Mois : novembre 2017

Podcast « Les belles histoires » #2

Voici le deuxième podcast des « Belles histoires » enregistré pour Holissence. Il est totalement différent du premier, il raconte cette fois-ci le parcours de Sophie Trem, une jeune femme dont le dynamisme et la créativité sont hyper énergisants. Un exemple d’entrepreneuriat, qui prouve que parfois les idées les plus folles sont aussi les meilleures. Un immense merci une fois encore à Elodie, la fondatrice d’Holissence qui me permet d’explorer d’autres contrées et qui a favorisé cette rencontre… Et merci à vous aussi, de me suivre dans ces aventures. Cette fin d’année est un peu déstabilisante, elle fourmille de projets divers et variés et je réalise régulièrement à quel point la colonne vertébrale de tout cela, la cohérence, s’il faut en trouver absolument une, c’est le blog, c’est ici avec vous, comme une boussole, un point d’ancrage. Alors même si je suis moins présente ici, sachez-le, ça compte.

Pour écouter le podcast c’est ici.

Pour écouter le précédent podcast, c’est ici.

Je voudrais du soleil vert…

Je vous parlais récemment de mon nouveau manteau et de l’amour que je lui portais (la fille tout en nuance). Le voici donc sur pièce dans les allées du jardin du Palais Royal. Vous admirerez le naturel dont je sais faire preuve, la nonchalance avec laquelle je m’appuie contre un arbre (ben quoi ?), la légèreté de ma démarche altière, les cheveux aux vent. Ce que vous ne voyez pas sur ces photos, c’est que dans mon petit sac mignon se cache un rouleau adhésif pour enlever mes cheveux qui n’en finissent pas d’échouer sur le manteau et que durant tout le shooting, Violette m’a répété, comme à chaque fois que putain, cette fois-ci tu ne bouges pas toutes les deux secondes (j’ai quand même bougé). En lire plus »

Five little things #25

Vous les sentez, vous aussi, arriver à grand pas ? Les fêtes de fin d’année et leur cortège de cadeaux à faire, de billets de train à acheter, de repas gargantuesques, etc. Je ne fais pas partie des gens qui détestent Noël, je confesse même un attachement encore tout enfantin à cette période de l’année. Je profite aussi d’avoir une petite dernière qui bien que ne croyant plus au père Noël depuis un moment déjà, a malgré tout décidé que si elle avait envie d’y croire encore un peu elle en aurait le droit. Bref, je n’ai pas du tout commencé mes cadeaux, mais j’aime bien l’idée de voir s’illuminer Paris.

A part ça, cinq petites choses… En lire plus »

Sus à la cellulite avec cellublue

Partenariat avec Cellublue

Comme je vous le disais récemment, mon médecin généraliste m’a subtilement mais clairement fait comprendre qu’il fallait que je songe à perdre du poids. Sans pour autant m’en dire plus sur le comment. Voire pire : étant elle-même enrobée, elle m’a regardée désarmée et m’a dit : « franchement, à part jeuner, je sais pas ».

Au revoir et merci.

Toujours est-il que je suis bien décidée à ne pas faire le moindre régime, de ce côté-là j’ai donné, perdu, repris, etc. Mais depuis quelque temps déjà, je fais en sorte de bouger davantage, j’essaie de marcher une heure par jour minimum et je m’astreins à quelques exercices quotidiens (bon en vrai pas vraiment, mais dans ma tête en tous cas, oui). Et le hasard faisant bien les choses, j’ai été contactée par Cellublue, qui m’a proposé de tester certains objet dont le principal objectif est de tonifier le corps et de faire un sort à la cellulite. Comme il n’était absolument pas question de régime dans cette histoire, j’ai dit pourquoi pas, j’ai toujours secrètement rêvé de palper rouler.

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You’re the one that I want…

Le week-end dernier, le churros est parti avec ses potes à Saint-Emilion pour un week-end à haute teneur culturelle, comme vous pouvez l’imaginer. J’ai profité de ces deux jours seule avec les enfants pour emmener Rose voir la comédie musicale Grease, qui passe actuellement à Mogador. Je confesse un faible un peu coupable pour les « musicals ». Je les préfère en VO et à Londres ou à New-York (bien qu’en réalité je n’en ai jamais vu ni à Broadway ni dans le West-End, mais disons que rien que l’idée me fait voyager) mais je ne boude pas mon plaisir même en VF dans un théâtre parisien. Or j’ai la chance d’avoir une fille qui partage ce béguin. Et qui, en plus, voue une passion pour le film Grease. Passion que j’ai d’ailleurs découverte récemment, un jour où je l’entendais fredonner Summer Nights:

– Han c’est marrant, tu sais que ce que tu chantes, c’est un morceau d’un film trop bien !
– Ben maman, je sais !
– Ah oui ? Tu connais Grease ?
– Attends, maman, Grease c’est TOUTE MA VIE ! (je me demande bien d’où elle sort cette tendance à l’éxagération)

C’est sans doute ce jour là que je me suis dit que peut-être, je dis bien peut-être, je ne contrôlais pas assez sa consommation de Netflix ni les heures passées devant sa tablette. Il s’avère en effet qu’elle l’a visionné plus de dix fois et qu’elle en connait donc absolument TOUS les dialogues. L’idée selon laquelle le troisième enfant s’élève en roue libre n’est pas vraiment fausse…

