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Zaz a la tête dans les étoiles

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Je vous ai déjà parlé de ma copine Zaz. Je vous ai déjà dit qu'elle était fleuriste, qu'elle avait fait mon bouquet de mariée et qu'elle a globalement de l'or dans les doigts.

Ce que je ne vous ai pas dit, c'est qu'elle fabrique de tas belles choses, notamment pour sa petite Lilas, mais aussi pour ma Rose.

Quand elle lui a offert ce coussin étoile, mon helmut l'a immédiatement adopté au titre de doudou le 15ème (cette enfant n'a apparemment aucun sens de la fidélité, elle multiplie ses affections, remarque, c'est pas si mal, je ne tremble jamais à l'idée de perdre l'unique, the one, comme ce fut le cas pour les deux premiers, avec coup de fil à l'usine de Thaïlande quand même pour une tentative de la dernière chance après la perte de Lapin rouge. En vain)

Du coup, je lui ai dit que tout de même, c'était dommage que plein d'enfants soient privés de cette étoile toute douce qui peut servir d'oreiller dans la voiture et de doudou dans le lit. Voire même tout simplement de coussin de canapé pour les mamans rêveuses.

Alors voilà, spécialement pour mes lectrices, elle en a confectionné quelques uns, qu'elle vend 15 euros. A l'approche de Noyel, moi je dis, ça peut être une idée de cadeau. Alors si vous êtes intéressé(e)s, vous pouvez lui écrire à ce mail: zazlilasfrede(at)free.fr. Juste, il y en a peu, donc si vous en voulez, faut se dépêcher !

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Edit: Elle fabrique aussi de magnifiques guirlandes lumineuses comme celle de la photo, sur demande et aux couleurs que vous souhaitez. Celle qu'elle m'a offerte il y a dix ans vient tout juste de mourir, c'est dire.

Pénélope et Elise sont dans l’Oregon

Citrouilles

Elles sont jeunes, elles sont jolies, elles sont talentueuses et n'ont absolument pas besoin de moi pour qu'on parle d'elles. Il n'empêche que je suis avec un vrai plaisir leur aventure commune depuis quelques semaines.

Qui ?

Pénélope et Elise.

La première, on ne la présente pas, si star de la blogo il y a, elle en est la queen, c'est notre Blair Waldorf à nous les blogofluentes. La seconde, il se trouve que j'ai collaboré avec elle quand je travaillais pour LadiesRomm, mais je n'ai pas vraiment pris le temps, shame on me, de sympatiser. Je le regrette, parce que son blog me semble être un des mieux écrits du moment, avec ce je ne sais quoi qui le rend addictif.

Toutes les deux, donc, Pénélope et Elise, l'ont fait.

Quoi ?

Partir. Larguer les amarres, traverser l'Atlantique, prendre un appart ou en l'occurence une maison et vivre à la ricaine. Et comme ce sont deux rockeuses de la laïfe, elles n'ont pas choisi San Fransisco ou NY, mais Portland, ville bien connue pour…

Ben justement, bien connue pour ne pas être très connue.

Le résultat, pour nous lecteurs, ce sont des billets aux couleurs de l'automne, qui sentent l'oregon et la cirouille. Pas l'origan, hein, l'Oregon.

Elise prend de belles photos et y accole des textes qui résonnent comme des nouvelles. Pénélope se livre plus que d'ordinaire et semble vivre une crise d'adulescence salutaire. Bref, c'est loin des sentiers battus de l'internenette, ça ne se prend pas au sérieux, ça me fait surtout voyager, moi qui ai souvent eu envie de "le faire", mais qui ai toujours eu peur de mon ombre et encore plus de celle des avions.

Alors voilà, même si les demoiselles n'ont vraiment pas besoin de moi, j'avais envie de leur dire que c'était drôlement bon, ce qu'elles mettaient sur la toile et de vous encourager à les suivre aussi dans leur road-blogguie.

Edit: photo piquée à Elise, donc…

Laura Kasischke, la desperate writer

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C'est une ancienne collègue qui me l'a fait découvrir en m'en parlant cet été avant que je parte en Corse. J'avais oublié et puis en rupture de stock à la fin de mes vacances, je suis partie en désespoir de cause chercher de quoi tenir pendant les trois derniers jours dans l'improbable tabac-papeterie-magasin de souvenirs du village où on créchait.

