Les treize choses sans lesquelles la vie serait moins belle…

selfie

Allez, je vous avais promis un top five – j’ai tenu un jour sans écrire ici, SOUS VOS APPLAUDISSEMENTS – et ce matin en faisant chauffer mon eau, j’ai pensé aux dix choses que je pourrais qualifier d’indispensables à ma vie. J’y ai d’autant plus naturellement pensé d’ailleurs que pas plus tard que dimanche, alors que je rentrais de la Gare de Lyon où j’avais installé mes enfants dans le train, j’ai eu la très désagréable surprise de constater que ma fille (enfin, à ce moment là elle l’était encore), avait « confondu » son ordinateur et le mien et par conséquent embarqué mon bébé. Il est possible que j’ai pleuré. Et, confidence pour confidence, pas uniquement parce que j’avais décidé de rester deux jours à Paris pour bosser, avant de me déclarer en vacances. La vérité c’est que dans cet ordinateur il y a ma vie, mes photos, mes textes, ma tâche de gras sur le S, un postillon sur l’écran, etc etc etc. Je vous arrête tout de suite, j’ai désormais une sauvegarde quotidienne, par conséquent j’ai relativisé (un peu). Mais quand même.

Bref, voici ce dont j’ai vraiment du mal à me passer, au quotidien. En lire plus »

So long 2014…

DSC_0574

Il est venu le temps de ce billet annuel, dégoulinant de nostalgie et de bons sentiments. Ne le niez pas vous l’attendiez et vous aimez ça, quand je me fais chatte sur un toit brûlant (ouh là).

Plus sérieusement, je vais lever le pied durant les deux semaines qui viennent. J’avais l’illusion de pouvoir totalement m’arrêter de travailler pour quinze jours, mais cela restera du domaine du fantasme, je me suis pris dans la face un gros boulot pas plus tard qu’avant-hier. Peut-être que si je n’avais pas la perspective des quatre (six ?) mois à venir où soudain vont s’additionner le remboursement d’emprunt et le loyer de l’appart que nous allons continuer d’habiter pendant les travaux, j’aurais décliné la proposition. Mais là disons que le principe de réalité m’a rattrapée.

Il n’empêche que je vais quand même un peu m’éloigner de mon ordinateur pour retrouver les miens, traverser la France de haut en bas, de bas en haut et d’est en ouest. Vous me connaissez, j’ai la plus grande difficulté à ne pas poster au moins une fois ou deux pendant mes congés, donc je ne vous dis pas tout de suite bonne année. Je vous avais fait miroiter des listes de livres, chansons, acteurs, préférés et je n’en ai rien fait, mais promis ça viendra. Pour ce billet iconique de fin décembre, je vais plutôt revenir sur les cinq souvenirs les meilleurs de 2014 et peut-être aussi les fails, parce que bien que pétant des papillons en bonne blogueuse que je suis, j’ai aussi eu quelques grands moments de solitude. En lire plus »

Le portnawak du jeudi

IMG_6041

Alors déjà, je redonne ici le nom des gagnantes des produits Galenic, parce que manifestement ils sont passés inaperçus dans le billet ad-hoc.

Il s’agissait des commentaires 60 (Tan) et 144 (Céline)

Il me faudrait de vos nouvelles d’ici ce soir, sinon je procéderai à un nouveau tirage au sort. Quand aux vernis, ils arriveront sous le sapin de Nini, commentaire 156. Et la vérité, je me dis que la hasard parfois fait bien les choses.

Voilà, à part ça, quelques brèves sans queue ni tête, parce qu’il est bon parfois d’être un peu incohérente. En lire plus »

Noël à l’arrache

galafsnoel

Partenariat

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais personnellement je suis totalement à la ramasse cette année pour les cadeaux de Noël. A tel point d’ailleurs que cela semble très compromis d’être à un moment ou à un autre complètement à jour. A savoir qu’il va y avoir des déçus. Je ne sais pas, c’est peut-être le fait d’acheter une maison (trois fois rien, quoi), mais c’est comme si j’attendais d’être enfin dans mes murs avant de consentir à dépenser quoi que ce soit. Il n’empêche qu’il va tout de même falloir que je m’active un peu. Et à la faveur de cette sélection pour Les Galeries Lafayette, j’ai trouvé deux trois idées. Pour les filles surtout, j’avoue. Un vernis, un parfum « Grand Amour » (mon préféré après « Chance » de Chanel), un rouge à lèvres, des moufles en moumoutte, c’est le succès assuré non ? Et en parlant de vernis, j’ai la possibilité de vous faire gagner un kit de la nouvelle gamme des Galafs, une gamme, excusez du peu, de 84 nuances. De quoi s’éclater dans des camaïeux de folie !!! La gagnante recevra cinq couleurs, ce qui est un bon début ! Bref, laissez un commentaire et le churros remettra le couvert, que voulez-vous que je vous dise !!!