Bref, j’ai tenté de me rattraper en l’emmenant voir Grease sur scène. Et honnêtement, on a A-DO-RÉ (heureusement parce que même si c’est moins cher qu’à Broadway, les places ne sont pas données données…). Déjà, la devanture du théâtre de Mogador vous emmène direct aux States, avec un lettrage hyper américain. Ensuite, tout le hall a été revisité de manière à vous donner l’impression d’être dans un diner américain des années 50. Les ouvreuses quant à elles, semblent tout droit sorties de Rydell High.  En lire plus »

Rosé de Gibert et autres joyeusetés


Il y a dix jours, j’ai commencé à me gratter en bas du dos. S’en sont suivis deux jours de fièvre et de courbatures. Puis, le lundi soir, j’ai remarqué deux taches rouges sur mon ventre. Et deux autres sur le flanc. Et trois autres sur les seins. Et… Et en fait, partout, du bassin jusqu’au décolleté, pile et face.

Fidèle à mon flegme légendaire dès que je remarque quelque chose d’inhabituel qui pourrait indiquer que j’ai chopé une saleté, je me suis ruée sur google et mon ami doctissimo. En trois clics, l’affaire était réglée, j’avais la teigne. Ou autrement appelé Herpès Circiné.

Autant vous dire que je n’ai pas regardé Jiji d’un très bon oeil. Voire que j’ai commencé à échafauder quelques scénarios dont il ne ressortait pas vainqueur. Sachant que depuis que j’ai failli le fumer en lui faisant boire son vermifuge, j’ai l’avantage de connaitre un moyen assez radical d’en finir avec lui. (rire sardonique). En lire plus »

J’aime #135

Hier, comme je le racontais sur Instagram (je suis davantage présente sur ce réseau ces derniers temps pour l’immédiateté qu’il offre) je suis allée enregistrer un deuxième podcast. Et j’ai à nouveau adoré l’exercice. C’est amusant parce que je me suis un peu éloignée de mon métier d’origine, le journalisme (sans pour autant l’abandonner, je continue à collaborer régulièrement avec l’Express mais aussi, depuis quelque temps avec Santé magazine (version papier) et depuis peu avec Holissence), ce qui ne m’empêche pas de conserver une affection toute particulière pour l’interview. Et parler dans le micro me plait énormément. Ce dernier me fait bien moins peur que la caméra et permet, je trouve, une plus grande spontanéité que l’écrit. D’une manière générale, depuis la rentrée, je me confronte à de nouveaux désirs et de nouveaux challenges et même si ça fait un peu peur parfois, c’est une source inépuisable de satisfaction. De temps en temps, oser, c’est bien.  En lire plus »

Inhibitions…

Je me faisais la réflexion récemment que si j’avais un peu progressé en assurance – je suis la grande gueule de mon groupe d’amis mais je me ratatine comme les cornes d’un escargot dès que je sors de ma zone de confort – ça n’était malgré tout pas encore ça. En témoignent les messages désespérés envoyés à B. avant une soirée pourtant très bon enfant organisée par la production de la série pour laquelle je travaille. Alors que j’avais calé mon heure d’arrivée sur la sienne pour être certaine de ne pas entrer en solo dans l’arène, je me suis retrouvée, comme d’habitude, très en avance devant le bar privatisé pour l’occasion, dans lequel il n’y avait pour l’instant que quelques comédiens. S’il n’avait pas fait moins douze degrés et si le seul endroit où attendre sans être vue n’avait pas été une sorte de local à poubelles malodorant, il est fort possible que j’y serais encore (dans le local à poubelle, donc) (OKAY j’y suis restée jusqu’à ce que je réalise que les effluves de viande avariée risquaient d’imprégner mes vêtements, ce qui ne contribuerait pas à me faire sentir plus à l’aise). En lire plus »

Bouillon et sentiment de l’été…

Ce week-end, alors que j’achetais un poulet désossé au marché pour préparer un tajine, la volaillère m’a demandé si je voulais la carcasse. J’ai répondu que non merci, je serais bien incapable de savoir quoi faire avec. Elle m’a alors répondu que bien sûr que si, il suffisait de la faire chauffer dans une casserole d’eau, d’y ajouter un oignon, des herbes et une carotte. Et qu’une heure plus tard, j’aurais un bouillon de poulet maison des plus délicieux. Sans le savoir, elle venait de faire appel à l’un de mes fantasmes, celui de ce bol fumant exhalant des saveurs d’antan et guérissant tous les maux du corps et de l’âme.

Me voilà donc repartie avec mes DEUX carcasses de poulet, gonflée d’orgueil : j’allais préparer un VRAI bouillon pour ma petite famille, un plat réconfortant comme du temps de nos grands-mères, que l’on boirait fumant dans des bols en grès. Le truc que dès que tu y penses, tu te sens déjà mieux. En lire plus »

Nouvelle star, retour de flamme

J’aimerais vous dire que je n’ai rien écrit ici hier soir parce que je bossais comme une damnée sur ce projet dont je vous parlerai s’il aboutit, mais la vérité c’est que j’étais devant La nouvelle star. Celles et ceux qui me suivent depuis longtemps savent que je suis fan depuis la première heure de l’émission, j’avais même, d’ailleurs, rencontré le jury du temps de Sinclair, Lio, Manoeuvre et Manoukian (c’était à cette époque où les blogueuses se déplaçaient dans les événements sans être payées). Je me souviens aussi des soirées passées sur le blog à faire des live tweet sauf que twitter n’existait pas encore. En lire plus »