Et là, à côté des inévitables Mary Higgins Clark, Marc Levy ou Danielle Steel, il y avait ce livre de poche, signé Laura Kasischke. "A moi pour toujours". J'ai pris ça comme un signe du destin, qu'il y ait une perle parmi les nanards que j'étais prête pourtant à m'enfiler, faute de grive, on mange des merles et moi sur la plage, il me faut un livre dans ma besace, même si je sais que c'est souvent très utopiste de penser pouvoir l'ouvrir.

Bref, je l'ai donc acheté, et je l'ai dévoré. Depuis, j'ai lu aussi "Un oiseau blanc dans le blizzard", son tube, en quelque sorte. Cet auteur américain a un style reconnaissable entre tous, je dirais qu'elle est dans la lignée de Laurie Colwin, sauf qu'elle serait son pendant sombre. Parce que si Laurie Colwin sait tremper sa plume dans une sauce aigre-douce, celle de Laura Kasischke est, elle, souvent bien acide derrière des apparences de parfaite housewife.

C'est d'ailleurs inévitable de penser aux desperate, les intrigues des deux opus que j'ai lus se passant dans les banlieues plutôt cossues de l'Amérique, dans des foyers qu'on pourrait penser tranquilles. Il y a un peu d'American Beauty aussi, si vous voyez ce que je veux dire.

Les récits démarrent comme des histoires à l'eau de rose, mais comme toutes les fleurs coupées, les roses aussi finissent par pourrir. Je ne veux rien révéler, parce que tout le charme de Laura K, c'est de vous surprendre et de vous livrer, l'air de rien, des polars redoutables.

Elle décrit les sentiments de dépit amoureux, du temps qui passe ou de la vanité humaine comme peu d'écrivains savent le faire, avec une finesse et une ingéniosité toutes particulières.

Alors voilà, avant ce week-end de novembre, je ne saurais que trop vous conseiller ces deux livres, dont on ne ressort pas tout à fait indemne et qui se lisent en moins de temps qu'il ne faut pour le dire…

Yann Barthes, ou le journalisme à l’état pur

Yannbarthes  Hier, j'ai assisté à un vrai moment de journalisme. Pas en lisant Libé, ni Rue89 ou Backchich. Ni en regardant le JT de je ne sais quelle chaîne de télé en train de relayer sans attendre une info erronée de l'AFP.

Non, rien de tout ça, et je le regrette.

Hier, cet instant de pur journalisme, je l'ai vu sur Canal+, au moment du désormais souvent culte Petit Journal de Yann Barthes. Celui-ci a démontré, sans commentaire, sans édito enfiévré, sans grands mots pompeux que notre président de la République prend ses auditeurs pour des jambons.

En l'occurence, les auditeurs étaient des agriculteurs. A qui il a resservi sans aucun scrupule un discours vieux de 10 mois. Alors qu'il venait de leur déclarer qu'il n'était pas là pour leur dire ce qu'ils avaient déjà entendu.

ça parait facile, ça semble être pas grand chose. Pourtant, pour démontrer cela, il a fallu faire un boulot ingrat, fouiller dans les archives, se rappeler que les phrases prononcées l'avaient déjà été. Il a fallu aussi avoir le courage de le prouver. Courage qu'il a manifestement manqué à toute la clique des suiveurs de monsieur le prince, qui à n'en pas douter n'ont pas pu ne pas se rendre compte de cette bévue. Las, aucun d'entre eux n'en a fait part, se contentant de reprendre le bon mot selon lequel la terre, c'est l'identité nationale.

Parce que c'est bien connu, la terre ne ment pas.

Je suis fatiguée de ce spectacle de dupes, des vieilles marottes sur la marseillaise que nos enfants devraient chanter à l'école et de toutes ces rengaines sur le fait d'être français qu'on nous ressort dès qu'une élection approche. Je suis fatiguée de constater qu'à chaque fois, ça marche.

