Mois : juin 2017

Soldes: second round, les Galeries Lafayette

Deuxième et dernier round des soldes, nous voici à présent chez les Galeries Lafayette. Avec des vêtements à petits prix comme ce Top Naf Naf à 13,99 euros ou ce short à 17,99 euros mais aussi quelques pièces de marques qui deviennent bien plus accessibles. Cela peut être par exemple le moment pour s’offrir un cabas Vanessa Bruno (le must have des lycéennes parisiennes, parait-il, étonnant comme certains objets traversent les générations). Bref, je vous ai fait une petite sélection qui, short mis à part (je ne suis pas très short) ressemble à ce que je vais sans doute porter tout l’été (pour la robe bustier on attendra la plage, of course).

1 – Chemise Caroll, 79 euros, 47,40 euros – 2 – Pantalon American Vintage, 120 euros, 60 euros – 3 – Sandales Galeries Lafayette, 99 euros, 69,30 euros – 4 – Sac Bowling Vanessa Bruno, 165 euros, 115,50 euros – 5 – Top Naf Naf, 19,99 euros, 13,99 euros – 6 – Short en jean –  7 – Veste en jean Berenice, 199 euros, 99,50 euros – 8 – Jupe Maje, 195 euros, 136,50 euros – 9 – Robe bustier Galeries Lafayette, 49,99 euros, 24,99 euros – 10 – Baskets Claudie Pierlot, 195 euros 136,50 euros – 11 – Sac Vanessa Bruno, 125 euros, 87,50 euros

The Handmaid’s Tale: série brillante et glaçante

Un mini billet en passant, pour vous dire que s’il y a une série à regarder absolument en ce moment, c’est celle-ci: The Handmaid’s Tale. Une dystopie qui raconte un monde dans un futur pas si lointain et dont l’horreur dictatoriale n’est pas si improbable au vu des récents événements aux Etats-Unis. Le pitch est simple: après une sorte de coup d’Etat fomenté par des bigots extrémistes, les femmes sont renvoyées à la maison, n’ont plus de compte en banque et n’ont plus le droit de lire. Surtout, la plupart des citoyen(nes) étant devenu(e)s stériles, les rares femmes encore fécondes sont réquisitionnées et envoyées comme esclaves (« handmaid ») auprès des couples de la société dirigeante, pour servir de mères porteuses, engrossées lors de « cérémonies » qui ne sont ni plus ni moins que des viols institutionnels. En lire plus »

Soldes chez Monoprix: 1, 2, 3 partez !

Voici venu le temps des soldes et comme à chaque fois, l’un de mes fournisseurs officiels en matière de fringues, reste le sacro-saint Monoprix (je dois confesser que la proximité dudit monoprix a joué dans ma décision d’acheter notre maison) (allez-y, gaussez-vous). Bref, il y a des affaires assez intéressantes, au nombre desquelles moultes robes légères et pratiques à porter, des blouses aux épaules dénudées, des ballerines hyper confort ou des étoles qui font voyager. Voici donc ma petite sélection personnelle…

1 – Blouse épaules dénudées –  2 – Combipantalon à carreaux – 3 – Tote bag – 4 – Jupe longue jersey – 5 – Jogging en lin – 6 – Robe manches courtes imprimée –  7 – Combipantalon – 8 – Ballerines en cuir –  9 – Robe kimono – 10 – Etole palmiers – 11 – Robe épaules dénudées

Billet écrit en partenariat avec Monoprix

Edit: Pour celles qui s’en inquiétaient (et je les en remercie) les oraux de français de mes grands se sont bien passés, aucun exploit du machin à déplorer (je le regretterais presque) (joke)

Chiasmes et litotes

Aujourd’hui, mes deux grands passent leur oral de français. Forcément, après le bilan mitigé de l’écrit, inutile de vous dire que l’ambiance n’est pas vraiment à la sérénité. Même si je dois vous avouer qu’une infime partie de mon cerveau dérangé est impatiente de savoir ce que mon fils nous réserve comme surprise. (la majeure partie de mon cerveau en revanche espère très sincèrement qu’il sera pour une fois tristement conventionnel et s’acquittera de cette obligation sans coup d’éclat). En lire plus »

Five little things #21

On se fait un point météo ou pas ? Choisissons le « ou pas », vous n’avez, je vous l’assure, pas envie d’entendre ma complainte, disons pour résumer que ça n’est pas la marque de l’oreiller que j’ai sur la figure à l’heure où je vous écris, mais celle du ventilateur.

