Résultats de recherche pour : corse

Deux ou trois choses en passant…

Un petit passage express avant de me plonger dans la lecture quasi finale de quatre épisodes de la série sur laquelle je travaille, pour y traquer les fautes, les incohérences et tout ce qui par la suite pourrait nous revenir dans la figure tel un boomerang, en mode « mais ils les ont trouvés où les scénaristes ? ». Travail un peu ingrat, mais passage obligé avant les séances de lectures comédiens, sans doute ce que j’attends avec le plus d’impatience, cet instant magique ou douloureux, c’est selon, où nos mots sont joués. Le moment de vérité pour certaines lignes de dialogues qui soudain perdront de leur verve ou au contraire prendront leur envol.

Bref, juste pour vous dire, en vrac et pas dans l’ordre, que : En lire plus »

Mes dix meilleurs

Ayant passé pas mal de temps à geindre depuis un mois, sur mon triste sort de parisienne coincée sous des trombes d’eau à la capitale pendant que TOUT LE MONDE (mon sens de la mesure) était sous les tropiques, je me suis dit que pour chasser un peu ma bougonnerie ambiante, j’allais lister les « meilleurs » de ma vie (je prépare un article sur comment positiver intelligemment, on va dire que ce sera une des solutions proposées) (n’hésitez pas à me proposer d’autres idées en la matière). Voici donc dix de mes « meilleurs », peut-être que ça vous inspirera aussi ?  En lire plus »

Miscellanées de l’été 2017

Je pensais naïvement que le fait de rester à Paris quasiment tout l’été m’encouragerait à écrire régulièrement ici et d’une manière générale à entamer tout un tas de projets personnels pour lesquels je n’ai jamais de temps disponible le reste de l’année. Vous avez pu constater ce qu’il en était pour le blog. Pour le reste c’est exactement pareil. Alors certes, après ces trois semaines au chevet de ma grande, j’ai enchainé avec une espèce de gastro aux allures de marathon intestinal. Mais il n’y a pas que ça, je pense. La vérité c’est que j’avais sans doute besoin de ne rien faire, ou alors que le contrecoup de ces semaines à angoisser est plus important que je ne l’avais anticipé. Ceci étant dit, je n’ai pas non plus totalement RIEN fait, voici donc un compte rendu relativement lapidaire de ces derniers jours, dont l’intérêt est, j’en conviens, discutable. (mais c’était ça ou rien en fait). En lire plus »

2016: Up and Down…

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Vous me connaissez, j’aime bien les bilans. Alors comme 2016 touche à sa fin, je me suis dit qu’un petit up and down de l’année s’imposait. Je précise que c’est un bilan personnel, évidemment, ces petits événements ne sont pas grand chose à l’échelle des horreurs que 2016 a connues. (ça explique aussi pourquoi je ne compte pas la mort politique de Sarkozy dans mes UP).

Les UP

– 1 – Définitivement ce voyage à New-York tous les cinq. Il y a des moments dont on sait en les vivant qu’ils resteront pour toujours, qu’ils seront comme un point d’ancrage quand ça n’ira pas, comme une madeleine dont on se rappellera le goût quand tout ceci nous semblera tellement loin. Cette semaine américaine en fait définitivement partie, comme notre escapade à Venise il y a quelques années, avec mes parents. Redécouvrir cette ville à travers les yeux ébahis de mes enfants fut précieux, être tous les cinq non stop pendant une semaine aussi. En lire plus »

Kéa, tentative de compte-rendu

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Voici donc ce dernier billet sur Kea, l’île des Cyclades où nous avons posé nos valises durant deux semaines en Août. Des Cyclades nous ne connaissions que Sifnos (que j’appelle Kiffos parce que ma chère amie qui y possède une maison m’avait alors interdit formellement d’éventer le secret de son petit paradis) (mais au vu du nombre de personnes qui semblent désormais la connaitre, je crains hélas que le secret n’en soit plus un). Sifnos, donc, un bijou dans la mer Egée, moins bling que ses voisines Mykonos, Paros et cie, des plages adorables, des monastères en veux-tu en voilà, des villages blancs et bleus accrochés aux montagnes. Pour l’inconditionnelle de la Corse que je suis, les Cyclades furent une révélation. Il existait donc un endroit où je pouvais me sentir aussi bien que dans l’Ile de beauté, mais sans les embouteillages ? (c’est le gros point noir de la Corse quand on ne peut partir qu’en Août). Et donc après deux séjours à Sifnos, nous avons eu envie d’en découvrir une autre. Accessoirement plus proche du continent, rapport à la légère fragilité gastrique de mes enfants dès qu’ils ne sont pas sur la terre ferme. Kéa s’est imposée rapidement pour sa proximité (une heure seulement de bateau) et ses prix moins élevés qu’ailleurs. Et des amis qui y étaient allés l’année dernière nous avaient confirmé que si nous recherchions la tranquillité, c’était là qu’il fallait partir. En lire plus »

