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Quand ça commence à devenir intéressant

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Hier, en rentrant de l’école, Rose me parlait de l’une de ses copines dont les parents sont séparés. « Elle n’a pas une vie facile tu sais, deux pères, tu imagines ? Un vrai et un faux qui vit avec sa maman ». Et d’embrayer sur cette dame qu’elle avait entendu parler avec sa nounou – coucou N. – qui avait surpris « son mari en train d’en appeler une autre » et que « ses enfants défendent et lui disent de le quitter parce qu’il ne faut pas gâcher sa vie ». (L’occasion de constater que la différence entre le b et le d n’est toujours pas totalement assimilée mais qu’en revanche pour ce qui est d’enregistrer les conversations qui ne la regardent pas, AUCUN PROBLÈME DE MÉMOIRE.) Bref, toutes ces histoires de séparations semblaient malgré tout la préoccuper (ou juste elle se croyait dans un épisode de Violetta, ce qui n’est pas non plus complètement impossible), donc j’y suis allée de mon petit couplet, sur la difficulté parfois de s’aimer pour toujours, sur le fait que sa copine était sans doute plus heureuse maintenant que ses parents ne se disputaient plus, qu’en tous cas quand l’amour s’en va, ce n’est jamais la faute des enfants, bla bla bla. Et j’ai terminé avec des paroles se voulant rassurantes, sur son papa et sa maman qui pour l’instant en tous cas s’aimaient toujours, « même si parfois on se chamaille, mais ça c’est normal, l’important c’est de se réconcilier ». En lire plus »

Graou…

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Je sens qu’avec mes confessions mycosiques, j’ai légèrement écorné ce glamour qui pourtant m’auréole depuis toutes ces années de blogging. D’où l’a nécessité de réhabiliter mon fashion statement illico presto. Du coup de matin j’ai dit au churros, vas-y, prends moi au débotté. D’enthousiaste et chaud bouillant (avec mes oreilles en chou fleur ça n’a pas été la fête tous les soirs ces derniers temps) il est devenu totalement désabusé quand je lui ai collé mon joujou extra dans les mains, à savoir mon Reflex Nikon 7000. Du matos de compétition à dix mille dollars avec lequel il est parvenu à prendre péniblement trois clichés sauvables quoi que flous.

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un mari photographe.

« Non mais baisse toi je ne peux pas t’avoir en entier dans le cadre », m’a-t-il engueulée sur le pallier. D’où cette pose ridicule qui donne l’impression que je vérifie que j’ai toujours des pieds.

Pas très grave, l’idée n’était pas de montrer ma trombine mais deux nouvelles venues dans mon dressing (= un portant en phase terminale).

A savoir donc: En lire plus »

Le bonheur est dans le combi

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On a de drôles de peurs parfois dans la vie. Parmi la foultitude qui m’assaillent quotidiennement, il y avait la celle-ci: ressembler à un rôti dans une combi. Tout en convoitant de tout mon corps (la blogueuse est un être passionné) ladite combi. A force de lire ça et là qu’il n’y avait rien de plus pratique, de plus seyant, de plus classe en toute circonstance, je me la rêvais (non mais sans déconner, une fringue qui fait à la fois le haut et le bas et qui du coup fait disparaitre le dilemme matinal et quotidien de quoi va avec quoi ! What else ?).

J’étais donc en proie à des doutes très affreux quand vendredi, je ne sais pas, prise d’un courage étonnant, je me suis dit qu’après tout, on ne vit qu’une fois. Et j’ai donc commandé cette petite chose chez Asos. Lorsque je l’ai reçue hier, j’ai su. On était faites l’une pour l’autre.

