Tag : french disorder

So long 2014…

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Il est venu le temps de ce billet annuel, dégoulinant de nostalgie et de bons sentiments. Ne le niez pas vous l’attendiez et vous aimez ça, quand je me fais chatte sur un toit brûlant (ouh là).

Plus sérieusement, je vais lever le pied durant les deux semaines qui viennent. J’avais l’illusion de pouvoir totalement m’arrêter de travailler pour quinze jours, mais cela restera du domaine du fantasme, je me suis pris dans la face un gros boulot pas plus tard qu’avant-hier. Peut-être que si je n’avais pas la perspective des quatre (six ?) mois à venir où soudain vont s’additionner le remboursement d’emprunt et le loyer de l’appart que nous allons continuer d’habiter pendant les travaux, j’aurais décliné la proposition. Mais là disons que le principe de réalité m’a rattrapée.

Il n’empêche que je vais quand même un peu m’éloigner de mon ordinateur pour retrouver les miens, traverser la France de haut en bas, de bas en haut et d’est en ouest. Vous me connaissez, j’ai la plus grande difficulté à ne pas poster au moins une fois ou deux pendant mes congés, donc je ne vous dis pas tout de suite bonne année. Je vous avais fait miroiter des listes de livres, chansons, acteurs, préférés et je n’en ai rien fait, mais promis ça viendra. Pour ce billet iconique de fin décembre, je vais plutôt revenir sur les cinq souvenirs les meilleurs de 2014 et peut-être aussi les fails, parce que bien que pétant des papillons en bonne blogueuse que je suis, j’ai aussi eu quelques grands moments de solitude. En lire plus »

God save the cream, le tee…

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Attention, coolab « Pensées by Caro & French Disorder », part two ! Au vu de l’accueil formidable que vous avez réservé à cette petite collection capsule, Cédric, Javi et Isa m’ont proposé de l’étendre à ce tee-shirt. Je n’ai pas boudé mon plaisir je peux vous dire, parce que c’est le même modèle que le « cook da book » (qui m’a valu une séance de drague de la plus grande subtilité de la part d’un garçon trop jeune pour saisir la référence et qui un soir d’ébriété, après m’avoir scrutée avec attention, m’a chuchoté au vu et au su d’un churros pas très friendly, « c’est plutôt « Look that boobs » qu’il faudrait écrire ») (je sais, c’est antiféministe mais j’avoue, je n’ai pas pris la mouche) (euphémisme) (call me Demi) (et sers en moi un pendant que tu y es).

Plus sérieusement, c’est une coupe que j’adore, dans une matière ultra agréable. Et puis je ne sais pas, ce doré sur noir, j’ai l’impression d’être la petite soeur (fille ?) de Blondie.

Le tee-shirt « God save the cream » est en vente au prix de 39 euros. Avec le code KIFF, vous avez les frais de port offerts pour toute la coolab, qui se trouve ici.

Ah et la copine Violette a elle aussi libéré sa créativité et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle a tout déchiré ! Par ici si ça vous tente ! En lire plus »

Mes dix envies de la rentrée

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Je sais, non seulement je suis déjà un peu en retard, la rentrée étant bien entamée (j’en suis à la phase deux avec Rose qui est déjà malade) mais en plus, je ne suis pas tout à fait la première à avoir une telle idée d’édito. Mais la vérité c’est que j’adore ces rubriques des magazines, sur ce qui va nous donner le frisson et rallumer le désir en cette période où l’on est surtout tentée de se menotter au lit, puis d’avaler la clé. Alors voici ce qui ce mois-ci me meut… En lire plus »

« Mais ralentis je te dis ! » (concours inside)

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Avant de terminer mon récit sur ce petit périple à Taroudant, revenons s’il vous plait sur ce tee-shirt « Cook da Books », qui ne peut que tirer des larmes d’émotions à toutes celles mais aussi ceux, d’ailleurs, qui, lors de la projection de la Boum, ont vibré sur les accords certes un peu basiques de ce groupe mythique. Your eyes…. na na na, nanana na na…

On se comprend. En lire plus »

