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Trois jours à Taroudant, #part two

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Alors avant toutes choses, la gagnante du concours French Disorder est le commentaire 90, Xotchil. Envoie moi un mail avec la référence du tee ou de la robe que tu souhaites et la taille ! Pour les déçues, sachez qu’il y a un code très à propos, « VIC », qui vous donne accès à 15% de réduction sur toute la boutique exceptés les produits déjà soldés. One more time, je ne touche rien sur les ventes, donc sentez vous libres !

Fin de l’aparté.

Nous en étions donc à notre troisième – et dernier – jour à Taroudant.

Au programme: découverte de Tiout, province agricole aux alentours de Taroudant. Quelques familles se partagent des parcelles d’une immense palmeraie, irriguée grâce à l’une des rares sources de montagne des environs. Véritable oasis, la palmeraie se découvre au détour d’un chemin aride, où l’on croise bergers et vieilles femmes juchées sur des ânes. Saïd, notre hôte, pratique une agriculture bio et raisonnée, mettant un point d’honneur à ne rien jeter de ses palmiers. Il reçoit également quelques touristes comme nous, sous une tente traditionnelle. En lire plus »

Les parfums de ma vie

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Il y a des odeurs qui nous accompagnent depuis toujours. Parmi celles-ci, il y a pour moi celle du savon Donge, dont j’ignorais à vrai dire qu’il faisait partie de la grande famille Cadum. J’ai toujours adoré ce parfum d’amande douce et j’ai toujours acheté ces savons au packaging quasiment inchangé depuis des années, en souvenir j’imagine de mon enfance et aussi parce que – vous allez tout savoir – je ne suis pas très gel douche. Bref à la maison, on peut être souvent à court de sel, de sucre ou de café, mais rarement de savon, on les achète par packs de quatre, quasi exclusivement des Donge, des Cadum parfois parce que Rose adore le bébé dessus. Ils ont en plus l’intérêt d’être parmi les plus abordables et de se trouver partout.

Bref, quand Cadum m’a contactée pour me proposer de faire une vidéo qui explique pourquoi j’aime Cadum, je n’ai pas eu à me forcer. Outre le fait tout de même que l’expression « Bébé Cadum » est entrée dans le langage courant (je ne suis pas certaine qu’il y ait d’autres exemples de la sorte, cela m’a à vrai dire toujours fascinée, que cela se perpétue ainsi dans les cours de récréation, pour en faire d’ailleurs l’invective la plus mignonne de l’histoire), j’ai donc un véritable attachement à ce produit Donge en particulier, qui m’évoque le cou de mes enfants, la sensation de propre, la douceur d’une peau fraichement lavée.

J’espère que vous aimerez ce petit film dans lequel je vous explique tout cela, film qui est aussi une sorte de savoureuse madeleine pour moi, me replonger dans ces photos fut un instant aussi doux que les amandes Cadum…

Collaboration avec Cadum

Up and down du lundi

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Hier en fin d’après-midi, j’ai emmené mes deux grands gare de Lyon. Ils partaient avec tous les latinistes du collège pour une semaine à Rome. Quand le train s’est éloigné et que nous sommes reparties, avec trois mamans devenues au fil des ans des copines, on avait la larme à l’oeil. Pas vraiment de les quitter – enfin, si, mais on commence à s’y faire – mais d’envie en fait. On aurait donné cher pour avoir 14 ans à nouveau et partager un compartiment couchettes avec nos meilleures copines, direction Rome, la fontaine de Trevi, les quartiers libres, les soirées à chuchoter sous la couette et les paniers repas de l’hôtel. En lire plus »

Fête des mères, vente flash aux Galafs

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Message à caractère informatif, vous n’êtes pas sans savoir que c’est la fête des mères dans quelques jours – le 25 mai – et au cas où vous seriez un peu à la bourre ou quelque peu hésitantes pour votre propre maman, voici quelques suggestions, sachant donc que les Galeries Lafayette sortent le grand jeu avec 50% sur une sélection d’objets, principalement des sacs, mais aussi des bijoux, des étoles, des chapeaux, etc. Attention – d’où cette publication exceptionnelle un dimanche soir – la vente flash s’arrête demain soir !