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« Mais ralentis je te dis ! » (concours inside)

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Avant de terminer mon récit sur ce petit périple à Taroudant, revenons s’il vous plait sur ce tee-shirt « Cook da Books », qui ne peut que tirer des larmes d’émotions à toutes celles mais aussi ceux, d’ailleurs, qui, lors de la projection de la Boum, ont vibré sur les accords certes un peu basiques de ce groupe mythique. Your eyes…. na na na, nanana na na…

On se comprend. En lire plus »

A perfect day à Saint Martins Courtyard

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Il y a quelques jours, j’ai reçu un mail adorable dans lequel une jeune femme non moins adorable m’invitait à visiter un  quartier un peu caché de Londres, niché au coeur de Covent Garden: Saint Martins Courtyards. Vous connaissez mon affection pour la capitale britannique, autant vous dire que je ne me le suis pas fait dire deux fois. Et, cherry on the cupcake, j’en ai profité pour embarquer avec moi la grande chérie, en guise de cadeau d’anniversaire. C’est assez dingue ce moment où soudain votre enfant devient un plus que votre enfant. Pas vraiment une copine, mais plus votre bébé non plus, un lien unique et bouleversant, montagnes russes permanentes, entre amour fou et détestation fulgurante. Je l’ai déjà écrit ici, pour l’instant j’aime ce que je vois de leur adolescence (quand je n’ai pas envie de les passer au mixeur). En lire plus »

La chasse aux basiques aux Galafs

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Vous connaissez ma dévotion pour ce qu’on appelle dans le milieu de la mode (que je connais bien sans me vanter) les « basiques ». En gros, ne nous voilons pas la face, tout un tas de fringues pas super fun et pas vraiment délire, mais qui une fois portées ne vous trahissent pas trop. Ok, une marinière ne vous transforme pas en Shakira, mais elle a le mérite de tenir ses promesses. Idem pour les sandales compensées ou la chemise en jean. En ce qui me concerne je suis désormais assez lucide quant à ce qui me définit. Et si parfois je me lâche sur une paire de Patricia Blanchet à paillettes, la plupart du temps je suis aussi excentrique qu’un parcmètre.

Bref, les Galeries Lafayette m’ont à nouveau proposé de faire une sélection parmi leurs produits soldés (c’est les soldes flottantes pour ceux qui l’ignorent, ça peut aller jusqu’à 50%) et je me suis dit, vas-y, je vais partir à la chasse aux basiques. Et voilà le travail… (ok, j’ai un peu craqué sur du fluo ou une trousse ananas également mais c’est tout l’art des tenues basiques. Pour ne pas être complètement chiantes et soporifiques, il leur faut un soupçon de fantaisie) (j’aurais pu écrire qu’il faut twister sa marinière mais je ne sais pas, j’ai senti que je pourrais vous agacer) (à force) (par contre je ne m’explique pas vraiment la présence d’un tee-shirt Michael Jackson).

# 1 – Sandales compensées Lafayette Collection, 54,50 euros au lieu de 109 euros – # 2 – Sweat Petit Bateau, 52,50 euros au lieu de 75 euros – # 3 – Bracelets Mata gris, 12,95 euros – # 4 – Pull col V, 15 euros, au lieu de 29,99 euros – # 5 – Cardigan Agnès B, 94 euros au lieu de 135 euros – # 6 – Vernis à ongles Clinique, 18,50 euros – # 7 – Trousse Ananas, 7,90 euros – # 8 – Chemise denim Esprit, 35,97 euros au lieu de 59,95 euros – # 9 – Rouge à Lèvres YSL, 33,50 euros – # 10 – Robe Petit Bateau, 52,50 euros au lieu de 75 euros – # 11- Blouse soyeuse Esprit, 14,99 euros au lieu de 29,99 euros – # 12 – Tee Eleven Paris, Michael Jakson, 19,50 euros, au lieu de 35 euros – # 13 – Sandales Mellow Yellow, 77 euros au lieu de 110 euros – # 14 – Marinière Armor Lux (que j’ai oubliée dans le moodboard), 39,20 euros, au lieu de 56 euros

 

Une étole Epice (concours inside)

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EDIT: CONCOURS TERMINÉ !!!

