Catégorie : Leçons de mode

Théorie de la shoes

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J’ai des pieds tellement difficiles que ma quête de la sandale parfaite reste pour l’heure inachevée, même si honnêtement je n’ai pour l’instant jamais trouvé mieux que les Quoro de JB Martin, que je possède en noir et en souris et qui sont probablement les plus confortables et flatteuses compensées jamais dénichées. D’une manière générale, j’ai enfin compris après plusieurs années de galère pédestre que le secret de pieds heureux réside dans la diversité des paires. En lire plus »

Soldez-moi

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Billet écrit en partenariat avec les Galeries Lafayette

Vous me connaissez désormais, les soldes et moi ça fait douze, en tous cas dans la vraie vie. En revanche sur le net, j’avoue, je peux me lâcher. Enfin, pas cette fois-ci, le churros peut me tuer s’il s’aperçoit que je reçois des paquets de quoi que ce soit en ce moment. D’un autre côté, si je fais livrer dans la maison AVANT le déménagement, il y a moyen qu’il ne remarque rien. Bref, tout ça pour dire que dans le cadre de mon partenariat avec Les Galeries Lafayette, il m’a été demandé de vous présenter une petite sélection de ce qui dans l’absolu me ferait craquer.

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Miss Columbo

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Ok, c’est une tenue qui n’est pas tout à fait de saison au vu des derniers jours assez torrides à Paris, mais que tout le monde se rassure, le temps va à priori se dégrader très prochainement. Je vous ai déjà parlé de cette marque, Trench and Coat, dont je possédais déjà un pardessus en denim, en voici un autre, un « vrai » trench pour le coup, qui va m’accompagner tout l’automne prochain j’en suis certaine et peut-être donc avant. Bon, le churros m’a demandé si j’avais décidé de tourner le remake d’inspecteur gadget, AH AH AH, mais après, il a suggéré que je vienne le retrouver un soir à son bureau, avec, mais sans rien en dessous. On sous-estime totalement le pouvoir érotique du trench, en somme. En lire plus »

Ruminer le bonheur

ruminer

Hier, à la faveur d’un cours annulé, j’ai profité de ma grande à l’heure du déjeuner. C’est finalement assez rare de nous retrouver à deux, que ce soit avec elle ou son frère et sa soeur. C’est un sujet de frustration lorsqu’on a plusieurs enfants, une cause récurrente aussi de culpabilité: « est-ce que je donne assez à l’un ou à l’autre, est-ce que j’ai su être là au moment ou il ou elle en avait besoin ? » La réponse est souvent non, hélas, prise que je suis dans mes propres affres, mes deadlines à respecter, l’intendance du quotidien qui bouffe tout. Et puis parfois, une parenthèse qui s’offre alors qu’on ne l’attendait pas et à un moment où on est à même de la saisir (parce que soyons honnête jusqu’au bout, souvent, quand ils me demandent de les externaliser pour cause de prof absent, je refuse, trop de boulot, flemme de préparer un vrai repas, égoïsme, etc). Et donc hier, j’ai cédé, il faut dire que la veille, son rendez-vous chez l’orthopédiste n’avait pas été des plus réjouissants, vous reprendrez bien pour 6 mois de corset, mademoiselle, bref, vous voyez le genre. En lire plus »

Par ici les 3J !

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Comme je vous l’ai déjà raconté je crois (je me demande si l’avocat est bon pour la mémoire, j’ai l’impression que plus mes cheveux poussent, plus je radote), je me souviens très bien des 3J quand j’étais enfant. Avec ma mère nous allions aux Nouvelles Galeries à Lyon, c’était la fête (enfin, parfois c’était la crise parce que je ne rentrais dans rien, que je piquais des crises dans les cabines d’essayage et hurlais contre ma mère qui ouvrait le rideau en grand en m’assurant que noooooon, personne ne voit rien) (scène reproduite quasi à l’identique il y a deux jours dans un grand magasin avec ma fille, les problèmes de poids en moins mais avec évidemment douze complexes à la pelle et le même rideau ouvert et les mêmes mots prononcés, « mais arrête, personne ne te regarde ») (SORTEZ MOI DE LÀ JE SUIS DEVENUE UNE VRAIE MÈRE D’ADO) (pardon maman pour TOUT). Bref, ce détail mis à part, c’était donc chouette les 3J, au retour on mentait les yeux dans les yeux à mon père sur les prix et on planquait des trucs qu’on ressortait au compte gouttes les jours suivants pour pas qu’il nous fasse une attaque.

