Je pense que j’en ai déjà parlé ici, au panthéon de mes chanteurs préférés, il y a Louis Chedid. Avec G, E et JC, mes frères d’adoption et plus si affinités, nous l’écoutions en boucle lorsque nous avions 18 ans. Ce qui faisait de nous, au choix, des ringards ou des hipsters. Mais nous n’en avions que faire, Chedid avait une chanson pour chacun de nos états d’âme, il nous servait même parfois à confier nos sentiments. On trimbalait ses cassettes partout et dès qu’il passait en concert à Lyon, on s’y précipitait. Je me souviens l’avoir vu notamment la veille de mon permis de conduire (la 5ème tentative très exactement) et avoir réussi à lui parler. Aujourd’hui encore, je suis convaincue qu’il est pour quelque chose dans l’obtention du fameux papier rose (ou alors l’inspecteur ne voulait vraiment plus jamais voir ma face). Plus tard, j’ai échangé quelques mails avec Louis, c’était à l’époque où Google n’existait pas et où l’on cherchait les infos sur Alta Vista. En lire plus »