Mais hier, je me suis dit qu'il restait quelques personnes qui font leur job. Et ce job, c'est mettre le doigt sur une évidence, le pouvoir actuel n'est que dans les discours, dans l'info qui en chasse une autre, dans la démagogie permanente. Ce petit journal ne changera probablement pas le cours des choses, je ne me fais aucune illusion. Mais il laisse à penser qu'une certaine résistance persiste, alors voilà, Yann Barthes et ton équipe, respect.

Une semoule au chocolat rudement bonne

Semoule Bon alors vous m'avez demandé la recette de la semoule au chocolat. Il va y avoir de la déception, je vous préviens, la netterie. Parce qu'en gros, la recette, je vous l'avais à peu près donné, rapport que ma grand-mère, quand je la lui ai demandée, m'a répondu à peu près en ces termes:

"Ouh là, ma pauvre chérie, tu sais bien que je suis une très mauvaise cuisinière. Je suis rûdement contente que tu me demandes une recette (elle dit toujours "rûdement" et "ravissante", ma grammy), mais je ne vois pas bien pourquoi. Alors écoute, pour cette semoule au chocolat que ton père mangeait comme un affamé lui qui ne mangeait jamais rien le pauvre, je prends de la semoule que je fais cuire avec du lait.

– Combien de semoule ? Et de lait ?

– Un bon paquet…

– Un paquet entier ?

– Oh non, pas le paquet, une grosse poignée. Ou alors deux. Dans un litre de lait ou un peu moins. Il faut que ce soit épais. Mais pas trop.

– D'accord. Tu mets du sucre ?

– Un peu. Il en faut, ça c'est sûr, mais pas trop non plus. Quand la semoule a épaissi tu mets du chocolat.

– Une tablette ?

– Oui, j'imagine, je t'avoue que je mettais ce qu'il y avait dans le placard. Mais plus y'en a, meilleur c'est, bien sûr.

– Donc le chocolat fond, et ensuite tu mets au four ? Avec un oeuf ?

– Pour l'oeuf tu me poses une colle, je ne me souviens fichtrement pas (elle dit "fichtrement" aussi). ça ne doit pas avoir beaucoup d'importance. (pour info j'ai essayé avec et sans oeuf. J'ai préféré sans, c'est plus "mou", mais ça se discute). Et en effet, tu mets au four avec du sucre ou de la cassonnade saupoudrée dessus. Pour que ça caramélise un peu, tu vois ?

Et voilà mes cailles. ça c'est de la recette que sur marmiton tu te fais lyncher à coup d'agar-agar. Pas un pet de proportions, aucune précision quant aux ingrédients, un grand flou au niveau de la cuisson.

Et pourtant… C'est bon. Alors voilà, moi je dis, soyez créatives et instinctives en même temps, vous la trouverez votre semoule idéale.

Allez, bonne journée mes choutes.

Elle dit "ma choute" aussi, ma grammy.

Du sable dans la bouche ou comment acheter un jean en faisant une bonne action

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J'ai tellement de choses à vous dire sur cette histoire que je ne sais pas trop comment commencer. Si je m'écoutais, je ferais taire la blogueuse et réveillerais la journaliste jamais très loin pour vous parler de ce projet "Du sable dans la bouche" comme je le ferais pour n'importe quel sujet.

Seulement bien sûr, pas possible, parce que je connais Rachel, je connais Anne, je connais Stéphane, je connais Claireddm. Bref, tout ça c'est rempli d'affect.

Déjà, on pourrait reprendre depuis le début de cette histoire un peu folle.

Il y a trois ans à peu près de ça, je rencontre lors d'une soirée de blogueuses, la timide Claireddm, venue sur la pointe des pieds me rencontrer. Comme une évidence, on discute peu de temps, mais la graine est plantée, on se reverra. Et on s'est revues. Quelques mois plus tard, je monte la pièce avec Stéphane Navarro, je parle de lui sur ces pages. Un jour, mail hystérique ou presque de Claire: "hiiiiiiiiii, tu sais pas ce que tu sais pas ? Mes meilleures copines, Anne et Rachel, chez qui je viens quand je viens à Paris, elles sont les voisines de Stéphane ! Hiiiiiiiiiiiii."

Hiiiiiiiiiii quoi.

Le monde est petit ?

Oui.