Bonne journée…

1 – Assiette Anthropologie, 21 euros – 2 – Parfum Annick Goutal « Grand Amour », 98 euros – 3 – Robe pour petite fille Jodhpur, 39,99 euros – 4 – Palette de maquillage, 12,90 euros – 5 – Boots Mellow Yellow, 99 euros – 6 – Robe à sequins, 99,99 euros – 7 – Pull loose Topshop, 55 euros – 8 – Cabas Vanessa Bruno, 140 euros – 9 Sac Topshop, 88 euros – 10 – Stan Smiths, 100 euros – 11 – Rouge à Lèvres Lancôme Absolu Rouge, 30,50 euros – 12 – Moufles Topshop, 26 euros – 13 – Sweat « Ich bin ein Pariser », 80 euros – 14 – Vernis Galeries Lafayette, 3,90 euros – 15 – Boots ajourées Topshop, 60 euros – 16 – Robe Sud Express, 79 euros

Cell Capital (concours inside)

SONY DSC

EDIT de 20H50: Ce sont les commentaires 60 (Tan) et 144 (Céline) qui remportent les deux lots. Merci à vous deux de m’envoyer un mail avec votre adresse postale ainsi que votre choix entre le fluide et la crème. Merci à toutes pour votre participation !

Je vous l’avais plus ou moins laissé entendre, il est temps de passer à l’acte, voici donc un petit concours en cette période propice aux cadeaux. Je vous ai parlé de cette nouvelle ligne de soins anti-âge Galenic, rappelez-vous. Et bien comme vous avez été très sages (si si, j’ai mes infos), j’ai la possibilité de vous faire gagner deux lots de la gamme CELL CAPITAL composée d’un élixir, d’un fluide ou d’une crème liftante (en fonction de votre type de peau, le fluide est plutôt pour les épidermes mixtes, la crème pour les plus asséchés) et d’un soin yeux-lèvres.

Je sais, je suis l’esprit de Noël. En lire plus »

Ma première fois avec le Pilates

pilates

Il y a quelques jours, à l’occasion d’un petit voyage à La Grée des Landes que je vous relaterai plus tard et qui fut tout simplement merveilleux, j’ai vécu comme qui dirait mon dépucelage en Pilates. Je sais, c’est fou, à 29 ans (et demi), je n’avais encore jamais testé la gym si chère aux new-yorkaises en quête de simplicité. Je vais vous raconter mais je tiens à préciser que si j’aime bien rapporter ce type d’expérience au second voire au trentième degré, en réalité j’ai plutôt apprécié le Pilates. Pas aussi douloureux qu’une séance d’abdos fessiers et moins chiant que le yoga (j’ai testé, à priori ça n’est pas pour moi, ça me colle des malaises vagaux, ou bien je n’ai pas trouvé le bon cours). Surtout, la prof était absolument adorable. Pas certaine néanmoins que j’aie de vraies aptitudes (pas plus que pour n’importe quel sport d’ailleurs, je le crains).

Allez, on déroule son tapis et on se met en position. En lire plus »

Mes séries préférées de l’année 2014

MastersOfSex_2x3

Ce n’est un secret pour personne que je suis complètement toquée de séries. D’aucuns pourraient même penser que cette propension à se noyer dans des fictions à rallonge est symptomatique d’un désir de fuite, d’un déni de la réalité. Je leur répondrais que je paie déjà 60 euros par semaine pour remuer la vase et que par conséquent merci, laissez-moi mater mes séries (mais bon ok, vous n’avez peut-être pas tort). Plus sérieusement, j’ai déjà listé il y a quelque temps celles qui l’emportent haut la main dans mon Panthéon personnel. Mais premièrement je n’ai pas toujours des tonnes de choses à raconter et secondement, les scénaristes américains – et parfois français – sont tellement brillants et créatifs que ce qui était vrai hier ne l’est pas forcément aujourd’hui. Bref, voici ce qui en 2014 m’a tenue en haleine au point de me coucher à pas d’heure, de faire une croix sur ma vie sexuelle et parfois, oui, c’est vrai, je l’avoue de bâcler un boulot (ce qui ne me ressemble guère).

