Mois : juin 2014

Des fraises, des framboises et une orange

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Au risque de paraitre un peu démago, je voulais vous remercier pour votre participation enthousiaste au concours d’hier. Je suis toujours particulièrement touchée quand les gens manifestent une telle envie de livres. Et je suis assez fière que vous soyez autant au taquet pour gagner un bouquin qu’un produit de beauté.

Parenthèse démago fermée, voici les gagnant(e)s:

Commentaire 94, Plum’

Commentaire 12, Zouzou

Commentaire 166, Mmarie

Envoyez-moi un mail à l’adresse cfrancfr(at)yahoo.fr avec votre adresse postale ! Ah et tant que j’y suis, Xotchil, je n’ai pas reçu de mail de ta part pour French Disorder, peux-tu me l’envoyer, avec adresse, nom du produit et taille ?

Pour les déçus, le livre de Vincent Maston est dispo dans toutes les bonnes libraires et ici... En lire plus »

Germain dans le métro, un héros trop sensible (concours inside)

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Je ne sais pas si vous vous souvenez mais il y a quelque temps – deux ans déjà – j’avais participé au « Labo d’écriture des nouveaux talents » organisé par la Fondation Bouygues Télécom. J’avais raconté jour après jour ces cours passionnants prodigués par Bruno Tessarech et glissé ça et là quelques bribes de ces embryons d’histoires ou de personnages, nés quasiment sous nos yeux. J’aurais adoré vous apprendre que suite à ces séances, mon roman était enfin terminé, mais hélas mon arlésienne reste bien tranquille là où elle doit être, dans un pays nommé Velléité. En revanche, plusieurs de ma « promo » ont fini par accoucher de véritables ouvrages de papier, brochés et publiés. En lire plus »

Y’a quelqu’un qui m’a dit que j’ai arrêté de fumer

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Deux mois et demi que je n’ai pas touché une cigarette. Et le moins qu’on puisse dire c’est que… ça n’est pas vraiment le pied.

A savoir que je cherche désespérément les points positifs de cette histoire. Si, quand même. D’après je ne sais plus quelle appli (j’en ai installé pas mal sur mon téléphone, elles me félicitent régulièrement avec des messages pop-up très sympas, surtout quand ils s’affichent devant témoin « BRAVO, VOTRE LIBIDO EST A NOUVEAU AU TOP ! » (ah oui ?)), les cils vibratiles de mes poumons ont commencé à se régénérer. Bon c’est sûr que c’est un peu comme dans le sketch de Florence Foresti sur la grossesse et les femmes enceintes qui ont de beaux cuticules. Difficile de frimer en parlant de ses cils vibratiles.

Mais à part ça – et ma voix qui s’éclaircit parait-il, toujours selon ces sources ultra informées – on est pas loin du carton plein d’emmerdes. En lire plus »

J’aime #55

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Normalement vendredi nous devions Violette et moi nous envoler pour Casablanca, pour assister au festival de musique Mawazine. Est-ce que c’était notre karma ? Je ne sais pas, mais le fait est qu’après nous être levées aux aurores, notre taxi est tombé en panne sur l’autoroute et que nous avons attendu si longtemps la dépanneuse que notre avion nous a au sens propre filé sous le nez. Autant vous dire qu’on l’a eue mauvaise. Bonjour, nous sommes les Bridget de la blogosphère (m’est avis que désormais les gens qui nous inviteront nous donneront une heure de départ volontairement avancée à la veille histoire de s’assurer qu’on y sera bien).

Malgré tout, le week-end ne fut pas si raté, le temps était de notre côté et mes enfants et mari ravis de profiter finalement de moi (ils ne l’ont pas explicitement formulé ainsi mais j’aime à le penser).

Allez, un petit j’aime pour ce lundi déguisé en mardi…

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Mères libérez-vous !

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Je me souviens très bien de la première fois où j’ai vu Marie-Caroline. Elle a débarqué toute de rouge vêtue – sa « signature » encore aujourd’hui – dans le minuscule bureau que j’occupais tout en haut de ce vieil immeuble du 5ème arrondissement. J’étais arrivée six mois avant dans cette agence de presse encore embryonnaire et voyais plutôt d’un très bon oeil la perspective d’avoir un peu de compagnie. Même si cette compagnie était de celles faisant tourner toutes les têtes et tomber les hommes comme des mouches. Bizarrement – ou pas – ce zeste d’aigreur que je peux éprouver lorsque je rencontre des filles comme Marie-Caroline, tableau parfaitement réussi par une mère nature particulièrement en forme, n’a pas fait long feu. Probablement parce qu’au bout de cinq minutes on s’était découvert mille points communs, à commencer par nos origines lyonnaises, nos mères profs et un peu notre prénom. Surtout, malgré une petite différence d’âge – la pauvre a un peu plus de 29 ans – (hin hin hin), on s’est entendues comme larrons en foire, passant de longs moments à rire comme des dindes. Un peu trop d’ailleurs, notre boss a assez vite flairé l’embrouille et compris que s’il ne nous séparait pas notre productivité risquait d’en pâtir. Mais le fait de ne plus partager le même bureau n’a pas émoussé notre complicité.