De fil en aiguille, je fais la connaissance d'Anne et Rachel à la première de la pièce, venues avec Claireddm. Une toile fine se tisse entre nous, on se croise aux spectacles de Stéphane, on se fait passer des nouvelles, on boit des cafés quand Claireddm est à Paris.

Et puis cet été, j'entends parler du projet fou de Rachel et Anne. Monter une boutique de commerce équitable grande taille. 

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L'idée ?

Faire fabriquer des jeans – blancs pour l'instant, les denim et noirs arrivent very soon – de la taille 44 au 58, par des couturières béninoise et les vendre, soit par correspondance, soit sur place dans la boutique. La cliente choisit ensuite l'action humanitaire à laquelle sera versé un pourcentage du prix d'achat.

L'équipe de couturière

J'ajoute que si vous l'achetez sur Internet, vous pouvez commander votre jean sur mesure. Et ça c'est pas banal. Tout ça pour une somme modique, quand on voit le prix de certains denims.

J'ajoute que Rachel, qui vous accueille dans la boutique attenante à son appartement, est adorable et comprend au plus profond d'elle même les réserves qu'on peut avoir quand on est grosse et qu'on rentre dans un magasin de fringues.

J'ajoute que dans le magasin, il y a plein d'autres choses, des cuillers fabriquées à partir de tôle de bagnole – et c'est super joli -, des bijoux, des tongs, etc.

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J'ajoute que les personnes qui fabriquent tout ceci en Afrique bénéficient de micro-crédits qui les aident à mettre en place leur activité.

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J'ajoute que tout ça, c'est le fruit d'une grande histoire d'amour et d'amitié et que ces personnes se bougent pour que d'autres n'aient "plus de sable dans la bouche".

Rachel et Anne 2-1
 
 

Alors voilà, depuis quelques jours, comme si c'était un fait exprès, je vous lis, vous demandant où trouver des jeans "grande taille". Je vous réponds, au 28 rue Henri Chevreau 75020, de 12h30-19h30 du Mardi au Samedi.

En plus, parfois, une star s'y trouve…

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On récapitule: La boutique se trouve dans le 20ème arrondissement de Paris, au 28 rue Henri Chevreau. Mais "Du sable dans la bouche" c'est aussi un site web: http://www.dusabledanslabouche.com

J'ajoute qu'on pourrait penser que ce genre d'initiative est parfois pleine de bonnes intentions mais finalement un peu de bric et de broc. Sauf qu'Anne et Rachel ont de longues années d'humanitaires derrière elles et ont occupé des postes à responsabilité dans des organisations reconnues, type Sol-en-Si. Bref, c'est du solide.

Confinement d’une hypocondriaque J34

Je sais que beaucoup ont commencé le compte à rebours jusqu’au 11 mai. Vous serez sans doute étonnés (ah, non ?) d’apprendre que je ne suis pas de ces gens là. Non, moi, quand le président a annoncé le déconfinement dans un mois, mon premier réflexe a été de me demander si genre on serait obligés.

C’est à dire qu’en gros, dans trois semaines, le virus sera toujours là, pour l’immunité collective on peut aller se faire cuire le cul et apparemment concernant les anticorps de ceux qui comme moi l’ont pourtant attrapé dix fois, rien n’est moins sûr. (en vrai je suis prête à parier que le jour où les tests sérologiques seront sur le marché (sans doute jamais vu qu’en gros, donc, cette saloperie peut se choper ad vitam) (oui je suis devenue épidémiologiste, foutez moi la paix) la seule imbécile du quartier qui sera négative, ça sera moi. Je préviens, je mentirai. Pas question d’admettre que j’ai fait chier tout mon entourage avec des symptômes qui n’en étaient pas. En lire plus »