Two days in heaven

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Vous avez un endroit, vous, où soudain plus rien ne semble pouvoir vous atteindre ? Moi j’en ai deux. Le petit village des Hautes-Alpes où mon grand-père fit construire un chalet après que la bâtisse familiale de Briançon ait brûlé et la Corse. J’en ai souvent parlé ici, cette île, dont je ne suis pas originaire est gravée pourtant dans mon ADN, du moins c’est l’impression que j’ai à chaque fois que j’y pose un pied et que je respire l’air chargé d’immortelle et de myrte. Reviennent à ma mémoire tous ces étés passés sur cette plage de Prunete, les saveurs uniques de la Pietra, du Fiadone et du brocciu. J’aime l’accent si particulier des Corses, j’aime l’âpreté des villages perchés dans les montagnes, les nuances innombrables de la mer, les tours génoises qui se dressent fièrement sur le littoral, les routes escarpées et les rivières aux eaux cristallines. Ces trois petits jours que nous y avons passé la semaine dernière n’ont pas dérogé à la règle et la magie a une nouvelle fois opéré, dès la première seconde. Alors certes, le fait de bénéficier d’un surclassement inattendu ne fut pas étranger à notre félicité. Mais très honnêtement, ce n’était qu’une cerise sur le gâteau. Aussi belle ait été d’ailleurs la piscine de l’hôtel, nous avons finalement passé le plus clair de notre temps sur la plage. La saison n’avait pas encore vraiment commencé et nous étions quasiment seuls. La mer qui n’avait pas été brassée comme elle peut l’être en août était translucide. Et cette chaleur, c’est simple, après deux mois de flotte à Paris, nous avions oublié qu’il était possible de marcher à la nuit tombée sans éprouver la moindre sensation de froid. Bref, c’était merveilleux, c’était plein de nostalgie et d’amour. En lire plus »

Cendrillon et le Churros à Calvi

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Bien arrivés au paradis – Stop – La Corse sent toujours aussi bon – Stop –

Mon churros m’a fait la surprise de réserver dans un des plus beaux hôtels de l’île, la Villa Calvi. Et comme si ça ne suffisait pas, en lieu et place de la chambre de première catégorie, déjà très au delà de notre budget habituel (mais on ne fête pas tous les ans 20 ans d’amour et 9 ans de mariage oui ou merde ?) on a eu la surprise d’être surclassés. Le truc qui ne nous est JAMAIS arrivé. C’est à dire qu’on a failli tomber dans les pommes en entrant dans cette suite de 200 mètres carrés avec une terrasse quasi aussi grande que ma maison, avec comme écran de télé naturel, la mer et la citadelle. Il fallait nous voir, danser d’un pied sur l’autre, tentant de cacher le sac à dos miteux du churros qui à dix minutes de partir n’a pas trouvé autre chose pour y fourrer son unique pantalon du week-end et n’osant pas trop signaler à la jeune femme qui nous guidait dans nos appartements qu’il devait y avoir erreur sur la personne. Remarquant notre léger malaise, elle a dit: « vous avez été surclassés, j’espère que ça ne pose pas de problème ? » Magnanimes on a dit que pour cette fois ci ça passait. En lire plus »

J’aime #107

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Depuis quelques semaines mon acouphène qui avait disparu (sans même que je le réalise tout de suite d’ailleurs, ce qui est tout de même bien ballot vu comment ça me prenait littéralement la tête) est revenu de plus belle. J’ai une soufflerie dans l’oreille gauche qui vibre au rythme de mon coeur et si les divers examens que j’ai passés (vous me connaissez) tendent à confirmer qu’il n’y a pas d’explication, je ne parviens pas à me résoudre à l’idée que ce soit 100% psychosomatique. Bref, j’ai évidemment ma petite théorie bien à moi sur la question (je soupçonne une veine dilatée, rapport au fait que quand j’appuie à un endroit précis de mon cou, je n’entends plus l’acouphène) mais je sens que si je la développe auprès de ma généraliste, je risque la camisole. Toujours est-il que c’est insupportable et que je me suis surprise il y a deux jours à m’exclamer à voix haute « ta gueule » alors que j’étais seule devant mon ordi. Les gens en blouse blanche ne sont pas loin.

A part ça, et parce qu’il faut bien essayer de faire diversion, j’aime… En lire plus »

Pot-pourri

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Alors déjà je voulais dire merci à toutes les chouettes personnes qui se sont manifestées hier sur Snapchat. Géraldine le disait et je le confirme, c’est un réseau qui se distingue aussi par sa facilité à créer une autre sorte de lien. Je ne sais pas si c’est parce que c’est très éphémère, mais le contact se fait d’une manière assez naturelle et il m’est plus aisé de répondre que par mail. Bref, c’était chouette, ça a bien égayé mon lundi (mes semis de radis me causent énormément de souci).

Par ailleurs… Et bien par ailleurs, pas grand chose à vrai dire, ou plein, mais rien que je ne puisse vraiment exploiter ici. Mais bizarrement, alors que je n’ai donc pas grand chose à vous raconter, l’idée de ne rien poster me chiffonne (la peur du vide sans doute). Alors on va dire que ce billet, encore plus qu’un autre, n’existera que pour lui même, comme une sorte de pot pourri de pensées inutiles. Voici, en vrac, ce qui a traversé mon esprit ces derniers jours… En lire plus »

Mes irremplaçables

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A l’occasion de ses dix ans, l’Express Styles a soumis ce petit questionnaire « mes irremplaçables » à quelques personnalités. Travaillant avec un immense plaisir depuis – déjà – trois ans pour ce journal (mes articles ici), j’ai eu envie de me prêter à l’exercice moi aussi. Cela risque d’être peut-être redondant avec mon #askcaro, je vais essayer de faire en sorte que non. Même si à force je crois que je n’ai plus beaucoup de secrets pour vous… (appelez moi madame pudeur). En lire plus »