Bon dimanche, ou du moins ce qu’il en reste !

#1 Echarpe Guess, 30 euros – #2 Sac Galeries Lafayette, 40 euros au lieu de 79,99 euros – #4 Sac Aridza Bross 149 euros au lieu de 299 euros – Sac Paul & Joe Sister, 49,95 au lieu de 99,90 euros – #5 Etole Galeries Lafayette  12 euros – #6 Cabas Lancaster

Que jeunesse se fasse

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Hier, j’ai accompagné la classe de Rose au cinéma. Comme à chaque fois que je prends un peu le temps pour ces choses « en plus », je me suis ensuite donné des claques de ne pas profiter de mon statut de free lance pour le faire davantage, tant visiblement ma présence comptait encore plus pour ma fille que de regarder enfin la nouvelle saison de Violetta (et c’est pas peu dire). Je me suis également promis à la fin de cette matinée de ne plus jamais avoir une pensée négative pour les professeurs des écoles. Parce qu’après trois heures – dont 1h30 de cinéma – en compagnie de ces 28 curieux petits êtres, j’avais le cerveau en compote. Il faut les suivre, quoi (au sens propre aussi d’ailleurs).

Morceaux choisis… En lire plus »

Double Je…

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Je fais des crises d’angoisse. C’est mon truc à moi, s’il y avait un championnat du monde de la crise d’angoisse, j’exploserais tous les concurrents.

Pas des petites de rien du tout, genre  « je suis stressée, je vais me taper une tablette de chocolat, ça ira mieux après » (enfin, aussi, bien sûr, mais ça c’est la routine). Là ce dont je parle, c’est plutôt la fête à la near death experience. C’est à dire que même consciente à 100% que tout ce que je ressens d’étrange dans mon corps au moment de la crise n’est qu’une projection de mon esprit ou du moins une interprétation très personnelle de quelque chose de complètement anodin (une brûlure d’estomac peut rapidement devenir avec moi le signe avant-coureur d’une crise cardiaque), je suis néanmoins persuadée que je suis en train de passer l’arme à gauche. En lire plus »

Le stratagème, on y est presque !

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Vous vous souvenez sans doute je vous ai parlé récemment du projet de film de Gilles Tillet, le Stratagème. Vous avez été super nombreux à l’aider sur Kiss Kiss Bank Bank et je vous en remercie encore, il a dépassé l’objectif de départ et c’est génial. Ce qui ne doit pas empêcher ceux et celles qui veulent encore prendre part à la future meilleure comédie romantique française de participer, en effet le plafond qu’il s’était fixé était volontairement le plus bas possible, histoire de pouvoir se lancer quoi qu’il arrive. Mais plus il récoltera et plus il sera à même de payer les acteurs (un truc de ouf dans l’industrie du court et moyen métrage) et de peaufiner le film. Je vous recommande par ailleurs d’aller voir sur la page facebook du Stratagème les petites vidéos mettant en scène certains contributeurs. Je vous en mets une ci-dessous, avec l’une d’entre elles, qui devrait vous évoquer quelqu’un (second degré bonjour…). A ce sujet, si certain(e)s d’entre vous faisant partie de la confrérie des donneurs sont libres dimanche et vivent à Paris, Gilles serait ravi de vous filmer pour que vous expliquiez face caméra pourquoi ce projet vous a enthousiasmé. Si intéressés, contactez-moi je ferai suivre !

Edit: A part ça, ma trombine était à nouveau sur France 2 hier soir, avec la rediffusion du documentaire « Régimes, la vérité qui dérange ». Ce n’est pas un nouveau reportage, juste le même. Pour ceux et celles qui l’auraient découvert hier, je vous explique tout par ici (je précise ça parce que j’ai donc reçu de nombreux mails hier soir à ce sujet, pas par volonté de branler tant et plus (« branler » pour « personal branling »)).

