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Journée internationale des droits de la femme: qu’est-ce qu’on peut faire ?

Je dois vous avouer que ce 8 mars me laisse toujours très perplexe. Pendant de nombreuses années, cette journée internationale des droits de la femme a été confondue avec la fête des meufs, à qui on achetait une rose pour qu’elle ferme bien sa gueule les autres jours de l’année. « Allez, tiens, prends ta fleur et fais plus chier ». J’ai l’impression que depuis un an ou deux, les mecs ont compris (à force sans doute de se prendre la rose dans la face) et que cette année les marques ont été un peu plus malignes et nous arrosent un peu moins de pubs à grands renforts de – 30% pour ce magnifique soutien-gorge qui fera succomber votre homme (parce que c’est bien connu que l’objectif numéro 1 de la femme le jour de sa « fête » c’est de faire bander son mari).

Bref, on est un peu plus au clair sur l’objectif originel de cette journée, conçue pour dénoncer les inégalités hommes femmes et proclamer nos droits. Mais après ?

Et bien après, je ne sais pas trop. Voici quelques pistes de ce que nous pourrions faire aujourd’hui pour marquer le coup… En lire plus »

Trouville is always a good idea…

Ce week-end nous sommes partis à Trouville avec Rose. Tous les trois. C’est étrange, les équations familiales deviennent différentes, si nous avons encore pas mal de moments à cinq, ils se raréfient néanmoins. Nous le savions quand Rose est née, que ces huit ans d’écart feraient d’elle un jour une enfant unique à temps partiel. Je le redoutais un peu, surtout pour elle, j’avais peur qu’elle souffre de voir ses frère et soeur commencer à s’émanciper. Et finalement, c’est tout le contraire. Il me semble qu’elle savoure ces instants privilégiés, qu’elle ne boude pas trop ce plaisir d’avoir ses parents pour elle toute seule. D’autant plus que ses aînés occupent pas mal l’espace et qu’elle peut éprouver parfois des difficultés à monopoliser l’attention durant les repas par exemple. Quant à nous, nous apprenons sur le tard cette relation triangulaire très exotique pour des parents de jumeaux. En n’en perdant pas une miette, conscients que le temps passe à toute allure et que cette petite fille encore viscéralement attachée à son papa et sa maman nous suppliera bientôt de partir en week-end histoire que son mec puisse dormir à la maison… En lire plus »

Prescription Lab, Time to shine…

Partenariat

Je vous avais déjà parlé de Prescription Lab, cette box qui a pour ambition de se distinguer des autres offres en la matière. Moi qui n’avais jusque là jamais été très convaincue par ce modèle, je dois avouer avoir changé de parfum après la réception de la première boite. Je portais depuis dix ans « Chance » de Chanel, qui reste l’un de mes chouchous mais l’Eau d’Issey qui figurait dans ma box m’a conquise comme rarement un autre élixir. Sans parler du masque au charbon, qui est devenu aussi un de mes soins récurrents. Bref, on m’a proposé de tester à nouveau Prescription Lab et j’ai reçu celle de mars. Une boite centrée cette fois ci davantage sur le soin, également très convaincante. Avec comme à chaque fois, un produit « full size », un autre de la marque « Prescription lab » et un soin en taille voyage. En lire plus »

Five little things #21

On ne peut pas dire que j’ai énormément de temps pour bouquiner ni même découvrir beaucoup de séries en ce moment, mais j’ai quand même quelques petites choses dont j’avais envie de vous parler…

1 – Le livre. Cet été là de Lee Martin. Je l’ai acheté en pensant lire un énième polar reposant sur la disparition d’un enfant (les auteurs manquent cruellement d’originalité honnêtement, 99% des policiers qui sortent aujourd’hui sont centrés autour de cette intrigue). Mais finalement, c’est un très beau livre polyphonique, avec, 30 ans après la disparition de la petite Katie, les témoignages de tous ceux qui furent témoins de ce drame. Peu à peu, la vérité ou LES vérités s’esquissent.

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La nouvelle collection signée Laetitia Ivanez pour les Galeries Lafayette : de la bombe bébé

Au cas où vous n’en ayez pas encore entendu parler, c’est un peu l’actu fashion du mois de février. La créatrice Laetitia Ivanez a imaginé toute une collection de printemps pour les Galeries Lafayette et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a frappé dans le mille, en ce qui me concerne du moins. Entre les tees et sweats floqués du nom d’un de mes endroits préférés au monde, aka Calvi, les chemises aux coupes hyper flateuses, les petits pulls graphiques, les pantalons chinos et les jeans 7/8è, comment vous dire… c’est tout ce que j’aime. Sans parler des cardigans dans lesquels on s’enroule quand on ne veut plus mettre de manteaux, des petits blousons en cuir et des jupes, mini ou midi. Bref, c’est super joli et les prix sont plutôt doux. Reste plus qu’à tomber les collants et à se lancer en somme…

 

#1 – Sweat Calvi, 49,99 euros – #2 – Pantalon chino, 49,99 euros – #3 – Chemisier Taylor, 49,99 euros – #4 – Jupe plissée Athena verte, 49,99 euros – #5 – Tee-shirt Calvi, 19,99 euros – #6 Jean Fit, 59,99 euros

