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Alors voilà, j’ai rencontré Baptiste

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Alors voilà, j’ai rencontré Baptiste. L’accroche est facile et convenue, mais je l’ai vraiment rencontré. Re-facile.

On recommence.

Durant le trajet de la ligne 7 qui me menait au Zimmer, mon lieu de rendez-vous favori – pour la principale raison qu’il se situe à quelques stations de métro de chez moi et à équidistance d’un bon nombre d’endroits à Paris, mais aussi parce qu’avoir un « lieu de rendez-vous » nourrit mon fantasme de journaliste parisienne qui aurait ses habitudes – durant mon trajet, donc, j’avoue que j’avais un peu d’appréhension. Et si dans la vie réelle, Baptiste Beaulieu, jeune médecin désormais célèbre, blogueur à succès et – n’en jetez plus – écrivain, ne me plaisait pas ? Et si le personnage que j’avais imaginé au fil de ses billets puis de son livre, ne résistait pas à l’épreuve de la rencontre ? En lire plus »

Alors on marche

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Nous partîmes à 10 de Gare de l’Est, la fleur au crayon, convaincus d’arriver quelques heures plus tard à Nation. Des espoirs rapidement douchés, deux heures après, on atteignait péniblement la place de la République, noire de monde, que nous n’arrivâmes jamais à dépasser. La suite, ce furent des heures à piétiner sur le boulevard Poissonnière, à la faveur d’un itinéraire bis ou ter, dans une direction totalement opposée à celle du cortège officiel. Je mentirais en prétendant que mon coeur n’a pas fait des siennes quand soudain plus rien ne bougeait et qu’aucune issue ne semblait envisageable. Je préfère ne pas trop m’étendre sur ce moment de grâce, quand, pour échapper à la foule, nous avons décidé de grimper sur la contre allée. Autant le muret n’a pas été trop compliqué à escalader, autant la rambarde, elle, me laisse un souvenir… cuisant. J’ai vraiment cru que je resterais pour toujours dessus à califourchon, mes jambes ballantes d’un côté et de l’autre, trop courtes pour que je puisse en descendre en conservant ma dignité. J’ai fini par me jeter dans les bras de mon amie C., qui m’a gentiment assuré que non, je ne lui avais flingué le dos. On s’est tous dit – j’étais la plus pathétique dans cette tentative d’évasion, mais pas non plus seule à en chier – que la seule conclusion qui s’imposait à ce moment précis, c’est qu’il fallait qu’on reprenne le sport. En lire plus »

Six mois sans clope… Alors ?

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Six mois. Six mois que je n’ai pas touché une cigarette. C’est simple, je revis.

Je déconne.

Honnêtement je ne suis pas certaine d’être une publicité vivante pour l’arrêt de la nicotine.

Étrangement, je ne peux pas vraiment dire que la cigarette me manque, cet été c’était bien sûr difficile surtout au moment de l’apéro, le combo bière clope étant tout de même une des plus belles inventions qui soient. Parfois, dans la journée également, j’ai quelques réminiscences, principalement avant de me mettre à bosser, après mon thé du matin, ou lorsque j’ai terminé un boulot. Là j’avoue, je mettrais bien le feu à ma cigarette électronique. Au sens propre.
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Fourrez moi tout ça dans le couloir

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C'est fou comme finalement, moins on en fait… moins on en fait. Mes enfants étant partis à Lyon pour six jours et ayant de mon côté fini tous les boulots que j'étais censée rendre avant le 1er novembre, je me suis autorisée hier à ne rien faire. Résultat, j'ai un tout petit peu oublié de poster ici aussi.

Ça va être un billet fourre-tout du coup.