Et depuis tout ce temps, un peu plus de dix ans aujourd’hui, nous sommes donc restées amies, partageant non seulement de bons et moins bons souvenirs de notre ancien boulot, mais aussi une passion pour la politique, la bonne chère, les cocktails dans les endroits lounge et aussi, le statut de la femme aujourd’hui, étant toutes deux mamans et chacune à notre façon pétries d’ambitions.

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Trois jours à Taroudant, #part two

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Alors avant toutes choses, la gagnante du concours French Disorder est le commentaire 90, Xotchil. Envoie moi un mail avec la référence du tee ou de la robe que tu souhaites et la taille ! Pour les déçues, sachez qu’il y a un code très à propos, « VIC », qui vous donne accès à 15% de réduction sur toute la boutique exceptés les produits déjà soldés. One more time, je ne touche rien sur les ventes, donc sentez vous libres !

Fin de l’aparté.

Nous en étions donc à notre troisième – et dernier – jour à Taroudant.

Au programme: découverte de Tiout, province agricole aux alentours de Taroudant. Quelques familles se partagent des parcelles d’une immense palmeraie, irriguée grâce à l’une des rares sources de montagne des environs. Véritable oasis, la palmeraie se découvre au détour d’un chemin aride, où l’on croise bergers et vieilles femmes juchées sur des ânes. Saïd, notre hôte, pratique une agriculture bio et raisonnée, mettant un point d’honneur à ne rien jeter de ses palmiers. Il reçoit également quelques touristes comme nous, sous une tente traditionnelle. En lire plus »

« Mais ralentis je te dis ! » (concours inside)

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Avant de terminer mon récit sur ce petit périple à Taroudant, revenons s’il vous plait sur ce tee-shirt « Cook da Books », qui ne peut que tirer des larmes d’émotions à toutes celles mais aussi ceux, d’ailleurs, qui, lors de la projection de la Boum, ont vibré sur les accords certes un peu basiques de ce groupe mythique. Your eyes…. na na na, nanana na na…

On se comprend. En lire plus »

Les parfums de ma vie

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Il y a des odeurs qui nous accompagnent depuis toujours. Parmi celles-ci, il y a pour moi celle du savon Donge, dont j’ignorais à vrai dire qu’il faisait partie de la grande famille Cadum. J’ai toujours adoré ce parfum d’amande douce et j’ai toujours acheté ces savons au packaging quasiment inchangé depuis des années, en souvenir j’imagine de mon enfance et aussi parce que – vous allez tout savoir – je ne suis pas très gel douche. Bref à la maison, on peut être souvent à court de sel, de sucre ou de café, mais rarement de savon, on les achète par packs de quatre, quasi exclusivement des Donge, des Cadum parfois parce que Rose adore le bébé dessus. Ils ont en plus l’intérêt d’être parmi les plus abordables et de se trouver partout.

Bref, quand Cadum m’a contactée pour me proposer de faire une vidéo qui explique pourquoi j’aime Cadum, je n’ai pas eu à me forcer. Outre le fait tout de même que l’expression « Bébé Cadum » est entrée dans le langage courant (je ne suis pas certaine qu’il y ait d’autres exemples de la sorte, cela m’a à vrai dire toujours fascinée, que cela se perpétue ainsi dans les cours de récréation, pour en faire d’ailleurs l’invective la plus mignonne de l’histoire), j’ai donc un véritable attachement à ce produit Donge en particulier, qui m’évoque le cou de mes enfants, la sensation de propre, la douceur d’une peau fraichement lavée.

J’espère que vous aimerez ce petit film dans lequel je vous explique tout cela, film qui est aussi une sorte de savoureuse madeleine pour moi, me replonger dans ces photos fut un instant aussi doux que les amandes Cadum…

Collaboration avec Cadum

Trois jours à Taroudant… #1

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Mercredi soir, nous sommes donc partis au sud, très au sud. A Taroudant très exactement, également appelée la petite Marrakech ou encore la ville au serpents. Un endroit encore un peu secret, où le tourisme de masse reste inexistant. Nous avons pris nos quartiers au riad Dar Al Hossoun, une oasis merveilleuse tenue par Thierry et Olivier, deux Français marocains de coeur qui, c’est le moins que l’on puisse dire, savent non seulement recevoir mais aussi et surtout vous faire aimer ce pays d’adoption. En lire plus »