Tout ça pour dire que je n’ai pas vraiment le cerveau en ordre de marche, ce sera donc un billet sans fioritures. Cinq petites choses, donc…

1 – Le podcast. Vous allez me prendre pour une zinzin mais oui, Biolay again. Mais pas que. J’ai bien aimé cette émission sur Nova, « Dans le genre de ». Et ses réponses m’ont confirmé que j’aimais bien le gars, qui n’est sûrement pas parfait mais dont les idées sur le genre me plaisent. Je vais désormais m’enfiler toutes les autres interviews. En lire plus »

A l’origine… Lyon

Pardon pour cette interruption des programmes, j’ai fait un aller retour express à Lyon pour aller voir Benjamin Biolay en concert. Je sais, moi même je me fais un peu peur, prendre un train pour écouter un chanteur, c’est sans doute la première étape vers la transformation en groupie. Mais la vérité, c’est que j’avais un peu besoin de ce sas de décompression, entre le stress du bac des Twins et les échéances à venir, je m’étais dit qu’un peu de musique dans ma ville natale ne pourrait que me faire du bien à l’âme. Et je ne regrette pas un instant. Je pensais profiter un peu de mes parents pendant cette escapade, mais il se trouve que ces derniers sont en vacances. J’ai donc eu leur grande maison pour moi toute seule toute une journée, ce qui m’angoissait un peu à vrai dire, mais qui s’est révélé extrêmement agréable, tant la solitude totale est devenue une denrée rare ces derniers temps. Et puis, donc, Biolay.  En lire plus »

Pâle copie…

Hier mes tous petits enfants ont passé le bac de français. Comme d’habitude, quelques heures avant l’épreuve, il y avait chez nous deux salles, deux ambiances. Ma fille, avec la mesure et la sérénité qui sont les siennes, était au bord de la crise de nerfs, égrenant comme une possédée toutes ses références d’ouvrages, en ponctuant sa litanie de gémissements et nous assurant qu’elle ne se souvenait de rien, qu’elle allait mourir d’angoisse devant sa copie et finir sa vie dans un carton sur le quai d’une station de métro. Mon fils, lui, n’avait pas vraiment le temps de se préoccuper de cet écrit de français, compte-tenu du fait qu’il avait découvert la veille Twin Peaks et qu’il m’avait entendu conseiller à sa soeur de prendre un peu de recul en se détendant. Conseil qu’il avait donc pris pour lui, même s’il ne reste pas grand chose à détendre chez cet enfant.

Quelques jours auparavant, il nous avait expliqué assez sérieusement qu’après un examen minutieux des textes, il était catégorique: rien ne l’empêchait d’apporter un kebab en salle d’examen. En lire plus »

Ouille ouille ouille…

Semaine ultra chargée, pas vraiment le temps de venir ici, juste assez pour vous dire qu’en dépit de pas mal de rendez-vous et de boulots à rendre ou à commencer, j’ai trouvé quelques failles spatio-temporelles pour regarder la saison 5 d’Orange is the new black et que je suis à nouveau complètement sidérée par la virtuosité de cette série, son inventivité, son humanisme, sa violence, sa tendresse. Bref, si vous n’avez pas encore succombé, vous avez drôlement de la chance. En lire plus »

Beauty crush

La semaine dernière, constatant que mon fond de teint était à l’agonie (ce moment délicieux où tu pars à la chasse armée d’un coton tige pour tenter de récupérer quelques mililitres de produit), je suis partie chez Séphora motivée comme jamais, pour dégoter le fluide magique qui me donnerait des joues aussi lisses que les fesses d’un bébé. (je sais, une blogueuse qui part acheter du maquillage, c’est aussi étonnant qu’un député qui ne fait pas bosser sa famille). Autant vous dire que ce qui vous semble peut-être complètement anodin n’est pas une mince affaire pour moi. J’ai une espèce de phobie du Séphora, ma plus grande peur étant que la vendeuse, histoire de me fourguer un max de produits, me propose de me maquiller. Ce à quoi je n’ose jamais dire non, ressortant de la boutique plus chargée qu’un pot de peinture et délestée d’une centaine d’euros (oh oui, mettez moi aussi ce peigne à sourcils, justement ça me manquait) (la fille qui n’a jamais brossé ses sourcils). Non sans avoir eu l’impression d’être la cible des regards narquois des clientes sachant dire non, elles. En lire plus »

Five little things #20

Ce mois de juin est un peu spécial. D’ordinaire, à cette époque, je commence le compte à rebours, je regarde pour la cent-millième fois les photos de la maison de location réservée depuis le 4 septembre (je suis toquée des vacances) et je me dis « encore trois papiers et je mets la clé sous la porte ». Mais cette année, ça va être différent. Ma grande se faisant opérer en juillet, j’ai accepté du boulot pour l’été, ce qui en soi est plutôt une bonne chose, non seulement parce que c’est un projet bien excitant mais aussi parce que ça m’évitera de gamberger. Mais j’ai quand même un peu l’impression qu’on va sauter la case Juillet/Aout pour atterrir sur celle de la rentrée sans passer par le rosé/saucisson réglementaire. Bref, y’a plus grave, mais surtout, ce qui est assez étrange, c’est la façon dont cela bouleverse mes repères, moi qui suis en réalité une femme d’habitudes (surtout les bonnes).

Sans transition, cinq petites choses… En lire plus »