je crois même que cet instant a été assez déterminant dans ma vie de parisienne, comme un message d’espoir, tout ne pouvait pas être si mauvais ici si Vic pouvait débouler au coin d’une impasse (j’ai fait sciences-po). En lire plus »

J’ai bu la tasse tchin tchin

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Je ne vous cache pas que le retour est rude, pas tellement en raison du décalage horaire – bien qu’hier j’étais en pleine bourre à 5h12 environ et à 20h j’avais la sensation de terminer une nuit blanche  – mais surtout parce que forcément, une semaine « off » signifie un max de boulot lorsqu’on revient. Je ne vais pas faire pleurer dans les chaumières mais c’est ça aussi la vie de free lance: quand tu pars, personne ne gère tes affaires courantes.

Légèrement débordée donc et moyennement en verve aujourd’hui, mais cinq minutes tout de même pour vous dire que j’ai écrit ce papier sur l’Express Style. Et que sur ce même site, il y a une interview de ma pomme. En lire plus »

A bicyclette…

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Alors déjà, un immense merci pour votre accueil hier, ça m’a fait chaud au coeur de vous voir si enthousiastes, regarder les murs encore tout propres, vous créer un avatar – thank you Chag pour les explications – et me complimenter sur le choix des peintures et des tapisseries. C’était important que ça vous plaise, que vous continuiez à vous sentir bien. C’est drôle, certaines ont trouvé que ça ne changeait pas assez, d’autres beaucoup, d’autres, trop. Comme quoi Newton avait raison, tout est relatif et pierre qui roule vaut mieux que deux tu l’auras.

En ce qui me concerne, je suis encore un peu gênée aux entournures, j’ose pas marcher avec mes chaussures et j’ai peur de salir les sols immaculés. En plus, l’interface de gestion n’est pas la même qu’avant et je me prends un peu les pieds dans le tapis, donc va falloir être indulgents. J’ai fait remonter vos remarques à Frédéric qui devrait remédier à certains petits soucis dans les jours à venir. Mais j’avoue, je ne vais pas le harceler parce que le pauvre je pense qu’il était à deux doigts de changer de métier et d’aller vendre des chichis à Palavas histoire de ne plus se coltiner l’export de mes billets.

Voilà, à part ça, je ne pouvais pas ne pas vous montrer ce shooting mode improvisé, réalisé par le Churros la semaine dernière alors que les enfants étaient tous en goguette. Je crois qu’il veut m’emmener sur les chemins du mannequinat. Ou alors il s’est senti hyper sexy avec un appareil autour du cou, je ne sais pas, mais j’ai genre 345 photos de moi sur ce vélo qu’il a trouvé soudain hyper photogénique. Vélo au demeurant croquignolet mais quand on connait mon passif avec ce mode de locomotion, on ne croit pas une seconde que je m’apprête vraiment à enfourcher ma monture et arpenter les rues de Paris cheveux au vent. En lire plus »

Bring me the sun

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Envies de boire un café glacé chez Senequier, d’un transat au soleil, d’un smoothie glacé et de sable entre les doigts de pieds. On peut toujours rêver. En attendant, sans vouloir jouer les tentatrices, il a fait un tel temps de merde depuis le mois de janvier que tout est déjà méga soldé partout. Et ce n’est qu’un début à mon avis, hier en goguette vers la place des Victoires j’ai été sidérée par ces boutiques rutilantes, remplies de fringues ultra chères et surtout plus vides que le cerveau de Nabilla. C’est la crise et puis aussi, peut-être, il y a un moment où cela devient compliqué d’expliquer que si, une robe trois trous en coton fabriquée en Chine vaut bien ses 250 euros (special tribute to Sandro et Maje qui je crois se foutent vraiment de notre gueule…).

1 Foulard B-Young, 29 euros – 2 Robe Vero Moda, 29 euros – 3 Collier Anne Thomas, 59 euros – 4 Jean Slim Bella, 39,50 euros – 5 Sweatshirt Asos, 33,14 euros – 6 Sandales Best Mountain, 39 euros – 7 Bracelet Cuzco Hipanema, 65 euros – 8 Robe Vero Moda, 23 euros – 9 Ballerines fluo Anniel, 130 euros – 10 Robe longue Vero Moda, 15 euros – 11 Collier Polder, 79 euros – 12 Bracelet Saint Tropez Hipanema, 65 euros

Work in progress

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Bon mes petits chats, c’est ce qui s’appelle un pétard mouillé, une vente de la peau de l’ours avant de l’avoir tué, une charrue avant les boeufs ou tout autre adage signifiant qu’en gros j’ai parlé trop vite.

La migration est en cours mais les obstacles sont nombreux.

La faute à qui ?

La faute à VOUS.

Eh ouais, gros.

Je veux dire, y’a pas idée de poster autant de commentaires, aussi. 150 000. Rien que ça.

Je déconne, ne le prenez pas mal, d’autant que ça n’est pas le seul problème, il y a aussi le nombre de billets – 2000 – et de photos (beaucoup). Plus pas mal de subtilités qui m’échappent mais qui font que le pauvre Frédéric y perd son latin. Transposer un blog de Typepad vers WordPress n’est pas une mince affaire et encore moins quand il s’agit d’un blog âgé de sept ans, tenu par une fille bavarde, très bavarde, et fréquenté par des lecteurs et lectrices tout aussi bavards.

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