Five little things #26

Fidèle à mes contradictions nombreuses et notoires, j’ai fini par regarder samedi l’enterrement de Johnny. Et forcément, j’ai chouiné en entendant tous ces gens scander « l’envie » ou « que je t’aime », j’ai guetté l’apparition de Laetitia et ses filles, je me suis interrogée sur les raisons expliquant l’absence de Laura et David dans le cortège et j’ai été profondément touchée par les interludes musicaux des quatre guitaristes (je prendrai bien un peu de Yodelice pour le dessert, merci). Et puis aussi Line Renaud, tellement émouvante. Bref, je me suis bien laissée prendre au jeu qui n’en était pas un, me demandant ce qui relevait dans tout cela de la sincère compassion et de la curiosité un peu malsaine qui me caractérise dès qu’il s’agit de regarder des célébrités pleurer. Sans doute y’avait-il un peu des deux. Bref, je fais amende honorable, c’était sans doute nécessaire au vu du nombre de personnes présentes. Cela ne m’empêche pas de trouver exagérée la présence et le discours aux allures de meeting de Macron et de ne pas adhérer à cette injonction que l’on me fait selon laquelle on aurait « tous quelque chose en nous de Johnny ». (autrement dit, j’avais à moitié tort, ou, plutôt, à moitié raison (c’est le mieux que je puisse faire en terme de mea culpa, n’insistez pas) (j’ai cette petite réputation chez nous d’avoir quelques difficultés à reconnaitre mes torts, je ne vois pas du tout pourquoi)).

A part ça, cinq petites (ou grandes) choses… En lire plus »

Au royaume de la vacuité, les idoles sont reines…

Alors avant toute chose, c’est le commentaire 55, d’Anna Chiara, qui remporte la bague. Merci de m’envoyer un mail avec tes coordonnées pour que je le fasse suivre à Line !

Je voulais par ailleurs vous remercier pour tous ces commentaires enthousiastes sur les créations de Line. Je sais qu’elle les a lus et vous ne mesurez pas le bien que cela peut faire. Recevoir une validation comme celle-ci, d’autant plus lorsqu’on est à son compte et que l’on met tout en oeuvre pour vivre de sa passion, c’est inestimable. J’en sais quelque chose. Donc merci à vous.

Voilà, à part ça, j’avoue être en quasi overdose de dépêches et d’hommages à Johnny. Non que je ne comprenne pas la tristesse de ses fans, je me souviens de mes larmes à la mort de Bashung ou de Gainsbourg. Mais de là à imaginer des obsèques nationales comme celles accordées au général de Gaulle ou à Victor Hugo, bon… En lire plus »

Idée cadeau #2 Imprime moi un mouton (concours inside)

J’ai rencontré Line grâce à Rose qui est amie avec sa fille. A force de se croiser aux anniversaires ou à la sortie de l’école, on a discuté, on s’est demandé ce qu’on faisait dans la vie et quand j’ai découvert ses oeuvres j’ai immédiatement eu envie de vous en parler. Parce que j’ai la certitude que sa jeune marque n’est qu’à ses débuts et qu’elle va se faire un nom (c’est déjà le cas d’ailleurs) dans le monde du design. L’originalité d' »Imprime moi un mouton », c’est que tous les objets, bijoux, lampes, appliques, ameublement, sont conçus par Line et imprimés ensuite en 3D. Cela lui permet de créer des formes qui ne pourraient prendre vie avec un autre processus, tant l’impression 3D offre des possibilités inédites. Il vous suffira de regarder la finesse et la complexité géométrique de ces appliques et de ces lampes par exemple pour comprendre ce que je veux dire. En lire plus »

J’aime #136

Hier fut un dimanche parfait. Il a commencé avec la confection de mes premières gaufres « coeur » qui se sont avérées non seulement très jolies mais également délicieuses. Je me suis ensuite très légèrement rendormie sur le canapé en attendant que la maisonnée se réveille (nous étions tous de sortie la veille). Ensuite, Rose, le churros et moi même avons regardé Love actually, collés les uns contre les autres. (je cachais les yeux de Rose pendant les passages un peu Hot des acteurs pornos). Et puis on a acheté le sapin, qu’on a décoré au rythme des chansons de Noël de ma playlist qui s’élabore un peu plus chaque année (et qui contient beaucoup de Georges Michael et de Mariah Carey).