– Déjà, vous signaler que dans le numéro de Psychologies magazine actuellement en kiosque il y a ce fameux article pour lequel je vous avais sollicités cet été "Couple: quand l'un bouge et l'autre pas". Je suis hyper contente du résultat, pas de mon écriture, hein, mais des photos des trois couples qui m'ont fait la confiance de me parler de ce qui relevait vraiment d'une grande intimité. Alors voilà, merci beaucoup à tous les six. Et merci aussi à tous ceux qui m'ont répondu, ici ou sur le mail, pour me raconter ce qu'ils traversaient, cela m'a évidemment inspirée aussi.

– Dans ce même numéro, il y a un excellent article de Laurence Lemoine, journaliste permanente du magazine. Je trouve toujours qu'elle écrit bien mais ce papier là est particulièrement agréable à lire. Surtout, il m'a beaucoup parlé, il y est question de son retour au boulot après la naissance de son dernier bébé, à 40 ans. Avec cette impression que désormais, sa vie déclinait. Et que peut-être elle n'était plus à sa place. Elle explique comment, en allant voir plusieurs types de thérapeutes, elle a finalement réussi à se "retrouver". Pas de leçon universelle mais un bel exemple de quête de soi comme je les aime. Bravo Laurence, je crois que parfois, tu me lis, alors c'est pour toi.

– Sans passer pour l'attachée de presse de Monoprix (le plus drôle c'est qu'ils ne m'ont jamais approchée pour une quelconque collaboration, et c'est très bien comme ça), je me dois de vous signaler que trainer au rayon fringues en ce moment est extrêmement dangereux. Mais pas un peu dangereux. Beaucoup et très. Les pulls et gilets surtout. Ainsi que ce faux manteau en léopard. Mais également quelques petites robes à pois. Ou en laine. Ce n'est qu'au prix d'une volonté merkelienne que j'ai finalement résisté, ne craquant que pour ce pull camel foncé sans manches et à capuche qui a juste ce qu'il faut de cachemire dedans pour me rendre complètement gateuse.

– Hier, je déjeunais avec mon amie P., qui me file régulièrement sous le manteau deux ou trois nouveautés cosmétologiques vu que la pauvre vit, chez elle et au bureau, dans une annexe de Séphora, mais un Séphora où il n'y aurait pas d'allées, que des produits partout. La pauvre, hein. Bref, elle m'a donné ce duo de vernis noir YSL, en admettant qu'elle même n'était pas certaine. Et là, pof, la pretresse absolue de ce qui est beau ou pas, notre représentante nationale du "chic français", Garance Doré, écrivait que oui, on pouvait. Pas elle par contre, mais les filles avec des beaux ongles bien coupés et bien polis. Mes ongles n'étant jamais grossiers, j'ai osé. Et le résultat est… noir. C'est à dire que je me fais un peu peur du coup.

(note l'esthétisme de la photo) (très Doré-llike)

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Sinon j'ai monté le premier des meubles qui croupissent dans mon salon (on se croirait non pas chez séphora pour le coup mais dans un hangar Ikéa, cet espace affreux où après avoir craqué sur toutes ces merdes dont on a pas besoin dans les salles d'exposition, il faut se cogner de trouver le Smöglokï Allée 234 Casier 67. Et qu'on se demande si on a VRAIMENT besoin de ce canapé. (par contre les lampes en papier et vases en plastique rose, plutôt crever que de les reposer). Bref, j'ai monté, SEULE, le bureau de ma fille. Et j'avoue que ça a eu un avantage: je ne me suis engueulée avec personne. Enfin, j'ai failli, quand le churros m'a appelé, s'exclamant que non, ça n'était pas possible, TOI, tu fais ça, SEULE ? Condescendance. C'était, en plus, à un moment où je butais sur l'utilisation de la vis G sur la planche n°12. Lui confiant que je traversais une phase un peu compliquée de la construction et n'étais donc pas convaincue de m'en sortir, il a eu ce conseil qui m'a donné envie de lui faire bouffer son Iphone: "SUIS SCRUPULEUSEMENT LE MODE D'EMPLOI".

Sans déconner ? 

