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Sus à la cellulite avec cellublue

Partenariat avec Cellublue

Comme je vous le disais récemment, mon médecin généraliste m’a subtilement mais clairement fait comprendre qu’il fallait que je songe à perdre du poids. Sans pour autant m’en dire plus sur le comment. Voire pire : étant elle-même enrobée, elle m’a regardée désarmée et m’a dit : « franchement, à part jeuner, je sais pas ».

Au revoir et merci.

Toujours est-il que je suis bien décidée à ne pas faire le moindre régime, de ce côté-là j’ai donné, perdu, repris, etc. Mais depuis quelque temps déjà, je fais en sorte de bouger davantage, j’essaie de marcher une heure par jour minimum et je m’astreins à quelques exercices quotidiens (bon en vrai pas vraiment, mais dans ma tête en tous cas, oui). Et le hasard faisant bien les choses, j’ai été contactée par Cellublue, qui m’a proposé de tester certains objet dont le principal objectif est de tonifier le corps et de faire un sort à la cellulite. Comme il n’était absolument pas question de régime dans cette histoire, j’ai dit pourquoi pas, j’ai toujours secrètement rêvé de palper rouler.

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You’re the one that I want…

Le week-end dernier, le churros est parti avec ses potes à Saint-Emilion pour un week-end à haute teneur culturelle, comme vous pouvez l’imaginer. J’ai profité de ces deux jours seule avec les enfants pour emmener Rose voir la comédie musicale Grease, qui passe actuellement à Mogador. Je confesse un faible un peu coupable pour les « musicals ». Je les préfère en VO et à Londres ou à New-York (bien qu’en réalité je n’en ai jamais vu ni à Broadway ni dans le West-End, mais disons que rien que l’idée me fait voyager) mais je ne boude pas mon plaisir même en VF dans un théâtre parisien. Or j’ai la chance d’avoir une fille qui partage ce béguin. Et qui, en plus, voue une passion pour le film Grease. Passion que j’ai d’ailleurs découverte récemment, un jour où je l’entendais fredonner Summer Nights:

– Han c’est marrant, tu sais que ce que tu chantes, c’est un morceau d’un film trop bien !
– Ben maman, je sais !
– Ah oui ? Tu connais Grease ?
– Attends, maman, Grease c’est TOUTE MA VIE ! (je me demande bien d’où elle sort cette tendance à l’éxagération)

C’est sans doute ce jour là que je me suis dit que peut-être, je dis bien peut-être, je ne contrôlais pas assez sa consommation de Netflix ni les heures passées devant sa tablette. Il s’avère en effet qu’elle l’a visionné plus de dix fois et qu’elle en connait donc absolument TOUS les dialogues. L’idée selon laquelle le troisième enfant s’élève en roue libre n’est pas vraiment fausse…

Bref, j’ai tenté de me rattraper en l’emmenant voir Grease sur scène. Et honnêtement, on a A-DO-RÉ (heureusement parce que même si c’est moins cher qu’à Broadway, les places ne sont pas données données…). Déjà, la devanture du théâtre de Mogador vous emmène direct aux States, avec un lettrage hyper américain. Ensuite, tout le hall a été revisité de manière à vous donner l’impression d’être dans un diner américain des années 50. Les ouvreuses quant à elles, semblent tout droit sorties de Rydell High.  En lire plus »

Rosé de Gibert et autres joyeusetés


Il y a dix jours, j’ai commencé à me gratter en bas du dos. S’en sont suivis deux jours de fièvre et de courbatures. Puis, le lundi soir, j’ai remarqué deux taches rouges sur mon ventre. Et deux autres sur le flanc. Et trois autres sur les seins. Et… Et en fait, partout, du bassin jusqu’au décolleté, pile et face.

Fidèle à mon flegme légendaire dès que je remarque quelque chose d’inhabituel qui pourrait indiquer que j’ai chopé une saleté, je me suis ruée sur google et mon ami doctissimo. En trois clics, l’affaire était réglée, j’avais la teigne. Ou autrement appelé Herpès Circiné.

Autant vous dire que je n’ai pas regardé Jiji d’un très bon oeil. Voire que j’ai commencé à échafauder quelques scénarios dont il ne ressortait pas vainqueur. Sachant que depuis que j’ai failli le fumer en lui faisant boire son vermifuge, j’ai l’avantage de connaitre un moyen assez radical d’en finir avec lui. (rire sardonique). En lire plus »

J’aime #135

Hier, comme je le racontais sur Instagram (je suis davantage présente sur ce réseau ces derniers temps pour l’immédiateté qu’il offre) je suis allée enregistrer un deuxième podcast. Et j’ai à nouveau adoré l’exercice. C’est amusant parce que je me suis un peu éloignée de mon métier d’origine, le journalisme (sans pour autant l’abandonner, je continue à collaborer régulièrement avec l’Express mais aussi, depuis quelque temps avec Santé magazine (version papier) et depuis peu avec Holissence), ce qui ne m’empêche pas de conserver une affection toute particulière pour l’interview. Et parler dans le micro me plait énormément. Ce dernier me fait bien moins peur que la caméra et permet, je trouve, une plus grande spontanéité que l’écrit. D’une manière générale, depuis la rentrée, je me confronte à de nouveaux désirs et de nouveaux challenges et même si ça fait un peu peur parfois, c’est une source inépuisable de satisfaction. De temps en temps, oser, c’est bien.  En lire plus »