On a fini par un bouillon de poule (je m’améliore les gars) avec des lettres de l’alphabet dedans et un gâteau à l’orange, recette reçue de ma sister, qui déchire GRAVE.

Bref, si je devais donner ma définition de la journée idéale de décembre, ce serait exactement celle-ci je crois, et je suis reconnaissante auprès de l’univers, la lune ou le hasard de me permettre de toucher du doigt parfois le bonheur…

A part ça, j’aime… En lire plus »

Idée cadeau #1: un spa à la maison avec Skinjay

Au début du mois de novembre je me suis dit, « tiens et si cette année j’étais hyper organisée et que je préparais des billets « cadeaux de noël » à l’avance ? Ce voeu pieux est bien évidemment resté tranquillou quelque part avec ma résolution de m’inscrire dans une salle de sport, celle de ne plus JAMAIS acheter de chocolat au lait ou encore de ne plus attendre le dernier moment pour écrire mes articles.

Bref, on est le 1er décembre et je n’ai pas la queue d’un billet « cadeaux de noël » déjà rédigé. Je vais donc faire « à la Caro », à savoir, au petit bonheur la chance, en vous proposant de ci de là quelques idées, sur des produits qui me semblent vraiment sympas à offrir. Et je commence donc avec Skinjay, une petite innovation qu’il m’a été proposé de tester mais qui m’a tellement plu que j’envisage d’en acheter un second pack pour mon autre salle de bain (parce qu’on se bat du coup pour la douche du bas qui est la seule équipée). Skinjay, c’est une sorte de cafetière à capsules du pommeau de douche. Visuellement, j’entends. Je vous rassure il n’est pas question ici de s’asperger de Voluto, mais bien de profiter d’une brumisation d’huiles essentielles pendant que vous vous douchez. Le dispositif est hyper facile à installer (j’avais un peu peur de ne pas y arriver et en cinq minutes c’était bouclé) et vous n’avez pas besoin de l’enlever si vous êtes à court de capsules. J’irai même jusqu’à dire que c’est hyper joli, ça donne une touche rétro à la robinetterie chez moi. Alors certes c’est du superflu et du confort, mais parfois, c’est le superflu qui change tout. Cette sensation d’être dans un spa pendant la douche du matin, j’adore littéralement. Et chacune des capsules a des vertus différentes, énergisante, délassante, etc. En lire plus »

Podcast « Les belles histoires » #2

Voici le deuxième podcast des « Belles histoires » enregistré pour Holissence. Il est totalement différent du premier, il raconte cette fois-ci le parcours de Sophie Trem, une jeune femme dont le dynamisme et la créativité sont hyper énergisants. Un exemple d’entrepreneuriat, qui prouve que parfois les idées les plus folles sont aussi les meilleures. Un immense merci une fois encore à Elodie, la fondatrice d’Holissence qui me permet d’explorer d’autres contrées et qui a favorisé cette rencontre… Et merci à vous aussi, de me suivre dans ces aventures. Cette fin d’année est un peu déstabilisante, elle fourmille de projets divers et variés et je réalise régulièrement à quel point la colonne vertébrale de tout cela, la cohérence, s’il faut en trouver absolument une, c’est le blog, c’est ici avec vous, comme une boussole, un point d’ancrage. Alors même si je suis moins présente ici, sachez-le, ça compte.

Pour écouter le podcast c’est ici.

Pour écouter le précédent podcast, c’est ici.