Voilà, sinon je ne vous cache pas que j'ai bien dormi cette nuit. "N'aie pas peur de la crise mon petit. Papa veille". Dans le rôle de papa, Nicolas le Premier, héros et sauveur du monde, X-Men, Green Lantern et Surfeur d'argent réunis. Quand je pense que j'étais à deux doigts de voter pour un méchant bolchevique responsable de la merde dans laquelle on se trouve (attends, si tu crois que les congés payés de 1936 n'ont rien à voir avec la dette de la Grèce, pardon, mouhahahahhaha).

Bref, merci pésident et bonne chance mon papa, comme ne manquera pas de te le dire ta petite Giulia.

C'est tout, demain le churros et moi partons trois jours à Djerba, ouais, on est des crevards assumés, mais comment vous dire ? Le mois d'octobre a été rock and roll et parfois, il faut savoir faire péter le Codévi (appelé désormais LDD) pour préserver son mariage.

De la dentelle

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Alors voilà, le sort a parlé et le churros a tiré. En tout bien tout honneur, ça va de soi, d'autant que si ça se trouve dans le lot, il y a des mineures.

Voici les noms des gagnantes:

Les sacs:

12 Zaz06

208 Marion (D1)

Les t-shirts:

126: La papote

256: Manollipop

Un grand bravo à vous, merci de m'envoyer vos coordonnées par mail pour que je les transmette au bazar vert !

A part ça, je pars demain en vacances dans mon refuge des Alpes du Sud et je ne peux pas vous dire à quel point j'en suis heureuse. Mon petit frère était chez moi hier soir pour un passage express à Paris et on était bien d'accord tous les deux à propos de tout ce que ça a de merveilleux d'aller acheter le pain au village (bon, ok, c'est tout le temps mon père qui le fait, mais l'IDEE d'aller acheter le pain, je kiffe), d'entrer dans l'église romane magnifique (pareil, parfois c'est surtout l'idée mais ça compte aussi), de boire un coup en terrasse du restaurant d'altitude (là par contre, souvent on passe à l'acte) ou juste d'être réveillés par cet oiseau dont le chant est reconnaissable entre tous.

Bref, je trépigne, je me languis et j'ai un peu super peur qu'on ait un temps pourri étant donné que selon mes études scrupuleuses le soleil brille au dessus de Briançon depuis maintenant 3 semaines et que c'est rare que ça tienne un mois.

Surtout, j'ai deux papiers à terminer d'ici demain matin et bien sûr, plutôt que de m'y mettre, je suis là, à bavasser.

Bref je vous laisse pour aujourd'hui, avec cette photo bien pas nette de ce qui est censé représenter mon épaule. C'est ma copine Chloé, il y a quelques mois, elle portait une tunique dans ce style, en laine avec de la dentelle ajourée aux épaules. Je lui avais dit comme je la trouvais belle. Et pour mon anniversaire, elle est arrivée avec la cousine de cette tunique, que j'adore. Je crois que ça résume totalement ce que je pense de l'amitié, ce truc que les choses qu'on se dit ne tombent pas dans l'oreille d'un sourd.

Bonne journée

Ah et non, en effet, je confirme, mon APN n'est toujours pas réparé…

I’m free (ou presque)

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Alors voilà, j'arrive au terme d'une semaine hors les murs. Je ne vais pas faire un bilan, ce serait prématuré et je crains d'être à peine moins instable que dans les jours suivant ma démission. A savoir que je trouve cette nouvelle vie merveilleuse puis l'instant d'après je suis rattrapée par cette peur panique d'avoir commis une énorme bourde. Pas de bilan, mais quelques réflexions glanées ça et là, sur ça et d'autres choses…

– Quand on a été soumis à des horaires de bureau pendant quinze ans, c'est extrêmement compliqué de ne pas se culpabiliser à la moindre pause, sous prétexte que d'ordinaire, non, jamais on se serait permis une sieste sur les coups de 15h.

