Un immense merci tout d’abord pour vos commentaires sous mon billet clope, ils étaient passionnants, avec plein de mots qui m’ont parlé et encouragée. Comme l’écrit si bien la Chic fille, « cette fois-ci j’arrête sans y croire, et c’est peut-être pour ça que ça va marcher » (elle n’écrit peut-être pas ça mot pour mot, mais en gros je crois que c’était l’idée). Je ne vais pas m’étendre plus longtemps sur le sujet aujourd’hui, pas grand chose de plus à vous raconter qu’il y a deux jours, si ce n’est que j’ai acheté une nouvelle cigarette électronique qui manifestement me convient mieux – l’autre ne tirait pas bien – et que même si l’objet me fait quand même penser à une seringue et me donne l’impression d’être une camée (ce que je suis, cela dit), je ne ressens pas le manque de la même façon que lors de mes arrêts « à l’ancienne », avec patchs et kilos de pastilles vichy.
Je voulais vous parler de ce livre – autant rester dans un sujet léger et joyeux après tout – « Nos étoiles contraires ». Il émerge ces derniers temps, j’ai l’impression, une littérature jeunesse américaine absolument merveilleuse. (Marje, tu confirmes ?) Je ne parle pas de la mode vampire qui ne me touche pas vraiment mais qui fascine ceci dit mes grands et surtout ma fille – accro à mort à la série télé Vampire diaries – mais d’un pendant en quelque sorte de ces teen movies un peu indépendants, tels que « Kids », « My little miss sunshine », « spring breakers », etc. J’avais chroniqué récemment « Wonder », je pense que « Nos étoiles contraires » est exactement dans la même veine. En lire plus »