Inhibitions…

Je me faisais la réflexion récemment que si j’avais un peu progressé en assurance – je suis la grande gueule de mon groupe d’amis mais je me ratatine comme les cornes d’un escargot dès que je sors de ma zone de confort – ça n’était malgré tout pas encore ça. En témoignent les messages désespérés envoyés à B. avant une soirée pourtant très bon enfant organisée par la production de la série pour laquelle je travaille. Alors que j’avais calé mon heure d’arrivée sur la sienne pour être certaine de ne pas entrer en solo dans l’arène, je me suis retrouvée, comme d’habitude, très en avance devant le bar privatisé pour l’occasion, dans lequel il n’y avait pour l’instant que quelques comédiens. S’il n’avait pas fait moins douze degrés et si le seul endroit où attendre sans être vue n’avait pas été une sorte de local à poubelles malodorant, il est fort possible que j’y serais encore (dans le local à poubelle, donc) (OKAY j’y suis restée jusqu’à ce que je réalise que les effluves de viande avariée risquaient d’imprégner mes vêtements, ce qui ne contribuerait pas à me faire sentir plus à l’aise). En lire plus »

Bouillon et sentiment de l’été…

Ce week-end, alors que j’achetais un poulet désossé au marché pour préparer un tajine, la volaillère m’a demandé si je voulais la carcasse. J’ai répondu que non merci, je serais bien incapable de savoir quoi faire avec. Elle m’a alors répondu que bien sûr que si, il suffisait de la faire chauffer dans une casserole d’eau, d’y ajouter un oignon, des herbes et une carotte. Et qu’une heure plus tard, j’aurais un bouillon de poulet maison des plus délicieux. Sans le savoir, elle venait de faire appel à l’un de mes fantasmes, celui de ce bol fumant exhalant des saveurs d’antan et guérissant tous les maux du corps et de l’âme.

Me voilà donc repartie avec mes DEUX carcasses de poulet, gonflée d’orgueil : j’allais préparer un VRAI bouillon pour ma petite famille, un plat réconfortant comme du temps de nos grands-mères, que l’on boirait fumant dans des bols en grès. Le truc que dès que tu y penses, tu te sens déjà mieux. En lire plus »

Five little things #24

En ce moment, j’essaie. Je me cogne un peu, j’efface, je retape, je sue, je me désole, je me console, je me rassure, je me consterne. En ce moment j’essaie d’écrire autre chose que ces billets, autre chose que mes articles ou que des scénarios. Je ne sais pas si je parviendrai au bout de cette nouvelle tentative, vous le saurez si c’est le cas – oh ça oui vous le saurez – mais il est fort probable que cela m’empêche un peu d’être là. Je vous tiens au courant.

A part ça, cinq petites choses… En lire plus »

L’automne à Agadir…

Me voici revenue, après quelques jours entre parenthèse sur la côte Atlantique marocaine. Je suis donc partie une petite semaine avec ma grande, histoire de clore (définitivement j’espère) ce chapitre de la scoliose opérée cet été. J’avais un peu hésité avant d’opter pour Agadir, j’avais, je l’avoue, des préjugés assez négatifs sur cet endroit, que j’imaginais comme une bétaillère à touristes un peu flippante. J’ai finalement été étonnamment surprise. Certes, il n’y a pas grand chose à voir à Agadir, la ville a été détruite pendant un tremblement de terre et reconstruite dans les années 60, pour le charme de Marrakech ou de Taroudant, passez votre chemin. Mais en l’occurrence, nous n’avions pas tellement prévu de nous balader, ma fille ne supporte encore pas très bien les trajets en voiture, encore moins sur des routes un peu accidentées. Et ce que nous recherchions, c’était le soleil, la mer et le calme. Alors certes, nous avons été un peu frustrées de ne pas pouvoir visiter les alentours d’Agadir, qui sont parait-il magnifiques (j’en avais eu un aperçu lors de notre voyage à Taroudant) mais je dois vous avouer que nous n’avons pas vu le temps passer, alors que nous n’avons globalement… rien glandé. En lire plus »

Le corps des femmes…

Depuis quelques jours, la parole circule, comme dirait mon quelqu’un. Entre le #balancetonporc et le #metoo, mon mur Facebook et mon fil Twitter regorgent de témoignages glaçants, de femmes ayant subi des agressions sexuelles ou du harcèlement. Des révélations qui ne se limitent pas aux réseaux sociaux. Difficile d’éviter le sujet dernièrement, dès que l’on se retrouve à plus de deux ou trois dans une pièce. De quoi forcément s’interroger soi même sur son propre vécu. Et de réaliser que ça ne m’est jamais arrivé. J’ai beau chercher, à part un rédacteur en chef qui regardait avec insistance mes seins (mais aussi ceux de toutes mes collègues) quand on venait dans son bureau, je n’ai à déplorer aucune véritable agression, au sens d’attouchements appuyés ou pire. Peut-être un ou deux frotteurs dans le métro, mais c’est à peu près tout. En lire plus »

Numéro Une, un film féministe

La dernière fois, Rose m’a dit alors qu’elle se couchait, après m’avoir bien regardée: « maman, je trouve que tu ressembles à Belle ». Moi, flattée, j’ai répondu que c’était drôlement gentil. « C’est mieux que si je ressemblais à la bête ». Elle a souri et dit:

– En fait je pensais à Belle dans Belle et Sébastien.

Ok, une bête, donc. En lire plus »