– Etre free-lance, c'est à la fois être free et en même temps jamais vraiment. La sieste à 15h est possible, le bouclage d'un papier sur les coups de 23h, aussi.

– Multiplier les employeurs comme j'ai choisi de le faire pour l'instant, c'est s'exposer à la multiplication des exigences, des délais, des consignes. Il faut être très organisé.

– Je ne suis pas organisée.

– Etre free-lance c'est donner l'illusion à ses employeurs qu'on est organisée.

– Quand on se retrouve d'un coup d'un seul avec toute cette liberté, on se dit qu'on va en profiter pour faire des choses folles, comme aller courir le matin.

– Ou marcher un peu tous les jours.

– Au moins aller chercher le pain.

– Ok, pour acheter ses clopes.

– Je n'ai pas fumé plus que d'ordinaire. Ni mangé. Mais je sens que y'a moyen. Du potentiel.

– Les enfants, qu'ils aient dix ans ou moins n'ont pas le cerveau conçu pour comprendre le concept du "maman est là mais elle travaille".

– Etre free-lance quand on n'a pas de bureau fermé c'est être condamnée à passer des coups de fil professionnels avec un irritant "chuis la carte, chuis la carte, chuis la caaaaaaaaaarte" en musique de fond (que le créateur de l'insupportable Dora crève dans d'atroces souffrances dévoré par chipper le renard).

– Dès septembre je rejoins donc un collectif quelconque de pigistes.

– Si j'ai de quoi payer.

– Quand tu es free-lance, tu n'as qu'une obsession, finir les commandes à temps. Une fois que c'est fait, tu n'as qu'une angoisse: qu'on ne te fasse plus de commandes. Mais entre temps, c'est le pied.

– Marcher dans la rue sur les coups de 11h du matin sans endroit précis où aller, c'est divin.

– Quand tu es free-lance, l'annonce d'une grève de l'école ne provoque pas le même séisme qu'avant. Tu peux aussi prendre un rendez-vous en urgence chez l'ophtalmo pour le machin qui s'est fait exploser ses lunettes dans la cour de l'école. Et aller chez l'opticien dans la foulée. Et inscrire la petite à l'école (trauma) (on y reviendra). Ok, à part toi (et encore) personne en réalité ne saisit que free-lance ce n'est pas qu'une marque de pompes hors de prix.

Voilà, je passe pudiquement sur les 28 épisodes de The good wife boulottés ça et là (d'où quelques instants de panique à des heures indécentes pour finir ce qui aurait pu l'être si Hadopi faisait son boulot et me coffrait définitivement) (en attendant si will et alicia pouvaient niquer une bonne fois pour toutes ça m'arrangerait) (c'est la seule chose qui m'intéresse, les histoires judiciaires ç'est bon) (je SAIS qu'ils finiront pas concrétiser mais ça ne change rien, je suis chaude comme la braise en attendant que ça arrive).

Je passe également sur l'état absolument cataclysmique de l'appartement (le churros avait raison de se marrer, non seulement je ne passe pas le chiffon mais je m'étale et rajoute donc du bordel au bordel).

Je vous laisse, promis je vais prendre un peu de recul avec tout ça, ce blog reprendra assez rapidement une activité normale pendant laquelle j'éviterai de vous exposer mes contingences matérielles et existencielles. Merci encore pour les encouragements, les conseils, les expériences partagées ici. Je sais que le mot est galvaudé par le web 3.0 mais je me sens bien dans notre communauté. J'espère que vous aussi.

Edit: la photo, c'est pris de mon Iphone (mon cadeau à moi que je me suis fait après ma démission), mercredi, après un rendez-vous dans les beaux quartiers. J'ai remonté le jardin des tuileries jusqu'au palais royal, avec Christophe dans les oreilles (j'ai déjà dit à quel point je vénère Christophe ?). Il y avait cette lumière dorée au dessus de la grand-roue et cette presque douceur qui semblait murmurer que le printemps n'allait plus trop tarder. Pour la dix-millionnième fois depuis que j'y vis, je me suis dit que malgré tout ce qui fait que Paris ça craint (à cause de l'argent surtout), c'est une mother fucker de belle ville.