Et donc aujourd’hui ce sont les 3J et dans le cadre de mon partenariat avec les Galeries Lafayette, voici une petite sélection de ce que là tout de suite je planquerais bien dans mes placards. Vous ne serez pas étonnés de voir plus d’objets pour la maison que de sapes, je commence à être vraiment dans les starting blocks (enfin dans ma tête parce que pour ce qui est des cartons, HUM HUM), prête à investir mon futur nouveau chez moi. Un chez moi où ça sentira donc la fleur d’oranger à tous les étages et où on boira le café dans des tasses à double fond (mon rêve avec le distributeur de glace pilée).

Bonne journée.

#1 – Blouse à pois Morgan – #2 Cabas à paillettes Vanessa Bruno – #3 – Derbies en cuir vernis Galeries Lafayette – #4 Crème gommante Clinique #5 – Marinière Armor Lux – #6 Bougie Durance (j’adore ces bougies) à la fleur d’oranger – #7 – Pinceau Kabuki – #8 – Set à infuseur à thé Bodum – #9 – Boots en cuir Galeries Lafayette –  #10 – Verres à café Bodum – #11 – Savon liquide à la fleur d’oranger – #12 – Blazer Vero Moda

Plus de 3000 items sont bradés durant trois jours, pour voir l’ensemble des offres, c’est par ici.

Et tant qu’à faire, au cas où, il y a aussi des offres cumulables avec les 3J sur quelques marques sympas: MAVALA: -40% à partir de 2 produits achetés dans la marque – ESSIE: -40% à partir de 2 produits achetés dans la marque – OPI: -40% à partir de 2 produits achetés dans la marque – Christophe Robin: -30% sur l’ensemble de la marque – Leonor Greyl: -30% sur l’ensemble de la marque (bref, c’est le moment de faire péter les vernis et les masques capillaires).

Prends-moi sous le porche

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La dernière fois j’avais donc rendez-vous avec Violette au Fumoir, pour un dèj en compagnie d’une amie commune. On s’est retrouvées toutes les deux un bon quart d’heure avant pour que je lui fasse un shooting mode. C’est le genre de service qu’on se rend entre blogueuses. On n’a peut-être pas de syndicats ou de comités d’entreprises mais on est cul et chemises (hu hu hu) quand il s’agit de s’entraider. Il faut dire qu’on se connait par coeur, qu’on sait exactement comment faire ça vite fait bien fait, le tout en se moquant des regards amusés des passants. (c’est moi ou il fait un peu chaud ?). Je dois avouer que je suis le plus souvent derrière l’appareil plutôt que devant, je suis la godiche absolue de la pose et surtout je rends Violette totalement dingue à force de bouger pile poil quand elle appuie sur le bouton (non, vous ne trouvez pas, je veux dire, pour la température ?). Là encore l’idée c’était que je joue les Peter Lindbergh pendant que la belle prenait son air mystérieux et insondable (elle est championne du monde de l’insondable, je m’entraine à mort pour l’égaler mais je n’y arrive pas encore vraiment). Et puis quand je suis arrivée, elle m’a dit « non mais attends, t’es hyper stylée, viens je te prends » (bon, OK, j’éteins le radiateur et je reviens). En lire plus »

All green

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Je n’ai jamais été une fille à baskets. Je crois que je les associe beaucoup trop au sport et surtout, soyons claire, ça me tasse. D’une manière générale, quand on atteint péniblement le mètre soixante-trois et qu’on n’a pas été particulièrement dotée pour tout ce qui est jambes fuselées, les baskets ont tendance à faire ressortir ce qu’on n’apprécie pas le plus chez soi. Et en même temps, il n’y a rien que je trouve plus séduisant qu’une femme en jean baskets, je crois. Il y a quelque chose de presque vulnérable, dans cette façon de ne pas se cacher derrière des talons, quelque chose qui rappelle l’enfant qu’on a toutes été. Il y a quelques jours, alors que je passais devant une boutique de runnings, je les ai vues. Ces fameuses Stan Smith que toute blogueuse qui se respecte se doit d’avoir dans sa penderie – quand elle n’en possède pas toutes les déclinaisons, rouges, bleues, graou et cie. Ayant la personnalité d’un bégonia pour toutes ces choses, j’étais tentée depuis des lustres, pas parce que j’en avais ado – comme c’est le cas pour Violette par exemple (ma muse Stan Smith), ou ma copine Béa (ma muse fashion de toute mon adolescence) – mais juste parce qu’au delà de leur fort pouvoir iconique, je les trouve jolies. Ou juste donc à cause de ma capacité à être influencée. Toujours est-il que ce jour là je suis entrée dans la boutique – ça nous arrive parfois à nous les blogueuses, si si – et je me les suis offertes. En lire plus »