Bribes de lundi

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Ce week-end nous étions donc dans le Périgord, dans un patelin situé à quelques kilomètres de Périgueux, chez la soeur du churros. Ce fut bref et consacré à la famille que nous n’avions pas vue depuis des lunes, du coup pas ou très peu de tourisme, ce que j’ai croyez-moi bien regretté, le peu qu’il m’ait été donné de voir depuis les fenêtres du Limoges – Périgueux ou de celles de la voiture qui nous a menés jusqu’à Sarliac sur L’Isle, m’a carrément charmée. Cours d’eau bordés de demeures charmantes, champs vallonnés, brassées de chênes centenaires, maisons du foie gras en veux-tu en voilà, baraques en pierres du Périgord, moutons gras comme des loukoums, odeurs de truffes et de cachettes valant de l’or, vaches sans tâches… La région regorge de promesses…
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J’aime #52

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Pour rentrer à Paris, le train de nuit étant complet samedi, j’ai testé pour vous le Briançon – Valence suivi d’un Valence – Paris en TGV. 7h50 de voyage, dont plus de la moitié dans un tortillard s’arrêtant tous les trois kilomètres. Honnêtement, j’appréhendais vraiment, d’autant que j’étais accompagnée des copains de mes twins, enfants évidemment charmants mais que je ne pourrais pas envoyer péter en cas de plaintes – même légitimes. Je ne sais pas vous, mais engueuler mes rejetons, oui. Ceux des autres… NEVER. LIGNE ROUGE.

Finalement, je m’inquiétais pour rien. Certes ce Corail est une vraie micheline, mais le temps était superbe et les paysages traversés si beaux qu’on en avait tous les trois la chique coupée. Bon, aussi, je leur ai collé Flashdance sur mon ordi. Chef d’oeuvre dont la dimension politique et sociale a totalement échappé à ces deux ados cinéphiles, lesquels ont surtout trouvé que c’était vieillot.

Si vous voulez mon avis, cette jeunesse ne respecte plus rien.

Encore un peu et on débine Dirty Dancing ? De la part de prépubères que j’ai connus encore en couches, échangeant des cartes Pokemon et visionnant en boucle de vieux épisodes de Dragon Ball Z (quand ce n’était pas High School Musical) je trouve la critique UN PEU FACILE.

Bref, je suis rentrée à Paris, non sans avoir laissé mes enfants à Lyon, histoire de reprendre tout doucement le rythme du boulot. Et comme c’est toujours un déchirement de laisser mes montagnes préférées, un petit J’aime encore un peu enneigé… En lire plus »

La montagne est belle #carte postale 3

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Après deux heures de cours avec la monitrice adorée des grands, dont le nom de famille est tout de même « gentil », ça ne s’invente pas, Rose est passée du stade « sac de nouilles sur deux planches » à « je me la pète sur le tire fesse ». Tant et si bien qu’hier matin, avant son deuxième cours, j’ai décidé de nous offrir un moment de complicité mère fille avec elle et de me faire quelques descentes, sur la piste Mickey de la station. Sauf qu’étrangement, tout ce qu’elle savait faire la veille avec sa chère Sophie, elle l’avait oublié. Et vas y que je lâche la perche au beau milieu de la montée, que je parte comme une dératée face à la pente, pendant qu’une drôle de femme hystérique – moi – hurlait « chapeau pointu, chapeau pointu !!! ». Et vas y qu’après s’être gamellée je m’accroche, ski croisés, à la drôle de femme – moi – elle même en fâcheuse posture. Il se peut qu’à un moment je l’ai un peu brutalisée. Il se peut que la monitrice, pile de passage sur la piste à ce moment là ait entendu des mots qui mis bout à bout signifiaient « tu me fais chier ». À un moment, ma fille m’a regardée et dans ses yeux il y avait comme une question: « mais qui est cette femme ? ».

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