Bon week-end…

Là où c’est le commentaire 18 qui gagne le dessin d’Anne Mourat

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Alors voilà, le churros a tiré… 'Tine.

C'est en effet le comm 18 qui remporte le dessin d'Anne Mourat.

Je ne vais pas cacher ma joie que ce soit une des routardes de ce blog qui ait été choisie par le sort. Ceci étant dit, l'enthousiasme dont chacun a fait preuve dans les commentaires faisait que j'aurais été heureuse pour n'importe quel gagnant(e).

'Tine, je sais qu'avec toi, le dessin d'Anne sera bien gardé et je me dis qu'en cette période un peu difficile de séparation avec ta famille pendant la semaine pour cause de retrouvage de travail (yeah quand même), la présence rassurante de ce couple ne peut que faire du bien.

J'en profite pour embrasser bien fort celles qui viennent ici et dont je sais que la vie est un poil chienne en ce moment avec elles: Geneviève, Shakti, Anne de strasbourg, notamment, et toutes les autres qui n'en pipent pas mot mais qui ont sûrement aussi parfois le baluchon un peu lourd.

La mosaïque 2010: Simplement envie d’être nous

L'année dernière, l'idée un peu folle de nous afficher dans le plus simple appareil ou presque était née de nos échanges ici. L'objectif ? Revendiquer la diversité des corps féminins et masculins. Dire haut et fort que la réalité diffère en tous points de celle qu'on nous présente dans les magazines, à la télévision ou les publicités sur papier glacé. Ce qui m'a le plus émue, qu'il s'agisse de l'édition 2009 ou de celle que je vous présente aujourd'hui, c'est non seulement que des hommes – et cette année des couples – sautent le pas, mais aussi que dans les photos reçues, il y avait des minces, des jeunes, des grosses, des girondes, des rondelettes, des potelées, des osseuses, des pleines et des déliées.

Alors voilà, trève de mots, place aux images, nous voici, vous voici, dans votre singularité. "Simplement envie d'être nous". Le slogan est de Navie qui cette année encore est l'artisan de ces mosaïques. Et je ne sais pas vous, mais je le trouve parfait, ce slogan.

 

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Edit: Après une après-midi à angoisser because déclenchement de l'accouchement en urgence, une petite, toute petite Louise est née hier. Ma première nièce…

La mosaïque 2010, la date approche

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Les copains, la date limite pour la mosaïque approche à grands pas, et comme je reçois des mails pour me demander si ce n'est pas trop tard, je vous confirme qu'il est encore temps de se shooter à poil et d'envoyer le résultat à cette adresse: lamosaique2010(at)yahoo.fr

Je précise que le (at) est en réalité un @ mais que je ne l'écris pas comme ça pour éviter les spams.

J'ai reçu déjà un bon nombre de photos, mais le plus il y en aura, le mieux ce sera pour lever notre poing et revendiquer notre droit à l'imperfection. Sachant que de ce que j'en vois, boys and girls, vous êtes surtout très beaux. Sans démagogie aucune…

Je tiens par ailleurs à m'excuser du peu de commentaires auxquels je réponds en ce moment, mais il se trouve que mon boulot vient de déménager, que mon temps de trajet d'est allongé, que les journées du coup sont longues et que je suis, en plus, rongée d'inquiétude pour une toute petite petite petite fille qui se bat pour rester dans le ventre de sa maman le plus longtemps possible. Sa maman étant ma soeur chérie. Alors voilà, ceci expliquant cela, mais merci à vous pour vos mots, vos échanges, vos interventions, que je lis, même en silence.