I love Brouqueline

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Un dernier billet sévillan, avec ma trombine en prime à nouveau, mais c’est pour la bonne cause, aujourd’hui c’est cadeau. Vous vous souvenez de French Disorder, la marque de tees & sweats qui monte, créée par des amis ? J’avais déjà montré mon sweat « Pipelette », voici donc le « Brouqueline » (il est possible que vous ne trouviez pas tout de suite la blague, ne vous jetez pas la pierre, ça arrive aux meilleurs). Outre l’inscription que j’aime personnellement beaucoup, je tiens à porter à votre attention la coupe absolument parfaite. Le décolleté est pile comme il faut et la longueur également. Je l’ai pris en L, parce que je le voulais un peu large et il est nickel, mais le M aurait pu faire l’affaire également. Vous avez donc la possibilité de gagner un tee de la nouvelle collection. En lire plus »

French Disorder: la scandaleuse gagnante est…

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Alors avant toute chose, c’est le commentaire n°88, de Pascale, qui remporte le sweat « Scandaleuse ». Bravo à elle et merci à toutes et tous d’avoir participé, je crois que les gentilles personnes de French Disorder étaient drôlement touchées par votre enthousiasme. Qui sait si ça se trouve il y aura un jour un autre concours. En attendant, vous avez donc 15% avec le code CARO sur toute la boutique et ce jusqu’au 20 octobre. En lire plus »

Pipelette (concours inside)

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Je vous en avais déjà parlé, je suis fan des tees et sweats French Disorder. Seulement jusque là je n’en avais jamais essayé moi même, je m’étais contenté de les admirer sur mes copines. Et puis je suis tombée sur celui-ci et je ne pouvais pas ignorer ce message qui me correspond tant. Ok, mes amis ne se priveraient pas de préciser que pipelette en ce qui me concerne est un euphémisme absolu, que je suis la plus grande bavarde de l’univers, que me confier un secret est le meilleur moyen que la terre entière soit au courant dans l’instant. Sur mes relevés de note à l’école, il y avait toujours une allusion à ma propension toute particulière à bavasser. A la messe – j’ai été élevée chez les bonnes soeurs – je finissais toujours par me prendre un regard noir du curé (en même temps parler pendant le sermon c’était moins grave que peloter les enfants de choeur, ce qu’il faisait sans aucune vergogne le vieux cochon). Même au boulot, je me souviens, pendant les réunions avec les big boss, il fallait toujours que j’essaie de chuchoter quelque chose à ma voisine. C’est plus fort que moi, j’ai TOUJOURS un truc à dire, ce qui ne signifie pas que je ne devrais pas pourtant tourner systématiquement sept fois ma langue, bla bla bla.

Pipelette un jour, pipelette toujours, donc. Et ce sweat, sinon ? Et bien je dirais que c’est le doudou par excellence. Il est bien échancré comme il faut pour laisser glisser négligemment sur une épaule, il est molletonné à souhait et tombe pile poil. On est évidemment d’accord que qui dit sweat boyfriend ne dit pas vraiment silhouette élancée, en même temps ça n’est pas l’objet, je vous le rappelle, c’est même tout le contraire, quelque part le sweat c’est politique puisqu’on a toutes l’air d’être fichues pareil avec. Non ? En lire plus »

En vrac et pas dans l’ordre

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Dimanche matin, j’ai été réveillée un peu tôt par ma souris. On est descendues toutes les deux dans la cuisine et face au vide intersidéral du garde-manger – je n’ai pas totalement repris un rythme normal niveau courses, je cherche encore où sont les citrons et les grappes de raisin du jardin – j’ai dégainé ma botte secrète: les pancakes. On en a mis un peu partout, il y avait de la farine dans mes cheveux et sur son nez et il a fallu partir à la chasse aux coquilles d’oeufs dans la pâte, mais à l’arrivée, ce sont pas moins d’une trentaine de petites crêpes qui ont fini par dorer. « On dirait de l’écume », s’est ébahie Rose à la vue des bulles qui éclataient à la surface des pancakes lorsqu’on les faisaient cuire.

C’était doux et sucré, et ce petit déjeuner avait un goût de souvenir d’enfance, de ceux que l’on garde dans un coin pour les jours moins fastes. Un instant parfait, que nous avons savouré avec autant d’appétit que le miel qui coulait sur nos doigts, faute de sirop d’érable.

A part ça, quelques brèves sans queue ni tête, parce qu’on peut avoir très envie d’un jogpant tout mou tout doux et être capable de s’ulcérer des propos des dernières éructations de François Fillon non ? (ben si) En lire plus »