Catégorie : Non classé

Up plutôt que downs

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Quelques nouvelles du front, question déménagement. Frédéric a remis en ordre les commentaires et supprimé ce malheureux « à » qui, c’est le moins que l’on puisse dire, n’est pas passé inaperçu. Il a aussi visiblement réglé le problème de l’affichage allongé des photos (qui ne me posait personnellement aucun souci, ce n’est pas comme si je faisais 1m60 les bras levés). J’ai également remis l’accès aux différentes rubriques et mis en tête de homepage celles qui sont les plus fréquentées, à savoir les billets mode (je sais, c’est fou), ceux sur Zermati et les voyages. Et aussi les Chroniques de Marje que je tenais à mettre à l’honneur parce qu’elle le vaut sacrément bien.

Il reste à faire en sorte que vous puissiez à nouveau naviguer d’une note à l’autre sans repasser par la homepage, que les archives soient accessibles dans la sidebar jusqu’en 2008 et que la blogroll qui était également sur la sidebar ne renvoie pas sur mes billets à moi mais les blogs listés.

Mais globalement, on est quand même limite installés. Sachant que je suis de celles qui finissent toujours par lâcher l’affaire du dernier carton à ouvrir, lequel pourrit dans un coin pendant des mois, voire des années, jusqu’à ce qu’il me prenne vraiment l’envie de retrouver ce fucking presse agrumes.

Voilà, merci de votre patience et de votre collaboration, n’hésitez pas à signaler ce qui merdouille encore, ça nous aide – même si parfois la récurrence de certaines réclamations peut donner l’impression que ça m’agace, en réalité ça nous aide plus que ça ne m’agace.

A part ça, pour contrebalancer les downs d’hier quelques ups aujourd’hui. En lire plus »

Up et surtout Downs

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Hier, aux toilettes, je feuillette un magazine de la Chérie, un genre de Jeune et Jolie mais sans le courrier des lecteurs qui t’explique comment rouler des pelles (mon sujet d’angoisse number one de mes années adolescentes : dans quel sens la langue, est-ce que c’est le mec qui met la sienne dans la bouche de la fille ou l’inverse ? Et comment je fais avec ma salive ? Et surtout, SURTOUT, il est OÙ ce con censé venir cogner ses dents contre les miennes ?).

Je feuillette donc ce magazine en vaquant à mes petites affaires, quand je tombe sur un de ces tests conçus par une stagiaire n’ayant pas réglé ses propres problèmes d’oedipe. Au départ, je regarde d’un oeil distrait puis je m’aperçois que la Chérie a coché les réponses. Bien sûr, mon premier réflexe est refermer le journal.

J’écris dans Psychologies magazine, je sais que ma fille c’est ma fille et moi c’est moi. Intimité, confiance, respect d’autrui, altérité, intégrité, sont des mots qui me parlent.

Sauf que les toilettes, jusqu’à nouvel ordre, sont dans les parties communes. Pas de frontière, pas de « frapper avant d’entrer » – et pourtant dieu sait que j’aimerais – treize ans que j’ai le caca social. Alors MERDE, quoi.

Premier réflexe, donc, fermer le magazine. Second réflexe, lire les réponses de ma fille au test intitulé: « Quelle relation entretiens-tu avec ta mère ? ».

Toujours suivre sa première impulsion. C’est ce que je serine à mes enfants à chaque fois qu’ils hésitent sur l’orthographe d’un mot ou la résolution d’un problème. En lire plus »

A bicyclette…

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Alors déjà, un immense merci pour votre accueil hier, ça m’a fait chaud au coeur de vous voir si enthousiastes, regarder les murs encore tout propres, vous créer un avatar – thank you Chag pour les explications – et me complimenter sur le choix des peintures et des tapisseries. C’était important que ça vous plaise, que vous continuiez à vous sentir bien. C’est drôle, certaines ont trouvé que ça ne changeait pas assez, d’autres beaucoup, d’autres, trop. Comme quoi Newton avait raison, tout est relatif et pierre qui roule vaut mieux que deux tu l’auras.

En ce qui me concerne, je suis encore un peu gênée aux entournures, j’ose pas marcher avec mes chaussures et j’ai peur de salir les sols immaculés. En plus, l’interface de gestion n’est pas la même qu’avant et je me prends un peu les pieds dans le tapis, donc va falloir être indulgents. J’ai fait remonter vos remarques à Frédéric qui devrait remédier à certains petits soucis dans les jours à venir. Mais j’avoue, je ne vais pas le harceler parce que le pauvre je pense qu’il était à deux doigts de changer de métier et d’aller vendre des chichis à Palavas histoire de ne plus se coltiner l’export de mes billets.