Quand ça commence à devenir intéressant

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Hier, en rentrant de l’école, Rose me parlait de l’une de ses copines dont les parents sont séparés. « Elle n’a pas une vie facile tu sais, deux pères, tu imagines ? Un vrai et un faux qui vit avec sa maman ». Et d’embrayer sur cette dame qu’elle avait entendu parler avec sa nounou – coucou N. – qui avait surpris « son mari en train d’en appeler une autre » et que « ses enfants défendent et lui disent de le quitter parce qu’il ne faut pas gâcher sa vie ». (L’occasion de constater que la différence entre le b et le d n’est toujours pas totalement assimilée mais qu’en revanche pour ce qui est d’enregistrer les conversations qui ne la regardent pas, AUCUN PROBLÈME DE MÉMOIRE.) Bref, toutes ces histoires de séparations semblaient malgré tout la préoccuper (ou juste elle se croyait dans un épisode de Violetta, ce qui n’est pas non plus complètement impossible), donc j’y suis allée de mon petit couplet, sur la difficulté parfois de s’aimer pour toujours, sur le fait que sa copine était sans doute plus heureuse maintenant que ses parents ne se disputaient plus, qu’en tous cas quand l’amour s’en va, ce n’est jamais la faute des enfants, bla bla bla. Et j’ai terminé avec des paroles se voulant rassurantes, sur son papa et sa maman qui pour l’instant en tous cas s’aimaient toujours, « même si parfois on se chamaille, mais ça c’est normal, l’important c’est de se réconcilier ». En lire plus »

Envies d’Automne…

zalando

Collaboration Zalando privé

J’ai des copines, enfin surtout une, qui se reconnaitra, qui est une professionnelle des ventes privées sur Internet. Ok, ma mère aussi, d’ailleurs si j’y pense, c’est la championne du monde, je ne vous dis pas les paires de lunettes de soleil de marque qu’elle possède, « quasiment données ». Personnellement j’avoue, même quand je me crée des alertes, j’ai tendance à oublier pour ensuite m’auto-flageller d’avoir laissé passer une occase pareille. Bref, les ventes privées, je ne suis pas l’experte internationale. Mais j’aime bien rêvasser devant quand même. Parce que d’une manière générale, j’aime bien faire des paniers sur Internet, que je valide ou non, mais pendant quelques instants, je deviens l’heureuse propriétaire virtuelle d’assiettes dorées, d’une nuisette en plumetis, de bottes fourrées qu’on ne veut plus jamais enlever ou d’une montre un peu bling mais massive comme je les aime. Bref, pour cette sélection sur le site de Zalando privé, voici ce qui me titille très sérieusement. Des envies très automnales, parce que j’adore quand mon churros traine en pyjama, à partir du moment où ce dernier est à carreaux, que je suis une dingo des dessous et des jolies culottes et que les rennes dorés qu’on accroche au sapin, ben j’en ai pas encore dans ma grande collection de décorations (cette année mon code couleur ça tombe bien, ce sera blanc et doré). (je ne suis pas folle tu sais). Tout ça vraiment bradé, ça va de soi, c’est même le principe des ventes privées…

1 – Montre – 2 – Soutien gorge lulu castagnettes – 3 – Pyjama  – 4 – Derbys d’homme – 5 – Assiettes – 6 – Sac bandoulière – 7 – Rennes doré – 8 – Portefeuille Lancaster – 9 – Ecco Cabas – 10 – Soutien-gorge Marco Polo – 11 – Culottes – 12 – Bottes fourrées – 13 – Nuisette Lulu Castagnette

Graou…

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Je sens qu’avec mes confessions mycosiques, j’ai légèrement écorné ce glamour qui pourtant m’auréole depuis toutes ces années de blogging. D’où l’a nécessité de réhabiliter mon fashion statement illico presto. Du coup de matin j’ai dit au churros, vas-y, prends moi au débotté. D’enthousiaste et chaud bouillant (avec mes oreilles en chou fleur ça n’a pas été la fête tous les soirs ces derniers temps) il est devenu totalement désabusé quand je lui ai collé mon joujou extra dans les mains, à savoir mon Reflex Nikon 7000. Du matos de compétition à dix mille dollars avec lequel il est parvenu à prendre péniblement trois clichés sauvables quoi que flous.

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un mari photographe.

« Non mais baisse toi je ne peux pas t’avoir en entier dans le cadre », m’a-t-il engueulée sur le pallier. D’où cette pose ridicule qui donne l’impression que je vérifie que j’ai toujours des pieds.

Pas très grave, l’idée n’était pas de montrer ma trombine mais deux nouvelles venues dans mon dressing (= un portant en phase terminale).

A savoir donc: En lire plus »