Je voudrais du soleil vert…

Je vous parlais récemment de mon nouveau manteau et de l’amour que je lui portais (la fille tout en nuance). Le voici donc sur pièce dans les allées du jardin du Palais Royal. Vous admirerez le naturel dont je sais faire preuve, la nonchalance avec laquelle je m’appuie contre un arbre (ben quoi ?), la légèreté de ma démarche altière, les cheveux aux vent. Ce que vous ne voyez pas sur ces photos, c’est que dans mon petit sac mignon se cache un rouleau adhésif pour enlever mes cheveux qui n’en finissent pas d’échouer sur le manteau et que durant tout le shooting, Violette m’a répété, comme à chaque fois que putain, cette fois-ci tu ne bouges pas toutes les deux secondes (j’ai quand même bougé). En lire plus »

Five little things #25

Vous les sentez, vous aussi, arriver à grand pas ? Les fêtes de fin d’année et leur cortège de cadeaux à faire, de billets de train à acheter, de repas gargantuesques, etc. Je ne fais pas partie des gens qui détestent Noël, je confesse même un attachement encore tout enfantin à cette période de l’année. Je profite aussi d’avoir une petite dernière qui bien que ne croyant plus au père Noël depuis un moment déjà, a malgré tout décidé que si elle avait envie d’y croire encore un peu elle en aurait le droit. Bref, je n’ai pas du tout commencé mes cadeaux, mais j’aime bien l’idée de voir s’illuminer Paris.

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Sus à la cellulite avec cellublue

Partenariat avec Cellublue

Comme je vous le disais récemment, mon médecin généraliste m’a subtilement mais clairement fait comprendre qu’il fallait que je songe à perdre du poids. Sans pour autant m’en dire plus sur le comment. Voire pire : étant elle-même enrobée, elle m’a regardée désarmée et m’a dit : « franchement, à part jeuner, je sais pas ».

Au revoir et merci.

Toujours est-il que je suis bien décidée à ne pas faire le moindre régime, de ce côté-là j’ai donné, perdu, repris, etc. Mais depuis quelque temps déjà, je fais en sorte de bouger davantage, j’essaie de marcher une heure par jour minimum et je m’astreins à quelques exercices quotidiens (bon en vrai pas vraiment, mais dans ma tête en tous cas, oui). Et le hasard faisant bien les choses, j’ai été contactée par Cellublue, qui m’a proposé de tester certains objet dont le principal objectif est de tonifier le corps et de faire un sort à la cellulite. Comme il n’était absolument pas question de régime dans cette histoire, j’ai dit pourquoi pas, j’ai toujours secrètement rêvé de palper rouler.

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You’re the one that I want…

Le week-end dernier, le churros est parti avec ses potes à Saint-Emilion pour un week-end à haute teneur culturelle, comme vous pouvez l’imaginer. J’ai profité de ces deux jours seule avec les enfants pour emmener Rose voir la comédie musicale Grease, qui passe actuellement à Mogador. Je confesse un faible un peu coupable pour les « musicals ». Je les préfère en VO et à Londres ou à New-York (bien qu’en réalité je n’en ai jamais vu ni à Broadway ni dans le West-End, mais disons que rien que l’idée me fait voyager) mais je ne boude pas mon plaisir même en VF dans un théâtre parisien. Or j’ai la chance d’avoir une fille qui partage ce béguin. Et qui, en plus, voue une passion pour le film Grease. Passion que j’ai d’ailleurs découverte récemment, un jour où je l’entendais fredonner Summer Nights:

– Han c’est marrant, tu sais que ce que tu chantes, c’est un morceau d’un film trop bien !
– Ben maman, je sais !
– Ah oui ? Tu connais Grease ?
– Attends, maman, Grease c’est TOUTE MA VIE ! (je me demande bien d’où elle sort cette tendance à l’éxagération)

C’est sans doute ce jour là que je me suis dit que peut-être, je dis bien peut-être, je ne contrôlais pas assez sa consommation de Netflix ni les heures passées devant sa tablette. Il s’avère en effet qu’elle l’a visionné plus de dix fois et qu’elle en connait donc absolument TOUS les dialogues. L’idée selon laquelle le troisième enfant s’élève en roue libre n’est pas vraiment fausse…

Bref, j’ai tenté de me rattraper en l’emmenant voir Grease sur scène. Et honnêtement, on a A-DO-RÉ (heureusement parce que même si c’est moins cher qu’à Broadway, les places ne sont pas données données…). Déjà, la devanture du théâtre de Mogador vous emmène direct aux States, avec un lettrage hyper américain. Ensuite, tout le hall a été revisité de manière à vous donner l’impression d’être dans un diner américain des années 50. Les ouvreuses quant à elles, semblent tout droit sorties de Rydell High.  En lire plus »