 

#7 Chemisier Taylor, 49,99 euros – #8 Pantalon chino, 49,99 euros – #9 Tee shirt Myleen, 19,99 euros – #10 – Jupe TNT, 49,99 euros – #11 – Pull Many, 69,99 euros – #12 Jupe Athena blanche, 49,99 euros

Billet écrit en partenariat avec Les Galeries Lafayette

J’aime #123

Alors déjà, à nouveau un grand merci pour vos échanges hier, c’était vraiment agréable une fois de plus de vous lire. J’apprécie d’autant plus qu’il y a dans les commentaires des avis de gauche (et de toutes les gauches) mais aussi de droite et du centre. Et à aucun moment le ton n’est monté ou presque. Je le dis souvent mais si je suis fière d’un truc, c’est de ça, de cet espace que nous nous sommes créé ensemble, dans lequel nous parvenons à « parler » en confiance et avec suffisamment d’intelligence pour que l’autre soit entendu. Merci.

A part ça, j’aime… En lire plus »

Présidentielle de comptoir #2

Hello hello, vous aviez manifestement apprécié de pouvoir parler ici de vos interrogations, doutes et enthousiasmes sur la prochaine présidentielle, dont acte. Voici donc mes propres pensées hebdomadaires sur le sujet. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’on ne s’ennuie pas. Mais je dois le confesser, je préfèrerais que la campagne soit davantage axée sur les éventuels programmes que sur les aléas judiciaires des uns et des autres. Bref, la dernière fois, je n’avais pas parlé de celle qui est donnée en tête du premier tour, je vais donc commencer par elle. En lire plus »

Psy: cinq idées reçues

Ce billet est né des échanges que j’ai eus avec l’une d’entre vous, Mammouth, pour ne pas la nommer. Ses questionnements et réflexions sur la thérapie analytique m’ont forcément fait réfléchir. Sur ce que j’attends personnellement de cette thérapie entamée il y a deux ans et demi, sur la façon dont je vois les choses mais aussi sur les idées fausses, que j’ai pu avoir moi même ou celles qui sont véhiculées.

Bref, en voici quelques unes, sachant que tout ceci n’est après tout que mon avis, si des psys me lisent et ne sont pas d’accord, je les invite évidemment à s’exprimer, idem pour ceux et celles qui font ce « travail » et qui auraient une autre vision des choses. (je précise bien que je ne méprise pas ceux qui peuvent être en accord avec ces idées là, Mammouth, tes questions m’ont amenée à réfléchir et j’aime ça 😉 En lire plus »

Love me, please, love me…

Souvent quand j’écris des sketchs pour Parents mode d’emploi et particulièrement pour l’un des nouveaux personnages, Steph, la soeur de Gaby, au tempérament bien différent de celui d’Isa, je puise évidemment dans ma propre vie et mes propres névroses. Ce qui m’amène du coup à chercher ce qui en moi pourrait prêter à sourire (beaucoup de choses) (je ne suis pas une personne particulièrement hilarante volontairement, mais malgré moi en revanche, pas mal). En l’occurrence, l’un de mes travers, enfin je ne sais pas si c’est un travers ou un trait de caractère, est une source d’inspiration (ce qui ne veut pas dire que je fais mouche à chaque fois, hein). A savoir mon incapacité à dire non, doublée d’une volonté même pas inconsciente que les gens m’aiment. Ce qui peut m’amener assez loin dans la connerie. Quelques exemples tirés de mon quotidien, qui, lorsque je les écris, me prouvent que je suis loin, très loin d’en avoir fini avec mon quelqu’un… En lire plus »

J’aime #122

Depuis que je suis abonnée à Netflix, l’un de mes péchés mignons c’est cette série documentaire intitulée « Chefs table ». Chaque épisode retrace, sans voix off, le parcours d’un chef réputé. Hormis quatre portraits dans la déclinaison française, les autres viennent d’un peu partout, de suède, d’Argentine, d’Italie ou encore des Etats-Unis. Et outre les plats qui systématiquement font dangereusement saliver, ce sont surtout les cheminements des hommes et des femmes filmés qui sont passionnants. Certains pourraient être des héros de scénarios, tant leur vocation est née suite à des bouleversements familiaux ou personnels. Et à chaque fois, surtout, bien que très différents les uns des autres, il semble clair que le succès ou tout au moins l’accomplissement est arrivé après qu’ils se soient débarrassés d’une envie de « faire comme », quand ils ont réalisé que la meilleure cuisine qu’ils pourraient faire était nécessairement celle qui leur ressemblait, qui prenait source dans leur substantifique moelle. Bien sûr, ce sont des documentaires, bien sûr il y a de la scénarisation justement. Mais pas tant que cela. Et ce qui vaut pour l’art culinaire vaut sans doute pour tout un chacun. Il n’y a qu’en suivant son désir profond, en travaillant, certes, mais avec élan et non effort, que l’on trace sa voie. Le plus dur étant sans doute de mettre le doigt sur ce désir, sur ce qui ferait s’exclamer ce groupe des années 80, « ça c’est vraiment toi ».

Bref, cette semaine, j’aime… En lire plus »