Confinement d’une hypocondriaque – J30

Parmi les obsessions étranges générées par ce confinement, j’ai donc attrapé celle de la farine. Entendons nous bien, je suis consciente de ne pas être la seule, cette névrose est d’ailleurs la résultante d’une pénurie dans ma ville – et qui semble être assez généralisée – ce qui signifie sans doute que beaucoup ont eu ce réflexe d’en emmagasiner un maximum, au nom du sacro-saint « au cas où ». Dans mon Monoprix, seul supermarché à proximité de chez moi (je sais j’ai pas de bol), les approvisionnements se font le lundi matin. Et une caissière nous a expliqué que la file d’attente ce jour là commençait à se former à 7h pour une ouverture à 9h. Et en une heure, tout le rayon farine, levure, préparations toutes faites pour flans et gâteaux est dévalisé. Une information qui a fait naitre en moi une espèce de fureur. Bande de bâtards, allez tous crever bouffés par vos mites alimentaires, avec votre quintal de farine qui pourrit dans vos placards. Et de rabâcher à qui veut bien m’entendre (j’ai déjà tendance à ne pas lâcher le morceau mais alors en confinement, call me the fox terrier) que c’est un scandaaaaaale de se comporter aussi égoïstement, on devrait rationner la farine, c’est dégueulasse d’en prendre dix paquets, comment je fais moi pour mon Banana bread hein ? Parce que j’en ai VRAIMENT besoin, MOI. Pas comme tous ces connards qui n’en font rien à tous les coups. En lire plus »

Confinement d’une hypocondriaque- J25

Autant vous dire que j’ai écrit J25 mais ça pourrait être J32 ou J18, je ne compte définitivement plus. Je suis désolée pour l’interruption de ce journal, la semaine dernière je n’étais pas assez en forme pour être en verve. Outre le fait que j’ai très probablement contracté le Covid19 pour la 6ème fois – un peu de fièvre (oui, 37,8 c’est de la fièvre), des frissons, des courbatures et une sensation de souffle court – (il est probable que si le corona se manifestait par un panari ou une crise d’hémorroïdes, j’en aurais également à mon actif, call me the Queen of the somatisation), j’avoue avoir eu l’impression que tout cela ne menait à rien, qu’il n’y avait plus d’avenir et qu’on n’en sortirait pas indemnes. A quoi bon dans ces conditions venir vous faire part de ces pensées un brin pessimistes alors que vous êtes sans doute exactement comme moi, en train de lutter contre les baisses de moral ? Je vous le demande.

Certes c’est exactement finalement ce que je suis en train de faire, mais vous noterez que j’ai l’élégance de parler à l’imparfait (après tout, ce qui a eu lieu il y a un quart d’heure appartient déjà au passé). Plus sérieusement, pour être très honnête, je ne gère pas très bien tout ça. Et je me sens d’autant plus indécente que je fais partie des plus privilégiés, vivant un confinement trois étoiles (je réserve les 4 étoiles à tous ceux dotés d’une résidence proche de la mer même si les plages sont fermées (le bruit de mon lave vaisselle m’a arraché quelques larmes hier parce qu’il m’évoquait celui des vagues donc laissez moi tranquille) et/ou dotée d’une piscine. Mais l’existence de notre mini jardin et le fait de pouvoir confiner chacun des membres de ma famille dans une pièce dédiée est en soi une donnée qui devrait m’interdire de geindre. Ayant encore du travail – ce qui est également précieux – je devrais donc me contenter de la boucler. En lire plus »

Les questions de William.

Avant de reprendre le cours normal de mon journal de con-finée un petit interlude, qui fleure bon les années 2000 et le début des blogs. William qui est lui aussi un revenant en ces temps covidés, m’a proposé de répondre à des questions un poil décalées et je lui en ai posé moi aussi, si ça vous amuse c’est par ici pour ses réponses. Voilà donc ce petit questionnaire pas très proustien qui devrait vous en apprendre un peu plus – ou pas – sur moi.

 

Question SoFoot : avec quel joueur aimerais-tu coucher et si tu devais surprendre ton mari sur un moment foot, tu lui dirais quoi, juste pour voir sa tête ?

Alors je vais sans doute faire hurler tous ses détracteurs mais Olivier Giroud for ever. Je sais, il est un peu cagole, je sais, il n’a pas marqué au mondial, mais c’est un gars qui me touche (ainsi que sa plastique parfaite). Quant à mon mari, je ne risque pas de le surprendre sur un moment foot étant donné qu’il y est totalement indifférent. C’est plus souvent lui qui me choppe en train de boire une bière devant tout en me grattant les couilles de l’autre main. En lire plus »