Bref, les dix séries que j’ai le plus kiffé cette année, sont… En lire plus »

We wish you a merry…

wishlist

Article écrit en collaboration avec Le Printemps

J’ai tout un arsenal de méthodes de procrastination à chaque fois que j’ai du mal à écrire un article: descendre consciencieusement une tablette de chocolat, regarder une série en loucedé et aussi, last but not least, remplir des paniers virtuels sur Internet.

Alors quand j’ai su que Le Printemps proposait de faire  une wishlist sur son site, action ne m’engageant en rien d’autre qu’en fantasmes devant autant de mignonneries, j’ai évidemment foncé, d’autant que j’avais justement un papier à boucler. Bon maintenant, j’ai envie d’une boule à neige avec un renne à l’intérieur (je ne sais pas ce que j’ai avec les rennes cette année) (il doit y avoir un sens, j’en parlerai avec QUI DE DROIT), d’une chaise longue en moumoute ou encore de ces sucettes tellement OLD, tellement madeleines, avec les bords bien acidulés, là, vous voyez ?

Si vous voulez faire votre wishlist vous aussi, c’est par ici et même qu’il y a la possibilité jusqu’au 16 décembre de gagner son cadeau idéal (pour moi, les bols à message, aka THE petite robe noire de l’année 2014) (sans compter que ça peut aussi servir de message subliminal à envoyer à qui vous voulez) (quand je dis subliminal, je pense à un truc comme le poster sur votre wall en 4 x 3).

Bonne journée !

Mes bottes de sept lieues

DSC_3507

La page que je préfère dans le Monde Magazine, c’est celle dans laquelle une personnalité, plus ou moins célèbre d’ailleurs, parle d’un objet qui lui est cher et explique pourquoi celui-ci et pas un autre. C’est étrange parce que je ne suis pas matérialiste pour un sou, je ne prends en général pas tellement soin de mes affaires (un sujet de conversation à venir pour mes rendez-vous du vendredi) et mis à part mes trois ou quatre bijoux que je ne quitte pas, peu de choses survivent en bon état lorsqu’elles tombent en ma possession. Et en même temps, j’ai un mal de fou à jeter, ce qui met le churros hors de lui. Ceci étant dit, il est frappé du mal contraire et bazarde tout sans aucun état d’âme, tout particulièrement ce qui m’appartient, notez. Je pense que les rares fois où l’on en est presque venus aux mains, c’était pour cette raison (ou alors quand on parle de sa mère) (mais ça n’a rien à voir avec le ski*).
En lire plus »

J’aime #64

sapin1

Jeudi soir mes grands sont rentrés d’Allemagne avec la mine des condamnés au bagne. Avec cette phrase tellement typique de l’adolescence: « tu ne peux pas comprendre, c’était tellement bien ». Je ne peux pas comprendre en effet, je n’ai jamais eu 14 ans, c’est bien connu que nous les mères, on est nées avec nos vergetures, notre ride du lion et le périnée détendu avant même d’avoir enfanté. Quoi qu’il en soit, je l’ai enfin vécu, cet instant de décalage total, celui où toi tu trépignes de voir revenir au bercail ta portée, impatiente d’entendre par le menu détail tout ce qu’ils ont vécu sans toi, alors que la portée en question préfèrerait boire du verre pilé que de te raconter et ne prend même pas la peine de cacher sa misère d’avoir quitté « les personnes qui comptent vraiment dans sa vie » (à savoir en gros le monde entier sauf toi). J’exagère un peu, mais pas tant que ça. Et le pire dans tout ça, c’est que j’en étais certes un poil vexée, mais que la joie de les imaginer heureux sans moi l’a emporté. La maternité ou l’apprentissage de l’abnégation.

Voilà, à part ça, en ce lundi froid comme un glaçon, j’aime… En lire plus »