Je ne sais pas si vous vous souvenez, je vous avais parlé de cette étole Epice et de sa qualité exceptionnelle. Des étoles et des foulards, j’en ai à foison, j’ai d’ailleurs passé l’hiver un plaid autour du cou. Mais j’en avais rarement possédée une aussi magnifique. Epice est une marque qui fait fabriquer ses écharpes et foulards à la main, dans des tissus nobles comme le lin, le mérinos ou la soie et qui s’est engagée depuis ses débuts dans une démarche de commerce équitable. Les prix sont conséquent, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt, mais on est loin, très loin, de ce que l’on trouve à pas cher dans le mass market. Chaque modèle est unique puisque fabriqué artisanalement et la mienne n’a pas bougé d’un fil (hu hu hu) (tissage, fil, toussa). En lire plus »

I love Brouqueline

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Un dernier billet sévillan, avec ma trombine en prime à nouveau, mais c’est pour la bonne cause, aujourd’hui c’est cadeau. Vous vous souvenez de French Disorder, la marque de tees & sweats qui monte, créée par des amis ? J’avais déjà montré mon sweat « Pipelette », voici donc le « Brouqueline » (il est possible que vous ne trouviez pas tout de suite la blague, ne vous jetez pas la pierre, ça arrive aux meilleurs). Outre l’inscription que j’aime personnellement beaucoup, je tiens à porter à votre attention la coupe absolument parfaite. Le décolleté est pile comme il faut et la longueur également. Je l’ai pris en L, parce que je le voulais un peu large et il est nickel, mais le M aurait pu faire l’affaire également. Vous avez donc la possibilité de gagner un tee de la nouvelle collection. En lire plus »

Daisy à Séville

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Vous l’avez entraperçue sur mes photos hier, et quelques curieuses m’ont demandé d’où elle venait. Elle ? Ma robe Daisy comme j’aime l’appeler, constellée de marguerites. J’avoue avoir hésité avant de l’acheter sur Asos, parce que la forme, apparemment ultra-confortable peut être trompeuse et appeler des questions rarement agréable lorsque l’on a le stérilet chevillé au corps plutôt deux fois qu’une: « c’est pour quand ? ». Ne nous voilons pas la face en effet, la robe trapèze est probablement le meilleur moyen de dégotter facile une place assise dans le métro. En lire plus »

Full Monday

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Le programme de ce lundi est assez simple: je passe ma journée dans le train. Je me suis interrogée toute la semaine quant à la possibilité de laisser mes grands seuls avec leur petite soeur dans le TGV pour Lyon, je suis même allée jusqu’à leur réserver des places, pour finalement changer de braquet ce matin en m’incrustant dans leur carré au dernier moment. Objectivement, ils sont responsables pour douze – même si le machin a ses originalités et ses absences – et Rose est un modèle de sagitude. Mais à chaque fois que je me suis visualisée moi sur le quai et eux trois dans le train, j’ai ressenti ce serrement si caractéristique, celui qui te laisse exsangue, et le coeur à moitié arraché. Je sais bien qu’il ne peut pas se passer grand chose en deux heures sur ce trajet emprunté des centaines de fois, je sais que les grands l’ont déjà fait seuls, mais leur donner cette responsabilité de gérer les éventuels vomitos de la petite ou je ne sais quel arrêt en rase campagne ne m’a pas semblé être de l’ordre du possible. Ou comment réaliser une fois de plus qu’être mère se passe parfois de tout raisonnement logique, il y a ce qu’on PEUT faire, et ce qu’on ne PEUT PAS lâcher.

Bref, boulot oblige, pas possible de rester un peu à Lyon pour ma part, donc lâcher de nains sur le quai de la Part-Dieu et retour dans la foulée dans notre bien aimée capitale.

A part ça, je ne voulais pas entamer cette semaine sans deux ou trois brèves de la plus grande importance (si si). En lire plus »