Voilà, à part ça, je ne pouvais pas ne pas vous montrer ce shooting mode improvisé, réalisé par le Churros la semaine dernière alors que les enfants étaient tous en goguette. Je crois qu’il veut m’emmener sur les chemins du mannequinat. Ou alors il s’est senti hyper sexy avec un appareil autour du cou, je ne sais pas, mais j’ai genre 345 photos de moi sur ce vélo qu’il a trouvé soudain hyper photogénique. Vélo au demeurant croquignolet mais quand on connait mon passif avec ce mode de locomotion, on ne croit pas une seconde que je m’apprête vraiment à enfourcher ma monture et arpenter les rues de Paris cheveux au vent. En lire plus »

So long la ronde

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Si vous voyez ce nouveau billet c’est que vous faites partie des premiers wagons parvenus jusqu’au nouveau blog. Comme vous pouvez vous en rendre compte, les changements sont assez homéopathiques. Les meubles ont été un peu poussés pour faire de la place aux photos (call me Helmut Newton), certaines fonctionnalités dans les commentaires ont été ajoutées et deux ou trois autres détails ont été modifiés.

En réalité, le plus gros changement réside dans ce qui ne se voit pas – nouvelle plateforme, welcome sur WordPress, nouvel hébergeur – mais également, évidemment, dans le nom du blog.

So long la ronde, vous voici sur Pensées by Caro.

Je vous épargne les moultes essais infructueux avant de parvenir à ce titre là. Je ne prétends pas avoir déniché le graal mais on est tout de même passé à « ça » de Caroline’s diarie, qui prononcé par moi même donnait à quiconque envie de me donner un sachet de Smecta. En lire plus »

Work in progress

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Bon mes petits chats, c’est ce qui s’appelle un pétard mouillé, une vente de la peau de l’ours avant de l’avoir tué, une charrue avant les boeufs ou tout autre adage signifiant qu’en gros j’ai parlé trop vite.

La migration est en cours mais les obstacles sont nombreux.

La faute à qui ?

La faute à VOUS.

Eh ouais, gros.

Je veux dire, y’a pas idée de poster autant de commentaires, aussi. 150 000. Rien que ça.

Je déconne, ne le prenez pas mal, d’autant que ça n’est pas le seul problème, il y a aussi le nombre de billets – 2000 – et de photos (beaucoup). Plus pas mal de subtilités qui m’échappent mais qui font que le pauvre Frédéric y perd son latin. Transposer un blog de Typepad vers WordPress n’est pas une mince affaire et encore moins quand il s’agit d’un blog âgé de sept ans, tenu par une fille bavarde, très bavarde, et fréquenté par des lecteurs et lectrices tout aussi bavards.

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Transition

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Hello guys,

Comme certains d’entre vous ont pu le lire sur ma page Facebook, (que vous êtes invités à liker pour avoir des news quand justement je ne peux pas les poster ici) (mais vous pouvez aussi me dire que fuck Facebook) nous sommes en plein déménagement. Quand je dis « nous », il s’agit en réalité de Frédéric, mon webmaster, qui sue sang et eaux depuis hier pour accomplir cette migration de Typepad vers WordPress. Cela ne devait prendre que quelques heures mais il en va des heures informatiques comme de celles du dentiste. On ne connait pas à l’avance le nombre de minutes qui les composent.

Bref, il va falloir être patients parce que je ne peux pas faire grand chose d’autre moi non plus que de me ronger les ongles en priant pour qu’une partie de mes meubles ne finissent pas en rade sur le grand autoroute de l’internet (call me Francis Lalanne). T’en vas pas. En lire plus »

Something blue

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Je l’ai déjà dit plusieurs fois mais je vais me répéter – il parait qu’à partir de 29 ans les neurones se renouvellent moins bien -, ce que j’aime aussi dans ces séjours entre blogueuses, outre la façon dont on est honteusement bichonnées, c’est cette impression soudain d’avoir à nouveau des collègues. C’est une des choses qui me manquent de mon ancien statut, non que je ne goûte pas la solitude, mais pouvoir échanger sur des problématiques communes est de mon point de vue un formidable moyen pour progresser et évoluer.

Et quoi qu’en pensent encore certains, lorsqu’on tient un blog depuis si longtemps et de manière assidue, lorsque même, on en vit un peu – et bien que ne monétisant pas énormément, j’en vis, ne serait-ce que parce qu’il m’ouvre des portes depuis maintenant sept ans -, je crois que cela s’apparente à un métier. Sauf que c’est donc un métier sujet à caution, parfois à moqueries et que bon nombre de gens prennent pour un hobbie de paresseuse.

La vérité, c’est qu’à chaque fois que je cotoie plus d’une journée mes consoeurs, je fais le même constat: les blogueuses sont certes souvent privilégiées (pas plus que les journalistes, souvent invités aussi en voyage de presse) mais sont surtout de la veine de celles qui ne s’arrêtent jamais. Durant ces deux jours, on a toutes à un moment ou à un autre travaillé. Qui en répondant à ses mails, qui en écrivant un billet, qui en gérant des commandes de clients, qui en réfléchissant à tel ou tel rendez-vous à venir, qui en finissant un croquis ou en retravaillant des photos. Chacune d’entre nous, qu’elle soit free lance ou en poste – mais c’était un cas minoritaire – cumule en effet les activités, parce que je dois faire tomber un mythe, ni l’affiliation, ni les pavés publicitaires ni les billets sponsorisés – ne font un salaire décent, à moins peut-être de s’appeler Betty. En lire plus »

Au grand hôtel des thermes de Saint-Malo

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Attention, billet à haute teneur en détestation. Parfois, il faut bien avouer que la blogueuse,  être complexe mais néanmoins attachant, est sacrément vernie.

A savoir que de temps en temps, on doit donner de notre personne pour aller tester des soins visages et autres massages sous jets, tout ça en dormant dans ce genre d’hôtel dont on voudrait faire sa maison. (Mais les blogueuses, hélas, ont un peu le même destin que Cendrillon. Et croyez-le ou non, mais une fois rentrées à Paris, elles prennent le métro, comme tout un chacun, leur valise chargée à bloc de Salidou. La vie est décidément très injuste).

Cette longue intro pour vous raconter donc que nous étions sept filles survitaminées invitées au Grand Hôtel des Thermes de Saint-Malo, pour deux jours de papouilles intenses et multiples pia-pia-pia, tout ça agrémenté de kouign-aman indécent, de queues de Langoustines grillées ou de Saint-Pierre parfaitement assaisonné. Epuisant.

Cet hôtel, il faut que je vous le dise, je l’ai dans le viseur depuis qu’il y a treize ans moins une semaine, j’ai accouché de mes twins. A l’époque, je m’étais jurée qu’une fois ma couvade de quatre mois sur mon canapé terminée, j’irais faire péter la thalasso pour jeune maman. Sauf que les enfants se sont pointés avec beaucoup trop d’avance, qu’ils sont tombés malades et que le temps aidant, ça n’était plus le moment. Pour Rose, idem, j’ai loupé le coche.

Et bien sachez que tout vient donc à point pour qui sait attendre et que plus on attend, plus c’est bon. D’autant que ce qui tombe bien c’est que n’ayant jamais totalement retrouvé mon corps de jeune fille, ça n’était pas bien grave que je n’ai pas accouché récemment (par contre je n’avais pas anticipé le fait de tomber enceinte d’une motte de beurre breton une fois sur place). En lire plus »

Evidemment

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Il y a un an, la vie a perdu de ses couleurs. Depuis ce jour là, nous avançons en rang serré parce que c'est la seule façon que nous avons trouvée de continuer. Mais si l'on rit encore, ça n'est plus comme avant. Et si l'on danse, parfois, c'est parce qu'il n'y a plus de mots.

Ce matin, mes pensées ne vont que vers eux.

La vie est monstrueuse, aimez la vie, disait l'auteure de "Nos étoiles ont filé". Désormais je crois toucher du doigt ce qu'elle entendait par là.

Take care

Sujet de mémoire ?

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Chloé est étudiante en master de sociologie et me fait l’honneur de parler de mon blog dans son mémoire. Honnêtement elle a du mérite, je suis un courant d’air depuis des semaines et n’arrive pas à lui accorder le temps qu’elle mériterait. La vérité j’imagine c’est qu’il m’est plus facile d’interviewer les gens que de l’être.

Elle m’a demandé de mettre en ligne ce petit questionnaire auquel si vous voulez bien, vous pourriez répondre en tant que lecteurs ou lectrices de PdR.

Ce serait drôlement sympa pour elle et je vous en serais très reconnaissante. En lire plus »